Directeur
T.E.(Terry) Manning,
Schoener 50,
1771 ED Wieringerwerf
Pays Bas
Tél. 0031-227-604128
Website : http://www.flowman.nl
E-mail (nomàfindeligne)
@xs4all.nl : bakensverzet
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
Devise du
projet : “Faisons-le bien”
Préparé par l´ ONG
Naabi-Aba, Makalondi, Niger
(B.P.10.651 Niamey)
Tél/fax.(227) 94955362 et (227) 96134089
E-mail: ong.naabiaba@yahoo.fr
pour accompagner le formulaire de demande de
subvention dont à ...............
Référence:
.................................................
En
collaboration avec M.Victor Onadja, .................
et T.E.Manning, Consultant ONG Stichting Bakens Verzet, PAYS-BAS
Cette œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une
licence
Creative Commons
Attribution-Noncommercial-Share Alike 3.0 Licence.
Édition 01: 29 Juillet,
2007
L'éducation à l'hygiène, l'assainissement, la fourniture en eau potable, et
le recyclage des ordures sont à la base d'une vie saine et d'une bonne qualité de
vie. Un tiers de la population du monde manque d'eau potable. Encore plus de
monde n'a pas accès à des structures hygiéniques d'assainissement. Cela malgré
le fait que la satisfaction de ces besoins les plus élémentaires bénéficie
d'une priorité absolue dans le cadre des programmes d'aide en faveur des
pauvres des pays en voie de développement.
L’amélioration de la santé et de la qualité de le vie des habitants des
communautés pauvres dépende de l’amélioration des infrastructures de base mises
à leur disposition. Par exemple, des technologies avancées modernes permettent
aux usagers qui habitent loin de leurs sources en eau traditionnelles à accéder
soit à de l’eau potable saine, soit aux structures d’assainissement, soit à
l’éducation à l’hygiène, soit au développement continu local à un coût très
faible.
Ce projet augmentera de façon permanente la
qualitè de vie et promeuvra le développement économique local des habitants des
communautés bénéficiaires. Il créera des systèmes monétaires locaux (SEL - LETS) pour les échanges de biens
et de services locaux. Il fournira de l´argent sans intérêts et sans frais en
monnaie formelle au financement des micro-crédits. Il couvrira l´éducation à
l´hygiène, l´assainissement, l´eau potable saine, l´éclairage pour les études,
des foyers à rendement élevé et la production de bio-masse pour les faire fonctionner, aussi qu´un
système complet pour le reyclage des déchets.
Les services mis à la disposition des habitants comprennent la récolte
des eaux pluviales, et peuvent s´étendre à la formation de groupes coopératifs
d´achat sans intérêts pour favoriser l´installation de certain produits á
consommation, tels les systémes solaires domestiques.
La zone du projet comprend 111 communautés et un total de 48511 habitants
qui forment 10.000 ménages environ. La plupart en est dépourvue de
l’assainissement, de l’eau potable, et de l’éducation à l’hygiène.
L'éducation à l'hygiène,
l'assainissement, la fourniture en eau potable et les autres initiatives ici
prévues tiendront compte des structures sociales des communautés. Chaque
initiative doit être autofinancée et durable sans avoir besoin d'autres
financements externes une fois que le crédit initial sans intérêts ait été, cas
échéant, remboursé.
Souvent, le développement du potentiel de la
production et des services au niveau local est freiné par l'absence chronique
de fonds. Le peu d'argent qui passe par les zones pauvres est drainé
directement des économies locales pour entrer dans les circuits nationaux et
plus fréquemment internationaux. Cette fuite est causée soit par les
importations d'énergie et de produits industriels soit par l'accumulation du
contenu des intérêts à travers des nombreux passages qui caractérisent le
système financier actuellement dominant dans le monde occidental. La valeur en
intérêts du prix d'un produit occidental peut atteindre et dépasser le 40%.
Au premier temps, la fourniture d'eau potable avec
un assainissement de base des communautés utilisera la production (cuves,
réservoirs, matière d'étanchéité des tubages des forages et puits, briques
calorifiques), en aidant à un changement du mode de vie par un type d'habitat
nouveau dont la construction sera plus adaptée aux coutumes traditionnelles.
Aussi les implantations de la base du projet dans
la préfecture avec les sites des usines du travail des composites de gypse (à
côté des gisements, qui sont présents dans la zone du projet) offrira des
postes d'emplois divers, occupera une main d’œuvre locale existante dont un
pouvoir d'achat amélioré aidera à éloigner le seuil de la pauvreté des
populations bénéficiaires.
On compte pouvoir réduire le chômage dans la zone du
projet en cinq ans à partir du commencement des opérations dans les cantons
directement intéressés. Le projet offre emploi permanent directement à 4000
personnes environ, soit le 10% de la population adulte dans la zone du projet.
Les autorités locales sont
le préfet de la région de
Tillabéry, le sous-préfet de Makalondi,
et le (ministère responsable des impôts).
Ces autorités ont donné leur approbation de principe à ce projet.
Le projet est basé sur un Modèle qui permet à tous les
habitants et en particulier aux plus pauvres de la zone d’intervention de
financer leur propre développement intégré. Il couvre une gamme complète de
structures sociales, financières, productives et des services de base, créées
selon un ordre de séquence spécifique. Toutes les structures restent la
propriété des habitants qui les paient, et qui sont responsables de leur planification,
exécution, gestion, et entretien. Les nouvelles structures ne remplacent pas
celles politiques et économiques traditionnelles qui sont déjà en place, mais
fonctionnent en parallèle et en harmonie avec elles.
Structures sociales prévues
Les structures sociales comprennent la formation d’une plate-forme qui
assure la participation des femmes à la gestion du projet aux niveaux de base,
intermédiaries, et de direction. Une structure de sécurité sociale à plusieurs
niveaux est établie, et des emplois pour le 10% environs de la population
adulte sont créés.
Structures financières prévues
Les structures financiers mises en place créeront un système économique
coopérative, sans interêts, et sans inflation dans la zone du projet. Elles
sont basées sur un paquet de trois initiatives à faveur du développement
économique de base, soit:
a) un start-fonds (en forme de donation ou en
forme de prêt décennal sans interêts) montant à
Euro 75 par habitant.
b) un système de micro-crédits sans intérêts à recyclage continu pour l’achat
des biens en compte capitale nécessaires à l’augmentation de la productivité
locale et qui ne sont pas produits localement.
c) des systèmes de monnaie locale qui facilitent
le transfert sans limites de biens et de services à l’intérieur de la zone du
projet.
Structures productives prévues
On
recommande l’utilisation de technologies innovatives, y comprises de nombreuses
applications des énergies renouvelables, qui permettent la production des biens
nécessaires à la plupart des services de base dans des unités de production
locale à faible coût et à main d’œuvre intensive. La valeur ajoutée locale de
ces produits peut arriver à 100%. Les produits en question comprennent les
réservoirs à eau, les réservoirs, les cloisonnages, les systèmes écosanitaires,
et les foyers à rendement élevé. D’autres technologies et services durables
telles les petites unités de production d’énergie à partir de la biomasse, les boutiques pour
la pasteurisation et la distribution du lait produit localement, les centres
pour le stockage des produits alimentaires, en particulier de ceux déstinés à
la consommation locale, une station radio local, peuvent toujours êtres ajoutés
aux structures du projet selon les
indications et les préférences éxprimées de la population locale. Des
améliorations aux structures d’éducation peuvent être apportées dans le cadre
du système de micro-crédit (pour leur contenu en monnaie formelle) et du
système de monnaie locale (pour leur contenu local) selon les éxigences des
usagers. Les services de fourniture en
eau peuvent être étendus dans une phase succéssive des opérations à couverture
de la récolte de l’eau pluviale aux utilisatons personnelles supplémentaires.
Structures de service prévues
Les
structures de service à créer comprennent l’éducation à l’hygieèe pour les
femmes et dans les écoles; la fourniture
en eau potable distribuée; l’assainissement; la récolte et le recyclage des
ordures organiques et non-organiques ; les foyers à rendement élevé et la
biomasse pour qu’íls puissent fonctionner à mini-briquettes de production
locale ; l’éclairage solaire pour les études ; l’eau potable et
l’assainissement auprès des écoles ; et l’eau potable, l’assainissement et
la réfrigération solaires auprès des cliniques. Le projet s’occupe du rôle
des femmes et de leurs droits de participation aux structures nécessaires à
l’achèvement des buts internationaux pour la lutte durable contre la pauvreté
dans les zones rurales et urbaines des pays en voie de développement.
Participation
de la population
L'éducation à l'hygiène,
l'assainissement, la fourniture en eau potable, et le recyclage des ordures
sont à la base d'une vie saine et d'une bonne qualité de vie. Un tiers de la
population du monde manque de l'eau potable. Encore de plus de monde n’a aucun
accès à des structures hygiéniques d'assainissement. La satisfaction des
besoins les plus élémentaires bénéficie d'une priorité absolue dans le cadre
des programmes d'aide à faveur des pauvres dans les pays en voie de
développement. L'éducation à l'hygiène, l'assainissement, la fourniture en eau
potable et les autres initiatives ici prévues tiendront compte des structures
sociales des communautés. Chaque initiative doit être autofinancée et durable
sans avoir besoin d'autres financements externes une fois que le crédit initial
sans intérets ait été remboursé.
Au premier temps, la fourniture
en eau potable avec un assainissement de base des communautés utilisera de la
production locale (cuves, réservoirs, matière d'étanchéité des tubages des forages
et puits, briques calorifiques), en aidant à un changement du mode de vie par
un type d'habitat nouveau dont la construction sera plus adaptée aux coutumes
traditionnelles.
L’élimination
de la fuite financière
Souvent, le développement du
potentiel de la production et des services au niveau local est freiné par
l'absence chronique de fonds. Le peu d'argent qui passe par les zones pauvres
est drainé directement des économies locales pour entrer dans les circuits
nationaux et plus fréquemment internationaux. Cette fuite est causée soit par
les importations d'énergie et de produits industriels soit par l'accumulation
d'intérêt à travers les nombreux passages qui caractérisent le système
financier actuellement dominant au monde occidental. La valeur en intérets du
prix d'un produit occidental peut atteindre et dépasser le 40%. Cette fuite
financière contribuent à la manque des services de base tels l’éducation à
l’hygiène, l’eau potable, et l’assainissement dans la zone du projet.
L’élimination
du chômage
Aussi les implantations de
Qualité de vie
Le projet améliorera de façon permanente la qualité de
vie de tous les habitants sans exclusion de la zone du projet. Le projet
facilitera le développement économique continu, en mettant à la disposition de
communautés des systèmes de monnaie locale pour le transfert sans limitations
des biens et des services produits localement, et des fonds en monnaie formelle
sans intérêts pour le financement des micro-crédits nécessaires à
l’augmentation de la productivité locale.
Le coût du
projet.
Le
budget du projet monte à € 5,000,000, duquel le 75% est mise à disposition où
par moyens d’un prêt décennal sans interêts à rembourser à distance de dix ans,
où par moyens d’un don. Des combinations entre le financement par don et les
financements à intérêts sont eux aussi possibles à condition que le montant
total payable par la population ne soit pas supérieur au financement reçu.
Le 25%
restant du budget est fourni par la population elle-même, responsable
d’ailleurs de la plupart des travaux d’exécution du projet. Les personnes qui
travaillent aux structures du projet y reçoivent pleine rétribution dans le
cadre du système de monnaie locale mis en place pendant l’une des prémières
phases du projet. Les débits à charge du projet (crédits à bénéfice de ceux qui
y travaillent) sont distribués parmi la population de la zone du projet. Un
taux de conversion montant à €3 par jour
de travail de huit heures est appliqué pour arriver à la participation du 25%
de la population locale. Euro 1.250.000 représente de cette manière 416.000
jours (3.328.000 heures) de travail. Le taux de conversion ici indiqué peut
bien être varié en accord avec les bailleurs de fonds.
Le
projet cotinuera pendant huit ans suite à la période exécutive initiale de
lancement, qui dure deux ans. Suite aux premiers deux ans, les développements
seront générés enitèrement par les communautés mêmes, sous contrôle de la
direction élue des populations, avec la supervision sur demande du Coodonnatuer
du projet.
Le projet initial dure 24 mois
à partir de la date de mise a disposition effective du financement:
- Phase 1 : préparation et soumission du projet de
base.
- Phase 2 : préparation définitive du projet, accords avec le Ministère des
Finances pour ce qui concerne les impôts sur les activités effectuées dans le
cadre du système SEL-LETS ; l’approbation finale des partis intéressés au
projet; la formation des Clubs de Santé et le commencement des cours
d’éducation à l’hygiène; la formation
des structures sociales et financières
(les systèmes de monnaie local SEL-LETS et les structures de gestion des
micro-crédits): 6-9 mois.
- Phase 3 : poursuite des cours d’education à
l’hygiène; l’ínstallation des puits et forages et des aires de lavage; l’organisation
des unité de production d’articles à compoites de gypse; l’installation des
réservoirs à eau potable; le commencement de la construction et installation
des structures eco-sanitaires ; le commencement de la production des
foyers à cuisiner et de la production de la biomasse nécessaire ; la
formation des centres de recylcage ; l’installation des systèmes
d’illumination pour l’avancement des études: 15-18 mois.
- Phase 4 : installation des unités de purification de l’eau
potable ; poursuite de la production
de foyers, biomasse, systèmes écosanitaires ; récolte de l’eau pluviale.
À partir de la troisième année, le développement
local continuera ; et des extensions optionnelles telles l’installation
des systèmes solairees domestiques, la conservation des sols ; et les
projet de réforestation seront
introduites.
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03.02 Situation d'approvisionnement en eau potable..
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Liste des villages de la zone du projet.
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Programme
principal du projet Makalondi.
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