NGO Another Way (Stichting Bakens
Verzet), 1018 AM Amsterdam, Netherlands.
HOW TO WRITE AN
INTEGRATED DEVELOPMENT PROJECT FOR THE AREA YOU LIVE OR WORK IN |
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Edition 17 : 02
October, 2008
Version 01 : 01 Avril, 2008
1. Le
cadre du projet
CADRE D’ACTION DU PROJET |
Rédaction dans le cadre des buts du Millenniumn
2015 d’un plan de reconstitution durable du milieu par un développement intégré
à bénéfice de tous les habitants de |
TITRE DU PROJET |
“PLAN NATIONAL DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ NIGER |
ORGANISMES DEMANDEURS |
ONG
Naabi-Aba, Makalondi, ONG Bakens Verzet, Pays Bas, Université Niamey,
[Ministère pour la réalisaion des buts du Millennium] |
MONTANT DU PROJET |
Euro 300.000 +
mise à disposition effective des espaces avec 47 computers auprès de
l’université + mise à disposition effective de dix voitures avec chauffeurs pendant les
premières 4 semaines pour les reconnaissances dans les territoires des
départments (trois voitures pour Agadez, une pour les autres Départments) |
TAUX DE CHANGE |
Euro 1 = F CFA 655.957 |
DURÉE DU PROJET |
6
mois à partir de la mise à disposition effective du montant du projet et des Locaux/ordinateurs/moyens
transport (peu) mis à disposition du Ministere/gouvernement des voitures. |
DATE DE DÉBUT |
Mei 2008 |
MONTANT SOLLICITÉ |
Euro 300.000 + espaces travail + moyens transport
comme ci-deesus décrit |
PARTICIPATION NATIONALE |
100% |
BAILLEURS DE FONDS |
0 % |
2.0 Brève description de l’action proposée.
Le projet se réfère à la rédaction d’un plan
national pour le territoire Nigérien pour la réalisation des buts du Millennium,
suivant la méthodologie dont au Modèle pour projets écologiques et durables de
développement intégré écrit par
Le montant du projet pour la préparation du Plan
National est Euro 300.000 à la charge de l’État Nigérien.
2.1
Besoins et contraintes.
Cette proposition se réfère aux décisions prises
en rapport au Millennium Development Goals (MDGs) adoptés en 2000 au but de
réduire entre 2015 du 50% la proportion de la population mondiale sans accès
durable à de l’eau potable saine, et à celles prises en 2002 à Johannesburg,
pendant
Le Niger est reconnu comme l’un des pays les plus
pauvres au monde. Le taux d’accès des populations à de l’eau potable et aux
services d’assainissement y est extrêmement bas en particulier en milieu rural
au Niger, soit moins de 10% pour l’eau potable, et moins de 2% pour
l’assainissement.
Suivant les cours traditionnels de développement,
et les méthodologies suivies et leurs frais, la tâche au Niger se présente de
réalisation difficile à ne pas dire impossible. On y a besoin de nouveaux
concepts d’approche au développement intégré durable qui puissent garantir aux
populations une gamme complète de services essentielles à une bonne qualité de
vie réalisés dans le cadre d’une mobilisation économique locale puissante et
générale, à très faible coût.
Le “PLAN NATIONAL DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ NIGER
2.2 Populations pauvres
et vulnérables.
La proposition se base sur la rédaction d’un plan
national pour l’amélioration de la qualité de vie de tous les habitants dans la
zone du projet sans exception et en particulier de celle des femmes, des
enfants, et des plus pauvres.
Au cours de l’exécution des projets individuels
rédigé du Plan National les habitants eux-mêmes, et en particulier les femmes,
se mobilisent en se créant des milliers d’emplois (quatre mille environ)
durables. Ils mettront en place une gamme complète de structures sociales,
financières, productives et de service locales. Les projets individuels ne se
limiteront pas donc à l’alimentation en eau et à l’assainissement. Ils
couvriront en plus, à titre d´exemple, des structures d’éducation à l’hygiène
et de gestion autonome des services de recyclage des déchets organiques et non
au niveau locale, des systèmes de monnaies locales, des systèmes de
micro-crédits sans intérêts pour l’augmentation de la productivité, des
structures pour la production locale de la plupart des biens nécessaires aux
structures de base, des systèmes d’éclairage pour les études, la production
locale des fourneaux à cuisine à rendement élevé pour l’élimination de la fumée
à l’intérieur et autour des habitations et des mini-briquettes combustibles
pour les faire fonctionner, des systèmes de récolte d’eau pluviale, la
constructon d’écoles, de centres pour infermières, de points de distribution de
produits pharmacéutiques, des services ambulances à bicyclette, des structures
pour le stocakge des denrées alimentaires, et des moulins pour la préparation
des aliments. Les structures d’alimentation en eau constitueront toutefois le
volet à contenu d’investissement formel en Euro le plus élevé à cause des
éléments qui ne peuvent pas être fabriqués localement.
2.3. Rapport aux
objectifs et aux principes directeurs énoncés dans l’appel.
Le Plan National proposé prévoit la rédaction
de +/- 260 projets dont chacun prévedra le développement
de nombreuses infrastructures sociales, financières, productives et de service
physiques et durables permanentes qui deviennent propriété des habitants
locaux, à la gestion desquelles les femmes joueront un rôle déterminant. Les
habitants participeront par la suite à la conceptualisation, à la mise en œuvre
et au contrôle des projets. Ils organiseront, administreront et maintiendront
aux propres frais de façon durable toutes les structures mises en place. La
contribution mensuelle faite par chaque famille dans leur Fonds Coopératif de
Développement Local à couverture de la fourniture des tous les services de base
sera à la portée des familles les plus pauvres à travers un système de sécurité
(garantie) financière à trois niveaux qui fait parti intégré des structures
créées. Les systèmes durables d’éducation à l’hygiène, d’alimentation en eau
potable, d’assainissement «éco-sanitaires» au niveau des ménages, de recyclage
des ordures organiques et non, et d’élimination de la fumée à l’intérieur des
maisons contribueront à l’amélioration des conditions de santé en particulier
des femmes et des enfants. L’élimination de l’utilisation du bois pour la
cuisine portera à une forte réduction des émissions de CO2 et à la protection
durable des forêts qui se trouvent sur le territoire national.
Le Plan National établira un +/- 260 projets
locaux chacun desquels établira une économie locale complète qui sera
volontaire, coopérative, sans intérêts, sans inflation et entièrement gérée par
la communauté elle-même.
2.4 Valeur ajoutée du
Plan National.
Le Plan national dont à l’action proposée est
tout à fait innovatif. Il représente une
nouveauté mondiale. Pour 22 Eurocents (+/- 150 Cfa) par habitant compte-on dans la pratique de
jeter les bases au niveau national pour l’élimination de la pauvreté en
République du Niger sur une période de 7 ans, à travers la rédaction de +/- 260
projets qui ensemble fourniront une
gamme entière de structures de base nécessaires à une bonne qualité de vie de tous
les habitants de
Les +/- 260 projets locaux rédigés selon le Plan
pourront être mis en exécution à partir de Septembre 2008 à condition de la
mise à disposition du capital initial (soit Euro 75 ou Cfa 50.000 par personne). Le montant nécessaire pour tous les
13.500.000 habitants du Niger sera Euro 975.000.000, soit Cfa 639.000.000.000.
En principe les +/- 260 projets prévus pourront tous être réalisés avant 2015.
Au cas de limitations financières commencera-t-on avec les zones rurales les
plus pauvres dans les différents départments pour étendre par la suite les
activités aux centres habités plus grands.
3.1 Activité proposée appropriée,
pratique et cohérente.
Le Plan National de Développement Intégré pour
Les principes nouveaux de développement intégré et
durable prévu du Modèle sur la baase duquel les +/- 260 projets prévus du Plan
seront rédigés prévedront une séquence prédéterminée d’activités qui offriront
une garantie optimale aux bailleurs de fonds de chacun des projets pour ce qui
concerne l’utilisation de leurs fonds. On commencera avec la formation des
structures sociales, soient des clubs d’hygiène (plate-forme pour la
participation des femmes), des commissions réservoir ou de développement local,
des commissions forage (structure au niveau intermédiaire), et une structure de
direction autogérée au niveau du projet. On poursuivra avec la formation des
structures financières, soient le système de monnaie locale SEL-LETS, soit la
structure pour les micro-crédits autofinancés sans intérêts. Enfin organisera-t-on
la formation des structures productives pour la fabrication, dans le cadre des
structures financières créées, de beaucoup des produits dont on aura besoin
pour les services de base comme celui de l’alimentation en eau potable et celui
de l’assainissement. À ce point ont sera prêt à mettre en place les strcutures
de service prévues.
3.2 Participation des
groupes cibles aux +/- 260 projets rédigés au cours de l’exécution du Plan
National.
Chacun des +/- 260 projets rédigés du Plan
National établira d’abord 220 Clubs de
Santé basés sur des groupes de 40 familles (200-300 personnes). Ils
constitueront une plate-forme qui permettra aux femmes de s’organiser et de
participer en bloc aux réunions pour le développement local et de participer de
plein droit aux structures mises en place.
Une fois que les clubs de Santé sont en opération,
établra-t-on 220 commissions réservoir autrement nommées commissions locales de
développement. Elles seront basées sur les mêmes groupes de 40 familles
(200-300 personnes). Les commissions réservoir compteront de 3 à 5 personnes,
dont toutes ,ou bien la plupart, seront femmes. Elles constitueront le cœur du
projet. Les commissions réservoir nommeront à leur tour 46 commissions forage.
Les commissions forage nommeront une commission centrale à 46 membres, qui
nommera et contrôlera les activités d’une direction de projet qui aura 5-9
membres y compris les membres du secrétariat.
Etablies les commissions des réservoirs et des
forages, pourra-t-on procéder à la formation des systèmes monétaires locaux qui
donneront aux populations les moyens pour effectuer le transfert de tous les
biens et les services produits et consumés à l’intérieur de la zone du projet.
À ce point, l’art deviendra d’identifier et d’utiliser des technologies qui
permettront la production dans la zone du projet en question de la plupart des
biens et des services nécessaires au développement local avec 100% de valeur
ajoutée locale. Tels biens et services pourront être produits, installés,
entretenus, et payés dans le cadre des systèmes monétaires locaux mis en place,
sans avoir besoin de monnaie formelle. Un exemple est la possibilité de la
production, l’installation, la gestion, et l’entretien du système complet
d’assainissement à compostage à sec (éco-sanitaire) prévu des projets locaux
sans avoir besoin d’un centime de monnaie formelle. Les frais de gestion des
systèmes monétaires locaux seront couverts dans le cadre des systèmes mêmes.
Une fois que, dans le cadre de chacun des +/- 260
projets rédigés prévus. les systèmes monétaires locaux seront en place,
pourront-on faire une distinction entre ce que peut être réalisé dans le cadre
des systèmes monétaires locaux et ce qu’on doit “importer” dans la zone du
projet. Pour ce qui concerne les services urgents de base tels l’alimentation
en eau potable, fera-t-on recours au capital des bailleurs de fonds pour le
financement des biens et services qui doivent être «importés » et payés en
monnaie formelle (Euro). Pour les autres initiatives établira-t-on des
structures de micro-crédit sans intérêts. Ces structures recycleront sans
intérêts les contributions mensuelles (montant à Euro 0.60 par personne pendant
les premiers 4 ans, de suite à Euro 0,75 par personne) versées des habitants
dans leur propre Fonds Coopératif de Développement Local. On générera des
crédits sans intérêts nécessaires à l’achat des biens destinés à l’augmentation
de la productivité locale et qui ne peuvent pas être produits localement. Les
frais de gestion des structures de micro-crédit soront couverts dans le cadre
des systèmes monétaires locaux. Les Fonds Coopératifs de Développement Local
fonctionneront utilisant des fonds fournis par les populations. Les Fonds
seront les leurs. Elles en seront les propriétaires. Elles seront responsables
de leur gestion, avec le support professionnel des Coordonnateur de chaque
projet et de leurs assistants.
Une fois en place les systèmes de micro-crédit et
des monnaies locales dans chacune des zones des +/- 260 projets rédigés du
Plan, peut-on procéder à la formation des unités de production, et notamment
des usines pour la production d’articles à base de composites d’anhydrite, par
exemple des produits nécessaires aux structures d’alimentation en eau potable
tels les réservoirs, l’aménagement des forages, des récipients. Dès que leur
capacité de production ne leur permettront, commenceront-elles la fabrication
des systèmes sanitaires et d’autres articles parmi lesquels des foyers à
cuisine à rendement élevé, des dalles pour les pavés des pistes à piétons et
bicyclettes, des éléments de construction etc. Supposant que des dépôts
d’anhydrite se trouveront dans la zone du projet, la production de tels
articles aurait lieu sans qu’on ait besoin de monnaie formelle.
3.3 Impact durable des
+/- 260 projets locaux rédigés au cours de l’exécution du Plan National.
Le Plan National est constitué de la
rédaction de +/- 260 projets de développement intégré local écologique et
durable.
Le +/- 260 projets rédigés ne s’occuperont pas de
toutes les initiatives qui pourront avoir lieu dans le cadre des structures
créées dans la zone du projet en question, car elles seront aussi variées que
les désirs et l’imagination des habitants. Tout service retenu par les
habitants de la zone de chaque projet d’importance primaire pouura être en
principe encadré dans le projet. Par exemple l’établissement d’une petite
station radio locale. D’autres initiatives typiques comprendront la mise en
place de points de pasteurisation et vente du lait, la création de facilités de
stockage pour les aliments destinés à la consommation locale, la création d’une
banque de semences, le drainage et la formation des places de marché, un
service d’ambulances à bicyclettes, la construction d’écoles, l’établissement
de centres pour la distribution de medicaments.
Pour quelques’une des ces initiatives aura-t-on prévu une voix à part au
bilan ; les autres auront lieu dans le cadre des structures mises en place
du projet.
Les contributions faites par les habitants de
chaque zone de projet dans leur Fonds Coopératif de Développement Local
permettront la création progressive d’un fonds en compte capital important
(Euro 3.750.000 - Cfa 2.460.000.000 environ - sur 10 ans) à couverture des
extensions des services et du renouvellement à long terme des structures en
compte capital. Jusqu’au moment où l’on n’en eût besoin, ces fonds seront
recyclés sans intérêts pour le financement des micro-crédits. Au moment
d’utilisation de tout ou d’une partie du capital du fonds, le montant y
disponible pour les micro-crédits se réduira provisoirement. Puisque les
familles continueront à payer leurs contributions mensuelles, le fonds se
constituera de nouveau, le montant disponible pour les micro-crédits
s’augmentera de nouveau, jusqu’à ce que on n’ait besoin de faire de nouveau des
investissements en compte capital et de commencer un cycle nouveau.
La vision d’intégration globale sur laquelle le
projets rédigés au cours du Plan se base permettra aux habitants de chaque zone
de projet de recouvrir toutes, ou au moins une partie de leur contributions
mensuelles à travers des épargnes réalisées comme conséquence des résultats
directs du projet. À titre indicatif, les populations ne dvront plus par
exemple payer en monnaie formelle séparément de l’eau potable, ni acheter du
bois pour la cuisine, ni payer des frais pour le recyclage des ordures. Il se
peut même que les projets se qualifieront pour des certificats CER de réduction
d’émission de CO2 sous le traité de Kyoto. Au cas de coordination au niveau des
huit Départments ou mieux encore au niveau National, devra-t-on réussir à se
qualifier au financement indirect de l’initiatif national par moyens des
certificats CER émis aux termes de Kyoto. Supposant
des épargnes de 6.5kg de bois ou équivalent par famille par jour,
réalisera-t-on des épargnes de 65 tonnes de bois par jour, ou bien 23725 tonnes
de bois par an par projet. Converti en tonnes de CO2, cela fait 18705 tonnes de
CO2 par an. Supposant une valeur de marché de Euro 24 per tonne de CO2, le
montant du crédit disponible
s’approcherait à Euro 450.000 par projet par an par projet, en addition à
d’autres épargnes sur les frais et sur le temps dédié des femmes à la recherche
du bois. Pour 260 projets cela monte à Euro 117.000.000 (Cfa 76.750.000.000)
par an. Sur les dix ans, ces crédits souffiraient pour financer les 260 projets
prévus.
Les +/- 260 économies locales mises en place en exécution des projets
individuels prévus seront mises en réseau, soit au niveau de Départment, qu’au
niveau national. Les monnaies locales
SEL-LETS opérant au Niger et
éventuellement dans d’autres pays, auront la même base de référence. Les débits
et les crédits pourront être transférés d'un système SEL-LETS à l'autre à fin
de faciliter l'exportation et l'importation de biens et services entre les
systèmes.. Pas tous les biens et services seront transférables, car cela
pourrait porter à la fuite de richesse d'un système à l'autre. Les systèmes
SEL-LETS fonctionnent mieux lorsque les ressources financières restent
équilibrées dans chacun des systèmes. Les coordinateurs des systèmes SEL-LETS,
ayant reçu les recommandations des usagers, décideront quels biens et services
peuvent être “exportés” ou “importés”. Par exemple un produit en composites de
gypse fabriqué dans le groupe A pourrait être exporté vers le group B. De
l'étoffe faite dans le groupe B pourrait être exportée vers le groupe A. La
verdure et les fruits qui ne sont pas cultivés d’une part, pourront être
importées des autres groupes pour y augmenter la diversité de l'alimentation.
Le but du réseau est d'assurer l'équilibre des exportations et importations
entre les monnaies locales. En effet, une solde débiteuse importante d'un
groupe SEL-LETS vers un autre représenterait une fuite de ressources de l'un
vers l'autre. Les coordinateurs des groupes locaux devraient à ce point prendre
de mesures pour corriger la situation. Ils pourraient par exemple
provisoirement augmenter la gamme de biens et services exportables du groupe
débiteur vers celui créditeur, ou bien organiser des marchés spéciaux pour la
vente de produits du groupe débiteur dans la zone du groupe créditeur. La clef du succès du système reste le concept
que les exportations et les importations de chaque groupe restent en équilibre,
tendant vers le zéro.
4.1. L’expérience des demandeurs.
Elle a rédigé en collaboration avec
Elle a constitué un parténariat pour la mise en
exécution du projet «Vivons Makalondi » et a participé à la
rédaction de la demande de financement initial au Fonds Schokland Hollandais
qui devra permettre la réalisation du projet même.
- CARITAS-NIGER
-
ASSOCIATION « SOUTIEN POUR LE NIGER » France
-
AMBASSADE DE France AU NIGER
-
AMBASSADE D’Allemagne AU NIGER
-
BANQUE MONDIALE NIGER
- DED-NIGER
- FORUM DE MAKALONDI ,c'est comitè
d'association de lutte contre la coupe abusive du bois.
- IRCOD
-
PMR/RFA
- RAIL:reseau des acteurs intervenant dans
la lutte contre le sida et les infections sexuellement transmissibles
- RENAJS:reseau national des associations
de jeune de lutte contre le sida au NIGER
- STICHTING BAKENS
VERZET ,PAYS BAS
-Aider les organisations paysannes à concevoir et
à exécuter des projets générateurs de
revenus.
-Promouvoir à la sécurité alimentaire, de l’élevage, de l’artisanat ,de
la transformation ,conservation des produits agro-pastoraux.
-Susciter l’épargne aux niveaux des groupements
afin de permettre l’accès au crédit interne et externe pour le développement de
leurs activités.
-Lutter pour la protection et l sauvegarde de
l’environnement (désertification,faune …)
-Sauvegarde
de la forêt classé de Fayra.
-Aider à la promotion des annonces féminines.
Les nouveaux concepts lancés dans le cadre du
projet Vivon Makalondi ont permi à
Pour l’exécution du Plan National
4.2.Expertise technique
suffisante pour mettre en œuvre l’action.
L’exécution de l’action pour la rédaction du Plan
National proposé sera mis aux mains d’un groupe d’étudiants chargés de la
rédaction de +/- 260 projets locaux aux termes du Modèle. Les demandeurs seront
les coordonnateurs du projet.
Le premier coordonnateur nommé à
l’endroit pour l’exécution du Plan National
est M. ONADJA Victor, né en 1976
à Garango (Burkina-Faso) prépare un DESS en marketing et commerce international
au graduate school of management
(ESG ) à Niamey, a obtenu son
diplôme universitaire en marketing et management à l’école supérieur de
commerce et d’informatique à Ouagadougou (Burkina-Faso) ,a occupé
plusieurs fonctions de responsabilités dans des sociétés, a travaillé pour donner à l’ONG sa confiance actuelle. Il
s’est spécialisé à l’introduction du programme d’alphabetisation Arc-en-Ciel au Niger, travaillant avec Mme
Sabine Marciniack et M. Felix Terigaba dit Félix Lompo, président de l’Association Naabi-Aba.
Il est responsable, comme directeur de
Le
deuxième coordonnateur nommé, Terrence Edward MANNING, est directeur de l’ONG
Hollandaise Bakens Verzet. Il est l’auteur du Modèle innovateur de
développement intégré sur la base duquel ce projet a été rédigé.
5. Le bilan de l’action pour la rédaction du Plan
National
5.1. Le bilan pour la rédaction du Plan National
même
Activités |
Dépenses |
Total Euros |
|
1. Ressources Humaines |
|
|
1.01 Salaires (montants brut,
personnel local) |
|
|
1.01.01 Technique |
|
1010101 |
1.01.01.01 Coordonnateur V.Onadja (niveau pro-diem)
6 mois, libre tous taxes |
35.000 |
1010102 |
1.01.01.02 Deuxième coodonnateur (niveau
pro-diem) 6 mois, libre tous taxes |
35.000 |
|
Total 1.01 |
70.000 |
1010201-1010250 |
1.01.2 Administratif/personnel soutien salaire Euro
500 par mois pendant 6 mois 50 étudiants pendant 6 mois |
150.000 |
|
Total 1.02 |
150.000 |
1010301- 1010310 |
1.01.03 10 Chauffeurs pendant 1 mois (payé du principal) |
|
|
Total 1.03 (charge principal) |
0 |
|
1.SOUS-TOTAL RESSOURCES HUMAINES
|
220.000 |
|
2.
Voyages |
|
|
2.01 Voyages internationaux. |
|
20101 |
2.01.01 Consultant projets intégrés
Amsterdam-Niamey 4 vols retour sur 6 mois @ Euro 2.500 |
10.000 |
|
Total 2.01 |
10.000 |
|
2.02 Trajets locaux |
|
20201 |
2.02.01 Trajets Niamey- Départments pour
recherches 10 voitures sur 30 jours 300 voyages
x 2 personnes (chauffeur + rechercheur) 600 nuits x Euro 20 |
12.000 |
|
Total 2.02 |
12.000 |
|
2. SOUS-TOTAL VOYAGES |
22.000 |
|
3.
Bureau local/coûts de l’action |
|
|
3.01 Coût des véhicules |
|
30101-30110 |
10 Voitures 300km/jour x 30 jours Véhicules prétês du
principal |
22.500 |
|
Sous-total 3.01 |
22.500 |
|
3.02 Location des bureaux et équipements |
|
30201 |
3.02.01 Utilisation d’une ou plusieurs salles
avec meubles aurpès de l’Université de Niamey pendant 6 mois. À la charge de
l’Université de Niamey. |
0 |
3020201-3040250 |
3.02.02 Utilisation de
50 ordinateurs pendant 6 mois À la charge de l’Université de Niamey. |
0 |
3020301-3040304 |
3.02.03 Utilisation
de 4 printers pendant six mois. À la charge de l’Université de Niamey. |
0 |
3040401-3040420 |
3.02.04 Utilisation de
20 téléphone mobiles dont 10 pendant 1 mois et 10 pendant 6 Mois Mis à la
disposition par le Principal |
0 |
|
Sous-total 3.02 |
0 |
|
3.03 Consommables-Fournitures
de bureau |
|
30301 |
3.03.01 Papier, toner, et fourniture générale pour
bureaux exclusif CD’s. Fourniture initiale Euro 500, 6 mois @ Euro 250
Achats locaux. |
2.000 |
30302 |
3.03.02 3000 CD’s
vides Soit 10 par projet +
400 pour bakc-up etc |
3.000 |
|
Sous-total 3.03 |
5.000 |
|
3.04 Autres services (tél./ électricité/chauffage/maintenance) |
|
30401 |
3.04.01 Téléphones mobiles 10 unités pendant 1 mois (en
voyage) @ Euro 300. |
3.000 |
30402 |
3.04.02 Téléphones mobiles 10 unités pendant 6 mois (à
Niamey) @ Euro 100. |
6.000 |
30403 |
3.04.03
Électricité et services À la
charge de l’Université de Niamey. |
0 |
30404 |
3.04.04
Maintenance voitures (à la
charge du Principal) |
0 |
30405 |
3.04.05
Maintenance ordinateurs (à la
charge de l’Université de Niamey) |
0 |
30406 |
3.04.06
Permis et formalités Aucun
prévu. |
0 |
|
Sous-total 3.04 |
9.000 |
|
3. SOUS-TOTAL BUREAU LOCAL/COÛTS DE L’ACTION |
36.500 |
|
4. Autres coûts, services |
|
|
4.01 Coûts d’évaluation |
|
40101 |
4.01.01
Évaluation fin projet Pro-memorium |
0 |
|
4.02 Services financiers |
|
40602 |
4.06.02 Frais bancaires (Ouverture et opération compte
du projet) |
50 |
|
4.09 Assurances
|
|
40901 |
4.09.01 Responsabilité civile tiers(véhicules –
bureaux - ateliers) Pro-memorium
– à discuter |
0 |
|
4. SOUS-TOTAL AUTRES
COÛTS, SERVICES
|
50 |
|
5. Sous-total des
coûts directs éligibles de l’action (1-5) |
278.550 |
|
6. Imprévus (max.
7,15% de 5) 7,7% environ de Euro
278.550 |
21.450 |
|
7. Total des coûts directs
éligibles de l’action (5+6) |
300.000 |
5.2. Le bilan des 260 projets prévus aux termes du Plan National (pour 13.500.000 habitants)
Il faut mulitplier le bilan
au point 5.2 ci-dessus par 260.
La valeur totale de tous les projets ensemble monte
à Euro 1.300.000.000, dont le 25% environ à la charge des populations locales.
Le montant en monnaie formelle en Euro total nécessaire pour la couverture
nationale sera Euro 975.000.000.
Période de réalisation des 260 projets : Décembre
2015.
5.3 L’ordre de priorité pour l’exécution des 260 projets
L’ordre de priorité finale est une décision
politique du gouvernement Nigéien.
Des recommandations seront établies dan le rapport accompagnant
le Plan National, basées sur les statistiques officielles disponibles et les
rapports livrés des dix rechercheurs du Plan suites à leurs visites sur lieu
pendant les premiers 30 jours.
Les critéria appliquées seront:
1.
Les zones rurales les plus pauvres dans des départments les plus
pauvres.
2.
Les zones rurales les plus pauvres dans des autres départements
3.
Les zones rurales moins pauvres des départments les plus pauvres
4.
Les zones rurales des départments moins pauvres
5.
Les villes des départments les plus pauvres
6.
Les villes des déaprtments moinds pauvres.
On préfère donner exécution aux projets dans les
zones rurales avant de le faire dans les villes pour bloquer et reverser
l’exode rural (la migration) vers les
villes.
5.4 Informations supplémentaires
Pour toute information
supplémentaire se référer au website www.flowman.nl
de
Fin du Projet : Plan National de développement intégré “Niger
Return to:
“Poverty is created scarcity”
Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th
annual NGO Conference, United Nations,
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