ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
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Édition
01 : 19 Novembre, 2013.
Les structures pour l’éducation publique.
“Au cas de transfert par les pays
riches du montant qu’ils dépensent sur une période d’à peine six jours pour
leurs activités militaires à l’aide au développement à faveur de l’éducation de
base, pourrait-on faire face au déficit de US$16 billion qui manque à
l’éducation globale pour achever les objectifs de l’Education pour Tous, que
tous les enfants puissent aller à l’école avant
Le
projet n'a pas pour but de se substituer à l'état en ce qui concerne les
structures scolastiques présentes dans la région, sauf pour l'installation de
systèmes sanitaires la où nécessaires, la fourniture en eau potable pour les
enfants, et, éventuellement, l'installation de systèmes d'éclairage là où on
décide de faire commencer des leçons le soir au bénéfice des adultes. Le projet
collaborera avec le Ministère de Éducation Publique pour promouvoir l’éducation
formelle complète dans la zone du projet à fin d’y achever tous les objectifs
du Millénaire relatifs à l’éducation entre 2015. Là où le Ministère ne réussira
pas a fournir des équipements ou des services d’enseignants, le projet lui-même
s’efforcera d’en assumer la responsabilité.
Tandis
que la construction d’écoles et celle de leur mobilier scolaire peut avoir lieu
dans le cadre du système local d’échanges prévu, certains investissements
complémentaires en monnaie formelle ne sont pas bien adaptés au recyclage
rapide et sans intérêts qui est à la base des projets de développement intégré
autofinancé. Des contributions de la part du Ministère aux frais des écoles
sont de conséquence retenues nécessaires, surtout pour équipements tels
tableaux noirs et manuels et cahiers scolaires jusqu’au moment où ils ne soient
productibles localement.
Le
projet n’a pas pour but aucun changement du ou adaptation au curriculum
scolastique national, sauf pour l’inclusion des cours d’hygiène prévus.
Le système
scolastique dans la région est presque totalement à la charge des parents des
élèves. Les associations des parents essaient de trouver à la mesure de leurs
moyens des solutions idoines aux problèmes auxquels les écoles sont
confrontées, qui sont nombreux et graves.
Il s'agit :
1) d'un manque d'infrastructure immobilière.
2) d'une insuffisance mobilière.
3) d'un manque de matériel didactique.
4) d'une insuffisance de personnel enseignant.
Le projet créera, néanmoins, des institutions
importantes à l'amélioration du système scolastique de la zone du projet
telles:
a) Les commissions réservoir.
b) Un système local d’échanges SEL -LETS.
c) Des usines pour la production d’articles en composites de gypse.
d) Des matériaux disponibles localement.
Dans la pratique beaucoup des biens et services
disponibles localement et nécessaires aux structures éducatives peuvent être
payés à travers le système local SEL -LETS créé du projet. Ces biens et
services peuvent comprendre :
a) La construction des écoles. Il s’agit de
structures simples de base utilisant les méthodes de construction
traditionnelles de
b) Des services d’enseignants disponibles à
travailler (à plein temps ou à complément de leurs salaires étatiques) dans le
cadre du système SEL -LETS pour un salaire exprimé (éventuellement
partiellement) en crédits SEL -LETS.
c) Des éléments en composites de gypse à utiliser pour les constructions, y
comprises des structures portantes.
d) Le mobilier scolaire en composites de gypse pour les écoles.
e) L’utilisation de matériaux disponibles localement.
f) La reproduction de matériel didactique à
travers des systèmes TV à énergie photovoltaïque et/ou à travers des services
de reproduction documentaire mis à la disposition des écoles de la part de
consultants locaux établis avec le support du système de micro -crédit prévu.
La construction des facilités mentionnées pourra
commencer dès l’établissement des structures sociales et financières prévues.
Les commissions
réservoir pourront prendre, avec le permis des autorités locales et celui des
organes du Ministère de Éducation, des initiatives concernant les écoles
situées dans leur territoire. La codification des membres du système SEL -LETS
prévu permettra la possibilité d'identifier les parents des élèves de chacune
des écoles. Les populations décideront au cours de réunions convoquées par les
commissions réservoir, quels frais devront être distribués parmi toutes les
familles et quels frais (en unités de compte SEL -LETS) devront être à la
charge des seuls parents des élèves.
Écoles primaires.
Une fois établies les
structures sociales et financières prévues du projet, peut-on commencer avec la
construction rapide d’aussitôt d’écoles primaires dont on puisse avoir besoin,
en tenant présent les structures déjà existantes. En manque de financements de
l’état, les écoles seront construites dans le cadre du système local d’échanges
établi en se servant de la main d’œuvre et de matériaux locaux. Tandis des
contributions du Ministère de l’éducation sont attendues et bienvenues, les
écoles peuvent être payées des habitants servis de l’école qui évidemment en
deviendront par conséquence les propriétaires.
La propriété légale
relative aux structures sera investie dans de tels cas dans les commissions
réservoir dans les zones desquelles les écoles seront construites.
Les services de base des
écoles, tels l’eau potable, les structures éco -sanitaires, la récolte des eaux
pluviales à utilisation générale, et l’éclairage photovoltaïque sont déjà
encadrés dans le projet. Au cas de la construction d’une école peut-elle
éventuellement incorporer la fonction d’une salle d’études à éclairage
photovoltaïque, déjà prévue au bilan du projet au niveau des commissions
réservoir.
Les écoles primaires
devraient être situées auprès des maisons des élèves pour éviter que les élèves
doivent consacrer trop de temps pour les atteindre. Les écoles établies du
projet resteront petites, avec maximum une classe pour chaque niveau,
normalement n’auraient-elles que 3-4 classes.
Le Burkina Faso connaît (nombre) de classes à l’école primaire.
L’éducation de base commence à (âge)
pour la classe 1 et termine à (âge) à la classe (nombre).
Un objectif
raisonnable de base pour le nombre d’élèves dans chaque classe (sans y
laisser des marges pour l’inclusion d’enfants handicapés) est 18.
Le nombre de classes (nombre) multiplié par le
numéro standard d’élèves par classe (18) donne
(numéro) d’élèves moyennement par école. Une commission réservoir
servira 266 personnes.
Chacune des 288 commissions réservoir aura
moyennement de 60-80 enfants âgés de 5 à 12 ans pour l’école primaire. Au cas
d’écoles à dimensions petites, peut-on prévoir la présence de deux sections par
classe.
On prévoit en principe 288 écoles primaires, sujet
toujours à une analyse des 38 écoles (182 classes et les 217 enseignants) déjà
présentes.
La construction des
écoles dépende de la disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème le
plus grave à l’expansion des facilités
éducatives dans le cadre du projet. Toutefois en Burkina Faso les étudiants
ayant complété un diplôme universitaire se qualifient automatiquement comme enseignants
primaires. Beaucoup d’étudiants ainsi qualifiés et provenant de
On attend à ce que le
Ministère de l’Éducation Publique soit disponible à payer aux enseignants un
salaire là où une école avec accommodation pour l’enseignant est construite en
tout ou partiellement à la charge des habitants locaux. Éventuellement une
partie du salaire des enseignants pourrait être payée du Ministère et une
partie des habitants. La partie éventuellement à la charge des habitants pourra
être payé de la communauté locale ou des parents des élèves dans le cadre du
système local d’échanges établi. Au cas de défaut total ou partiel de la part
du Ministère, les enseignants disponibles à travailler entièrement dans le
cadre du système local d’échanges pourront être payés en tout cas par la
communauté locale (à voir, la communauté totale ou des seuls parents des
élèves) dans le cadre du système local SEL-LETS.
Des cours de formation
professionnelle continue des enseignants qui rentrent à leur zone d’origine
leur seront disponibles. En principe, tels cours devraient être mis à la
disposition de la part du Ministère de l’Éducation. Au cas de défaut du
Ministère, le projet cherchera l’assistance des ONG spécialisées dans le
secteur de la formation des enseignants. Au cas de manque d’une telle
assistance de la part des ONG internationales, le projet nommera et payer (dans
le cadre du système local SEL-LETS) les enseignants locaux les mieux qualifiés
et avec la plus grande expérience pour réaliser une formation supplétive aux
jeunes enseignants.
Les écoles secondaires.
Une école de deuxième
niveau peut être en principe prévu pour chaque zone de commission intermédiaire.
Avec 7 commissions forage dans la zone, prévoit-on donc 41 écoles de deuxième
niveau dans la zone du projet. Actuellement
La construction des
écoles dépendra de la disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème de
base relatif à l’expansions des
facilités éducatives dans
En Burkina Faso les
étudiants ayant complété (niveau de qualification) se qualifient
automatiquement comme enseignants au niveau de l’éducation secondaire. Beaucoup
d’étudiants ainsi qualifiés et qui proviennent de la zone du projet se trouvent
actuellement dans les grandes villes à la recherché d’un emploi. L’amélioration
générale de la qualité de vie dans la zone du projet devrait suffire à
encourager leur rentrée aux villages d’origine, en particulier là où le projet
pourra les offrir une accommodation appropriée gratuite.
On attend à ce que le
Ministère de l’Éducation Publique soit disponible à payer aux enseignants un
salaire là où une école avec accommodation pour l’enseignant est construite en
tout ou partiellement à la charge des habitants locaux. Éventuellement une
partie du salaire des enseignants pourrait être payée du Ministère et une
partie des habitants. La partie éventuellement à la charge des habitants pourra
être payé de la communauté locale ou des parents des élèves dans le cadre du
système local d’échanges établi. Au cas
de défaut total ou partiel de la part du Ministère, les enseignants disponibles
à travailler entièrement dans le cadre du système SEL-LETS local pourront être
payés en tout cas par la communauté locale (à voir, la communauté totale ou des
seuls parents des élèves) dans le cadre du système local.
Des cours de formation
professionnelle des enseignants qui rentrent à leur zone d’origine leur seront
disponibles. En principe, tels cours devraient être mis à la disposition de la
part du Ministère de l’Éducation. Au cas de défaut du Ministère, le projet
cherchera l’assistance des ONG spécialisées dans le secteur de la formation des
enseignants. Au cas de manque d’une telle assistance de la part des ONG
internationales, le projet les nommera et payera dans le cadre du système
local.
On ne prévoit aucune
forme de transport public spécifique pour les élèves du deuxième niveau. On
attend bien le développement d’un système de transport public général au cours
de l’exécution du projet. On prévoit aussi la construction d’un réseau de
Les écoles de deuxième
niveau se trouveront d’habitude dans un rayon de 2-3 kilomètres des maisons des
élèves et devront être facilement accessibles par bicyclette, éventuellement à
pied. On compte qu’elles aient 350-400 élèves, avec de l’ordre de 20 classes.
Le projet pourra décider
d’établir des groupes coopératifs d’achat et/ou fournir des subventions à
l’achat de bicyclettes pour permettre aux enfants d’arriver à leurs écoles.
L’éducation tertiaire.
Les
jeunes de la zone du projet en possession de leurs certificats d’éducation de
deuxième niveau ont le droit aux termes de la convention
sur les droits de l’enfant, 1989 de poursuivre leurs études.
Les études tertiaires ne seront-elles pas, en
général, disponibles dans
Les écoles techniques les plus proches de la zone
du projet se trouvent à (lieux) à une
distance de (km).
L’université la plus proche se trouve à (lieu), à
une distance de (km).
Les étudiants capables ont le droit, cas échéant,
au support de leur communauté d’origine. Le niveau de tel support dépende des
bourses et des services mis à la disposition des étudiants par les autorités
nationales et régionales et/ou par les donateurs étrangers.
Les bourses et les services à la disposition des
étudiants de la zone du projet sont:
(description des bourses et des services)
La population de Tougan
a un intérêt propre à ce que ses jeunes étudiants puissent se qualifier dans
leurs spécialités choisies pour qu’ils puissent exercer leurs professions dans
la zone du projet même et contribuer à long terme à son développement. À ce
but, le projet pourra établir les bourses d’études soit en monnaie formelle
soit en unités de compte locales.
Les bourses en monnaie
formelle seront payées du Fonds Coopératif d’Éducation établi du projet. Les
communautés peuvent contribuer à ce Fonds au niveau des commission
intermédiaires, et éventuellement au niveau central du projet. Les membres du
Fonds payeront une petite contribution mensuelle au Fonds Coopératif Éducation
(bourses). Le Fonds fournira des subsides aux commissions intermédiaires à
favoriser les études avancées des étudiants y résidentes. Les commissions
intermédiaires décideront comment effectuer la distribution des fonds
disponibles entre les étudiants et leurs familles.
Le projet s’efforcera à
jeter les bases pour la formation d’un institut de cours propédeutiques dans la
zone du projet, offrant des cours sur un ou deux ans de préparation
propédeutique aux études universitaires suivantes. Un tel institut ne rentre
pas pourtant dans les capacités autonomes du projet car il implique un niveau
d’investissements en monnaie formelle au de là
des possibilités du projet. Il ne pourra se réaliser qu’avec la
participation d’une ou plusieurs universités et du Ministère de l’Éducation
Publique. Au même temps les frais de gestion de l’Institut pourront être
réduits d’une manière importante, en donnant une stimulant aux investisseurs.
En effet, beaucoup des services relatifs à la gestion journalière de l’Institut
pourront être exécutés dans le cadre du système local SEL-LETS avec la
participation de population locale aux frais de gestion. Des exemples en
seraient la mise a disposition gratuite du terrain, la supervision des
structures y compris la gestion des zones vertes, les services de nettoyage et
de restauration, et le transport des étudiants, les services en eau et
d’assainissement.
École métiers.
On prévoit l´institution
à Tougan d´un institut technique pour les métiers.
On espère que l’institut
puisse être établi entièrement dans le cadre du système local d’échanges. Les
enseignants devront par principe venir de
Les étudiants et leurs
familles payeront une petite contribution en monnaie formelle dans le Fonds
Coopératif d´Éducation (métiers) pour
couvrir les dépenses en monnaie formelle pour matériaux et équipements qui ne peuvent
pas être produits localement.
On attend à ce que le
Ministère de l’Education Burkinabé puisse faire un investissement initial pour l’achat des équipements techniques
nécessaires.
Écoles d’agriculture de
terrain.
Les écoles
d’agriculture en plein air sont privées de murs. Un groupe d’agriculteurs se rencontre
dans l’un de leurs propres champs pour obtenir informations sur leurs cultures
et les facteurs y pertinents. Les membres du groupe y apprennent comment
améliorer les résultats de leur travail à travers l’observation, l’analyse, et
les expérimentations.
Les promoteurs (instructeurs) des
groupes ont besoin de matériel de support pour illustrer les pratiques les plus
indiquées pour une bonne gestion des sols et des ressources en eau à travers le
développement de technologies participatives et de démonstrations qui puissent
aider les cultivateurs dans le choix des options les plus appropriées aux types
spécifiques de fermes et contextes physiques agricoles. Ils ont besoin en plus
d’informations qui permettent aux agriculteurs de comprendre les aspects divers
de la réduction de la productivité des sols et comment y apporter des
améliorations.
Les agriculteurs dans chaque groupe se rencontrent
d’habitude une fois par semaine à partir de la plantation et jusqu’à la récolte pour contrôler la croissance des
cultures, la humidité des sols, et faire le compte soit des ravageurs des
plantes soit des créatures bénéfiques telles les lombrics et les araignées. On
réalise des expérimentations.
L’instructeur d’un groupe est d’habitude un vulgarisateur ou bien un autre
agriculteur qui a déjà fait une école en plain air. Il donne des conseils et
assiste le groupe en ce qui concerne ses décisions sur le contenu du cours. Il
pense à des solutions possibles, et fournit des réponses aux questions du
groupe. Les agriculteurs se servent de leurs propres expériences et
observations, et décident comment gérer la culture en question. Les groupes
tiennent des journées sur le terrain pour faire connaître leurs activités aux
autres agriculteurs.
L’éducation et l’achèvement des
objectifs du Millénaire.
Objectif 2
: Assurer l’éducation primaire à tous.
Cible 03
: D’ici à 2015, donner à tous les
enfants, garçons et filles, partout dans
le monde, les moyens d’achever un cycle complet d’études primaires. (UNESCO).
Indicateur
06 : Taux net de scolarisation dans le primaire. (UNESCO)
Il
s’agit d’avoir informations sur le pourcentage d’enfants qui effectivement
assistent aux leçons, car les enfants peuvent être formellement enregistrés aux
écoles sans, pour des raisons diverses, pouvoir assister aux leçons.
En
principe, TOUS les enfants dans
Le
projet peut se servir du système local d’échanges établi pour construire des
écoles neuves auprès des habitations des familles, les fournir de mobilier,
d’eau potable, et de structures d’assainissement. La population peut payer ces
structures ou faire une contribution à leur coût à condition que la main
d’œuvre et les matériaux usés proviennent de la zone du projet même. Des
enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant
de commencer des activités dans l’enseignement et qui sont disponibles à
travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système SEL-LETS local
établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation
primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois
années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants.
Elle peut aussi, tout au moins partiellement, dépendre sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système financier local.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 76.460 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation ce projet
seul. Pour couvrir la population entière
du Burkina Faso a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque
1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux
de scolarisation dans l’éducation primaire du Burkina Faso deviendrait-il
toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques
représentant la situation nationale. jusqu’à achever le 100%.
Évaluation
: Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans
Indicateur 07 : Proportion d’écoliers commençant dans la
première année d’études dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième
(UNESCO)
En
principe, TOUS les écoliers dans la zone de projet bénéficieront soit d’un
cycle complet d’études primaires en commençant dans la première année d’études
dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième. Le projet peut se server
du système local d’échanges pour construire des écoles neuves auprès des
habitations des familles, les fournir de mobilier, d’eau potable, et de
structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire
une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux utilisés
proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés, ou des
étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités dans
l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement ou entièrement
dans la cadre du système financier local pourront commencer leurs activités
rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète pour tous pourrait être
implémentée au cours de deux ou trois années. Donc, tous les écoliers
commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire
achèveront la cinquième.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants.
Elle peut dépendre aussi, tout au moins partiellement, sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système local d’échanges.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 76.460 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation de ce projet
seul. Pour couvrir la population entière
du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque
1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux
d’écoliers commençant dans la première année d’études dans l’enseignement
primaire qui achèveront la cinquième dans le pays où le projet a lieu
deviendra-t-il toujours plus facilement
vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation
nationale, jusqu’à achever le 100%.
Évaluation
: Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet
commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire et
achevant la cinquième avec celui valable pour Tougan avant le commencement du
projet.
Indicateur
08 : Taux d’alphabétisation des 15-24 ans. (UNESCO)
En
principe, TOUS les enfants dans la zone de projet bénéficieront soit d’un cycle
complet d’études primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.
Cela
signifie que le taux d’alphabétisation des 15-24 ans dans la zone du projet
achèvera automatiquement le 100% avec le passage d’un cycle complet d’études.
Un
taux d’alphabétisation des jeunes qui se trouvent dans le groupe des 15-24 ans
au moment du commencement du projet ne peut pas être garanti étant donné le
manque d’obligation de donner suite aux études déjà faites. Le projet fournira
288 salles d’études à éclairage photovoltaïque auprès des habitations, et pour
l’éclairage photovoltaïque dans les écoles, pour que l’on puisse y suivre des
cours le soir.
Une
réduction générale de la charge du travail sur les femmes sera l’un des résultats
importants de l’exécution du projet. On confie par conséquence de faciliter
ainsi la participation des femmes aux cours de soir.
Des
enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant
de commencer des activités dans l’enseignement qui sont disponibles à
travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système local
d’échanges pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas,
l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de deux
ou trois années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra toutefois de la présence
d’enseignants. Elle dépendra au moins partiellement sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système SEL-LETS local.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 76.460 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation ce projet
seul. Pour couvrir la population entière
du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque
1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux
d’alphabétisation des 15-24 ans
deviendra-t-il toujours plus
facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la
situation nationale jusqu’à achever le 100%.
La section sur la création de structures de sécurité sociale présente en détail le
système de sécurité sociale à trois niveaux
qui permettra même aux plus pauvres de suivre des cours
d’alphabétisation et d’études.
Évaluation : Le nombre d’écoles et de classes dans
Objectif 3
: Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
Cible 04
: Éliminer la disparité en les sexes
dans les enseignements primaire et secondaire
d’ici à 2005 si possible, et en tous les niveaux d’enseignement en 2015
au plus tard.
Indicateur 09 : Rapport filles/garçons dans
l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur, respectivement.(UNESCO).
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles de Tougan
recevront éducation soit primaire que secondaire, ratio 1 : 1. Le projet
n’a aucun contrôle sur l’accès des jeunes filles aux cours tertiaires, mais la
proportion de jeunes filles contre garçons préparées pour accéder à
l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet
prévoit l’institution d’une école pour l’enseignement des métiers à Tougan.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 76.740 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation de ce projet
seul. Pour couvrir la population entière
du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque
1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le
rapport filles/garçons dans l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur
devrait achever 1 : 1.
Évaluation :
le nombre et le sexe des enfants qui effectivement assistent aux cours des
écoles primaires, secondaires, de première année tertiaire, de l’école métiers,
et à l’école en plain air pour les agriculteurs. Ceux de
Indicateur 10 : Taux d’alphabétisation des femmes de 15 à
24 ans par rapport à celui des homes.(UNESCO).
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans la
zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, en rapport 1 :
1. Le projet n’a aucun contrôle cependant sur l’accès aux cours tertiaires,
mais le rapport de jeunes filles contre garçons préparées pour accéder à
l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet prévoit l’institution d’un cours préparatif de
première année au niveau central pour hommes et femmes à Tougan.
Cela signifie qu’avec le passage de quelques années, la
proportion de jeunes femmes de 15 à 24 ans deviendra automatiquement elle aussi
1 :1 sans aucune disparité entre les sexes.
Toutes les femmes participeront d’ailleurs aux cours
d’éducation à l’hygiène.
Un taux d’alphabétisation de 100% d’entre les jeunes de 15 à 24 ans au
moment de commencement du projet ne peut pas être toutefois garanti, car la
participation d’adultes aux cours d’éducation n’est pas obligatoire. Le projet
prévoit 288 salles d’études à éclairage photovoltaïque, et de l’ éclairage
photovoltaïque aux écoles pour y favoriser les cours le soir. Une réduction
générale du charge du travail sur les femmes devrait les permettre à assister à
ces cours.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 76.460 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation de ce projet
seul. Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de
20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels
projets sont mis en exécution, toute disparité en les sexes dans les
enseignements devrait se réduire jusqu’à achever le 0%.
Évaluation :
Le nombre de personnes (en particulier le nombre de femmes) qui assistent aux
cours le soir. Faire comparaison entre les statistiques valables au moment de
commencement du projet et celles suite à l’implémentation du projet.
Indicateur
11: Pourcentage de salariées dans le secteur non agricole qui sont femmes.
(ILO)..
L’indicateur 11 fait référence à des concepts économiques
traditionnels pas retenus applicables au projet. Le projet Vivons Tougan est
coopératif et ne prévoit pas de création d’emplois «salariés » . Il
support des initiatives individuelles, familiales et coopératives à faveur de
l’augmentation de la productivité locale. Les structures du projet fonctionnent
en parallèle et en harmonie avec celles existantes ; elles ne les
remplacent pas. Les relations
traditionnelles employeur -salarié ont lieu librement dans le sphère du système
à monnaie formelle, mais le projet ne leur donne aucun support direct.
Les femmes jouent un rôle majoritaire dans la gestion de
toutes les structures du projet, y compris le système de financement à travers
les microcrédits sans intérêts établi au cours de l’une des premières
phases d’exécution du projet. Les activités productives reconnues des femmes
comprennent celles non -monétisées, celles effectuées dans le cadre du système
local d’échanges, et celles effectuées dans le cadre du système de monnaie
formelle CFA.
La section
sur les droits de la femme du
projet illustre comment on promeuve et défende les droits des femmes et des
jeunes filles dans la zone du projet.
Évaluation:
L’analyse des activités productives réelles des femmes comparées avec celles
valables au commencement du projet. Analyse de l’amélioration de la qualité de
vie des femmes au moment du contrôle en comparaison avec celle valable au
moment de commencement du projet.
Indicateur
12 : Proportion de sièges occupés par des femmes au parlement national (IPU)
Le projet ne
couvre pas directement l’indicateur 12.
Les
structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec celles formelles du système économique
traditionnelle. Le projet prévoit beaucoup de structures sur trois niveau
gérées par des habitants locaux choisis directement des populations. Une
participation majoritaire de femmes dans toutes les structures et à tous les
niveaux est assurée. Les femmes reçoivent par conséquence une préparation
extensive dans l’exercice de leurs droits dans le cadre du procès démocratique
introduit au cours du projet. Elles prennent responsabilité des structures du
projet à tous les niveaux. Ceci peux faciliter leurs qualifications pour être
candidates à l’occasion d’élections parlementaires et les garantir une base
élective.
Pour
couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets
environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis
en exécution, le taux de femmes membres du parlement devrait-il devenir
toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques
représentant la situation nationale
Évaluation: La participation effective des femmes à la
gestion des structures du projet. Les
statistiques sur les femmes qui
participent aux structures politiques locales dans la zone du projet
après une première période de 24 mois en comparaison avec celles pour la zone
du projet au moment de commencement de l’exécution du projet.
Salles
d’études.
Le projet prévoit l'éclairage photovoltaïque pour
les étudiants au niveau de commission réservoir.
Puisque peu des localités au niveau de réservoir n'auront déjà une structure adaptée aux études, les commissions réservoir devront en faire construire une dans le cadre des systèmes de monnaie locale SEL -LETS en faisant débiter à chaque membre du groupe SEL -LETS faisant référence au réservoir sa quota de frais. Pour donner encouragement aux commissions réservoirs à procéder à la construction rapide de la salle d'études, les frais des systèmes d'éclairage PV sont couverts dans le cadre du projet.
Chaque commission réservoir
peut organiser la récolte de fonds pour l’installation d'un appareil TV opérant
à énergie photovoltaïque (POUR LES ÉTUDES !!). Ils y auront sans doute de
problèmes à discuter en ce qui concerne la gestion des appareils TV, soit pour
la sécurité contre le vol, soit pour la protection nécessaire contre les
éléments et pour la gestion de l’appareil.
L'installation
d'éclairage PV dans une ou plusieurs salles de classe aux écoles est prévue,
toujours sur initiative de la commission réservoir locale, là où l'on a
l'intention de commencer de cours de soir, en particulier ceux pour les
adultes.
La situation d'écoles et
cliniques hors de la zone du projet qui servent d'usage aux habitants dans la
zone du projet, et celle des écoles et cliniques privées qui se trouvent dans
la zone du projet, devront être prises en considération à l'occasion des
ateliers organisationnels et évalués de cas à cas.
La fourniture
d'éclairage PV ou d'énergie nécessaire aux activités productives sera financée
cas par cas à travers du système de microcrédits sans intérêts établi dans le
cadre du projet.
Puisque
beaucoup de ménages dépensent actuellement de Euro 4 à Euro 10 par mois
seulement pour batteries de radios peut-on créer des coopératives d’achat pour l'achat de radios à opération mécanique
ou solaire et pour l'installation de systèmes solaires PV domestiques.
La participation à ce
fonds coopératif sera volontaire selon les décisions des commissions réservoir.
Les participants feront une contribution supplémentaire au fonds pour pouvoir
bénéficier de l'achat d'une radio ou de l'installation d'un système PV
domestique jusqu'au moment où tous les participants n'aient reçu leur
installation. Les priorités seront probablement déterminées par tirage a lots,
à choix de l'atelier organisationnel qui s'occupera des structures locales.
Achat équipements (partie voix 71010) du bilan
Euro 175.000)
Frais d'installation ( à effectuer dans le cadre des systèmes SEL -LETS)
Il est probable que la commission réservoir locale
demande à un des groupes qui auront installé les systèmes de pompage de donner
exécution à l'installation et à l'entretien des systèmes d'éclairage.
Actuellement les écoles locales sont fermées le
soir et il n'y a pas d'instruction le soir fournie par le ministère de
l'instruction publique.
On a pourtant exprimé une exigence forte
d'instruction le soir.
Il s'agit par conséquent d'attendre que les
commissions réservoir et/o les commissions puits puissent prendre l'initiative
pour l'organisation de cours d'instruction le soir, soit avec professeurs du
ministère, soit avec de professeurs locaux payés dans le cadre du système local
SEL -LETS.
Achat équipements (partie voix 71010) du bilan
Euro 175.000)
Frais d'installation ( à effectuer dans le cadre des systèmes SEL -LETS)
Il est probable que la commission réservoir locale
demande à un des groupes qui auront installé les systèmes de pompage de donner
exécution à l'installation et à l'entretien des systèmes d'éclairage.
Actuellement les écoles locales sont fermées le
soir et il n'y a pas d'instruction le soir fournie par le ministère de
l'instruction publique.
On a pourtant exprimé une exigence forte
d'instruction le soir.
Il s'agit par conséquent d'attendre que les
commissions réservoir et/o les commissions puits puissent prendre l'initiative
pour l'organisation de cours d'instruction le soir, soit avec professeurs du
ministère, soit avec de professeurs locaux payés dans le cadre du système local
SEL -LETS.
Achat équipements (partie voix 71011) du bilan
Euro 65.600)
Frais d'installation ( à effectuer dans le cadre des systèmes SEL -LETS)
Il est probable que la commission réservoir locale
demande à un des groupes qui auront installé les systèmes de pompage de donner
exécution à l'installation et à l'entretien des systèmes d'éclairage.
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Le projet Vivons Tougan et les problèmes du temps
La création des structures prévues.
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