ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours e-learning :
Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
10: 11 Janvier, 2011.
Édition
48 : 21 Novembre, 2014.
SECTION B : LES SOLUTIONS AUX
PROBLÈMES.
Valeur attribuée : 06 points sur
18
Travail prévu : 186 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Valeur
attribuée : 02 points sur 18
Travail
prévu : 54 heures sur 504
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Section 4: Crise alimentaire.[5 heures]
02.00 Heures analyse matériel du Modèle.
02.00 Heures approfondissement.
01.00 Rédaction rapport.
Section 4: Crise alimentaire. [5 heures]
02.00 Heures approfondissement.
Rapport UNCTAD, Septembre 2013.
“The world
needs a paradigm shift in agricultural development : from a “green revolution”
to and “agricultural intensification” approach. This implies a rapid and
significant shift from conventional, monoculture-based and
high-external-input-dependent industrial production towards mosaics of
sustainable, regenerative production systems that also considerably improve the
productivity of small-scale farmers. We need to see a move from a linear to a
holistic approach in agricultural management, which recognizes that a farmer is
not only a producer of agricultural goods, but also a manager of an
agro-ecological system that provides quite a number of public goods and
services (e.g. water, soil, landscape, energy, biodiversity, and recreation.)”
(Wake Up Before It is Too Late
: Make Agriculture Truly Sustainable Now for Food Security in a Changing
Climate, United Nations Conference on Trade and Development (UNCTAD), Trade and
Environment Review,
“Our industrial
food and farming system (production, transportation, processing, waste, and land
use), including its impact on deforestation and the soil's ability to naturally
sequester CO2, are the leading cause of greenhouse gas emissions.” (Cummins,
R., The Carbon Underground :
Reversing Global Warming, Organic Consumers Association, Septembre, 2014,
Une liste de lectures qualifiées sur l’agriculture
régénérative se trouve à Streat, S., Regenerative Agriculture : An
Annotated Bibliography, Organic Consumers Association, Finland (MN), Septembre
2014.
Le droit à l’alimentation adéquate.
Ils y
ont des accords internationaux qui ont pour but d’assurer une alimentation adéquate
comme droit humain. où “chaque home, femme, ou enfant, seul ou en communauté
avec d’autres, ait toujours accès physique et économique à l’alimentation
adéquate ou aux moyens pour l’acheter.” (Traduction T.E.Manning). Suárez S., Emanueli M, Monocultures and human rights, Food First Information
and Action Network (FIAN), Heidelberg, and Habitat International Coalition
Regional Office Latin America, Mexico City, Juin 2009, p. 7.
“It's important for our
nation to build -- to grow foodstuffs, to feed our people. Can you
imagine a country that was unable to grow enough food to feed the
people? It would be a nation that would be subject to international
pressure. It would be a nation at risk. And so when we're talking
about American agriculture, we're really talking about a national security
issue. ” (G.W.Bush, President’s Remarks to the
Future Farmers of America, The
White House,
Les
mêmes concepts s’appliquent à toutes les nations.
Les
mêmes principes s’appliquent à toutes les nations. Cependant, “like all fans of
globalisation they [les présidents G.W.Bush et
Tandis
que le droit des pays pauvres à créer des réserves alimentaires d’émergence et
d’appuyer leurs agriculteurs pauvres leur garantissant un prix équitable pour
leurs produits est dispute,
“Annual support [for agriculture in industrialised countries] spiralled
to over $250 bn. a year, – 79 times agricultural
aid – making it impossible for farmers in poor countries to compete. Confronted
with these odds, many developing country governments chose not to invest in
agriculture, further compounding the trend. The costs of rich country support
are borne not only by poor farmers in the developing world, but also by people
in rich countries, who pay twice – first through higher tax bills, and second
through higher food prices. It is estimated that in 2009, the EU’s Common
Agricultural Policy (CAP) added €79.5 bn. to tax bills and another €36.2 bn. to
food bills. According to one calculation, it costs a typical European family of
four almost €1,000 a year. The real irony is that the CAP purports to help
Europe’s small farmers, but it is the rich few that benefit the most, with
about 80 per cent of direct income support going into the pockets of the
wealthiest 20 per cent – mainly big landowners and agribusiness companies. ”
(Bailey R., Growing a Better Future – Food Justice in a
Resource-Constrained World, Oxfam International,
Secteurs où les règlements de l’Organisation Mondiale pour le Commerce (WTO) et son accord associé sur l’Agriculture (AoA) sont incompatibles avec le droit humain à une alimentation adéquate sont traités par Olivier de Schutter, le apporteur spéciale des Nations Unies sur le droit à une alimentation adéquate dans son exposé 04 (Novembre 20133) : The World Trade Organization and the Post-Global Food Crisis Agenda : Putting Food Security First in the International Trade System. L’auteur observe à la p. 16 de son rapport :
“…the WTO’s track record
reflects the dominance of net food exporters in the negotiations for whom food
security is a low priority compared to opening markets for their exports. The
structure of WTO negotiations
themselves, which involve trade-offs between agriculture and other goods trade
(e.g., services, industrial goods, etc.) in practice precludes food security from being addressed in isolation
and on its own merits instead of as a “bargaining chip” to be leveraged ……. The
WTO continues to move forward and operate in isolation without sufficient
consideration of the consequences of the global food crisis for agricultural
trade and food security and how this requires a critical rethinking of trade
policy and food security.”
Ses recommandations à la
page 17 comprennent le faire de “WTO measures more compatible with the pursuit
of food security and the human right to food ….Exclude defining the
establishment and management of food
reserves as trade-distorting support ….Guarantee the possibility for developing
States to insulate domestic markets from the volatility of prices on
international markets…Take steps to limit States’ excessive reliance on
international trade in the pursuit of food security” while “In building their
capacity to produce the food needed to meet consumption needs, States should
support in particular poor small-scale farmers and the production of staple
foods.”
L’autonomie
locale des fournitures alimentaires.
Les
habitants des zones des projets cultivent de façon durable et
organisent le stockage local des aliments nécessaires à leur survie. Ils
réalisent cet objectif à travers de l’utilisation des systèmes éco -sanitaires
pour le recyclage de leurs urines et fèces compostés, ainsi fournissant tous
les engrais nécessaires à la culture des propres aliments. Les urines sont
ajoutées eaux grises des maisons. Ensemble les eaux grises et les urines
fournissent-t-elles suffisamment de liquides pour la production alimentaire à
couverture des exigences des familles, même en périodes de siccité.
Traditionnellement,
au cas de siccité grave pendant des périodes de 2 à 3 ans, aucune communauté au
monde, que ce soit du Nord ou du Sud, industrialisée ou en voie de
développement, ne pourrait survivre sans assistance extérieure. Au cours des
ères passées, les populations auraient peut-être pu migrer à d’autres régions
restées vertes et fertiles. À cause des pressions démographiques qui
caractérisent le monde modern, une telle option ne se présente que rarement de
nos jours. L’autre option ouverte est celle de la guerre.
Les
zones du projet aux termes du Modèle offrent à leurs habitants une résistance aux
périodes de siccité et aux autres crises supérieure à celle de la plupart des
autres communautés. Toutefois, ils ne peuvent pas offrir une garantie totale
contre des catastrophes sur des périodes prolongées au cas où même l’eau
potable des forages profonds finisse pour manquer.
Les
pompes solaires recommandées pour la fourniture en eau fonctionnent à des
hauteurs d’élévation totales jusqu’à 150 mètres. Au cas de risque de siccité
sur des périodes étendues où bien d’autres crises climatiques, peut-on choisir
d’approfondir les forages pour arriver aux aquifères plus profondes et plus
fiables. On peut aussi augmenter la
puissance photovoltaïque
installée des 300 watts prévus jusqu’`a 400 watts à compensation de la
réduction du débit des pompes en fonction de leur installation à une profondeur
supérieure. La puissance installée peut être augmentée de manière progressive,
selon les risques ou les exigences spécifiques. Au cas où l’un décide de
prévoir des marges additionnelles dès le début du projet, doit-on réserver un
montant supplémentaire de Euro 250.000 à la voix 70101 (Construction forages)
et de Euro 125.000 à la voix 70204 (achat panneaux PV). Puisque les réserves
prévues ne suffisent pas à la couverture de telles variations devrait-on
prévoir l’augmentation du total du bilan de Euro 5.000.000 à Euro 5.350.000-
Euro 5.500.000.
En
présence de la siccité continue sur 2-3 ans, n’aura-t-on plus de réserves d’eau
pluviale. Aucune eau de surface ne sera plus disponible. Probable, n’y
aura-t-il aucune eau restante dans les rivières. La seule source en eau
disponible aux habitants sera les
Les
pompes solaires recommandées ont d’ailleurs la caractéristique de pouvoir être
placées à une profondeur quelconque au-dessous du niveau de l’eau dans le
forage. Il est possible par conséquence de tenir compte des fortes variations
du niveau statique de l’eau dans le forage causées d’une capacité réduite de
remplissage du forage à travers de la journée. Toutefois, lorsque l’on arrivera
au moment où même le remplissage naturel nocturne des forages résulte
insuffisant à donner compensation à la couverture du déchargement du système
par jour, doit-on réduire le débit des pompes en tournant les panneaux PV hors
des rayons du soleil, ou bien à travers la réduction du nombre des pompes
fonctionnant dans le même forage. À main les habitants ne commencent à recevoir
moins de
On établira des
pépinières dans le cadre des systèmes de monnaie locale établis. Des dizaines
de milliers d’arbres à fruit, à huiles végétales, et à noix seront plantés dans
la zone de chaque projet. Les arbres auront besoin, évidemment, de plusieurs
années pour établir des racines profondes et se rendre plus ou moins immuns des
conditions de siccité. Une fois bien établis, fourniront-ils une deuxième
source de produits alimentaires en temps de pénurie alimentaire.
1. Opinion.
«Il n’y a aucune
raison pourquoi les populations du monde, mêmes les plus pauvres, ne puissent pas
jouer d’une suffisance alimentaire ».
Sur une page donnez votre
commentaire critique, appliqué aux zones où les structures de projets de
développement intégré sont fonctionnant.
Le vol des terres agricoles
“L’acte
du vol des terres fait partie d’une stratégie de la “consommabilisation” de la nature, de l’agriculture, et du
contrôle global d’un petit groupe d’ “investisseurs’ et les corporations
trans-nationales’’….. “Vu que l’achat des terres de la part des étrangers a
pour but de faire des profits et se base sur les exports, promouvra-t-il l’introduction et l’approfondissement d’une
manière industrielle de production dans les pays où les investissements ont
lieu. Il existe une abondance de littérature qui évidence que telle manière de
production est destructive et qu’elle
n’est pas durable. (Odeny E. et al (eds), Landgrabbing in Kenya and
Mozambique, Food First Information and Action Network (FIAN),
Heidelberg, Avril 2010. (p. 39) (Traduction T.E.Manning)
“Un pays qui ne met pas de terres disponibles et
les ressources productives à la disposition des marginalisés mes les donnent aux
investisseurs riches ne conforme pas aux obligations du International Covenant
of Economic, Social and Cultural Rights”
Odeny E. et al (eds), Landgrabbing in
Kenya and Mozambique, Food
First Information and Action Network (FIAN), Heidelberg, Avril 2010. (p. 38)
“
There are over 2,500 bilateral investment treaties (BITs), which protect
investors from changes to host government policy and which may be impairing the
ability of countries to regulate investments effectively. The opportunity for
investors to challenge public policy through arbitration procedures under these
BITs weakens developing countries’ capacity to regulate their food, land, and water
sectors, as well as to introduce policies that promote food security and
poverty reduction.” (Zagema B., Land and Power : The growing
scandal surrounding the new wave of investments in land, Oxfam
Briefing Paper 151, Oxfam, Oxford, 22 Septembre, 2011, ISBN 978-1-84814-947-2,
p. 38.) Ce document de
Sécurité
alimentaire : la monopolisation mondiale.
Dans cette section OGM signifie “organisme génétiquement modifié”. On se sert aussi du terme “GM”, soit “Génétiquement modifié”.
“Le 96% des recherches connues sur l’alimentation
et l’agriculture connues a lieu dans les pays industrialisés, et le 80% de
telles recherches traitent la préparation des aliments et leur vente et
distribution. Au cours du dernier demi-siècle, la chaine de l’industrie
alimentaire s’est consolidée de manière que chaque jonction de la chaîne – de
la semence jusqu’à la soupe – est dominée par un petit nombre d’entreprises
multinationales qui travaillent avec une liste de commodités toujours plus
réduite qui a laissé la moitié de l’humanité dangereusement ou sous-nourrie ou
obèse.” (Who will feed us?, Action Group on Erosion, Technology and Concentration (ETS), Communiqué,
Issue 102, Ottawa, 1 Novembre, 2009, Sommaire exécutif.) [Traduction T.E.Manning].
La
production alimentaire dans les pays industrialisés est inefficient. “L’énergie
totale du système alimentaire dans les pays industrialises de l’OCDE monte à 4
kcal investis par kcal d’aliments, tandis que dans le Sud global le rapport
n’est qu’un kcal. par kcal d’aliments.” ( Articles ETS
cite ci-dessus, citant à son tour “Energy Inputs in Food Crop
Production in Developing and Developed Nations>,”
Energies, 2(1), 2009, MDPI Publishing, Basel,
2009, pp.
1-24.). Pimental, D., “Energy
Inputs in Food Crop Production in Developing and Developed Nations,” Énergies,
2(1), 2009, pp. 1-24. “La chaine
industrielle est terriblement gâcheuse. La perte alimentaire dans les marchés à
systèmes industriels est plus élevée (+/- 30%) à cause des distances, du temps,
du stockage, et d’autres habitudes gaspilleuses y comprises celles des
consommateurs. »[Citant Nellemann, C.,
MacDevette, M. Manders, T., Eickhout, B., Svihus, B., Prins, A.G., Kaltenborn,
B.P. (Eds) ““The
environmental food crisis – The environment’s role in averting future food
crises.”, United Nations
Environment Programme (UNEP) rapid response assessment, GRID-Arendal, February
2009, p. 29.] “Une étude de marché a calculé que les ménages aux États Unis
jettent 1.28 livres par jour d’aliments dans leurs ordures
( le 14% de toute la viandes, des grains, des fruits et des légumes arrivant
dans les maisons), pour une valeur de
$43 billion par an. On doit y ajouter les 27 millions de tonnes
d’aliments que les établissements distributeurs tels les épiceries, les
supermarchés et les chaines de fast food y gaspillent chaque année.” (ETS
article ci-dessus, citant Jones,
T. “Using Contemporary Archaeology and Applied Anthropology to Understand
Food Loss in the American Food System,”
Malgré la domination du commerce mondial
du secteur alimentaire par les pays occidentaux, “le 85% des aliments du
monde est cultivé et consommé localement (i.e., si non en vue de la ferme
d’origine, tout au moins dans le même pays ou éco-région).” ( Article ETS ci-dessus, citant van der Ploeg, Jan
Douwe, The New Peasantries – Struggles for Autonomy and Sustainability in an
Era of Empire and Globalization, Earthscan, 2008, p. 4.) [Traduction T.E.Manning].
“Entre le 1999 et le
2009, les entreprises les plus importantes dans
le secteur de la biotechnologie dépensèrent plus de $ 547 million de
contributions sur leur lobbying et
campagnes pour rendre moindre les effets
des régulations touchant la modification génétique, presser à faveur des
approbations dans le secteur, et prévenir un étiquetage approprié.” (Food & Water Watch, Genetically Engineered Food :
An Overview, Washington, Septembre, 2011, p. 6.). Le même rapport se
termine en concluant que “L’expérience
des USA avec les aliments GM ont résulté dans un avortement. Les impacts sur
l’environnement, le système alimentaire,
et la santé publique ne sont pas documentés. Il est toutefois évident que
l’initiative ne vaut pas la peine.” (p. 15).
Ce rapport bref comprend bien 372
notes et références. [Traduction des textes de l’Anglais : Stichting Bakens
Verzet].
Lisez bien le document les problèmes soulevés par les
cultures OGM, Attac 63, Commission OGM, 2003
On
cite (des pages 7 et 8) :
« 5.1
L’AGRICULTURE SOUS DÉPENDANCE
« Déjà
avec les semences conventionnelles, les agriculteurs sont devenus dépendant des
grands semenciers. Avec les semences conventionnelles hybrides on assiste à une
baisse de rendement dès la seconde génération. Le paysan doit acheter ses
semences et bien sûr les payer plus chères. Ex. le coût du maïs hybride semence
est estimé à 100 fois celui du maïs grain. Avec les OGM, cette stratégie de
mise sous tutelle industrielle des paysans prend un tournant nouveau. Les
brevets déposés sur les plantes transgéniques interdisent légalement toute
réutilisation des semences (hybrides ou non) d’une année sur l’autre. Ceci conduit
les grandes compagnies (Monsanto notamment) à :
« ·
engager des détectives privés pour traquer les fraudeurs
· à
faire condamner des fermiers (Mr. Percy, au Canada) pour « piratage » alors que
ses champs ont été contaminés par des semences OGM. (ref Monde Diplo juillet
2001)
·
Pour réduire le coût des détectives privés et les actions en justice, le mieux
était de rendre la fraude impossible, cela à conduit à la technologie
TERMINATOR (mise au point par la société de biotechnologie Delta & Pine Land,
rachetée par Monsanto) Cette technologie de « contrôle de l’expression des
gènes » consiste à insérer un trans-gène qui rendra les graines produites par
la plante, stériles. Cette technique a été utilisée pour le coton mais a
provoqué un scandale chez les agriculteurs et dans l’opinion publique aux USA.
Ses titres boursiers ayant chuté, Monsanto a renoncé à l’utiliser. Mais, une
nouvelle technologie , appelée TRAITOR (ou GURST : Genetical Use Restriction
Technologies). Avec cette technique, les semences sont rendues provisoirement
stériles mais peuvent retrouver leur fécondité grâce à la pulvérisation d’un
produit chimique évidemment vendu par la firme (Monsanto ou Novartis)..
Novartis détient 6 brevets sur les méthodes de stérilisation. »
En Iraq, Paul Bremer III,
le chef de
“Iraq was to become a giant live
laboratory for testing GMO wheat, and the Iraqis were the human guinea pigs of
the experiment…..Money for Iraq’s impoverished farmers to buy new seeds is
earmarked for the buying of GMO “improved seeds” from foreign multinationals
like Monsanto.” (Engdahl, F.M., Iraq and
Washington’s “seeds of democracy”,Current Concerns, No. 5, 2005,
“Order 81 [which] deals, among other things, with plant varieties and patents. The goal was brutally clear-cut and sweeping — to wipe out Iraq’s traditional,sustainable agriculture and replace it with oil-chemical-genetically-modified-seed-based industrial agriculture. There was no public or parliamentary debate for the conquered people who never sought war. The conquerors made unilateral changes in Iraq’s 1970 patent law: henceforth, plant forms could be patented — which was never allowed before — while genetically-modified organisms were to be introduced. Farmers were strictly banned from saving their own seeds: this, in a country where, according to the Food and Agriculture Organisation, 97 per cent of Iraqi farmers planted only their own saved seeds.
“With a single stroke of the
pen, Iraq’s agriculture was axed, while Order 81 facilitated the introduction
and domination of imported, high-priced corporate seeds, mainly from the US —
which neither reproduce, nor give yields without their prescribed chemical
fertiliser and pesticide inputs. It meant that the majority of farmers who had
never spent money on seed and inputs that came free from nature, would
henceforth have to heavily invest in corporate inputs and equipment — or go
into debt to obtain them, or accept lowered profits, or give up farming
altogether.” ( Sadeque, N., Control by Seed,
in Shiva V. et al, Seed Freedom : A global
Citizens’ Report, Navdanya et
al, New Delhi, Octobre 2012, p. 101)
L’attaque du secteur des cultures génétiquement modifiées sur l’agriculture en Afrique et sa “Monsantoisation” et traité dans Mittal, E. et Moore M. (editeurs), Voices from Africa : African Farmers and Environmentalists Speak Out Against a New Green Revolution in Africa, The Oakland Institute, Oakland, 2009.
L’attaque est menée par l’Alliance for a Green Revolution in Africa
(AGRA) dont le Président est l’ex secrétaire général des Nations Unies Kofi
Annan, financée par les entreprises multinationales du secteur OGM telles
o:p>
AGRA (Alliance for a Green Revolution in
Africa) is one example of this kind of exploitation that is encouraged by
mainstream African economists and power elites. Under the guise of providing
Africa with ‘climate-sensitive’ food crops and flowers, Rockefeller and Gates
foundations-funded AGRA (with the blessing of the former secretary general of
the United Nations Kofi Annan) is pushing agro-chemical crops using
multi-genome patents. Their objective – or at least the end result – is plain to
see: the control over Africa's plant biomass to generate super-profits for
mega-chemical and seed corporations. ’
(Y.Tandon, Kleptocratic
Capitalism : Challenges of the green economy for Sustainable Africa, Pambazuka News, Fahamy – Networks for Social
Justice, Nairobi, 30 Juin, 2011.)
“The call [ entre d’autres par AGRA] for a new Green
Revolution in Africa is based on a paradigm that has been tried, tested and
proven to be inefficient and counterproductive.
It takes a universalist and reductionist approach based on the top-down
transfer of technology on a large scale. The model requires that many functions
linked to research, development and the commercialisation of technological innovation take place far from
the farm, in an attempt to specialise production and promote economies of scale
in the agro-industrial system. The peasant community is stripped of its
planning and decision-making power. ” (Colombo C., Onorati, I.,
Cependant, a part les
nombreux problèmes y associés, le soya GM soya produit 10% en moins d’aliments
en rapport aux cultures soya traditionnelles. Les récoltes sont inférieures à
celles attendues même dans les conditions de culture les plus favorables. Face
à ce fait,
“The concept of
food security has been mis-used to justify policies that prioritise only yield
and the delivery of food to consumers by any means. It has become divorced from
any consideration of how that food is produced and by whom. It is mis-used to
justify and encourage the industrialisation of agriculture, food aid, the use
of genetically modified seeds, the shifting of food production from diverse
crops for local markets to monocultures for export, and the liberalisation of
markets where small producers are put out of business by subsidised imports.
“Food security is
also the stated objective of the Green Revolution, now aggressively promoted in
Africa by the Alliance for a New Green Revolution for Africa (AGRA). AGRA
promotes expensive, subsidised fertilisers, pesticides, and hybrid seeds, a
concept that is not economically or environmentally sustainable. It puts the
private sector in charge of seed supply and replaces public and local seed
systems. As it has shown us in India, the Green Revolution literally kills
farmers, with hundreds of farmers committing suicide, as they are trapped in
debt. In reality, the Green Revolution approach destroys local seed systems,
reduces resilience and creates a high level of dependency on subsidies and
credit, putting small scale farmers at risk. Despite the rhetoric, it is in
practice, the direct opposite of food sovereignty.” (Food Sovereignty Systems : Feeding the World, Regenerating Ecosystems,
Rebuilding Local Economies, and Cooling the Planet – all at the same time, Alliance for Food Sovereignty in Africa (AFSA), c/o
African Biodiversity Network, Kitha, Novembre 2011, p. 3)
o:p>
Ce document contient à la
p. 4-6 une déclaration des six principes de souveraineté alimentaire qui fait
partie intégrée du cours. Examinez-le avec beaucoup d’attention.
Il est évident qu’une fois un agriculteur qui travaille dans le secteur de la monnaie formelle s’est mis dans les mains des multinationales ses possibilités de s’en sortir sont réduites.
span
style='color:black;text-decoration:none;text-underline:none'>“…the global
industrial food system contributes an estimated 44-57% of global greenhouse gases to climate
change. In contrast, the world's small-scale farmers – the ones keeping
agricultural diversity alive – provide 70% of all food eaten globally, using
just 30% of the world's agricultural land.” (Anderson, T. : GM agriculture is not the answer to seed diversity – it’s part of the
problem, Poverty Matters Blog, The Guardian,
2. Opinion.
Sur une page faites un manifeste sur les risques liés aux activités des multinationales. Vous pouvez le distribuer parmi les agriculteurs de votre zone.
Distribution effective de votre manifeste, vous porte des points bonus sur votre rapport.
On poursuit aux pages 8 et 9 :
« 6 BIODIVERSITÉ ET BREVETS SUR LE VIVANT
« Au
niveau de l’OMC, les ADPIC (Accords sur les Droits de
Propriétés Intellectuelle et le Commerce), signés en 1994 à
Marrakech, par leur article 27-3, obligent les pays signataires à accepter les
droits de brevet sur les micro organismes et sur les espèces végétales (sur le
vivant).
« Des Etats membres
(Pays Bas, + Italie, et Norvège soutenus par
Il y a beaucoup d’information disponible sur les efforts de la société civile à combattre les efforts des sociétés multinationales de voler à propre bénéfice les caractéristiques génétiques des plantes et animaux.
L’un des leaders de ce
mouvement au niveau mondial est Dr Vandana Shiva, directeur des recherche,
Foundation for Science, Technology and Ecology, New Delhi. Voir
par exemple son article The
Basmati Battle and its Implications for Biopiracy and Trips ,
Global Research, Montréal, 2001.
La conclusion de Milanesi J. et al, Analyse des coûts induits sur les filières agricoles par les mises en culture d’organismes génétiquement modifiés (OGM) Etude sur le maïs, le soja et le poulet Label Rouge, Centre d’étude et de Recherche en Gestion Université de Pau et des Pays de l’Adour en association avec Greenpeace, Octobre 2008 à la page 51 est :
«Sur un marché unique, où le maïs GM ou non GM serait acheté indifféremment, les prix seraient identiques et les surcoûts et contraintes générés par la production de maïs non GM devraient être pris en charge par l’amont de la filière : agriculteurs et organismes stockeurs. Cette situation serait peu viable et la production de maïs non GM serait à terme condamnée à disparaître. »
Dans The future of seeds and food, Then C et Tippe R., The International Coalition of “No Patents on Seeds” Avril 2009, les auteurs écrivent :
« In sum, the report shows a threatening scenario. It describes the potential takeover of plants’ genetic resources by international companies, which would then be able to control access to the most important resources for conventional breeding and the whole food chain. Seeds, plants and food patents granted on a grand scale could significantly impact food prices and availability, and could become an additional factor contributing to upcoming global food crises.
Furthermore, because small-scale producers in developing countries rely on the right to save seeds from their harvest and to exchange them with other communities, the freedom to do this is crucial for the future of food security. In order to halt these threatening developments it is not enough to wait for patent offices to reject single patent applications or to file more individual oppositions in this field. What is needed most is a clear legal ruling that exempts seeds and farm animals from patent protection. » (Then & Tippe op.cit. p.4)
«Patents
on basic methods in plant breeding, such as genetic fingerprinting, QTL and
MAB, can be applied on an undefined and large group of plant species. They are
a perfect tool for systematic bio-piracy, as they enable the patent holder to
turn global commons, essential for food production, into private property by
simply describing them using technical means. Many of these patents are nothing
but well-organised theft and global robbery supported by patent offices and
certain political institutions in industrialised countries........ The only way
to protect the centres of biological diversity from being pirated in this way
by international companies is to issue a clear regulation in patent law,
excluding all patents on conventional breeding of plants. The development of
biopiracy can no longer be sustainably and effectively controlled by single
opposition procedures. » ( Then & Tippe, op.cit p.23)
“The seed industry does not wish a similar
situation [resistance in Brazil supported by the courts there] to develop in
Africa. Hence the insistence that African seed laws are upgraded to the most
restrictive, first world legislation, supported by the World Bank, World Trade
Organisation and the International Intellectual Property Office, WIPO. What is
occurring is a de facto case of neo-liberal enclosure of the foundation of
agricultural productivity in Africa.”
(G. Ashton, Is Africa about to Lose the Right to her Seed?, www.afronline.org , Vita Società
Editoriale,
[In] patent
application WO 2008150892, ‘the patent on monsantosizing food feed fuel’
, the company claims breeding for soy beans with an oil content of between
23 and 35 %, which have been derived from conventional breeding and combined
with transgenic traits, such as herbicide resistance. Monsanto claims the
plants and their derived food products, listing the whole chain of production
in the claims.
For
example claim 7 reads:
“A
method of producing food, feed, fuel or an industrial product comprising the
steps of:
(a)
obtaining seed from the plant ...
(b)
planting and growing the seed into mature plant
(c)
harvesting seed from the mature plant; and
(d)
preparing food, feed, fuel or an industrial product from the harvested
seed.”(Then & Tippe op.cit p.24)
Dans sa publication «Failure
to Yeld – Evaluating the Performance of Genetically Engineerd Crops » (Union
of Concerned Scientists, Cambridge MA
(USA), Avril 2009), auteur Gurian-Sherman
D, relève qu’en fait l’introduction de mais et soya GM n’a porté à aucune
augmentation d’importance de la production agricole en rapport aux systèmes
traditionnels d’agriculture. Malgré la
propagande des multinationales au contraire. L’introduction même a bien porté à
une augmentation importante du contrôle centralisé de quelques grandes
multinationales sur des secteurs importants de la production agricole.
La situation actuelle à l’égard de la production d’aliments
génétiquement modifiés
"If you put a label on genetically engineered
food you might as well put a skull and crossbones on it." - Norman Braksick, president of Asgrow Seed
Co, member du groupe Monsanto, cité au
Kansas City Star, 07 Mars, 1994 ). (Cité par R. Cummins, BioDemocracy or Corporatocracy
: The Food Fight of our Lives, Article 27261, Organic Consumers
Association, 27 Mars, 2013, Finland MN 55603 (USA))
"Monsanto should not have to
vouchsafe the safety of biotech food. Our interest is in selling as much of it
as possible. Assuring its safety is the FDA's job." - Phil Angell,
directeur des communications, cité au New York Times, 25 Octobre, 1998. (Cité par R. Cummins, BioDemocracy or Corporatocracy
: The Food Fight of our Lives, Article 27261, Organic Consumers
Association, 27 Mars, 2013, Finland MN 55603 (USA))
Le film documentaire de Gary Null (1
heure 20 minutes) Seeds of Death : Unveiling the
Lies of GMOs donne
une introduction qualifiée aux dangers des aliments génétiquement modifiés, la
science corrompue des corporations multinationales qui la défendent, la
servilité en particulier de
Le
travail récent le plus important (et bien référencé) sur ce sujet est la
déclaration Pas
de consensus scientifique sur la sécurité des OGM par le
European
Network of Scientists for Social and
Environmental Responsibility (ENSSER), Berlin, 21 Octobre, 2013. La déclaration
ne laisse aucune possibilité de doute à l’égard de la situation actuelle :
« En tant que scientifiques, médecins,
académiciens et experts des disciplines relevant des aspects liés à l’évaluations
scientifique, légale, sociale et sanitaire des organismes génétiquement
modifiés (OGM), nous rejetons fortement le fait revendiqué par les semenciers
qui développent et commercialisent des OGM, certains scientifiques et
journalistes selon lequel il existe un «consensus scientifique» relatif à la
sécurité des OGM qui clos le débat sur le sujet.
« Nous nous sentons obligés de faire
cette déclaration car le consensus revendiqué sur les questions biosécuritaires
liées aux OGM n’existe pas. La revendication du contraire est fallacieuse;
elle n’est pas soutenue par les preuves
scientifiques actuellement disponibles et ne reflète pas la large diversité
d’opinion au sein de la communauté scientifique. De plus, cette revendication
encourage un climat de complaisance qui pourrait amener à un manque de rigueur
scientifique et légale ainsi qu’à un manque de prudence qui mettrait
potentiellement en danger la santé des êtres humains, des animaux et de
l’environnement. »
“Our
search found 21 studies for nine (19%) out of the 47 crops approved for human and/or
animal consumption. We could find no studies on the other 38 (81%) approved
crops. Fourteen out of the 21 studies (67%) were general health assessments of
the GM crop on rat health. Most of these studies (76%) were performed after the
crop had been approved for human and/or animal consumption, with half of these
being published at least nine years after approval. Our review also discovered
an inconsistency in methodology and a lack of defined criteria for outcomes
that would be considered toxicologically or pathologically significant. In
addition, there was a lack of transparency in the methods and results, which
made comparisons between the studies difficult. The evidence reviewed here
demonstrates an incomplete picture regarding the toxicity (and safety) of GM
products consumed by humans and animals.” (Zdziarski, I.M. et autres, GM crops and the rat digestive
tract : A critical review, Environment International 73 (2014) pp. 423-433,
Elsevier Ltd, Amsterdam, 20 Septembre 2014.) Le rapport Zdziarski se limite
aux recherches sur les rats, le sujet de la plupart des activités de recherche sur
les aliments génétiquement modifiés.
Pour
voir les détails sur les méthodes agressifs de travail de
Pour lire un rapport scientifique récent et bien référencé
(650 références) qui réfute point par
point tous les 34 revendications principales avancées par les multinationales
qui promeuvent les cultures génétiquement modifiés voir M. Antoniou et al, GMO Myths and Truths : An
evidence-based examination of the claims made for the safety and efficiency of
genetically modified crops, Version 1.3, Earth Open Source,
Londres, Juin 2012.
Pour lire un rapport mis à jour sur les cultures
génétiquement modifiées voir : J. Zacune, Combating Monsanto :
Grassroots Resistance to the Corporate Power of Agribusiness in the era of a
“Green Economy” and a Changing Climate ,
p.
12
“During
the past 16 years, more than a quarter of a million farmers have committed suicide
in
“The
highest rates of suicides coincide with the areas producing the highest amount
of [ GM] Cotton.”<
“..a
survey carried out in Vidharbha, the eastern region of the Maharashtra state,
by Navdanya (a network of seed keepers and organic producers spread across 16
states in
p.
18
<“In the US an epidemic of resistant ‘superweeds’ has been caused by the continual application of glyphosate [ Roundup] on crops that are marketed as glyphosate-tolerant crops. New analysis also suggests that Monsanto GM maize is failing in terms of insect resistance to Bt toxins. Other research has shown that pesticide applications have risen dramatically since the introduction of GM crops. Monsanto’s glyphosate-based Roundup, which is marketed to be used with its Roundup Ready (RR) crops, saw a 46% increase in sales in 2007 and 2008.”>Dans
son rapport no. 37 Cultivation of genetically
modified food crops – prospects and effects,
“that for the time being
all research and development activities on transgenic crops should be carried
out only in containment, the ongoing field trials in all States should be
discontinued forthwith.”
Le rôle de
Un autre rapport sur la situation concernant
les cultures génétiquement modifiées est Who
benefits from gm crops : the great climate change swindle , Riley P. et al, Friends
of the Earth International, Food sovereignty, issue 17, Amsterdam, Septembre
2010.
Lisez GM crops increase pesticide use and fail to alleviate
poverty published by Friends of the Earth (Europe),
“…the widespread adoption of Roundup Ready crops combined with the
emergence of glyphosate-resistant weeds has driven a more than 15-fold increase
in the use of glyphosate on major field crops from 1994 to
“….genetic engineering has not increased the yield potential of any
commercialized GM crop (Fernandez-Cornejo & Caswell, April 2006).” (p.12)
“Glyphosate,
the active ingredient in Roundup®, is the most popular herbicide used
worldwide. The industry asserts it is minimally toxic to humans, but here we
argue otherwise. Residues are found in the main foods of the Western diet,
comprised primarily of sugar, corn, soy and wheat. Glyphosate's inhibition of
cytochrome P450 (CYP) enzymes is an overlooked component of its toxicity to
mammals. CYP enzymes play crucial roles in biology, one of which is to detoxify
xenobiotics. Thus, glyphosate enhances the damaging effects of other food borne
chemical residues and environmental toxins. Negative impact on the body is
insidious and manifests slowly over time as inflammation damages cellular
systems throughout the body.” ( Samsel A., Senef S. Glyphosate’s Suppression of Cytochrome P450 Enzymes and Amino Acid Biosynthesis by the Gut
Microbiome: Pathways to Modern Diseases, Entropy (Journal), 2013 no. 15, pp.
1416-1463, ISSN 1099-4300, MDPI, Basel, 18 Avril, 2013, résumé, p.1.)
Les
effets du glyphosate “are insidious, because the long-term effects are often
not immediately apparent. The pathologies to which glyphosate could plausibly
contribute, through its known biosemiotic effects, include inflammatory bowel
disease, obesity, depression, ADHD, autism, Alzheimer’s disease, Parkinson’s
disease, ALS, multiple sclerosis, cancer, cachexia, infertility, and developmental
malformations. Glyphosate works synergistically with other factors, such as
insufficient sun exposure, dietary deficiencies in critical nutrients such as
sulphur and zinc, and synergistic exposure to other xenobiotics whose
detoxification is impaired by glyphosate. Given the known toxic effects of
glyphosate reviewed here and the plausibility that they are negatively
impacting health worldwide, it is imperative for more independent research to
take place to validate the ideas presented here, and to take immediate action,
if they are verified, to drastically curtail the use of glyphosate in
agriculture. Glyphosate is likely to be pervasive in our food supply, and,
contrary to being essentially nontoxic, it may in fact be the most biologically disruptive
chemical in our environment.” (Samsel,
A, Senef, S., ci-dessus, p. 29.) ( La forme bold à la
dernière phrase ajoutée par
“It is commonly
believed that Roundup is among the safest pesticides. This idea is spread by
manufacturers, mostly in the reviews they promote [40, 41], which are often
cited in toxicological evaluations of glyphosate-based herbicides. However,
Roundup was found in this experiment to be 125 times more toxic than
glyphosate. Moreover, despite its reputation, Roundup was by far the most toxic
among the herbicides and insecticides tested. This inconsistency between
scientific fact and industrial claim may be attributed to huge economic
interests, which have been found to falsify health risk assessments and delay
health policy decisions [42]….In conclusion, our results challenge the
relevance of the ADI [Average Daily Intake] because it is calculated today from
the toxicity of the AP [Active Principle] alone in vivo. An “adjuvant factor”
of at least a reduction by 100 can be applied to the present calculation of the
ADI if this is confirmed by other studies in vivo. As an example, the present
ADI for glyphosate is 0.3 ppm, for glyphosate-based herbicides it would be 3
ppb or less. However, this will never replace the direct study of the
commercial formulation with its adjuvants in regulatory tests. Anyway, an
exposure to a single formulated pesticide must be considered as co-exposure to
an active principle and the adjuvants. In addition, the study of combinatorial
effects of several APs together may be very secondary if the toxicity of the
combinations of each AP with its adjuvants is neglected or unknown. Even if all
these factors were known and taken into account in the regulatory process, this
would not exclude an endocrine-disrupting effect below the toxicity threshold.
The chronic tests of pesticides may not reflect relevant environmental
exposures if only one ingredient is tested alone.” (Mesnage, R. and others, Major presticides are more toxic to human cells than
their declared active principles, Hindawi Publishing Corporation,
BioMed Research International,
Les
conséquences graves nombreuses et vérifiées pour la santé des populations en
Argentine y causées par la pulvérisation (en augmentation exponentielle) des
cultures génétiquement modifiés, surtout le soya, sont détaillées au Report
from the 1st National Meeting of Physicians in the Crop-Sprayed
Towns, conférence que s’est
tenue auprès de l’Université Nationale de Cordoba (Argentine), Cordoba, 27-28
Août, 2010.
Weed killer found in human
urine across Europe est le titre d’un rapport du Friends of the
Earth International, Bruxekkes, Juin 2013. Le porte-parole de l’organisation,
Adrian Bebb, a declare : "Our testing highlights a serious lack of action by public
authorities across Europe and indicates that this weed killer is being widely
overused. Governments need to step-up their monitoring and bring in urgent
measures to reduce its use. This includes rejecting any genetically modified
crops that would increase the use of glyphosate."
L’80% des terres agricoles du Paraguay est
utilisé pour la culture de soya génétiquement modifié fourni par
La société Desarrollo Agrícola del Paraguay (DAP) fut créée pour la promotion du
développement agricole socialement responsable et durable du secteur.
“Five years on, the results in the communities of Colonia Barbero, 12 de Junio and Agüerito show that many of the families who participated in the productive projects were worse off economically. In terms of improving farmer incomes, these projects can thus be regarded as a failure. In the case of those who followed the production model promoted by DAP, instead of increasing their income by adopting supposedly more productive practices, they entered a cycle of debt from which they have not yet recovered and as a result, many of them have lost their principle assets. DAP and the organizations that carried out the projects failed to take into account the local context and socio-productive conditions of the families, and promoted an inappropriate model. Practically all of the investment risk fell on the small-farm families …. Despite its efforts to reduce negative impacts and to aid neighboring communities, it [DAP] is part of a sector whose present business model exacerbates the concentration of land and wealth in few hands, competes for limited resources, contaminates the environment, damages the health of the population and threatens the traditional livelihoods of small-scale farmers and indigenous communities..” (Guerena, A., The Soy Mirage. The limits of corporate responsibility : the case of the company Desarollo Agricola del Paraguay, Oxfam Research Report, Oxfam, Oxford, Août, 2013, p. 4.) Ce document constitue une condamnation puissante de l’agriculture industrielle moderne.
Pour voir une description de l’introduction aggressive du maïs GMO en Mexique, pays originaire du maïs avec ses nombreuses espèces et ses centaines de vairétés natives de maïs, lisez Red Alert ! GMO avalanche in Mexico, GRAIN, Barcelona, 21 Novembre, 2012.
Pour voir une description
de l’attaque brutale du camp pro-OGM contre l’Afrique voir le blog très bien
informé de xcroc Why
is Kofi Annan Fronting for Monsanto? : The GMO Assault on Africa,
Crossed Crocodiles, blog, crossedcrocodiles.worldpress.com, 31 Août, 2010.
L’article traite l’Alliance for a Green Revolution (AGRA) avec à sa tête
l’ancien secrétaire-général des Nations Unies Kofi Annan et financé par
Monsanto ( dont l’AGRA a acheté 500.000 des actions de
Sur
l’introduction de bananes génétiquement modifiées, riz d’or (golden rice), la
provision prétendue de vitamine A, et le rôle y joué par
Taleb
N.N. et autres expliquent pourquoi le principe de la précaution s’applique aux
aliments génétiquement modifies dans The Precautionary Principle :
Fragility and Black Swans from Policy, (School of Engineering, New York
University, Working Paper Series, New York, 04 Septembre, 2014, paragraphes
10.2 – 10.5) en disant :
“Genetically
Modified Organisms, GMOs, fall squarely under the PP [precautionary principle]
because of their systemic risk. The understanding of the risks is very limited
and the scope of the impacts are global both due to engineering approach
replacing an evolutionary approach, and due to the use of monoculture.
“Labeling the GMO
approach “scientific" betrays a very poor—indeed warped—understanding of
probabilistic payoffs and risk management. A lack of observations of explicit
harm does not show absence of hidden risks. Current models of complex systems
only contain the subset of reality that is accessible to the scientist. Nature
is much richer than any model of it. To expose an entire system to something
whose potential harm is not understood because extant models do not predict a
negative outcome is not justifiable; the relevant variables may not have been
adequately identified.
“Given the limited
oversight that is taking place on GMO introductions in the
Le changement du climat, la pêche, et l’acidification des océans.
La température des océans s’augmente. Cela a des conséquences pour la chaine alimentaire entière des océans. Les espèces de poissons des zones tropicales s’en éloignent vers les deux pôles. Cela a lieu au moins depuis 1970. Il n’y a pas de remplacement des espèces qui sont émigrées. Cela constitue une menace à la sécurité alimentaire des peuples de beaucoup de pays pauvres qui dépende du poisson pour leur consommation de protéines. Pour plus d’information, voir Bernstein, L. World’s fish have been moving to cooler waters for decades, study finds, The Washington Post, Washington, 15 Mai, 2013. L’étude à laquelle l’auteur se réfère est Cheung, W. et al, Signature of ocean warming in global fisheries, publiée dans Nature no. 497 pp 365-368, Nature Publishing Group, Londres, Mai 2013. Elle n’est disponible que contre payement.
“It has been estimated that, because of overcapacity and technology creep, the capacity of the global aggregate fishing fleet is at least double that which is needed to exploit the oceans sustainably.” (O. de Schutter, The right to food. (Fisheries), Report A/67/268 submitted for agenda item 70 (b) “Promotion and protection of human rights: human rights questions, including alternative approaches for improving the effective enjoyment of human rights and fundamental freedoms”, of the 67th United Nations General Assembly, New York, 8th August, 2012, p. 6.) At the same time the scale of illegal fishing is estimated at between 10 and 28 million tonnes, for a value of US$ 9 to 25 billion. (Same source, p. 7).
Les dangers liés à l’utilisation du soya (génétiquement modifié) pour la production de poisson industrielle (aquaculture) à mer ouverte sont décrits dans Factory-fed Fish : How the Soy Industry is Expanding into the Sea, Food & Water Watch, Washington, Juin, 2012. Ce document porte une liste exceptionnelle de références.
Sur les effets généraux du changement climatique et de l’acidifcation océanique, surtout dans les pays pauvres où le poisson constitue la source principale des proteins, lisez Huelsenbeck, M., Ocean-Based Food Security in a High CO2 World : A Ranking of Nations’ Vulnerability to Climate Change and Ocean Acidifcation, Oceana, Washington, Septembre 2012.
La sécurité alimentaire dans les grandes villes.
Les principes du Modèle s’appliquent aux centres urbains comme aux zones rurales. On préfère toutefois que l’exécution des projets de développement intégré donne priorité aux projets dans les zones rurales au fin de mettre fin à l’exode des zones rurales vers les villes.
Prenez connaissance avec Armer les villes contre la faim – ed. Koc M. et al, Centre de Recherches pour le Développement International, (CRDO), Ottawa, 2000, surtout la troisième partie, “Agriculture Urbaine et Communautaire” dont les conclusions sont:
«Conclusion : mesures et stratégies de développement recommandées :
01. Renforcer le développement rural.
02. Gestion des ressources sur une base
coopérative.
03. Décentralisation.
04. Urbanisme bien géré.
05. Amélioration de la fourniture en eau dans les
communautés urbaines.
06. Encouragement du compostage et de la gestion
des déchets dans l’environnement urbain.
07. Support à l’agriculture et au jardinage dans
les zones urbaines.
08. Support à la recherche sur les légumes et cultures indigènes.
09. Disponibilité de services aux petits
commerçants urbains.
10. Renforcement du rôle des femmes.
11. Support aux jardins existants et aux autres
formes d’agriculture, telles le pâturage et l’agriculture au cours des saisons
de pluie.
12. Amener des recherches et offrir des services
d’information sur l’utilisation durables des ressources alimentaires
selvatiques.. »
3. Opinion.
Sur deux pages
décrivez comment les concepts du Modèle de Développement Intégré répondent aux
12 recommandations faites. Faits une introduction breve, la suivez avec 12
paragraphes brèves et votre conclusion,
Armer les villes contre la
faim contient de plus une analyse de Nugent R. sur la «Mesure de la
durabilité de l’agriculture urbaine”. L’auteur écrit:
« .....les produits de l’agriculture
urbaine sont souvent acheminés sur de courtes distances ( vers un marché de
producteurs ou une épicerie locale ) ou ne nécessitent aucun transport ( vendus
sur place à la ferme ou par auto -cueillette ). Grâce à cet avantage,
l’emballage et la consommation d’énergie peuvent être réduits. Les produits
alimentaires cultivés localement sont commercialisés directement auprès des
consommateurs ou pas du tout, parce que donnés à la famille, aux amis et aux
voisins. »
Pour voir un exemple brillant d’une initiative à ‘monnaie formelle à but de
lucre à faveur de l’agriculture urbaine intégrée et durable comprenant terres
fiduciaires, traitement local des
aliments, leur distribution locale, restaurants
locaux, énergie coopérative et le recyclage local “les semences d’une
économie alimentaire locale” lisez : P. Loh, Land, Co-ops, Compost: A Local
Food Economy Emerges in Boston’s Poorest Neighbourhoods, Yes ! Magazine, Positive Futures Network,
Bainbridge Island, 07 Novembre, 2014.
Les résultats de telles activités seraient encore plus éclatants et
diffusés au cas d’initiatives prises dans le cadre de systèmes à économie
locale prévus des projets de développement intégré.
Le site web du groupe Food from the Sky montre comment des
produits alimentaires sont cultivés sur le toit du supermarché Thornton’s Budgens
21-23 The Broadway, Crouch End, Londres N88 DU, Angleterre, à travers le
recyclage et le compostage de produits écartés du supermarché. Ce projet
intelligent combine la théorie de la permaculture, l’éducation, et la
réintroduction d’espèces locales(oubliées). Il est sujet à la réplication dans
tout le monde. Les produits sont vendus dans le supermarché quelques mètres
au-dessous du jardin.
4. Opinion.
Alors, comment l’industriel de l’alimentaire, réussit-il à y faire
concurrence? Expliquez-le sur une page . Vous pouvez vous référer au matériel
dont au Premier
Bloc : Section 1. Analyse des causes de la pauvreté du cours.
5. Opinion.
Les efforts de monopolisation
mondiale du secteur alimentaire (brevets, riz Basmati etc.) ci-dessus décrits
et l’absence de réaction adéquate de la part d’organisations telles
l’Organisation Mondiale du Commerce et
◄ Cinquième bloc : Section 4: Crise alimentaire.
◄ Cinquième Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font face à des
problèmes spécifiques.
◄ Table
matières pour le Diplôme du Développement Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell
Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)
Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th
annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
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termes d’une licence
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