ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
PROJETS DE
DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ.
Cette
œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une licence
Creative Commons
Attribution-Non-commercial-Share Alike 3.0 Licence.
Édition
01 : 04 Décembre, 2013.
La première phase couvre la rédaction et
présentation de la documentation complète du projet, la rédaction de l’étude
initiale environnementale (EIE), la formation de la coopérative «Projet Vivons Tougan (Exécution)», son approbation
du projet et de l’EIE, et l’approbation des autorités Burkinabés intéressées au projet. La phase se termine
avec la mise à disposition de l’investissement initial de la part des bailleurs
de fonds.
La documentation complète du projet complète de
bilan indicatif est mise gratuitement à la disposition de la coopérative «Projet Vivons Tougan (Exécution)» par l’ONG
Hollandaise Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voix). Pour cette raison, aucun bilan financier
n’était prévu pour les travaux dans la première phase sauf les
frais de l’étude initial environnementale qui sont couverts à la voix 5.02.01
du bilan.
Le coordonnateur nommé
tissera des liens avec les populations locales pour discuter leurs exigences
générales et leur disponibilité à accepter les principes de base et les
conditions préalables du projet,
à voir :
2. La
disponibilité à payer au moins € 0,60 -
€ 0.75 par personne par mois dans le Fonds
Coopératif de Développement Local de propriété des populations mêmes. Le
paiement couvrira l'ensemble des services de base prévus (l'éducation à
l'hygiène, la fourniture en eau potable, l'assainissement, la récolte des
ordures, les foyers à haut rendement etc.)
La consultant principal nommé pourra se mettre en contact
préliminaire avec des fournisseurs de technologies et services nécessaires au
projet, en conformité avec les conditions du plan des achats.
Étude
Initiale Environnementale.
Voir adaptation
écologie et conservation pour détails complets sur comment le projet
fait face aux changements climatiques.
L’étude initiale environnementale du projet, autre une étude du milieu, se
fera par le consultant/équipe indiquée pour situer l’état naturel de la zone
avant toutes les opérations à engager (cette étude est exigée en vertu de la
loi N° (référence) du (date)
instituant le code de l’environnement ; (section titre étude d’impacts
sur l’environnement ; articles ).
Son but est d’abord
éducationnel par les informations sur les changements environnementaux
éventuels des sites à apporter par le projet.
Cette étude bien menée indiquera
les prévisions et précautions à prendre pour l’étude d’impact environnemental
finale des réalisations à la phase d’évaluation après la première période
d’exercice de 10 ans du projet. Les coûts de ces dépenses à engager seront
signalés de voix à part au budget.
Les informations reçues,
les taxes et les études ne devront pas dépasser un millième du coût du projet
selon les références du bureau [nom] du Ministère de l’Environnement soit €
13.750. Le montant prévu à la voix 5.02.01
du budget est € 5.000
Le projet est pour 100% écologique.
Il est base sur l’utilisation d’énergies renouvelables et en particulier
sur l’utilisation des cellules photovoltaïques pour les structures de pompage
de l’eau potable, et pour celles d’éclairage pour les études. Les structures
éco -sanitaires prévues servent aussi au compostage des déchets organiques
humains sur site. L’urine et les fèces produits des habitants n’ont aucun
contact ni avec de l’eau potable, ni
avec les eaux de superficie, ni avec les eaux souterraines, ni avec le
sol.
Le principe suivi est que toute énergie utilisée pour le projet soit
générée localement et de manière durable. Un exemple en est le plan pour la
production locale
Les ordures non -organiques sont récoltes et recyclées là où possible dans
le cadre du système de monnaie locale établi pour favoriser les activités
productives dans la zone du projet.
L’introduction et utilisation des foyers à rendement élevé élimine les
risques d’incendies et des particules fins à l’intérieur et autour des
ménages. Le remplacement du bois et du
charbon de bois par mini -briquettes faites localement pour la cuisine
protège les forêts et porte à une forte
réduction des émissions de CO2. Le projet aurait pu se qualifier
pour des certificats de réduction de carbone CER aux termes du traité de Kyoto,
dont la vente pourrait en principe contribuer au financement des activités du
projet. Ceci ne deviendra possible
qu’avec une simplification des procédures et une réduction des coûts
administratifs sous le traité de Kyoto, réservées actuellement dans la pratique
aux joueurs multinationaux et importants. Le prix par tonne de CO2 n’est
que € 2-3, ce qu’est insuffisant à couvrir les frais administratifs imposés,
même ceux des procédures simplifiées.
La production locale d’articles faits à base de composites de gypse est
elle aussi entièrement écologique. Le
cycle de production en est tel que la quantité fortement réduite d’eau
nécessaire pendant une phase du cycle est recyclée dans un deuxième phase sans
la perte d’eau sale ou contaminée dans l’environnement. Le produits en
composites de gypse sont eux-mêmes au 100% écologiques. Ils peuvent toujours
être réparées. Au cas où ils ne fussent plus nécessaires ou utilisables,
peut-on les restituer aux usines pour le recyclage au 100% pour la production
de produit nouveaux. Aucun matériel n’est jamais perdu nécessairement dans
l’environnement. Au cas éventuel d’abandonnement dans l’environnement les
composites de gypse n’auraient aucun effet négatif sur les personnes ou les
choses car le gypse est un matériel inerte.
Le travail aux composites de gypse peut bien porte à la présence de poudres
fines dans les zones immédiatement aux alentours des unités de production et
des carrières. Pour cette raison, le travail au gypse dans les environnements
fermés doit être accompagné de l’utilisation de moyens de protection des yeux
et des poumons pour en éviter l’irritation. Il n’y a en tout cas aucun risque
pour la santé des opérateurs ni des populations. La poudre de gypse se dissolve
en contact avec l’eau et les liquides du corps.
Le projet ne prévoit que des exploitations minières manuelles sur toute petite échelle à utilisation locale. Il
ne s’agit que d’activités relatives à quelques centaines de tonnes par ans.
En principe,
l’exploitation de carrières d’anhydrite
et gypse éventuellement se trouvant dans des villages habités peut porter à la
nécessiter de déplacer quelques habitants de leur résidence. L’étude initiale
environnementale doit fixer la volonté des bénéficiaires à s’adhérer aux
réalisations tout en ménageant les mesures appropriés de compensation. Vues les
quantités très réduites de gypse nécessaires, le risque de devoir déplacer des
personnes est à considérer nul.
Les droits d’exploitation d’éventuelles gisements de
anhydrite ou gypse dans la zone du projet seront mis au nom du projet, soit “la
commission centrale de la coopérative «Projet Vivons Tougan (Gestion Permanente) » pour le compte des habitants (des habitants de la communauté où chaque
gisement se trouve). Carrières déjà exploitées seront transformées en
structures sociales locales utiles selon les préférences exprimées des
habitants, qui en restent les propriétaires.
L’étude
initial environnemental.
[Copie]
Les phases de réalisation du projet.
La table complète des
matières.