NGO Another Way (Stichting Bakens Verzet), 1018 AM Amsterdam, Netherlands.

 

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RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO

 

Statuts de l’association coopérative de développement (humanitaire) à but non lucratif

«Maisha Bora Haut Katanga 2015 »  soit en français « Meilleure vie Haut Katanga 2015 »

 

 

PRÉAMBULE

 

Dans le souci de contribuer à la pose des jalons d’un développement intégré durable auto-financé pour les territoires de la

République Démocratique du Congo;

 

Unis dans le but de promouvoir le développement humain afin d’assurer la durabilité et la pérennisation des projets réalisés par différents intervenants

sur le terrain;

 

Sachant que le développement humain met l’homme avec son environnement au centre de toute activité, car si celui-ci adopte un comportement

responsable, il  peut à son tour développer tous les secteurs de la vie (social ; économique, environnemental, politique, culturel );

 

Mus par la volonté d’appuyer et d’encadrer les structures de développement, partenaires du gouvernement Congolais, des organisations de

nations unies ; des ONG internationales et des secteurs privés dans la maîtrise de la gestion du cycle de projet, de l’approche participative et le

renforcement des capacités des communautés;

 

Convaincus que malgré de nombreux financements extérieurs les conditions de vie des populations de la R.D. du Congo demeurent inquiétantes

et la majorité des bénéficiaires des projets retournent toujours à l’état initial chaque fois qu’un projet arrive à son terme et après retrait des partenaires

étrangers;

 

Reconnaissant que les réalisations physiques sont souvent objet de détérioration et destruction malgré l’apport financier des partenaires extérieurs;

 

Persuadés que sans le changement de mentalité aucun développement ne peut être évident en R.D. du Congo et qu’il faut réfléchir et arrêter des

nouvelles stratégies qui seront capables d’améliorer les conditions de vie des populations afin d’assurer un développement durable et harmonieux;

 

Considérant que le renforcement des capacités communautaires demeure incontournable dans l’atteinte des objectifs du millénaire pour le développement;

 

Affirmant la nécessité de promouvoir différents groupes socioprofessionnels afin de les aider à accroître leurs productions locales et à éviter la

fuite financière vers l’étranger;

 

Animés par la volonté de planifier l’avant et l’après projet en recourant au diagnostic participatif, à la planification villageoise et l’accompagnement des

groupes cibles ou communautés de base après exécution de projet de toute nature;

 

Vu le contenu du Document Stratégique de Croissance et de Réduction de la Pauvreté pour la RDC ;

 

Vu surtout que la mise sur pied des structures telles que prévues par les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ou Millennium Development

Goals (MDGs) adoptés en 2000 dans le but de réduire d’ici 2015, 50% de proportion de la population mondiale sans accès

durable à l’eau potable saine, et à celles prises en 2002 à Johannesburg, pendant la Conférence Mondiale sur le Développement

 Durable (World Summit on Sustainable Development (WSSD)) en faveur de la réduction de 50% des populations sans accès aux services

d’assainissement durable et du développement de structures intégrées et efficaces de la gestion des ressources en eau;

 

Vu que l’amélioration de la qualité de vie des habitants de la R.D. Congo ne se limite pas à l’alimentation en eau et à l’assainissement mais

couvre en plus, la sensibilisation  et l’éducation  à la bonne gouvernance locale,  la sensibilisation et l’éducation aux élections communales

et municipales, la vulgarisation sur les droits de la femme et leur mis en application, le renforcement des capacités des structures

communautaires des femmes, l’accroissement des revenus du monde rural, la promotion de la sécurité alimentaire, la protection de l’environnement,

la forêt et la gestion de ressources naturelles, l’eau potable, l’assainissement et l’électrification rurale pour les études et pour l’augmentation de la

productivité, la promotion de l’éducation de base pour tous en mettant l’accent sur les filles, la création des centres socio professionnels pour la

jeunesse non scolarisée et déscolarisée, la promotion de la santé communautaire, la construction de sentiers et pistes à bicyclettes de bonne qualité,

l’accès des populations à une habitation décente, l’évacuation des déchets solides et liquides, l’évacuation des eaux usées domestiques, l’éducation

et la sensibilisation de la population au problème de la salubrité publique, l’amélioration des conditions d’approvisionnement, l’amélioration

des conditions socio économique des familles des enfants vulnérables, la réinsertion des enfants vulnérables dans le circuit de l’éducation formelle

et/ou non formelle, la réinsertion socio professionnelle des femmes et enfants chefs de ménage, l’appui à la sécurité alimentaire et nutritionnelle

des enfants vulnérables, la réhabilitation des enfants malnutris, l’appui spécifique aux enfants vivant avec handicap pour leur survie et leur éducation

ainsi que la prise en charge psychosociale, médico-sanitaire, juridique et judiciaire dans le cadre des monnaies locales établies des enfants victimes

et nés de violences sexuelles et leurs communautés, l’éducation sur les droits de la femme et enfant, le renforcement des capacités des structures

communautaires des femmes, le micro crédit sans intérêts et sans frais en monnaie formelle en faveur de tous et en particulier des femmes à faible

revenu, l’alphabétisation des femmes, l’assistance aux femmes vulnérables, l’éducation à l’hygiène pour réduire le taux de transmission du VIH/SIDA et

des ISTS auprès de la population, particulièrement chez les femmes et les jeunes, l’amélioration de la qualité de vie des personnes vivant avec le

VIH/SIDA, la réhabilitation ou la construction des infrastructures scolaires et sanitaires, l’installation des radio communautaires, la

promotion des coopératives communautaires (agricole, artisanale et de service),

 

Vu que les parties fondatrices signataires veulent rédiger des plans de développement intégré pour la R.D. Congo, en commençant avec un Plan

Régional pour la Région du Haut Katanga qui prévoit l’exécution de +/- 35-40 projets intégrés d’amélioration des conditions de vie pour tous les

1 214 398 habitants du Haut Katanga, ci-après appelé le plan « MAISHA BORA HAUT KATANGA 2015», soit « Meilleure vie Haut Katanga 2015 »

en swahili.

 

Vu que l’exécution du plan nécessite la création d’une association à durée limitée pour prendre pleine responsabilité de ladite exécution.

Les parties fondatrices signataires (en ordre alphbétique):

 


Nom de l’ONG et adresse légale

Adresse légale

Date de création

Numéro d’enregistrement

Représentée dans MBHK 2015 par

Position occupée dans l’ONG

Date d’affectation dans MGHK 2015

1

ADRIKA (Association pour le Développement Rural intégré du Katanga)

01, Av. Tshinyama, Q/Golf, C/ Lubumbashi

le 9/02/ 1997

Just.3 /ONC/59/2007

KILANGA MUNDA Thomas

Administrateur du plan

Le 13/07/2009

2

APLFA (Association Pour la promotion de la lecture chez la Femme Africaine)

94, avenue Mulongo (ex Kasai), Commune Lubumbashi

le 15/12/2004

001/2007

NAMANDI TSHINOSOLE Sarah (F)

Relation publique au conseil

 

Le 15/07/2009

3

ASSESPO (Assistance aux Enfants Sans Espoirs)

3, Avenue Sarazin,  Q/Navyundu , Commune annexe

le 21/11/1998

n° 026/236/02 de la (DPJ&GS)

MAYUKI TUMBA Godefroid

Trésorier au conseil

Le 14/07/2009

4

CDK (Centre pour le Développement du Katanga)

Rue 12, n° 66, Quartier Upemba, Commune Katuba

décembre 1994

JUST/GS/RD-SH 465 248/AS.BL/96

KALAMB MUTOMBU Aubert

Conseiller au conseil

 

le 15/07/2009

 

5

GAAD (Groupe d’Action et d’Appui au Développement)

01, Av. Tshinyama, Q/Golf, commune de Lubumbashi

le 19/06/1999

0176/C0067/CAB/MIN/J.&GS/2000

YUMA HERADI Aimé

Coordonnateur du plan

le 12/07/2009

6

PARDIC (Partenariat Pour le Développement intégré au Congo)

741, Abbé Kaozi, Commune Lubumbashi

le 23/02/2005

170/552/2005

KAHAMBWE TAMBWISHI Damien

Vice Président du conseil

Le 12/07/2009

7

TUSAIDIANE, en français, « Assistance mutuelle »

13, Avenue Ngandu, Q/Lido, Commune de Lubumbashi

06 juin 2002 ou 3/3/2006 

180/559/CAB/2005

 BUHENDWA NYENYEZI Agnès (F)

Secrétaire au conseil

Le 12/07/2009


Déclarent :

 

CHAPITRE 1 : DÉNOMINATION – SIÈGE – DURÉE

 

Article 1

 

Il est créé conformément à la loi N° 004/2001 du 20 juillet 2001 portant disposition générale applicable aux associations sans but lucratifs et aux établissements

d’utilité publique et suivant la réglementation en vigueur en République Démocratique du Congo une Association Coopérative de Développement Humanitaire

à but non lucratif dénommée «Maisha Bora Haut Katanga 2015 »  soit en français « Meilleure Vie Haut Katanga 2015 »

 

Article 2

 

L’Association a son siège à Lubumbashi sur l’avenue Tshinyama,  n° 1, Quartier Golf, commune de Lubumbashi. Le siège pourra être transféré en tout autre

lieu de la zone du projet sur décision du Conseil.

 

Article 3

 

L’Association est créée pour la seule période de la mise en exécution du plan et a une durée maximum de cinq ans. Elle ne s’occupe pas de l’exécution des

projets individuels dont la création des documentations préparatoires constitue le Plan.

 

CHAPITRE II : BUTS , OBJECTIFS ET MOYENS D’ACTION.

 

Article 4

 

L’association a pour but l’exécution du plan, soit la rédaction de projets pour +/- 35-40 projets de développement intégré de la Région du Haut Katanga

en République Démocratique Congo.

 

Article 5

 

L’association rejoint son but à travers l’utilisation de tout moyen légal qu’elle jugera nécessaire à adopter.

 

Article 6

 

L’association est une charité sans but de lucre.

 

CHAPITRE III : MEMBRES

 

Article 7

 

L’association se compose des membres signataires des présents statuts, représentés par une personne nommée respectivement par chacun d’eux.

 

Article 8

 

La qualité de membre signataire ne se perd que par :

-    La terminaison de l’exécution du plan,

-    L’expiration de la durée de l’Association

-    La mise en liquidation du membre signataire.

 

CHAPITRE IV : ORGANISATIONS – FONCTIONNEMENT.

 

Article 9

 

L’Association est administrée par les organes suivants :

-    Le Conseil.

-    Les coordonnateurs du plan.

-    La commission de révision continue des comptes.

-    L’auditeur indépendant.

 

LE CONSEIL

 

Article 10

 

Le Conseil est l’instance suprême de l’Association. Il se compose d’un représentant nommé par chacun des membres signataires. Il se réunit préférablement

une fois par mois en session ordinaire et de temps à autre sur proposition des Coordonnateurs ou de la moitié plus un des membres signataires lorsque

les circonstances l’exigent.

 

Les réunions du Conseil sont convoquées par son Président. En son absence ou en cas d’empêchement du Président, par son Vice-Président. En

absence ou en cas d’empêchement de Vice-président, par la moitié plus un des membres du Conseil.

 

Le Conseil a pour attribution de:

-    Définir l’orientation de l’Association.

-    Nommer son Président, Vice-Président, Secrétaire, Tésorier et d’autres éventuels représentants de son choix.

-    Faire la gestion des comptes bancaires en compte capital de l’association.

-    Nommer les membres du groupe de coordination du plan et définir ses pouvoirs et missions.

-    Nommer la Commission de Révision des Comptes.

-    Nommer, cas échéant en accord avec les bailleurs de fonds, l’auditeur indépendent.

-    Prononcer la dissolution de l’Association.

-     Se prononcer sur tout problème qui ne relève pas expressément la responsabilité des Coordonnateurs des projets individuels prévus ou des autres partis à

     l’exécution du plan.

 

 

Article 11

 

Le conseil nomme l’un d’entre ses membres son Président pour une période de un an, renouvelable, un secrétaire rapporteur qui peut être nommé pour

une période entière d’un an ou à l’occasion de chaque réunion, et selon les exigences des autres représentants prévus. 

 

 

Nom complet

Position occupée

Lieu et date de naissance

Date de décision nommant son représentant au conseil

1

MULEKA KISONDE KABAL (F)

Présidente

Kipushi, le 9/09/1952

Le 20/07/2009

2

KAHAMBWE TAMBWISHI Damien

Vice Président

Lubumbashi, le 16/10/1966

Le 12/07/2009

3

BUHENDWA NYENYEZI Agnès (F)

Secrétaire

Kinshasa, le 23/02/1973

Le 12/07/2009

4

MUMBATA WUMBA Blanche (F)

Secrétaire adjointe

Kinshasa, le 24/09/2009

Le 20/07/2009

5

MAYUKI YUMBA Godefroid

Trésorier

Kananga, le 24/09/1952

Le 14 /07/2009

6

NAMANDI TSHINOSOLE Sarah (F)

Relation Publique

Lubudi, le 28/09/1951

Le 15/07/2009

7

KALAMB MUTOMBU Aubert

Conseiller

Ntembo, le 15/07/1958

Le 15/07/2009

 

Article 12

 

En principe, les membres du Conseil ne reçoivent aucun paiement pour leurs services. Ils sont payés, cas échéant, des membres signataires qui les nomment.

 

Article 13

 

Les décisions du Conseil sont prises en premier appel en présence de tous ses membres. Elles prennent effet à la décision majoritaire d’au moins

50% + 1 du 100% des membres.

 

Une autre réunion du Conseil sera convoquée en deuxième appel dans un délai de deux (2) semaines au cas  tous les membres ne sont pas présents à la

première session. Au cours de la réunion en deuxième appel, les membres peuvent délibérer en présence du 50% + 1 du 100% des membres. Les décisions

prennent effet toujours à la décision majoritaire d’au moins 50% + 1 du 100% des membres.

 

Au cas où les 50%+1 des membres ne sont pas présents à la réunion  en deuxième session ou en cas d’absence d’une votation majoritaire des

50%+1 des membres, le Conseil est automatiquement et immédiatement dissout et les membres signataires de l’Association nomment chacun, sur invitation

immédiate de l’ex président du Conseil ou celui (ou ceux) qui le remplace(nt), un nouveau représentant (différent du précédent) au Conseil.

 

Article 14

 

Les décisions du Conseil sont consignées dans les procès verbaux dûment signés par son Président et/ou toute personne élue en sa qualité de rapporteur

du jour. Le procès verbal de chaque session de travail va être lu à la fin de la session de travail en question et approuvé des membres du Conseil présents.

 

LES COORDONNATEURS DU PLAN    

 

Article 15

 

Les coordonnateurs sont nommés par le conseil pour la durée du plan. Ils sont responsables de l’exécution du plan.

Ils arrêtent les états de situation des inventaires; des comptes; des bilans qui doivent être soumis à la Commission de Révision Continue des Comptes.

Ils ouvrent et font fonctionner tout compte exécutif au nom du projet.

Ils rendent compte au Conseil et informent la Commission de Révision Continue des Comptes de ses activités, paiements, et reçus.

 

Article 16

 

Les salaires des coordonnateurs sont prévus avec voix séparée au bilan du projet.

 

LA COMMISSION PERMANENTE DE REVISION DES COMPTES.

 

Article 17

 

Les activités de l’Association sont placées sous le contrôle d’une commission permanente de révision des comptes. La commission permanente de révision

des comptes est composée de 5 membres désignés par les parties fondatrices de l’Association.

Les membres de la commission de révision des comptes sont nommés par le Conseil pour  la durée du plan.

 

Article 18

 

Le Conseil ne peut décharger la Commission de Révision Continue des Comptes qu’à la présentation, et acceptation de la part du Conseil, des rapports

périodiques et du bilan final du plan lui présentés par la Commission.

 

Article 19

 

Les membres de la Commission de révision continue des comptes ne reçoivent-ils aucun paiement pour leurs services. Ils sont payés, cas échéant, des

membres signataires sur base paritaire.

 

Article 20

 

La commission permanente de révision des comptes répond exclusivement au Conseil et à l’auditeur indépendent. Elle a des droits complets d’inspection

sans préavis des activités relatives à la gestion du plan et à toutes les documentations y relatives.

 

L’AUDITEUR INDÉPENDANT.

 

Article 21

 

Les activités de la commission de révision continue des comptes sont placées sous le contrôle d’un auditeur indépendant, nommé  par le conseil

sur proposition, cas échéant, des bailleurs de fonds.

 

L’auditeur indépendant est nommé pour  la durée du plan.

 

Article 22

 

L’auditeur indépendant répond exclusivement au Conseil de l’Association et aux bailleurs de fonds. Il a des droits complets d’inspection sans préavis

des activités relatives à la gestion du projet individuel en question et à toutes les documentations y relatives.

 

Article 23

 

L’auditeur indépendent est payé, cas échéant, par l’Association et/ou par les bailleurs de fonds.

 

CHAPITRE V : DISPOSITIONS FINANCIÈRES.

 

Article 24

 

Les ressources de l’association proviennent:

a) des contributions financières faites des bailleurs de fonds au financement du capital du plan:

b) Des subventions financières des organismes ou organisations publiques ou nationaux ou étrangers au financement du plan.

c) Toute autre contribution ou droit légal dont l’Association disposera.

 

Article 25

 

Il sera ouvert un compte capital en Euro et/ou en US$ au nom du plan dans une institution bancaire à Lubumbashi.

 

Article 26

 

Le compte capital est géré par le Conseil. Tout retrait du compte capital en Euro et/ou en US$ requiert les signatures de tous les membres du Conseil.

Au cas de manque du 100% des signatures, le retrait en question est sujet d’une décision spécifique lors d’une réunion du Conseil.

 

Article 27

 

Les montants de retraits du compte capital en Euro et/ou en US$ sont versés sur demande des coordonnateurs dans un ou plusieurs comptes exécutifs

en FC du projet en question à gestion des coordonnateurs.

 

Article 28

 

Les retraits des comptes exécutifs supérieurs à FC 3.700.000, (soit +/- 5.000 dollars Américains) (soit Euro +/- 3.600) des comptes exécutifs demandent

la co-signature des coordonnateurs du plan et du président du Conseil. Les retraits supérieurs à  FC 12.765.000 (soit +/- 17.250 dollars Américains)

(soit Euro +/- 12.300) demandent une décision d’autorisation spécifique de la part du Conseil.

 

Article 29 :

 

Le bilan final de l’Association est soumis à l’approbation du Conseil avant une période de 30 jours de la fin des activités.

 

Article 30

 

Le bilan préventif du plan est soumis à l’approbation du Conseil entre les 30 jours de la date de formation de l’association.

 

CHAPITRE VI : DISPOSITIONS FINALES.

 

Article 31

 

Le bilan annuel préventif pour l’éventuelle deuxième année est soumis à l’approbation du Conseil avant 30 Octobre 2010 et de suite avant le 30 Octobre

de chaque année succéssive.

 

La première période de gestion de l’Association terminera le 31 décembre 2010.

 

Article 32

 

Les dispositions des présents statuts ne peuvent être modifiées qu’avec le vote en faveur de tous les membres du Conseil.

 

Article 33

 

En cas de dissolution de l’Association, l’utilisation des ressources sera décidée par le Conseil. En cas de dissolution du Conseil, par la  majorité des

membres signataires en réunion.

 

Article 34

 

Les présents statuts entrent en vigueur de la date d’enregistrement officiel de l’Association.

 

Article 35

 

Pour ce qui n’est pas expressément prévu dans ces statuts, sont applicables, les lois de la République Démocratique Congo.

 

Article 36

 

Pour tout litige concernant l’Association, le Tribunal compétent est le Tribunal de Grande Instance de Lubumbashi.

 

CHAPITRE VII: DISPOSITIONS TRANSITAIRES.

 

Article 37

 

Jusqu’au moment du paiement des contributions des bailleurs de fonds au compte capital de l’Association tous les frais subis de l’Association et

toutes les formalités légales relatives à l’Association sont à la charge des parties signataires sur base paritaire.

 

Article 38

 

Après le paiement des contributions des bailleurs de fonds au compte capital de l’Association tous les frais subis de l’Association et toutes les

formalités légales relatives à l’Association sont à la charge du Plan.

 

Fait à Lubumbashi, le 20 juillet 2009

 

LES SIGNATAIRES

 

1

ADRIKA

KILANGA MUNDA Thomas

2

APLFA

NAMANDI TSHINOSOLE Sarah

3

ASSESPO

MAYUKI TUMBA Godefroid

4

CDK

KALAMB MUTOMBU Aubert

5

GAAD

YUMA HERADI Aimé

6

PARDIC

KAHAMBWE TAMBWISHI Damien

7

TUSAIDIANE

BUHENDWA NYENYEZI Agnès

 

 


 

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«L’argent nest pas la clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 

“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)

Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th annual NGO Conference, United Nations, New York 7th September 2005.

 


 

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