Directeur
T.E.(Terry) Manning,
Schoener 50,
1771 ED Wieringerwerf
Pays Bas
Tél. 0031-227-604128
Website : http://www.flowman.nl/
E-mail (nomàfindeligne)
@xs4all.nl : bakensverzet
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
Devise du projet :
“Faisons-le bien”
Préparé par l´ ONG
Naabi-Aba, Makalondi, Niger
(B.P.10.651 Niamey)
Tél/fax.(227) 94955362 et (227) 96134089
E-mail: ong.naabiaba@yahoo.fr
pour accompagner le formulaire de demande de
subvention dont à ...............
Référence:
.................................................
En collaboration avec M.Victor
Onadja, .................
et T.E.Manning, Consultant ONG Stichting Bakens Verzet, PAYS-BAS
Cette œuvre a
été mise à la disposition du public général aux termes d’une licence
Creative Commons Attribution-Noncommercial-Share Alike 3.0
Licence.
Édition 01: 10 Août, 2007
Chapitre 05: L’ordre d’exécution
des activités du projet.
05.10 Les structures sociales.
05.13 Les commissions réservoir. Les structures à
la base du projet.
LES COMMISSIONS RÉSERVOIR
– LES STRUCTURES DE BASE.
LES COMMISSIONS FORAGE
Le développement des groupements sociaux humains sur les derniers 11.000
ans est à la base du choix des niveaux
administratifs utilisés pour ce projet. Il y a 11.000 ans environ, des
groupes nomadiques de plusieurs dizaines de chasseurs-récolteurs (souvent
appellés “familles enlargies” ou “clans”) commencèrent la production d’aliments
et la formation de groupements villageois. (Diamond J., Guns, germs, and
steel, Vintage, London, 98). Diamond
se réfère aux groupements villageois comme “tribus” composés de plusieurs
familles enlargies avec une limitation supérieure de quelques centaines de membres où tout le
monde se connait soit de nom soit des relations personelles” (Ibid. p.271). Le
Prof. Robin Dunbar de l’Université de Liverpool suggère que les dimensions du
cervau humain est en rapport aux usances sociales développées au fin de créer des liens étroits entre de
petits groupes de 150+ membres. (Grooming, gossip, and the evolution of
language, Faber and Faber, London, 1996).
Même aujourdhui, beaucoup de villages ruraux, en particulier ceux de
l’Afrique, ont souvent une population de quelques centaines de personnes. Les
villages plus grands, avec quelques milliers d’habitants, sont souvent faits
d’un conglomérat de hameaux chacun avec
quelques centaines de personnes. Voir la liste des villages servis de ce
projet.
Le niveau adminsitratif de base du projet s’appelle la commission réservoir.
On peut aussi s’y référir comme commission de développement local. Les
commissions reservoir représentent, d’habitude, entre les 200 et les 350
personnes, soit 40-50 familles, servies par un reservoir local de distribution
de l’eau potable. Ceci corrésponde aux “tribus” de Diamond, avec quelques
centaines d’habitants (op.cit.). La plupart des membres des commissions
réservoir est femme. On établi pour commencer un Club Hygiène sur le
territoire de la commission reservoir
pour donner aux femmes la possibilité de s’organiser et de participer
activement aux procédures de l’élection de repésentants et de l’administration.
Les habitants servis de chaque commission reservoir décident combien de membres
ils veulent élir. Les commissions auront d’habitude entre les trios et les sept
membres.
Les commissions réservoir ont de nombreuses tâches importantes. Elles
forment le moyeu des structures du projet. Un rôle actif des femmes à ce niveau
sert à addresser les problèmes relatifs à la participation des femmes au
développement. Les commissions réservoir choisissent un représentant à la
commission forage de leur zone. La
plupart des membres des commission forages seront en toute probabilité femme.
Les commission forages forment le niveau intermediaire d’administration du
projet. Les commissions forage, choisissent à leur fois une commission centrale
du projet qui est responsable de
l’élection et contrôle du comitè central de gestion du projet. La commission
centrale devrait avoir une participation majoritaire de femmes. Cela veut dire
que la participation directe des femmes à toutes les phases de rédaction,
exécution, et administration du projet est assurée à tous les niveaux du
projet.
Toutes les activités des
commissions réservoir seront mises en exécution des habitants eux-mêmes. Les
détails des structures seront élaborés pendant l’atelier Moraisien à tenir pendant l’une des premières phases
d’exécution du projet.
Le suivant donne une
indication des résultats qu’on pense d’atteindre au cours de l’atelier de
formation des commissions réservoir, qui forment la structure administrative de
base prévue du projet.
Les tâches comprennent, à titre
d’exemple:
- L’analyse de la situation locale (200-350
personnes – 40-50 familles) .
- La définition des problèmes et priorités locaux.
- La liaison avec le Club de Santé déjà opérant sur le territoire de
responsibilité de la commission reservoir.
- La liaison avec les structures du système de
monnaie locale SEL - LETS encore à constituer à distance de quelques mois.
- L’organisation des réunions mensuelles
et périodiques des habitants du territoire de la commission.
- L’identification des meilleurs projets pour les financements en Micro-crédit
pour le développement local.
- L’établissement de l’ordre de priorité pour la qualification aux
Micro-crédits.
- La décision relative aux priorités pour le placement du forages et de l’aire
de lavage, avec des contributions actives des groupes de femmes. –
- Le décision relative au placement des reservoir
et des routes que les tuyaux de refoulement devront suivre.
- La décision relative au placement et
installation des unités d’assainissement.
- Les
decisions relatives aux dimensions des marmites à utiliser avec les
foyers pour la cuisine.
- La liaison avec le système de récolte des ordures organiques et non.et avec
les structures de recyclage.
- La liaison avec le réseau de récolte et de
recyclage des urines et des eaux usées.
- L’organsiation des activités que les habitants
locaux puissent réaliser dans le cadre du système monétaire locale établi.
- Le monitorage systématique du progress fait du
projet, avec l’administration du projet, et avec les autres commissions et
structures.
- L’organisation de l’entretien journalier des
reservoirs et de leurs alentours; les règles de service.
- L’administration de litiges locaux relatifs au
projet.
- La récolte des contributions mensuelles des habitants dans le fonds
cooperative de développement.
- La nomination des participants et rerésentants
aux différents ateliers de capacitation Moraisiens.
- Les mésures en support des familles ayant des
difficultés à faire leurs contributions aux fonds cooperative de développement
local.
Pour informations sur la
réalisation des Commissions Réservoir, voir section 06.23 La réalisation des
structures sociales.
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Programme principal du projet Makalondi.
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