Directeur
T.E.(Terry) Manning,
Schoener 50,
1771 ED Wieringerwerf
Pays Bas
Tél. 0031-227-604128
Website : http://www.flowman.nl
E-mail (nomàfindeligne)
@xs4all.nl : bakensverzet
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
Préparé par l´ ONG
Naabi-Aba, Makalondi, Niger
(B.P.10.651 Niamey)
Tél/fax.(227) 94955362 et (227) 96134089
E-mail: ong.naabiaba@yahoo.fr
pour accompagner le formulaire de demande de
subvention dont à ...............
Référence:
.................................................
En
collaboration avec M.Victor Onadja, .................
et T.E.Manning, Consultant ONG Stichting Bakens Verzet, PAYS-BAS
Cette œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une
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Édition 01: 16 Août, 2007
05.46 Les
structures pour l’éducation publique.
Le projet n'a pas pour but la
substitution de l'état Nigérien en ce qui concerne les structures scolastiques présentes
dans la région, sauf pour l'installation de systemes sanitaires la où
nécessaires, la fourniture en eau potable pour les enfants, et, éventuellement,
l'installation de systèmes d'éclairage là où on décide de faire commencer de
leçons le soir au bénéfice des adultes.
Le projet n’a pas pour but aucun
changement du curriculum scolaire Nigérien.
Le systeme scolastique dans la région est presque totalement à la
charge des parents des éleves. Les associations des parents essaient à la
mésure de leurs moyens des solutions idoines aux problemes auxquels les écoles
sont confrontées, qui sont nombreux et graves.
Il s'agit :
a) d'un manque d'infrastructure mobilière
b) d'une insuffisance mobilière
c) d'un manque de matériel didactique
d) d'une insuffisance de personnel enseignant
Le projet institue, néamoins, des institutions qui sont importantes à
l'amélioration du système scolastique de la zone du projet.
Il s'agit :
a) Des commissions réservoir
b) Des systèmes SEL-LETS à monnaie locale
c) Des usines pour la production d’articles en composites de gypse.
En principe, l'investissement en argent formel dans les structures
scolastiques ne permet pas son recyclage rapide qui est l'une des bases des
projets auto-finançants de développement. Dans la pratique, toutefois, beaucoup
des biens et services nécessaires au niveau local être payés dans la monnaie
locale SEL-LETS créée du projet. Ces biens et services peuvent comprendre :
a) Des services d’enseignants disponibles à travailler (à plein temp sou
à complément de leurs salaires étatiques) dans le cadre des systèmes SEL-LETS
pour un salaire exprimé (éventuellement partiellement) en crédits SEL-LETS
b) La construction de 100 écoles primaires environs utilisants des systèmes et
matériaux traditionaux, dans le cadre du système de monnaie locale.établi,
sujet toujours à la disponibilité d’enseignants. Une écoles est construite au
centre de chaque zone avec de 2 à 3 commissions réservoir. Sa gestion est sous
la supervision de la commission réservoir où elle se trouvera.
c) La construction de 46 écoles de deuxième niveau utilisants des
systèmes et matériaux traditionaux, dans le cadre du système de monnaie
locale.établi, sujet toujours à la disponibilité d’enseignants. Une écoles est construite
au centre de la zone de chaque commission forage. Sa gestion est sous la
supervision de la commission forage où elle se trouvera.
d) La construction d’une école professionnelle de troisième niveau à
Makalondi pour l’enseignement des métiers (traditionaux) sujet toujours à la
disponibilité d’enseignants. Sa gestion est sous la supervision de la direction
centrale du projet.
e) La construction d’une unité prefessionnelle à Makalondi, pour la
propadeuse pré-universitaire, sujet toujours à la disponibilité d’enseignants.
Sa gestion est sous la supervision de la direction centrale du projet.
f) Des éléments en composites de gypsee à utiliser pour les
constructions, y compris des structures portantes.
g) Des meubles scolastiques en composites de gypse pour les écoles.
h) La réproduction de matériel didactique à travers de systèmes TV à énergie
photovoltaïque et/ou à travers de services de rèproduction documentaire mis à
disposition de consultants locaux établis à travers le système de micro-crédits
dont au projet.
La construction des facilités mentionnées pourra commencer dès
l’établissement des structures sociales et financières prévues.
Les commissions réservoir pourront prendre, avec le permis des
autorités locales et celui des organes du Ministère de Éducation de Base et de
l’Alphabétisation, des initiatives concernant les écoles situées dans leur
territoire. La codification des membres des systèmes SEL-LETS prévu permettra
la possibilité d'identifier les parents des éleves de chacune des écoles. Les
populations décideront au cours de réunions convoquées par les commissions
réservoir, quels frais devront être distribués parmi toutes les familles et
quels frais (en monnaie locale SEL-LETS) devront être à la charge des seuls
parents des éleves.
05.46.1 ÉCOLES PRIMAIRES ET
LES STRUCTURES DU PROJET.
Les écoles primaries
devraient être situées auprès des maisons des élèves pour éviter que les élèves
doivent consacrer trop de temps pour les atteindre. Les écoles établies du
projet resteront petites, avec une classe pour chaque niveau. Le Niger connait (nombre) de classes à
l’école primaire. L’éducation de base commanece à (âge) pour la classe 1 et termine à (âge) à la classe (nombre).
Un objectif raisonnable de base pour le nombre d’élèves
dans chaque classe (sans y laisser ds marges pour l’inclusion d’enfants
handicappés) est 18.
Le nombre de classes
(nombre) multiplié de le numéro standard d’élèves par classe (18) donne (numéro) d’élèves moyennement par école.
Chaque commission reservoir
a moyennement (numéro) enfants âgés pour attendre une école primaire.
Le numéro de commissions
réservoir nécessaires à fournir une école primaire est donc (numéro).
05.46.2 LES ÉCOLES DE
DEUXIÈME NIVEAU ET LES STRUCTURES DU PROJET.
Une école de deuxième niveau
peut être en principe prévu pour chaque zone de commission forage. Avec 46
commissions forage dans la zone, prévoit-on donc 46 écoles de deuxième niveau
dans la zone du projet.
On ne prévoit aucune forme
de transport public spécifique pour les élèves du deuxième niveau. On attend
bien le développement d’un système de transport public general au cours
d’exécution du projet. On prévoit aussi la construction d’un réseau de sentiers
de communication améliorés pour piétons et bicycles sur tout le térritoire du
projet.
Les écoles de deuxième
niveau se trouvereront dans un radius de 2-3 kilomètres des maisons des élèves.
Le projet pourra decider
d’établir des groupes coopératifs d’achat et/ou fournir subisidies à l’achat de
bicyclettes pour permettre aux enfants d’arriver à leur école. La présence de
bicyclettes dans la zone du projet augmenterait la potentielle de mobilité
aussi d’autres members de la famille.
05.46.3 L’ÉDUCATION AVANCÉE.
Les enfants de la zone du
projet en possession de leurs certificates d’éducation de deuxième niveau on le
droit de poursuivre leurs études.
Les études tertiaires ne
seront pas, en général, disponibles au niveau du projet.
Les écoles techniques les
plus prôches à la zone du projet se trouvent à
(lieux) à une distance de (km).
L’université la plus prôche
se trouve à Niamey, à une distance de (km).
Les étudiants capables on le
droit, au cas de nécessité, au support de leur communauté d’origine. Le niveau
de tel support dépende des bourses et des services mis à leur disposition des
autorités nationales et régionales.
Les bourses et les services
à la disposition des étudiants de la zone du projet sont:
(description des bourses et des services)
La population de la zone du
projet ont tous un intérêt direct à ce que ses jeunes étudiants puissant se
qualifier dans leurs spécialités choisies pour puis aller exercer leurs
professions dans la zone du projet meme. À ce but, le projet pourra établir les
bourses d’études soit en monnaie formelle soit en monnaie locale.
Les bourses en monnaie
formelle sont payées du Fonds Coopératif d’Éducation. Les communautés peuvent
contribuer à ce Fonds au niveau de commission forage, et éventuellement au
niveau central du projet. Les members du
Fonds feront une petite contribution mensuelle au Fonds Coopératif Éducation
(bourses). Le Fonds fournira des subsidies aux commissions forage à favoriser
les études avancées. Les commissions forage décideront comment effectuer la
distributions des fonds disponibles entre les étudiants et leurs familles.
05.46.4 ÉCOLE MÉTIERS.
On prévoit l´institution à
Makalondi au niveau du projet d´un collège technique pour les métiers.
On espère que le collège
puisse être établi entièrement dans le cadre du système de monnaie locale. Les
enseignants devront par principe venir de la zone du projet. Ils seront payées
dans la cadre du système de monnaie locale. On attend que l´école soi
construite dans le cadre du système de monnaie locale.
Les étudiants et leurs
familles payeront une petite contribution en monnaie formelle dans le Fonds
Coopératif d´Éducation (métiers) pour
couvrire les dépenses en monnaie formelle des matériaux et équipements qui ne
peuvent pas être produits localement.
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05.47 La création des structures pour la santé..
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05.45 Les structures d’élimination des risques de la
fumée dans les ménages.
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Programme principal du projet Makalondi.
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