Directeur
T.E.(Terry) Manning,
Schoener 50,
1771 ED Wieringerwerf
Pays Bas
Tél. 0031-227-604128
Website : http://www.flowman.nl/
E-mail (nomàfindeligne)
@xs4all.nl : bakensverzet
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
Devise du projet :
“Faisons-le bien”
Préparé par l´ ONG
Naabi-Aba, Makalondi, Niger
(B.P.10.651 Niamey)
Tél/fax.(227) 94955362 et (227) 96134089
E-mail: ong.naabiaba@yahoo.fr
pour accompagner le formulaire de demande de
subvention dont à ...............
Référence:
.................................................
En collaboration avec M.Victor
Onadja, .................
et T.E.Manning, Consultant ONG Stichting Bakens Verzet, PAYS-BAS
Cette œuvre
a été mise à la disposition du public général aux termes d’une licence
Creative Commons Attribution-Noncommercial-Share Alike 3.0
Licence.
Édition 01: 07 Août, 2007
Chapitre 05: L’ordre d’exécution
des activités dur projet.
05.04 Le résumé à quatre pages du projet.
Brève description de l’action proposée.
Le
projet innovateur de développement intégré durable “Vivons Makalondi” est ici
présenté sous la composante
(description
du fonds ou de l’initiative pour le financement du projet)
Le
projet se réfère à une partie du canton de Torodi de
2.1 Besoins et contraintes.
Cette
proposition se réfère aux décisions prises en rapport au Millennium Development
Goals (MDGs) adoptés en 2000 au but de réduire entre 2015 du 50% la proportion
de la population mondiale sans accès durable à de l’eau potable saine, et à
celles prises en 2002 à Johannesburg, pendant
Le
Niger est reconnu comme l’un des pays les plus pauvres au monde. Le taux
d’accès des populations à de l’eau potable et aux services d’assainissement y est
extrêmement bas en particulier en milieu rural au Niger, soit moins de 10% pour
l’eau potable, et moins de 2% pour l’assainissement.
(Corriger
là où nécessaire
Le Plan
National d’Accès à l’Eau Potable de
2.2
Populations pauvres et vulnérables.
La
proposition se base sur l’amélioration de la qualité de vie de tous les
habitants dans la zone du projet sans exception et en particulier de celle des
femmes, des enfants, et des plus pauvres. Les habitants eux-mêmes, et en
particulier les femmes, se mobilisent en se créant des milliers d’emplois
(quatre mille environ) durables. Ils mettent en place une gamme complète de
structures sociales, financières, productives et de service locales. Le projet
ne se limite pas donc à l’alimentation en eau et à l’assainissement. Il couvre
en plus, à titre d´exemple, des structures d’éducation à l’hygiène et de
gestion autonome des services de recyclage des déchets organiques et non au
niveau locale, des systèmes de monnaies locales, des systèmes de micro-crédits
sans intérêts pour l’augmentation de la productivité, des structures pour la
production locale de la plupart des biens nécessaires aux structures de base,
des systèmes d’éclairage pour les études, la production locale des fourneaux à
cuisine à rendement élevé pour l’élimination de la fumée à l’intérieur et
autour des habitations et des mini-briquettes combustibles pour les faire
fonctionner, des systèmes de récolte d’eau pluviale, la constructon d’écoles,
de centres pour infermières, de points de distribution de produits
pharmacéutiques, des services ambulances à bicyclette, des structures pour le
stocakge des denrées alimentaires, et des moulins pour la préparation des
aliments. Les structures d’alimentation en eau constituent toutefois le volet à
contenu d’investissement formel en Euro le plus élevé à cause des éléments qui
ne peuvent pas être fabriqués localement.
2.3.
Rapport aux objectifs et aux principes directeurs énoncés dans l’appel.
La
proposition réponde de façon particulièrement innovatrice aux principes
directeurs énoncés dans (nommer l’Appel de Propositions). Elle prévoit le
développement de nombreuses infrastructures sociales, financières, productives
et de service physiques et durables permanentes qui deviennent propriété des
habitants locaux, à la gestion desquelles les femmes jouent un rôle
déterminant. Les habitants participent à la conceptualisation, à la mise en
œuvre et au contrôle du projet. Ils organisent, administrent et maintiennent
aux propres frais de façon durable toutes les structures mises en place. La
contribution mensuelle faite par chaque famille dans le Fonds Coopératif de
Développement Local à couverture de la fourniture des tous les services de base
est à la portée des familles les plus pauvres à travers un système de sécurité
(garantie) financière à trois niveaux qui fait parti intégré des structures
créées. Les systèmes durables d’éducation à l’hygiène, d’alimentation en eau
potable, d’assainissement «éco-sanitaires» au niveau des ménages, de recyclage
des ordures organiques et non, et d’élimination de la fumée à l’intérieur des
maisons contribuent à l’amélioration des conditions de santé en particulier des
femmes et des enfants. L’élimination de l’utilisation du bois pour la cuisine
porte à une forte réduction des émissions de CO2 et à la protection durable des
forêts y comprise la forêt de Fayra qui se trouve dans la zone du projet. Le
projet établit une économie locale complète qui est volontaire, coopérative,
sans intérêts, sans inflation et entièrement gérée par la communauté elle-même.
2.4
Valeur ajoutée et effets multiplicateurs.
L’action
proposée est intégrée d’une manière tout à fait innovatrice. Elle représente
une nouveauté mondiale. Pour Euro 100 environ par habitant compte-on dans la
pratique d’éliminer la pauvreté dans la zone du projet sur une période de 4-5
ans, fournir une gamme entière de structures de base nécessaires à une bonne
qualité de vie; créer de façon durable plusieurs milliers d’emplois (4000
environ) individuels et coopératifs; établir un système de monnaie locale
permettant l’échange sans limite des biens et services produits localement;
mettre à disposition des familles des micro-crédits sans intérêts pour un
montant total moyennement de Euro 2.600 par famille sur chaque période de 10
ans, pour l’augmentation de leur productivité. Succès de ce premier projet
devrait porter à l’adoption des concepts pour une stratégie de politique de
développement au niveau national, et à des actions pilotes aussi dans d’autres
pays.
3.1 Activités proposées appropriées, pratiques et
cohérentes.
Le
projet met en place dans toute la zone du projet, et pour tous les habitants,
un environnement économique coopératif sans intérêts, sans inflation, et sans
but de lucre dans le cadre duquel les initiatives particulières et la
compétition économique puissent fleurir. Il donne emploi direct à 10% environs
de la population adulte et influence de façon puissante le développement économique
du restant 90% de la population. Toutes les structures sociales et économiques
et les services mis en place sont créées, gérées et maintenues par les
populations, qui en sont en même temps les propriétaires, de façon durable et
sans qu’il y ait besoin d’aucune subvention publique suite à leur formation.
Ces structures locales économiques et de gestion autogérées sont mises en place
au cours d’une série de “capacitation workshops” suivant la méthodologie du
sociologue Brésilien Clodomir Santos de Morais. La séquence de réalisation de
ces workshops est critique.
Les
principes nouveaux de développement intégré et durable appliqués ici pour la
première fois prévoient une séquence prédéterminée d’activités qui offre une
garantie optimale aux bailleurs de fonds pour ce qui concerne l’utilisation de
leurs fonds. On commence avec la formation des structures sociales, soient des
clubs d’hygiène (plate-forme pour la participation des femmes), des commissions
réservoir ou de développement local, des commissions forage (structure au
niveau intermédiaire), et une structure de direction autogérée au niveau du
projet. On poursuit avec la formation des structures financières, soient le
système de monnaie locale SEL-LETS, soit la structure pour les micro-crédits autofinancés
sans intérêts. Enfin organise-t-on la formation des structures productives pour
la fabrication, dans le cadre des structures financières créées, de beaucoup
des produits dont on a besoin pour les services de base comme celui de
l’alimentation en eau potable et celui de l’assainissement. À ce point ont est
prêt à mettre en place les strcutures de service prévues.
3.2
Participation partenaires et groupes cibles.
On
établit d’abord 220 Clubs de Santé basés sur des groupes de 40 familles
(200-300 personnes). Ils constituent une plate-forme qui permet aux femmes de
s’organiser et de participer en bloc aux réunions pour le développement local
et de participer de plein droit aux structures mises en place.
Une
fois que les clubs de Santé sont en opération, établit-on 220 commissions
réservoir autrement nommées commissions locales de développement. Elles sont
basées sur les mêmes groupes de 40 familles (200-300 personnes). Les
commissions réservoir comptent de 3 à 5 personnes, dont toutes ,ou bien la plupart,
sont femmes. Elles constituent le cœur du projet. Les commissions réservoir
nomment à leur tour 46 commissions forage. Les commissions forage nomment une
commission centrale à 46 membres, qui nomme et contrôle leds activités d’une
direction de projet qui a 5-9 membres y compris les membres du secrétariat.
Etablies
les commissions des réservoirs et des forages, peut-on procéder à la formation
des systèmes monétaires locaux qui donnent aux populations les moyens pour
effectuer le transfert de tous les biens et les services produits et consumés à
l’intérieur de la zone du projet. À ce point, l’art devient d’identifier et
d’utiliser des technologies qui permettent la production dans la zone du projet
de la plupart des biens et des services nécessaires au développement local avec
100% de valeur ajoutée locale. Tels biens et services peuvent être produits,
installés, entretenus, et payés dans le cadre des systèmes monétaires locaux
mis en place, sans avoir besoin de monnaie formelle. Un exemple dont au projet
“Vivons Makalondi” est la possibilité de la production, l’installation, la
gestion, et l’entretien du système complet d’assainissement à compostage à sec
(éco-sanitaire) prévu sans avoir besoin d’un centime de monnaie formelle. Les
frais de gestion des systèmes monétaires locaux sont couverts dans le cadre des
systèmes mêmes.
Une
fois que les systèmes monétaires locaux sont en place, peut-on faire une
distinction entre ce que peut être réalisé dans le cadre des systèmes
monétaires locaux et ce qu’on doit “importer” dans la zone du projet. Pour ce
qui concerne les services urgents de base tels l’alimentation en eau potable,
fait-on recours au capital des bailleurs de fonds pour le financement des biens
et services qui doivent être «importés » et payés en monnaie formelle (Euro).
Pour les autres initiatives on établit des structures de micro-crédit sans
intérêts. Ces structures recyclent sans intérêts les contributions mensuelles
(montant à Euro 0.60 par personne pendant les premiers 4 ans, de suite à Euro 0,75
par personne) versées des habitants dans leur propre Fonds Coopératif de
Développement Local. On génère des crédits sans intérêts nécessaires à l’achat
des biens destinés à l’augmentation de la productivité locale et qui ne peuvent
pas être produits localement. Les frais de gestion des structures de
micro-crédit sont couverts dans le cadre du système monétaire local. Le Fonds
Coopératif de Développement Local fonctionnera utilisant des fonds fournis par
les populations. Le Fonds est le leur. Elles en sont les propriétaires. Elles
seront responsables de sa gestion, avec le support professionnel du
Coordonnateur du Projet et de son consultant au début du projet.
Une
fois en place les systèmes de micro-crédit et des monnaies locales, peut-on
procéder à la formation des unités de production, et notamment des usines pour
la production d’articles à base de composites d’anhydrite, par exemple des
produits nécessaires aux structures d’alimentation en eau potable tels les
réservoirs, l’aménagement des forages, des récipients. Dès que leur capacité de
production ne leur permettra, commenceront-elles la fabrication des systèmes
sanitaires et d’autres articles parmi lesquels des foyers à cuisine à rendement
élevé, des dalles pour les pavé des pistes à piétons et bicyclettes, des
éléments de construction etc. Supposant que des dépôts d’anhydrite se trouvent
dans la zone du projet, la production de tels articles aurait lieu sans qu’on
ait besoin de monnaie formelle.
3.3
Impact durable.
Le
projet ne s’occupe pas de toutes les initiatives qui pourront avoir lieu dans
le cadre des structures créées dans la zone du projet, car elles sont aussi
variées que les désirs et l’imagination des habitants. Tout service retenu par
les habitants d’importance primaire peut être en principe encadré dans le
projet. Au cas du projet Vivons Makalondi prévoit-on par exemple
l’établissement d’une petite station radio locale. D’autres initiatives
typiques comprennent la mise en place de points de pasteurisation et vente du
lait, la création de facilités de stockage pour les aliments destinés à la
consommation locale, la création d’une banque de semences, le drainage et la
formation des places de marché. Pour quelques’une des ces initiatives a-t-on
prévu une voix à part au bilan ; les autres auront lieu dans le cadre des
structures mises en place du projet.
Les
contributions faites par les habitants dans le Fonds Coopératif de
Développement Local permettent la création progressive d’un fonds en compte
capital important (Euro 3.750.000 environ sur 10 ans) à couverture des
extensions des services et du renouvellement à long terme des structures en
compte capital. Jusqu’au moment où l’on n’en ait besoin, ces fonds sont
recyclés sans intérêts pour le financement des micro-crédits. Au moment
d’utilisation de tout ou d’une partie du capital du fonds, le montant y
disponible pour les micro-crédits se réduit provisoirement. Puisque les
familles continuent à payer leurs contributions mensuelles, le fonds se
constitue de nouveau, le montant disponible pour les micro-crédits s’augmente
de nouveau, jusqu’à ce que on n’ait besoin de faire de nouveau des
investissements en compte capital et de commencer un cycle nouveau.
La
vision d’intégration globale sur laquelle ce projet se base permet aux
habitants de recouvrir toutes, ou au moins une partie de leur contributions
mensuelles à travers des épargnes réalisées comme conséquence des résultats
directs du projet. À titre indicatif, les populations ne doivent plus par
exemple payer en monnaie formelle séparément de l’eau potable, ni acheter du
bois pour la cuisine, ni payer des frais pour le recyclage des ordures. Il se
peut même que le projet se qualifie pour des certificats CER de réduction
d’émission de CO2 sous le traité de Kyoto.
4.1. L’expérience du demandeur.
(liste des
organisations desquelles Naabi Aba est membre)
- CARITAS-NIGER
-
ASSOCIATION « SOUTIEN POUR LE NIGER » France
-
AMBASSADE DE France AU NIGER
-
AMBASSADE D’Allemagne AU NIGER
-
BANQUE MONDIALE NIGER
-
DED-NIGER
- FORUM DE MAKALONDI ,c'est comitè
d'association de lutte contre la coupe abusive du bois.
- IRCOD
-
PMR/RFA
- RAIL:reseau des acteurs intervenant dans
la lutte contre le sida et les infections sexuellement transmissibles
- RENAJS:reseau national des associations
de jeune de lutte contre le sida au NIGER
- STICHTING BAKENS
VERZET ,PAYS BAS
Cette crédibilité a
permis à l’ONG de réaliser certains projets et activités. Ainsi en 1997 , création d’une banque cerèaliere à makalondi
avec l’aide de CARITAS NIGER.
De la mise en disposition
d’un véhicule destiné aux évacuations sanitaires à Makalondi, financé par la l’association SOUTIENT POUR LE NIGER
France.
1998 , une
collaboration avec le PMR/RFA,a permis la création d’une mutuelle d’épargne et
de crédits, la création de 2 banques céréalières dans les villages de Koulbou
et de Mossi Paga par financement propre.
1999, l’ONG a permis la
création d’une banque céréalière à Guesse Doundou II par financement propre.
-Construction de 7 puits
maraîchers bétonnés au profil de la coopérative des jardiniers de Makalondi,
financé par la mission de coopération et
d’action culturelles (ambassade de
France).
-Construction de 7 puits
publics bétonnés destinès aux besoin des populations des villages : Pentchangou,
Boandjola(Boulwaga), Boumbounga(Bi-tchaboambodeni), Bonossiegou, Doboanti II,
et Nadjagou, financé par l’ambassade de d’Allemagne et l’IRCOD.
-Formation en gestion au
profit des membres des comités de gestion de trois (3) banques céréalières des
villages Gougoubé, Kouebou et
Guessedougou II, finance par le DED-NIGER
2000 :Aménangement local (siège de l’ONG), achat
de moto , contribution au fonctionnement , financé par le DED- NIGER
-Mission de structuration des comités de
développement villageoises, financé par le DED-NIGER
-Mission de sensibilisation et d’identification
des besoins des populations dans la zone d’intervention de l’ONG par propre
financement
-Construction de puits publics dans 8 villages.
-Création de banques céréalières dans quatre villages
-Renforcement de la sécurité alimentaire et de
lutte contre la pauvreté dans la zone du Gourma Nigérien
-Aider les organisations paysannes à concevoir et
à exécuter des projets générateurs de
revenus.
-Promouvoir à la sécurité alimentaire, de l’élevage, de l’artisanat ,de
la transformation ,conservation des produits agro-pastoraux.
-Susciter l’épargne aux niveaux des groupements
afin de permettre l’accès au crédit interne et externe pour le développement de
leurs activités.
-Lutter pour la protection et l sauvegarde de
l’environnement (désertification,faune …)
-Sauvegarde
de la forêt classé de Fayra.
-Aider à la promotion des annonces féminines.
Les
nouveaux concepts lancés dans le cadre du projet Nouveaux Horizons pour
Makalondi permettent à
4.2.Expertise
technique suffisante pour mettre en œuvre l’action.
Les
responsables des structures sociales, financières, productives et de service
mises en place deviennent elles-mêmes responsables de façon autonome de la
plupart des activités et des travaux pour le projet. Un seul coordonnateur
exécutif avec le support d’un consultant, et l’assistance sur quelques mois de
trois spécialistes suffit pour l’exécution formelle du projet. Vue la
profondeur à laquelle l’eau se trouve dans la zone du projet, a-t-on au cas du
projet Makalondi besoin aussi de quelques services d’une société de forages. Le
coordonnateur et ses assistants sont “le gouvernement”, l’exécuteur du
projet. Ils sont indépendents de
Pour
les garanties financières nécessaires a-t-elle le support de (nom de Banque)
Pour advis peut-il cas échéant
obtenir les services des associés nommés au point 4.1 ci-dessus. Elle possède
des propres moyens de transport toutes-saisons pour effectuer des contrôles
systématiques sur site, au cas où il préfère ne pas se servir des structures du
projet.
Le coordonnateur nommé à
l’endroit pour l’exécution du projet pilote Vivons Makalondi est M. ONADJA Victor, né en 1976 à Garango
(Burkina-Faso) prépare un DESS en marketing et commerce international au
graduate school of management
(ESG ) à Niamey, a obtenu son
diplôme universitaire en marketing et management à l’école supérieur de
commerce et d’informatique à Ouagadougou (Burkina-Faso) ,a occupé
plusieurs fonctions de responsabilités dans des sociétés, a travaillé pour donner à l’ONG sa confiance actuelle. Le
Président de
Le consultant nommé Terrence Edward MANNING est directeur de l’ONG
Hollandaise Bakens Verzet. Il est l’auteur du Modèle innovateur de
développement intégré sur la base duquel ce projet a été rédigé.
Retour:
Programme principal du projet Makalondi.
Retour:
Liste de projets rédiges aux termes du Modèle.