Homepage

Le Modèle

Propositions projets

Articles publiés

Technologies

Informations annexées

Downloads

Informations Bakens Verzet

STICHTING BAKENS VERZET

1018 AM AMSTERDAM, PAYS BAS

Directeur

T.E.(Terry) Manning,

Schoener 50,

1771 ED Wieringerwerf

Pays Bas

 

Tél. 0031-227-604128

Website : http://www.flowman.nl

E-mail (nomàfindeligne) @xs4all.nl : bakensverzet


«L’argent n’est pas la clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »

 

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 


 

VIVONS MAKALONDI

PROJET INTÉGRÉ D’AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE VIE POUR TOUS

 

VILLAGE DE MAKALONDI ET ALENTOURS

COMMUNE RURALE DE TORODI, DÉPARTEMENT DE SAY, RÉGION DE TILLABERY

RÉPUBLIQUE DU NIGER

 

Incorporant l´ éducation à l´hygiène, la fourniture en eau potable, l´assainissement et la protection de l’environnement à travers la formation de structures sociales, financières et productives locales autogérées.

 


                   Devise du projet : “Faisons-le bien” 


 

Préparé par l´ ONG Naabi-Aba, Makalondi, Niger
(B.P.10.651 Niamey)

Tél/fax.(227) 94955362 et (227) 96134089
E-mail: ong.naabiaba@yahoo.fr

 

pour accompagner le formulaire de demande de subvention dont à  ...............

 Référence: .................................................

 

En collaboration avec M.Victor Onadja, .................

et  T.E.Manning, Consultant  ONG Stichting Bakens Verzet,  PAYS-BAS

 

 


 

Creative Commons License


Cette œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une licence

Creative Commons Attribution-Noncommercial-Share Alike 3.0 Licence.

 


Édition 03: 04 Avril, 2009


02.01 Données générales sur le Niger

 

VOIR 01.04 CARTES GÉOGRAPHIQUES

 

Le Niger a gagné l’indépendance de la France en 1960. Il est l’úne des pays les plus pauvres au monde.

 

total: 1.267 million sq km
terre: 1,266,700 sq km
eau: 300 sq km

 

Langue officielle : Français
Capitale : Niamey
Superficie : 1 267 000 km²
Monnaie : Franc CFA (XOF)

Pays sans contact avec la mer. L’un des pays les plus chauds au monde, dont 80% (la partie nord) est désert, et 20% (la partie sud) est savane.

 

Groupes éthniques : Haoussa 55.4%, Djerma Sonrai 21%, Touareg 9.3%, Peuhl 8.5%, Kanouri Manga 4.7%, other 1.2% (2001 census)

Réligions: Muslim 80%, autres (croyances indigènes, chrétiens) 20%

 

Pays divisé en 7 régions +  District Niamey : Agadez, Diffa, Dosso, Maradi, Niamey*, Tahoua, Tillaberi, Zinder

 

 

Produit national lourd (parité puissance d’achat) US$ 12.360.000.000 (estimée 2006)

Produit national lourd (taux d’échange officiel) US$ 3.638.000.000 (estimée 2006)

Produit national lourd par personne (parité puissance d’achat) US$ 1.000 (estimée 2006)

 

PNL par secteur (2001) Agriculture 39%; industries 17%; services 44%

Occupations par secteur : Agriculture 90%; industries 6%; services 4%

 

Taux alfabétisme : (2005, estimée) 28,7% de la population agée 15 et dessus: hommes 42,9%; femmes 15,1%.

 

 

 

DOMAINES

INDICATEURS

VALEURS

ÉCONOMIE

P.N.B /habitant (2005) (Corrigé de la parité de pouvoir d’achat) – (PNUD 2005)

US$ 781

 

P.N.B. /habitants (Atlas 2002) (Non corrigé de la parité de pouvoir d’achat)

US$ 180

 

Croissance P.I.B. (2001)

7,8%

 

Incidence de Développement Humain (UNDP 2005)

0.374 (174 ème sur 177 pays classés en 2007-2008)

 

Taux alphabetisation 1995-2005 (UNDP 2007-2008)

Âgés 15 et dessus

28,7%

 

Population pauvre (vivant < 1 US$ par jour)

61,04%

POPULATION

Nombre d'habitants

12 894 000 (estimée) :

Dernier recensement national (2001) 10.090.000

 

Population urbaine (d’àprès définition en vigueur au Niger)

18%

 

Population rurale (d’àprès définition en vigueur au Niger)

82%

 

Population de 0 à 14 ans

46.9% (male 3,083,871/female 2,969,201)

 

Population 15 à-64 ans

15-64 years: 50.6% (male 3,354,783/female 3,174,039)

 

Population de plus de 65 ans

2.4% (male 155,430/female 157,541) (2007 est.)

 

Densité au km2

10,65 habitants par km2

 

Taux de croissance annuelle de la population

3,10% (milieu rural 2,95%; milieu urbain 3,66%)

 

Répartition hommes/femmes

1.047 homme(s)/femmes (2007 est.)

 

Espérance de vie HommesFemmes à la naissance  (PNUD pour 2005)

55.8

 

Médiane des âges

total: 16.5 years

 

Taux brut de natalité

44,6%

 

Taux de fertilité

7,37 enfants par femme (2007 – estimée)

INDICATEURS DE SANTE

Taux de mortalité

12,3 %o

 

Taux de mortalité infantile

116.83%o

 

Taux de mortalité des moins de 5 ans

137%o

 

Taux de mortalité maternelle

450 pour 100 000

 

Nombre de Médecins par habitants

 

 

Nombre d'Infirmiers par habitants

 

SIDA

Nombre de séropositifs

70 000 (2003)

 

Séroprévalence chez la population en générale

1,2% (2003)

MALADIES

Diarrhée bactériale et protozale

 

 

Hépatite A

 

 

Fièvre typhoïde

 

 

Malaria

 

 

Méningite méningococcale

 

EAU ET ASSAINISSEMENT

Population ayant accès à l'eau potable

 

 

Population ayant accès à l'assainissement

 

 

 

http://www.franceevasion.com/toutsavoir/pays-niger.htm

 

Géographie :


La situation géographique du Niger fait de lui un carrefour d'échanges entre l'Afrique du Nord et l'Afrique au Sud du Sahara. Situé en Afrique Occidentale entre les parallèles 11°37 et 23°33 de latitude nord dune part, et les méridiens 16° de longitude est et 0°10 de longitude ouest d'autre part, le Niger s'étend sur 1 267 000 km². Il est le plus vaste des pays de l'Afrique Occidentale et se classe 6è à l'échelle continentale (après le Soudan, l'Algérie, le Congo, la Libye et le Tchad).

Limité par le Burkina Faso et le Mali à l'ouest, l'Algérie et la Libye au nord, le Tchad à l'est, le Nigéria et le Bénin au sud, le Niger est une vaste pénéplaine, dont le faible relief est interrompu seulement par le massif de l'Aïr (80.000km²) et les hauts plateaux du Djado au nord-est.

Géologie :
Deux bassins sédimentaires d’âge primaire et quaternaire couvrent la majeure partie du Niger, le bassin occidental des Iulimeden et celui du Niger oriental. Les formations de socle antécambrien recoupées par des roches éruptives plus récentes n’affleurent que dans le Liptako (Ouest du Fleuve Niger), le massif de l’Aïr, le Damagaram-Mounio (région de Zinder et de Gouré) et le Sud Maradi.
- le bassin des Iullimeden, dont l’histoire géologique est marquée par des périodes de transgression marine et des épisodes continentaux, contient:
- les formations du primaire dont la sédimentation est essentiellement composée de grès et d’argiles montrant des faciès marins, fluviatiles et deltaïques ;
- les formations du Continental Intercalaire datées des derniers dépôts du primaire à la première transgression marine du Crétacé, constituées de grès et grès argileux fluviatiles et lacustres du Permien, de grès du Trias-Jurassique et d’argiles et grès du Crétacé inférieur ;
- les formations du Crétacé Supérieur-
Éocène dont les sédiments sont les argiles, des marnes et des calcaires argileux fossilifères ;
- les formations du Continental Terminal datées du Pliocène, formées de grès fins à grossiers argileux et de niveaux oolithiques ferrugineux interstratifiés ;
- les formations du Quaternaire représentées par des alluvions dans les vallées fossiles.
- le bassin du Niger oriental regroupe plusieurs bassins secondaires (Termit, Tchad, Bilma, Djado-Mangéni) constitués de grès et de sables fins à grossiers datés du primaire au quaternaire. Les formations du socle du Liptako sont essentiellement constituées de séries volcano-sédimentaire plissées ; métamorphisées, recoupées par des granites et des dépôts molassiques appartenant au Birrimien. Les formations du socle du massif de l’Aïr, du Damagaram-Mounio, du Sud Maradi, métamorphiques, sont recoupées par des granites attribuées au Suggarien.

 

Relief :
Le Niger se présente comme une vaste pénéplaine ancienne, dont l'altitude moyenne est de 350 m. Trois grandes zones le partagent.

le Niger méridional :
C'est une bande de 1300 km de long qui suit la frontière du Nigeria jusqu'au Mali. Sa largeur ne dépasse pas 200 km (N'Guigmi, Tanout, Tahoua, Mali). C'est la partie la moins aride du territoire national et elle constitue de ce fait le "Niger utile". A l'est, les reliefs du Damagaram répartissent les eaux de drainage entre le bassin versant du lac Tchad et celui de l'Atlantique. Les cuvettes argileuses peuvent conserver un caractère lacustre. Cette région comprend principalement des plateaux gréseux avec placages de sable, des dépressions et des vallées fossiles (dallols) réactivées à la saison des pluies. Vers l'ouest, le plateau est coupé par la vallée du fleuve Niger, les vallées anciennes des dallols Bosso et Maouri.

l'Aïr :
C'est un massif montagneux situé au nord-ouest du pays, étendu sur 300 km du nord au sud et 200 km d'est en ouest. Il présente un ensemble de hauts massifs cristallins et volcaniques émergeant d'un socle ancien. Les altitudes dépassent souvent 1000 m: le point culminant de l'Aïr sont les monts Bagzane (2022 m). Le versant méridional s'enfonce dans une dépression dominée par la falaise de Tiguidit. Le versant oriental est en contact avec la zone sableuse du Ténéré. A l'ouest, la transition se fait rapidement avec la plaine du Talak et les régions de l'Azawak et du Tamesna. L'Aïr présente ainsi un faciès varié au centre d'une zone de plaines monotones hyperarides.

le Ténéré :
Il constitue la plus grande partie du nord-est du pays. C'est une plaine sableuse hyperaride qui se termine à l'est par la falaise du Kaouar et au nord par les plateaux du Djado et du Mangueni. C'est, avec la Majabat al Koubra et le désert libyque, la zone la plus aride du Sahara actuel.

Climat :
Situé dans une des régions les plus chaudes et les plus ensoleillées de la terre, le Niger est doté d'un climat essentiellement désertique et extrêmement sec.
On y distingue trois régimes climatiques : le régime aride saharien au nord, le régime de transition sahelo-tropical de la région de l'Aïr et le régime sahélien au sud.
Le climat est caractérisé par trois saisons : chaude (de mars à mai), pluvieuse (de juin à septembre) et froide (d'octobre à février).

Hydrographie :
Le réseau hydrographique est pauvre du fait de l'aridité qui règne sur la majeure partie du pays. Il comprend :
- le fleuve Niger, 3ème grand fleuve d'Afrique, long de 4200 km dont 500 km au Niger.
- les affluents : Tapoa, Mékrou, Sirba, Dargol, Gorouol, Goroubi, Diamangou, etc…
- des lacs, cours d'eau et mares : lacs Tchad, Komadougou Yobé, mares de Madarounfa, d'Abalak et Guidimouni, etc…
- d'importantes ressources en eau souterraine avec une véritable mais profonde nappe souterraine dans le nord du pays.

 

Économie :

 

Le Niger est un pays d'Afrique subsaharienne dont l’économie repose avant tout sur l'agriculture, qui représente 40 % du PIB et mobilise 90 % de la population.
Le pays comprend une zone agro-pastorale au sud, suffisamment humide pour permettre une culture de céréales (principalement du mil), et une zone uniquement pastorale au nord. Le recours à l'irrigation est très limité (moins de 2 % des surfaces cultivées), ce qui rend très aléatoire la production agricole.
Ainsi, juillet 2005, l'ONU a annoncé une famine dans ce pays : la sécheresse et les invasions de criquets pèlerins en 2004 ont provoqué une diminution de 11 % de la production céréalière annuelle et un déficit fourrager à hauteur de 35 % des besoins1. Selon la FAO, plus de 10 000 foyers auraient de ce fait perdu leurs troupeaux. 2,5 millions de personnes, dont 800 000 enfants, sont affectés par la pénurie alimentaire2.
Par ailleurs, le Niger comprend d'importantes réserves d'uranium dans la région d'Arlit, qui représentent 72 % des recettes liées à l'exportation.
Outre un producteur d'uranium, le Niger est devenu un pays pétrolier qui a connu, de ce fait, en mars 2005, de fortes manifestations populaires. En effet, le pétrole y est apparu moins comme un miracle que comme un facteur de déstructuration d'une société en quête d'identité, du fait de la captation d'une rente par un groupe limité.
Le Niger est membre de l'Union économique et monétaire ouest-africaine.

 

Démographie (Source : Livre Bleu – Niger, Secrétaire International de l’Eau, Montréal Canada, Août 2004.)

 

Citation:

 

“Le dernier recensement au Niger a été réalisé en 2001 (et le précédent en 1998). Ce recen-sement de 2001 est contesté dans son exactitude, et la version définitive n’a pas encore été publiée. Le taux de croissance national constaté sur la période 1988-2001 est d’environ 3,1%, l’un des plus élevés d’Afrique de l’Ouest, avec des disparités importantes urbain/rural et d’une région à l’autre. Ce taux semble avoir baissé par rapport à la précédente période d’observation (1977-1988), où il était de 3,38%, mais rien n’indique que le taux ne doive si-gnificativement diminuer dans les années à venir – le modèle macro-économique du CSLP est même construit sur l’hypothèse d’un taux de croissance démographie de 3,3%, ce qui conduirait à une population de 17 millions d’habitants en 2015. Pour les besoins de ce rapport, nous avons préféré prendre une hypothèse d’un taux de croissance se maintenant à 3,1% jusqu’en 2015, ce qui donne en 2004 une population de 7,7 millions d’habitants.

 

Le Niger est un pays encore très rural, puisque d’après le recensement de 2001 seulement 16,3% de la population est catégorisée comme « urbaine ». Ce dernier chiffre est néanmoins sujet à discussion, car l’urbain au Niger relève dune définition purement administrative – sont « urbains » les chefs lieux de départements et d’arrondissement, ainsi que la CUN, soit au total 40 centres totalisant une population de 1 749 000 habitants (2001). Or sur les quel-que 700 centres dont la population est comprise entre 2 000 à 10 000 habitants, il n’y a officiellement « que » 11 centres urbains. Ce total de 40 centres est de plus inférieur au nombre de centres gérés par le fermier de l’hydraulique urbaine, la SEEN (51 à ce jour). De même, si l’on prend tous les centres de plus de 5 000 habitants, on arrive à une population « urbaine » de 21% en 2001 et de 23% en 2004, ce qui nous semble plus proche de la réalité.

En dehors de Niamey, qui au rythme actuel devrait franchir la barre du million d’habitants en 2011, seuls deux centres dépassent les 100 000 habitants (Maradi et Zinder). Le taux de croissance en milieu urbain (selon la définition officielle) est passé entre les deux périodes intercensales de 4,97 à 3,66%, mais les indices concordent pour indiquer que Niamey conti-nue à croître à un rythme supérieur à 4%, comme la plupart des capitales ouest-africaines. Le tableau ci-dessous résume notre analyse de la situation démographique du Niger, avec projections de la population aux horizons 2004 et 2015 (sans que cela soit validé par les données du recensement, nous avons fait l’hypothèse d’une distribution du taux de croissan-ce2 par catégorie qui conduit à un taux de croissance global de 3,1%) :

 

 

2 Cette hypothèse comporte un inconvénient majeur : à cause de la croissance démographique, les catégories ne sont pas « étanches » dans le temps et les villages de moins de 2 000 habitants vont progressivement passer dans la catégorie des 2 000-5 000 habitants, etc. Par exemple une ville de 4 000 habitants en 2001 changera de catégorie en 2008, une ville de 3 000 habitants passera la barre en 2019, etc. Le modèle est cependant correct en première approximation.

Niger – Livre Bleu – Rapport final – 31 août 2004 Page 8 Secrétariat International de l’Eau (SIE)

Quartiers périphériques (informels). Sur ce plan, l’enjeu se situe clairement au niveau de Niamey, principal pole d’urbanisation au Niger, loin devant les autres centres urbains. Il est difficile d’avoir une bonne estimation de la population vivant dans les quartiers périphériques informels, spontanés, non lotis et (en général) non desservis en eau, ou alors indirectement (bornes-fontaines situées à la limite du réseau, petits opérateurs du secteur informel).

Les études menées dans le cadre du PSE et l’étude de faisabilité menée en 2000 par le groupement BCEOM – Hydroconseil – Ceh Sidi pour le compte de l’AFD ont proposé le classement suivant pour les quartiers populaires de Niamey :

 

• Les quartiers intérieurs : généralement anciens et qui constituent le noyau urbain ;

 

• Les quartiers périphériques (ou "limitrophes") : en général, ce sont de nouveaux quar-tiers qui s'étendent en périphérie de l'agglomération, mais aussi parfois d'anciens villa-ges isolés qui ont été rattrapés par la croissance urbaine ;

 

• Les quartiers ou villages "satellites" (ou isolés), il s’agit de villages sur le territoire de la CUN (mais qui présentent parfois un caractère très rural), mais aussi des nouveaux lo-tissements et des zones de recasement créés au-delà de la limite urbaine, comme les quartiers Niamey 2000, et Sari Koubou ou le quartier spontané Foulan Kouara.

 

Le quartier de Foulan Kouara, en quelque sorte emblématique des quartiers spontanés si-tués à la périphérie de Niamey, était estimé en 2000 à plus de 20 000 habitants avec une croissance démographique très forte. Les quartiers pré-sélectionnés en 2000 pour le projet AFD totalisaient déjà 35 000 habitants. Il est fort possible (sans que l’on puisse pour l’instant avancer de chiffre plus précis) que la population totale des quartiers spontanés dépasse lar-gement les 100 000 habitants (à titre de comparaison, la population des quartiers informels de Ouagadougou est estimée à plus de 300 000 habitants – à ce sujet voir le rapport du Li-vre Bleu sur le Burkina Faso)

 

File suivant:

02.02 Données sur la région du projet.

 

File précédent:

01.11 Aide a la navigation entre les documents du projet.


Retour:

Programme principal du projet Makalondi.


Homepage du Modele.

Bakens Verzet Homepage