ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours
e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition 03: 12 Septembre, 2009
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Septième bloc: Planification régionale et nationale.
Valeur
attribuée : 01 point sur 18
Travail
prévu : 24 heures sur 504
Les points ne sont attribués qu’après le complètement
réussi de l’examen consolidé pour
Septième bloc: Planification régionale et
nationale.
Section 2: Rapports entre les projets
individuels.
Travail
prévu : 5 heures sur 504
02.00 heures : Rapports entre d’autres
projets au niveau régional.
02.00 heures : Rapports entre d’autres
projets au niveau national..
01.00 heure
: Rapport.
02.00 heures : Rapports entre d’autres
projets au niveau national.
Avertissement : Les
structures nationales dont à cette section sont les toutes dernières à être
établies, une fois fonctionnant plusieurs systèmes au niveau régional. Celles au
niveau régional ne seront à leur tour établies qu’une fois plusieurs projets
individuels aient été établi dans la même région. Le volume de transactions
entre régions ne devrait pas d’ailleurs dépasser le 0,25% du 100%. Il s’agit, par conséquence, de structures
relativement marginales dans le cadre général des projets de développement
intégré.
À la section 1: Extensions aux Plans aux
niveaux régional et national de ce septième bloc: Planification régionale et
nationale a-t-on étudié la création de systèmes d’économies locales au
niveaux régional et national.
On a discuté au cours de
la section précédente les rapports
entre d’autres projets au niveau régional.
Référez-vous
aussi au schéma des plans nationaux
dont à l’analyse anthropologique à trois
niveaux du troisième bloc les solutions
aux problèmes .
Quels sont les rapports entre les systèmes régionaux dans le cadre du
système national ?
Les responsables au niveau central de chaque système
de monnaie locale nomment un représentant à la commission régionale. Le
représentant peut être l’un des responsables mêmes, ou une autre personne
retenue compétente pour la tâche. Cela signifie une sorte de «parlement »
régional des systèmes de monnaie locale.
Puisque les différentes régions
auront des populations différentes l’un à l’autre, quelques «parlements »
de systèmes régionaux de monnaie locale pourront avoir beaucoup de
membres. D’autres peu de membres. Par exemple une région à 5 million
d’habitants auraient un parlement à 100 membres. Le parlement d’une région à
300.000 habitants n’aurait que 6 membres .
Les membres représentants des
différentes régions décideront sur le fonctionnement de leurs systèmes
régionaux. Les régions à peu de membres
choisiront, en toute probabilité, la représentation directe. Les
«parlements » des systèmes de monnaie locale des régions grandes pourront
choisir un groupe de direction.
Les commissions régionales
décident sur les opérations d’import-export entre les régions.
Les
représentants de chaque système régional de monnaie locale agissent comme
antenne pour l’expression des exigences des systèmes de monnaie locale qu’ils
représentent.
Les demandes de
biens et services qui ne peuvent pas être satisfaisantes dans la propre région
sont prises en charge des responsables au niveau régional.
Par exemple, au
cas où les habitants aient des exigences de biens et services qui ne sont pas
disponibles dans le cadre des systèmes locaux dans leur région peut-on suivre deux chemins :
a) Voir, en
collaboration avec les responsables des systèmes de monnaie locale des régions limitrophes si les produits ou
services peuvent être fournis chez elles.
b) Voir, en collaboration
avec les responsables des systèmes de monnaie locale des autres régions (soit
provinces, soit districts) si les produits ou services peuvent être fournis
chez elles.
Il ne s’agit jamais d’autoriser des transactions individuelles. On travaille
par classes ou catégories de biens et services.
Les responsables tiendront toujours compte de leurs soldes respectives de
l’une région avec l’autre, à ce qu’elles tendent toujours vers le zéro. Cas échéant,
ils prendront les mesures nécessaires pour qu’elles puissent rester en
équilibre.
On donne préférence toujours au partenariat avec la région la plus proche.
Au cas où l’on ne réussisse pas à établir une solde mutuellement équilibrée
vers le zéro avec la région la plus proche, prend-on contact avec une autre
région.
Export-import systématique entre les systèmes régionaux.
Le but principal des économies régionales est l’autosuffisance. Cela
signifie qu’on cherche là où possible à produire des biens et services
régionaux pour la consommation dans la région. La dimension régionale devrait
permettre la satisfaction de la plupart des exigences.
Chaque région cherche à limiter les propres importations.
Les rapports commerciaux entre les différents systèmes régionaux doivent
être toujours en équilibre l’un avec l’autre. Puisque aucun système régional ne
puisse faire du commerce avec une autre qui porte à des mouvements financiers à
bénéfice de l’une à détriment de l’autre, la compétition typique de la
globalisation y manque. Aucune possibilité d’exploitation de la part d’un
système régional d’un autre système région n’existe.
Au cas où l’on commence à fournir à
l’intérieur d’un système régional des biens et services que l’on en train
d’importer d’un autre système les responsables termineront l’accord
import-export pour la catégorie de biens ou services en question. Le risque de surproduction reste toujours
avec la région productrice.
L’autre côté de la médaille est qu’on reste libre d’exploiter, dans
l’intérêt de tous, les ressources, les spécialisations et l’expérience
particulières de chaque région.
Compétition.
On
répète les règles de compétition citées au cours des études sur les extensions
aux plans au niveau national de ce
bloc 7.
Au cas de spécialisation peut-on en principe arriver au point où le
fournisseur d’un produit ou service se trouve en position de monopole au niveau
régional. Les responsables de la gestion régionale des systèmes de monnaie
locale choisiront en général en tel cas de supporter la formation de
fournisseurs concurrents dans leur région.
Cas échéant ils permettront l’importation de produits et services
concurrents d’autres systèmes régionaux.
Sauf pour produits et services nécessaires au structures mêmes des projets,
les populations sont toujours libres de choisir de payer biens et services en
utilisant la monnaie formelle de leur pays. Cette possibilité constitue un
frein aux activités monopolistes dans le cadre des systèmes de monnaie locale
au niveau régional. Au cas où le prix demandé en monnaie locale soit retenue
trop onéreux, les populations peuvent nier le fournisseur en question à travers
l’achat de biens et services concurrents pour de la monnaie formelle.
Les transactions.
Les
transactions sont toujours effectuées utilisant la monnaie locale du vendeur du
bien ou service.
Ou les partis à une transaction sont membres de deux régions différentes,
le vendeur est toujours tenu à savoir si la vente de son produit ou service à
l’acheteur rentre parmi les catégories autorisées des systèmes régionaux
respectifs. Au cas négatif, le vendeur ne peut pas être payé dans le cadre des
systèmes de monnaie locale, car le «paiement » de l’acheteur ne sera
pas honoré des services de gestion. Au cas de doute, peut-on toujours effectuer
la transaction en question en monnaie formelle.
On ne
prévoit que d’opérations en monnaie locale entre les régions (soit provinces,
soit districts) d’un pays dans des circonstances où il s’agit de biens et de
services extrêmement spécialisés. Selon
une hypothèse, le volume ne dépasserait pas le
0,25% du 100% des transactions en monnaie locale.
Cliquez ici pour voir une
illustration de l’hypothèse.
1.
Recherches.
On ne prévoit pas de transactions en
monnaie locale au niveau international.
Sur une page en expliquez les raisons.
2. Recherches.
Les systèmes de
monnaie locale sont de nature coopérative. Les produits ou services en question
seront en général libres d’intérêts et d’exploitation financière. De même, les
transactions entre régions ne seront pas toujours tout à fait pour 100% libres
de frais en monnaie formelle, et par conséquence de quelque contenu d’intérêts
financiers. Sur une page en expliquez les raisons.
3.
Opinion.
Compte tenu du contenu de ce cours,
expliquez sur une page ce que c’est, une forte économie régionale.
4. Recherches.
Du moment que toutes les régions d’un pays
n’auront complété chacune sa propre «couverture d’arlequin » de
projets individuels de développement intégré, le pays aura achevé (et dépassé)
tous les objectifs du Millénaire. Sur une page expliquez ce concept.
5.
Opinion.
Sur une page faites un commentaire sur les obstacles à votre avis les
plus importants à l’achèvement d’une couverture nationale de projets de
développement intégré.
◄ Septième bloc : Section 2: Rapports entre les projets individuels.
◄ Septième bloc : Septième bloc: Planification régionale et nationale.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche
qui la barre. »
Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la
privation construite)
Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action
Against Poverty, 58th annual NGO Conference, United Nations, New
York 7 Septembre 2005.
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