“Faisons-le bien”
Édition 02: 10 Décembre,
2008
Chapitre 05: L’ordre de séquence de l’exécution des acivités du projet.
05.46 Les structures pour l’éducation publique.
Le
projet n'a pas pour but de se substituer à l'état en ce qui concerne les structures
scolastiques présentes dans la région, sauf pour l'installation de systemes
sanitaires la où nécessaires, la fourniture en eau potable pour les enfants,
et, éventuellement, l'installation de systèmes d'éclairage là où on décide de
faire commencer des leçons le soir au bénéfice des adultes. Le projet collaborera avec le Ministère de
Éducation Publique pour promouvoir l’éducation formelle complète dans la zone
du projet à fin d’y achêver tous les objectifs du Millénnaire relatifs à
l’éducation entre 2015. Là où le Ministère ne réussira pas a fournir des
équipements ou des services d’enseignants, le projet lui-même s’efforcera d’en
assumer la responsabilité.
Les
investissments en monnaie formelle nécessaires aux structures des écoles ne
sont pas bien adaptés au recyclage rapide et sans intérêts qui est à la base
des projets de développement intégré autofinancé. Des contributions de la part
du Ministère aux frais des écoles sont de conséquence retenues nécessaires.
Le
projet n’a pas pour but aucun changement du ou adaptation au curriculum
scolastique national, sauf pour l’inclusion de cours d’hygiène prévus.
Le système scolastique dans la région est presque
totalement à la charge des parents des élèves. Les associations des parents
essaient de trouver à la mésure de leurs moyens des solutions idoines aux
problemes auxquels les écoles sont confrontées, qui sont nombreux et graves.
Il s'agit :
a) d'un manque d'infrastructure
immobilière
b) d'une insuffisance mobilière
c) d'un manque de matériel didactique
d) d'une insuffisance de personnel enseignant
Le projet créera, néamoins, des
institutions importantes à l'amélioration du système scolastique de la zone du
projet telles:
a) Les commissions réservoir
b) Un système SEL-LETS de monnaie locale
c) Des usines pour la production d’articles en composites de gypse.
d) Des matériaux disponibles localement.
Dans la pratique beaucoup des biens et services
disponibles localement et nécessaires aux structures éducatives peuvent être
payés dans la monnaie locale SEL-LETS créée du projet. Ces biens et services
peuvent comprendre :
a) Des services d’enseignants disponibles à
travailler (à plein temps ou à complément de leurs salaires étatiques) dans le
cadre du système SEL-LETS pour un salaire exprimé (éventuellement
partiellement) en crédits SEL-LETS
b) Des éléments en composites de gypse à utiliser pour les constructions, y
comprises des structures portantes.
c) Des meubles scolastiques en composites de gypse pour les écoles.
d) L’utilisation de matériaux disponibles localement.
e) La réproduction de matériel didactique à
travers des systèmes TV à énergie photovoltaïque et/ou à travers des services
de rèproduction documentaire mis à la disposition des écoles de la part de
consultants locaux établis avec le support du système de micro-crédit prévu.
La construction des facilités
mentionnées pourra commencer dès l’établissement des structures sociales et
financières prévues.
Les commissions réservoir
pourront prendre, avec le permis des autorités locales et celui des organes du
Ministère de Éducation, des initiatives concernant les écoles situées dans leur
territoire. La codification des membres du système SEL-LETS prévu permettra la
possibilité d'identifier les parents des élèves de chacune des écoles. Les
populations décideront au cours de réunions convoquées par les commissions
réservoir, quels frais devront être distribués parmi toutes les familles et
quels frais (en monnaie locale SEL-LETS) devront être à la charge des seuls
parents des élèves.
05.46.1 ÉCOLES PRIMAIRES.
Une
fois établies les structures sociales et financières prévues prévues du projet,
peut-on comencer avec la construction rapide d’aussitôt d’écoles primaires dont
on puisse avoir besoin, en tenant présent les structures déjà existantes. En
manque de financements de l’état, les écoles seront construites dans le cadre
du système de monnaie locale établie en se servant de la main d’œuvre et
matériaux locaux. Tandis des contributions du Ministère de l’ëducation sont
attendues et bienvenues, les écoles peuvent être payées des habitants servis de
l’école qui évidemment en deviendront par conséquence les propiétaires. La
propriété legále relative aux structures sera investie dans de tels cas dans
les commissions réservoir dans les zonea desquelles les écoles seront
construites.
Les
dervices de base des écoles, tels l’eau potable, les structures éco-sanitaires,
la récolte des eaux pluviales à utilisation générale, et l’éclairage
photovoltaïque sont déjà encadrés dans le projet. Au cas de la construction
d’une école peut-elle incorporer la function d’une salle d’études à éclairage
photovoltaïque, déjà prevue au bilan du projet au niveau des commissions
réservoir.
Les
écoles primaires devraient être situées auprès des maisons des élèves pour
éviter que les élèves doivent consacrer trop de temps pour les atteindre. Les
écoles établies du projet resteront petites, avec une classe pour chaque niveau. Le (pays) connait (nombre) de classes à
l’école primaire. L’éducation de base commanece à (âge) pour la classe 1 et termine à (âge) à la classe (nombre).
Un objectif raisonnable de base pour le nombre d’élèves
dans chaque classe (sans y laisser des marges pour l’inclusion d’enfants
handicappés) est 18.
Le nombre de classes (nombre)
multiplié de le numéro standard d’élèves par classe (18) donne (numéro) d’élèves moyennement par école.
Chaque commission
reservoir a moyennement (numéro) enfants âgés (5 à 12) pour attendre une école
primaire. Au cas d’écoles à dimensions petites, peut-on prévoir la présence de
deux sections par classe.
Le numéro de commissions
réservoir nécessaires à fournir une école primaire est,. en principe, donc (numéro).
La quantité d’écoles primaires
à constuire par conséquence est prévue en (quantité). La construction des
écoles dépende de la disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème le
plus grave à l’expansion des facilités
éducatives dans le cadre du projet.
En (pays) les étudiants ayant
complété (niveau de qualification) se qualifient automatiquement comme
enseignants primaires. Beaucoup d’etudiants ainsi qualifiés et provenant de la
zone du projet se trouvent actuellement dans les grandes villes à la recherché
d’un emploi. L’amélioration générale de la qualité de vie dans la zone du
projet devrait suffir à encourager leur rentrée à leurs villages d’origine, en
particulier là où le projet pourra les offrir une accommodation appropriée
gratuite.
On attend à ce que le Ministère
de l’Éducation Publique soit disponible à payer aux enseignants un salaire là
où une école avec accommodation pour l’enseignant est construite en tout ou
partiellement à la charge des habitants locaux. Éventuellement une partie du salaire
des enseignants pourrait être payée du Ministère et une partie des habitants.
La partie éventuellement à la charge des habitants pourra être payé de la
communauté locale ou des parents des élèves dans le cadre du système de monnaie
locale établi du projet. Au cas de défaut total ou partiel de la part du
Ministère, les enseignants disponibles à travailler entièrement dans le cadre
du système monétaire local pourront être payés en tout cas de la communauté
locale (à voir, la communauté totale ou des seuls parents des élèves) dans le
cadre du système de monnaie locale.
Des cours de formation des
enseignants qui rentrent à leur zone d’origine leur seront disponibles. En
principe, tel scours devraient être mis à la disposition de la part du
Ministère de l’Éducation. Au cas de défaut du Ministère, le projet cherchera
l’assistance des ONG spécialisées dans le secteur de la formation des
enseignants. Au cas de manque d’une telle assistance de la part des ONG
internationales, le projet nommera et payer (dans le cadre du système de
monnaie locale établi) les enseignants locaux les mieux qualifiés et avec la
plus grande expérience pour réaliser une formation supplétive aux jeunes
enseignants.
05.46.2 LES ÉCOLES SECONDAIRES.
Une école de deuxième niveau peut
être en principe prévu pour chaque zone de commission forage. Avec ( ) commissions forage dans la zone,
prévoit-on donc ( ) écoles de deuxième
niveau dans la zone du projet.
La construction des écoles
dépendra de la disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème de base
relatif à l’expansions des facilités
éducatives dans la zone du projet.
En (pays) les étudiants ayant
complété (niveau de qualification) se qualifient automatiquement comme
enseignants au niveau de l’éducation secondaire. Beaucoup d’etudiants ainsi
qualifiés et qui proveniennent de la zone du projet se trouvent actuellement
dans les grandes villes à la recherché d’un emploi. L’amélioration générale de
la qualité de vie dans la zone du projet devrait suffir à encourager leur rentrée
aux villages d’origine, en particulier là où le projet pourra les offrir une
accommodation appropriée gratuite.
On attend à ce que le Ministère
de l’Éducation Publique soit disponible à payer aux enseignants un salaire là
où une école avec accommodation pour l’enseignant est construite en tout ou
partiellement à la charge des habitants locaux. Éventuellement une partie du
salaire des enseignants pourrait être payée du Ministère et une partie des
habitants. La partie éventuellement à la charge des habitants pourra être payé
de la communauté locale ou des parents des élèves dans le cadre du système de
monnaie locale établi du projet. Au cas de défaut total ou partiel de la part
du Ministère, les enseignants disponibles à travailler entièrement dans le cadre
du système monétaire local pourront être payés en tout cas de la communauté
locale (à voir, la communauté totale ou des seuls parents des élèves) dans le
cadre du système de monnaie locale.
Des cours de formation des
enseignants qui rentrent à leur zone d’origine leur seront disponibles. En
principe, tel scours devraient être mis à la disposition de la part du
Ministère de l’Éducation. Au cas de défaut du Ministère, le projet cherchera
l’assistance des ONG spécialisées dans le secteur de la formation des
enseignants. Au cas de manque d’une telle assistance de la part des ONG
internationales, le projet nommera et payer (dans le cadre du système de
monnaie locale établi
On ne prévoit aucune forme de
transport public spécifique pour les élèves du deuxième niveau. On attend bien
le développement d’un système de transport public general au cours de
l’exécution du projet. On prévoit aussi la construction d’un réseau de sentiers
de communication améliorés pour piétons et bicycles sur tout le térritoire du
projet.
Les écoles de deuxième niveau
se trouvereront d’habitude dans un rayon de 2-3 kilomètres des maisons des
élèves.
Le projet pourra decider
d’établir des groupes coopératifs d’achat et/ou fournir des subventions à
l’achat de bicyclettes pour permettre aux enfants d’arriver à leurs écoles. La
présence des bicyclettes dans la zone du projet augmenterait la mobilité aussi
d’autres membres de la famille.
05.46.3 L’ÉDUCATION TERTIAIRE.
Les enfants de la zone du
projet en possession de leurs certificates d’éducation de deuxième niveau ont
le droit aux termes de
Les études tertiaires ne
seront-elles pas, en général, disponibles au niveau du projet.
Les écoles techniques les plus
prôches de la zone du projet se trouvent à
(lieux) à une distance de (km).
L’université la plus prôche se
trouve à (lieu), à une distance de (km).
Les étudiants capables ont le
droit, cas échéant, au support de leur communauté d’origine. Le niveau de tel
support dépende des bourses et des services mis à la disposition des étudiants
de la part des autorités nationales et régionales.
Les bourses et les services à
la disposition des étudiants de la zone du projet sont:
(description des bourses et des services)
La
population de la zone du projet a un intérêt propre direct à ce que ses jeunes
étudiants puissent se qualifier dans leurs spécialités choisies pour qu’ils
puissent exercer leurs professions dans la zone du projet meme et contribuer à
long terme à son développement. À ce but, le projet pourra établir les bourses
d’études soit en monnaie formelle soit en monnaie locale.
Les
bourses en monnaie formelle seront payées du Fonds Coopératif d’Éducation
établi du projet. Les communautés peuvent contribuer à ce Fonds au niveau des
commission forage, et éventuellement au niveau central du projet. Les membres du Fonds payeront une petite contribution
mensuelle au Fonds Coopératif Éducation (bourses). Le Fonds fournira des
subsidies aux commissions forage à favoriser les études avancées des’étudiants
y résidentes. Les commissions forage décideront comment effectuer la
distribution des fonds disponibles entre les étudiants et leurs familles.
Le
projet s’éfforcera à jeter les bases pour la formation d’un institut de cours
propédeutiques dans la zone du projet, offrant des cours sur un ou deux ans de
préparation propédeutique aux études universitaires suivantes. Un tel institut
ne rentre pas pourtant dans les capacités autonomes du projet car il implique
un niveau d’investissments en monnaie formelle au de là des possibilités du projet. Il ne pourra se
réaliser qu’avec la participation d’une ou plusieurs universités et du
Ministère de l’Éducation Publique. Au même temps les frais de gestion de
l’Institut pourront être réduits d’une manière importante, en donnant une
stimulation aux investisseurs. En effet, beaucoup des services relatifs à la
gestion journalière de l’Institut pourront être executés dans le cadre de la
monnaie locale avec la participation de population locale aux frais de gestion.
Des exemples en seraient la mise a disposition gratuite du terrain, la
supervision des structures y compris la gestion des zones verdes, les services
de nettoyage et de restauration, et le transport des étudiants.
05.46.4 ÉCOLE MÉTIERS.
On prévoit l´institution à
Makalondi au niveau du projet d´un collège technique pour les métiers.
On espère que le collège puisse
être établi entièrement dans le cadre du système de monnaie locale. Les
enseignants devront par principe venir de la zone du projet. Ils seront payés
dans la cadre du système de monnaie locale. On attend que l´école soit
construite dans le cadre du système de monnaie locale, entre d’autres des
élèves mêmes.
Les étudiants et leurs familles
payeront une petite contribution en monnaie formelle dans le Fonds
Coopératif d´Éducation (métiers) pour
couvrir les dépenses en monnaie formelle à couverture des coûts des matériaux
et équipements qui ne peuvent pas être produits localement.
05.46.5 L’ACHÈVEMENT DES
OBJECTIFS DU MILLÉNNAIRE.
Objectif 2
: Assurer l’éducation primaire à tous.
Cible 03
: D’ici à 2015, donner à tous les
enfants, garçons et filles, partout dans
le monde, les moyens d’achever un cycle complet d’études primaires. (UNESCO).
Indicateur
06 : Taux net de scolarisation dans le primaire. (UNESCO)
Il
s’agit d’avoir informations sur le pourcentage d’enfants qui effectivement
assistant aux leçons, car les enfants peuvent être formellement enregistrés aux
écoles sans, pour des raisons diverses, pouvoir assister aux leçons.
En
principe, TOUS les enfants dans la zone de projet bénéficieront soit d’un cycle
complet d’études primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.
Le
projet peut se server du système de monnaie locale établi pour construire des
écoles neuves près des habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau
potable, et de structures d’assainissement. La population peut payer ces
structures ou faire une contributaon à leur coût à condition que la main
d’œuvre et les matériaux usés proviennent de la zone du projet même. Des
enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant
de commencer des activités dans l’enseignement et qui sont disponibles à
travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie
locale établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas,
l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de
deux ou trois années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendera de la présence
d’enseignants. Elle peut aussi, tout au moins partiellement, dépendre sur la
possibilité du Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de
leur salaire en monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de
travailler dans le cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux de scolarisation dans l’éducation primaire du pays où le projet a lieu
deviendra-t-il toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les
statistiques représentant la situation nationale. jusqu’à achever le 100%.
Évaluation
: Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet
qui participent effectivement aux cours d’etudes primaires sur une période de
24 mois avec celui valable pour la zone du projet avant le commencement du
projet.
Indicateur 07 : Proportion d’écoliers commençant dans la
première année d’études dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième
(UNESCO)
En principe,
TOUS les écoliers dans la zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet
d’études primaires en commençant dans la première année d’études dans
l’enseignement primaire et achevant la cinquième. Le projet peut se server du
système de monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des
habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de
structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire
une contributaon à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux
utilisés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés,
ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités
dans l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement ou
entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront
commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète
pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années. Donc,
tous les écoliers commençant dans la première année d’études dans
l’enseignement primaire achevront la cinquième.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendera de la presence
d’enseignants. Elle peut dépendre aussi, tout au moins partiellement, sur la
possibilité du Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de
leur salaire en monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de
travailler dans le cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux d’écoliers commençant dans la première année d’études dans
l’enseignement primaire qui achevront la cinquième dans le pays où le projet a
lieu deviendra-t-il toujours plus
facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la
situation nationale, jusqu’à achever le 100%.
Évaluation
: Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet
commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire et
achevant la cinquième avec celui valable pour la zone du projet avant le
commencement du projet.
Indicateur
08 : Taux d’alphabétisation des 15-24 ans. (UNESCO)
En
principe, TOUS les enfants dans la zone de projet bénéficieront soit d’un cycle
complet d’études primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.
Cela
signifie que le taux d’alphabétisation des 15-24 ans dans la zone du projet
achèvra automatiquement le 100% avec le passage d’un cycle complet d’éudes.
Un
taux d’alphabétisation des jeunes qui se trouvent dans le groupe des 15-24 ans
au moment du commencement du projet ne peut pas être garanti étant donné le
manque d’obligation de donner suite aux études déjà faites. Le projet fournira
200 salles d’études à éclariage photovoltaïque auprès des habitations, et pour
l’éclairage photovoltaïque dans les écoles, pour que l’on puisse y suivre les
cours le soir. Une réduction générale de la charge du travail sur les femmes
sera l’un des résultats importants de l’exécution du projet. On confie par
conséquence de faciliter ainsi la participation des femmes aux cours de soir.
Des
enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant
de commencer des activités dans l’enseignement qui sont disponibles à
travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie
locale établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas,
l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de
deux ou trois années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendera toutefois de la presence
d’enseignants. Elle dépendra au moins partiellement sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux d’alphabétisation des 15-24 ans
deviendra-t-il toujours plus
facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la
situation nationale jusqu’à achever le 100%.
La section 05.16 La
création de structures de sécurité sociale présente en détail le système de
sécurité sociale à trois niveaux qui
permettra même aux plus pauvres de suivre des cours d’alphabétisation et
d’etdudes.
Évaluation : Le nombre d’écoles et de classes dans chaque
zone de projet. Le nombre d’enseignants travaillant dans le secteur formel
(salaire payé du Ministère de l’Éducation) , ceux travaillant partiellement dans
le secteur formel et partiellement dans le cadre du système de monnaie locale
établi du projet, et ceux travaillant exclusivement dans le cadre du système de
monnaie locale établi du projet. Les statistiques sur l’utilisation du système
de sécurité sociale à trois niveaux établi du projet.
Objectif 3
: Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
Cible 04
: Éliminer la disparité en les sexes
dans les enseignements primaire et secondaire
d’íci à 2005 si possible, et en tous les niveaux d’enseignement en 2015
au plus tard.
Indicateur 09 : Rapport filles/garçons dans
l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur, respectivement.(UNESCO)
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans la
zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, ratio 1 :
1. Le projet n’a aucun contrôle sur l’accès des jeunes filles aux cours
tertiaires, mais la proportion de jeunes filles contre garçons préparées pour
accéder à l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet
prévoit l’institution d’une école pour l’ensiegnement des métiers à situer à
Makalondi.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en execution,
le rapport filles/garçons dans l’enseignement primaire, secondaire, et
supérieur devrait achever 1 : 1.
Évaluation :
le nombre et le sexe des enfants qui effectivement assistent aux cours des
écoles primaires, secondaires, propadéutiques, et de l’école métiers. Ceux de
la zone du projet qui suivent des cours d’éducation tertiaire ailleurs.
Indicateur 10 : Taux d’alphbétisation des femmes de 15 à
24 ans par rapport à celui des homes.(UNESCO)
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans la
zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, en rapport
1 : 1. Le projet n’a aucun contrôle cependant sur l’accès aux cours
tertiaires, mais le rapport de jeunes filles contre garçons préparées pour
accéder à l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet prévoit l’institution d’un cours propedéutique
au niveau central pour hommes et femmes, à situer à Makalondi.
Cela signifie qu’avec le passage de quelques années, la
proportion de jeunes femmes de 15 à 24 ans deviendra automatiquement elle-aussi
1 :1 sans aucune disparité entre les sexes.
Toutes les femmes participeront d’ailleurs aux cours
d’éducation à l’hygiène.
Un taux d’alphabétisation de 100% d’entre les jeunes de 15 à 24 ans au moment
de commencement du projet ne peut pas être toutefois garanti, car la
participation d’adultes aux cours d’éducation n’est pas obligatoire. Le projet
prévoit 200 salles d’études à éclariage photovoltaïque, et de l’ éclariage
photovoltaïque aux écoles pour y favoriser les cours le soir. Une réduction
génerale du charge du travail sur les femmes devrait les permettre à assister à
ces cours.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en execution,
toute disparité en les sexes dans les inseignements
Devrait
se réduire jusqu’à achever le 0%.
Évaluation :
Le nombre de personnes (en particulier le nombre de femmes) qui assistent aux
cours le soir. Faire comparaison entre les statistiques valables au moment de
commencement du projet et celles suite à l’implémentation du projet.
Indicateur
11: Pourcentage de salariées dans le secteur non agricole qui sont femmes.
(ILO)
L’indicateur 11 fait réfèrence à des concepts economiques
traditionnels pas retenus applicables au
projet. Le projet est coopératif et ne prévoit pas de création d’emplois
«salariés » . Il support des initiatives individuelles, familiales et
coopératives à faveur de l’augmentation de la productivité locale. Les
structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec celles
existantes ; elles ne les remplacenet pas.
Les relations traditionnelles employeur-salarié ont lieu librement dans
le sphère du système à monnaie formelle, mais le projet n’y donne pas de
support direct.
Les femmes jouent un rôle majoritaire dans la gestion de
toutes les structures du projet, y compris le ssytème de financement à travers
les micro-crédits sans intérêts établi au cours de l’une des premières
phases d’exécution du projet. Les activités productives reconnues des femmes
comprennent celles non-monétisées, celles effectuées dans le cadre du système
de monnaie locale établi, et celles effectuées dans le cadre du système de
monnaie formelle.
La
section 08.20 Droits de la femme du
projet illustre comment on promouve et défende les droits des femmes et des
jeunes filles dans la zone du projet.
Évaluation:
L’analyse des activités productives réelles des femmes comparées avec celles
valables au commencement du projet. Analyse de l’amélioration de la qualité de
vie des femmes au moment du contrôle en comparaison avec celle valable au
moment de commencement du projet.
Indicateur
12 : Proportion de sièges occupés par des femmes au parlement national (IPU)
Le projet ne
couvre pas directement l’indicateur 12.
Les
structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec celles formelles du système économique traditionnelle.
Le projet prévoit beaucoup de structures sur trois niveau gérées par des
habitants locaux choisis directement des populations. Une participation
majoritaire de femmes dans toutes les structures et à tous les niveaux est
assurée. Les femmes reçoivent par conséquence une préparation extensive dans
l’exercice de leurs droits dans le cadre du procès démocratique introduit au
cours du projet. Elles prennent responsabilité des structures du projet à tous
les niveaux. Ceci peux faciliter leurs qualifications pour être candidates à
l’occasion d’élections parlementaires et les garantir une base élective.
La zone du projet même n’est pas suffisament grande pour pouvoir exprimer un membre de parlement propre, que ce soit homme ou femme.
Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en execution, le taux de femmes membres du parlement devrait-il devenir toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale
Évaluation: La participation effective des femmes à la
gestion des structures du projet. Les
statistiques sur les femmes qui participent
aux structures politiques locales dans la zone du projet après une première
période de 24 mois en comparaison avec celles pour la zone du projet au moment
de commencement de l’exécution du projet.
File suivant:
05.47 La création des structures pour la santé..
File précédent:
05.45 Les structures d’élimination des risques de la
fumée dans les ménages.
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Programme principal du projet Makalondi.
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