Directeur
T.E.(Terry) Manning,
Schoener 50,
1771 ED Wieringerwerf
Pays Bas
Tél. 0031-227-604128
Website : http://www.flowman.nl
E-mail (nomàfindeligne)
@xs4all.nl : bakensverzet
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
Devise du
projet : “Faisons-le bien”
Préparé par l´ ONG
Naabi-Aba, Makalondi, Niger
(B.P.10.651 Niamey)
Tél/fax.(227) 94955362 et (227) 96134089
E-mail: ong.naabiaba@yahoo.fr
pour accompagner le formulaire de demande de
subvention dont à ...............
Référence:
.................................................
En
collaboration avec M.Victor Onadja, .................
et T.E.Manning, Consultant ONG Stichting Bakens Verzet, PAYS-BAS
Cette œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une
licence
Creative Commons
Attribution-Noncommercial-Share Alike 3.0 Licence.
Édition 02: 08 Avril,
2009
Chapitre 03: Justification du projet
03.02 Situation
d’approvisionnement en eau potable dans la zone du projet.
Cette section se limite à la description de la situation
actuelle de la fourniture en eau potable dans la zone du projet.
Pour des informations techniques sur les structures
prévues dans le cadre du projet, voir section
05.41 Les structures en eau potable.
Pour des informations des services prévus village par
village, voir 02.04 Liste
des villages.
Pour des informations sur la gestion des structures de fourniture
en eau, voir 05.13 Commissions réservoir et 05.14 Commissions forage.
Pour une vision générale sur les aspects de fourniture en
eau, l'education à l'hygiène et l'assainissement, voir 08.10 Liste des files spécifiques à l'hygiène,
l'eau potable, et l'assainissement.
Dessin d'un système d'eau potable.
Les politiques et statégies sectorielles.
En 2003, le gouvernement a adopté un Stratégie de
Développement Rural (SDR) avec l’objectif général de «réduire l’incidence de la
pauvreté rurale de 66% à 52% en 2015. »
On peut d’ailleurs ajouter à
1) Le document de politique et statégie de l’eau
et de l’assainissement, Mai 2001.
2) Le lettre de politique sectorielle de l’hydraulique
rurale adoptée en mars 2001.
3) Le lettre de politique sectorielles de l’hydraulique
urbaine du 1999.
4) Le schéma directeur de mise en valeur et de
gestion des ressources en eau, élbaoré en 1993 et actualisé en 1997.
5) L’ordonnance 93-014 du 2 mars 1993 portant régime
de l’eau.
Les structures existantes en eau potable .
Pour des informations détaillées se référer au Livre Bleu République du Niger, État des
lieux et perspectives du secteur eau et assainissement, Secrétariat
Internationale de l’Eay (SIE), Montréal, 2004.
Quelques citations du Livre Bleu :
Ressources en eau :
Malgré la grande partie de son
territoire située en zone sahélienne, le Niger présente un bilan globalement
positif en termes de ressources en eau (seulement 1% des eaux de surface sont
exploitées, par exemple). Cependant dans certaines zones les fo-rages
productifs sont très profonds (par exemple la zone de Tahoua).
Niveau d’équipement
et taux de desserte : A l‘intérieur
du périmètre SPEN-SEEN (une cinquantaine de villes) le taux de desserte est
estimé à environ 70%, soit 1.47 million des 2.1 millions d’habitants urbains.
Pour ce qui est du reste (le milieu rural et les petites villes non desservies
par
Synthèse chiffrée
des ODM : En prenant des coûts
unitaires relativement classiques, en accord avec les chiffres utilisés
récemment pour la préparation du programme d’hydraulique rurale à financer par
Objectifs 2015:
Porter le taux de desserte
dans les zones rurales à 7.7 millions, soit le 75% des 10.2 millions
d’habitants ruraux en 2015.
Porter le taux de desserte
dans les zones urbaines à 3.2 millions, soit le 85% des 3.8 millions
d’habitants urbains en 2015.
Le problème est que les planificateurs
préfèrent pour le moment raisonner en termes de « critères d’attribution »
(très généreux en ce qui concerne le Niger) plutôt que de population à
desservir, ce qui évacue rapidement la question du coût marginal d’alimentation
en eau potable des zones rurales les moins densément peuplées.
Aspects institutionnels
: Le Ministère en charge de
l’Hydraulique chapeaute l’ensemble du secteur au travers de trois directions
centrales et d’un réseau de services déconcentrés (DRH). Après une longue histoire
de maîtrise d’oeuvre de projets, le Ministère et les DRH se repositionnent (pas
toujours facilement) sur des fonctions de programmation, de coordination et de
« facilitation », conformément à la lettre de politique sectorielle de 2001.
L’hydraulique urbaine a été réorganisée en 2001 avec la mise en place d’une
société de patrimoine (SPEN) en affermage avec une entreprise privée (
Au niveau local, les
communes sont théoriquement compétentes sur l’eau et l’assainissement, mais la
décentralisation avance doucement et les capacités à développer sont
colossales. Les communes rurales seront donc durablement absentes du secteur.
Niger –
Livre Bleu – Rapport final – 31 août 2004 Page 5 Secrétariat International de
l’Eau (SIE)
En termes de stratégie, après le grand ménage de la fin des années 1990 et les deux
lettres de politique sectorielle de 2001, la stratégie se cherche quelque peu,
entre mise au point du Programme Hydraulique National et incorporation aux
stratégies multi-sectorielles. Malgré les efforts du Ministère, l’ensemble
manque donc de visibilité.
L’assainissement,
quant à lui, souffre d’une multiplication des intervenants, d’une superposition
des responsabilités et d’une absence de stratégie impulsée au niveau central,
malgré certaines avancées (par exemple la déclaration d’Hamdallaye).
Dans le
schéma actuel, la coordination du secteur et des intervenants doit être assurée
par
Régulation
: La régulation de
l’hydraulique urbaine est assurée par une agence multi-sectorielle qui a été
mise en place dans le courant de l’année 2003. En milieu rural et surtout dans
les petites villes (où près d’une quinzaine de contrats de gestion déléguée ont
déjà été signés), la régulation repose essentiellement sur l’échelon local, et
les bonnes relations entre l’association des usagers, l’opérateur et les
autorités administratives.
Société
civile : Mises à part
les associations d’usagers, la société civile est très embryonnaire au Niger,
se limitant à quelques associations professionnelles peu actives et des
associations de consommateurs focalisées sur la situation de Niamey.
Gestion de l’information : Le secteur se caractérise globalement par une mauvaise
circulation de l’information. Le Ministère a cependant développé un outil
informatique de bonne qualité (à la fois base de données en SIG) : SIGNER, qui
mériterait d’être promu et surtout géré dans une optique plus durable pour
avoir un réel impact sur le secteur.
Il y a (quantité) de systèmes de fourniture en eau
actuellement installés dans la zone du projet.
En milieu rural
au Niger, et dans la zone du projet,
(indiquer) litres d'eau/personne/jour des eaux de surfaces (rivières,
marigots) demeurent la source potentielle la plus utilisée avec (pourcentage),
suivie des puits (pourcentage) et des forages (pourcentage).
Il y a (nombre)
de puits.
Description
physique de la construction des puits.
Description de
la condition des puits.
(Quantité) des
puits qui sont acteullement en fonction.
Il y a (nombre)
de forages.
Description
physique de la construction des forages.
Description de
la condition des forages.
(Quantité) des
forages qui sont acteullement en fonction.
L'eau de la même
source est utilisée pour tous les besoins (eau de boisson, lessive, cuisine,
abreuvage de bêtes etc.).
(Pourcentage) de
causes de mortalité infantile sont imputables aux maladies diarrhéiques. Et la
(maladies telles dracunculose, la schistosomiase) provenant d’eau de boisson
contaminée se trouvent d’entre les premières causes de consultation des centres
de Santé.
La corvée d'eau
est la tâche réservée aux femmes et aux enfants à longueur de journée souvent
sur (distance en km) dans les villages. L'eau achetée aux revendeurs coûte en
moyenne (prix) le seau de
Le stockage
habituel de l'eau se fait dans (des jarres sans couvercles (grandes poteries de
30 à
(Description des
saisons de pénurie.)
En zone de
pénurie, (description des zones) (description de ce qui se passe)
Certaines
familles (quantité) possèdent des sytèmes à citernes de récolte de l’eau
pluviale. L'eau de pluie est récoltée des toits tôlés. Parfois l'utilisation
est rationnée pour les voisins contre un payement en attendant la prochaine
pluie.
L'usage de l'eau
chaude dans les ménages est courant pour les bains des enfants, des nouveaux
nés et des personnes âgées. Cela nécessite (parfois, fréquemment) l'achat de
fagots de bois de valeur unitaire (prix), aussi qu’une famille peut dépenser
(montant) par mois pour le besoin.
La fourniture en eau potable à une distance moyenne de 100m des maisons
contribuera à l’amélioration de la santé de toute la population . La corvée d’eau
sera éliminée est le poids du travail à la charge des femmes diminué.
Liste des exigences de base en eau potable.
L’eau
potable doit être mise à la disposition des usagers à une distance moyenne de 10-200
mètres entre les maisons et les points d’eau. On prévoit une fourniture de base
d’aumoins 25 litres/personne/jour. Une fourniture de reserve également de 25
litres/personne/jour est mise à disposition à moyen de pompes manuelles placées
à côté des puits et forages situés à 0.25-3.0 kilomètres des maisons. Le projet
prévoit aussi la récolte de l’eau pluviale au niveau des ménages à couverture
de d’autres 25 litres/personne/jour destines aux utilisations non potable telle
lavage et nettoyage. Les systèmes écosanitaires à sec prévus ne demande que peu
d’eau, à utilisation du lavage sanitaire.
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Programme principal du projet Makalondi.
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