ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours e-learning
: Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
03: 09 Septembre, 2009
Valeur attribuée : 06 points sur
18
Travail prévu : 186 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Valeur
attribuée : 02 points sur 18
Travail
prévu : 54 heures sur 504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Section 3: Crise de crédit.[5 heures]
02.00
Heures analyse matériel du Modèle.
02.00
Heures approfondissement.
01.00 Rédaction rapport.
Section 3: Crise de crédit. [5 heures]
02.00
Heures analyse matériel du Modèle.
Le système financier dominant est basé sur l’endettement.
Vous avez abordé le problème des
intérêts au cours de votre travail sur les
dettes et les subsides de la section 1 analyse des causes de la pauvreté
du premier bloc la pauvreté et la qualité de
vie.
Au cours de votre travail
d’approfondissement sur les concepts de base
(approfondissement) de la section 3 les structures financières du
quatrième bloc les structures à
créer êtes-vous venu en
contact avec le concept des
« intérêts » pas gagnés.
Le facteur des
intérêts.
On retient que le contenu en intérêts accumulatifs
du prix d’un produit typique d’un pays industrialisé monte à au moins le 40% du
prix demandé au consommateur final.. Il se peut que ce pourcentage soit souvent
supérieur au 40%. La partie du prix d’un produit représentant ces intérêts accumulatifs
sort immédiatement de la zone locale du consommateur, pour n’y jamais tourner.
Encore plus grave, peu de la partie restante du prix d’un produit importé dans
la zone du consommateur y reste pour y être recyclé localement. Plus en
général, même les épargnes locales faites des communautés pauvres ne sont pas
investies localement à faveur du développement local.
La forme économique “capitaliste”
actuellement dominante se base en fait sur l’endettement exponentiel. Le 98% de la masse monétaire est créé et mis
en circulation par des banques à propriété particulière, contre le paiement
d’intérêts. La plupart des entreprises, les administrations publiques et même
les gouvernements financent leurs activités à travers des financements leur
concédés par des banques privées. Cela signifie que le montant total demandé
aux utilisateurs finaux de la part de responsables de la production de biens et
de services doit comprendre le contenu en intérêts qui s’est accumulé à travers
les différentes phases de production et exécution.
Les intérêts
cumulatifs à travers les phases de production (supply chains).
Une chaîne de fourniture (supply
chain) se compose d’une série de “joints” de nature commerciale le long des
différentes phases de production, à commencer des tous premiers
pas du développement d’un produit, à travers des phases de préparation et
l’exploitation des matières premières nécessaires et de toutes les autres
activités avant qu’un produit ou service n’arrive au consommateur final.
Aujourd’hui, surtout dans les pays industrialisés, les chaînes de fourniture
peuvent être très complexes, avec des centaines, même des milliers, de passages
le long du cycle de production d’un article ou l’exécution d’un service à
partir de sa conception jusqu’à sa destination finale.
L’exemple suivant d’une chaîne de fourniture est
très simplifiée. Dans la réalité serait-elle bien plus complexe, en comprenant
beaucoup plus de passages.
Supposons qu’on a découvert du
pétrole dans un zone désertique. Il faut faire un forage pour arriver à l’huile.
Il faut une machine à forage et d’autres équipements et matériaux pour faire le
forage. L’entrepreneur qui construit l’usine où les équipement de forage sont
produits aurait obtenu des financements contre intérêts pour couvrir ses frais
de bâtiment et les achats des équipements et les matériaux y nécessaires. Le
prix de l’usine comprendra un montant à couverture de tels intérêts (niveau 1).
Ces frais devront être couverts à leur fois dans le prix demandé du fabricant
pour ses équipements de forage qu’il y fabrique. Le fabricant même aurait
emprunté de l’argent pour payer son usine et pour les équipements et matériaux
lui nécessaires à la production de ses machines à forage.(niveau 2). Le prix de
chaque machine à forage comprendra de conséquence soit une part à couverture
des intérêts originaires demandés de l’entrepreneur qui a construit l’usine,
soit une partie des intérêts appliqués au capital nécessaire au fabricant de la
machine à forage pour la production de sa machine. L’opérateur acheteur de la machine
à forer devrait se faire financer pour l’achat de la machine (niveau 3). Son
prix pour les travaux de forage devrait comprendre à ce point soit les intérêts
demandés de l’entrepreneur au niveau 1, soit les intérêts demandés du fabricant
de la machine à forer (niveau 2) soit
les intérêts qu’il doit payer sur le capital d’achat de sa machine (niveau 3).
Les mêmes principes s’appliquent aux prix de conduits pour le transport de
l’huile, à la construction des ports, à la construction des navires pour le transport
de l’huile, à l’achat des navires et à leur gestion, aux facilités de stockage
de l’huile, à la raffinerie, et tout le long de la route du pétrole jusqu’au
point final de vente de l’essence au consommateur final.
Les intérêts qui forment partie du
prix final sont accumulatifs. Le long de la chaîne commerciale décrite, les
intérêts sont demandés sur les financement d’activités dont le prix déjà
comprend des montants à couverture d’intérêts. De cette manière paye-t-on des
intérêts sur tous les intérêts accumulatifs précédents. Cela à chaque passage
le long de la chaîne entière.
Les taxes sur la valeur ajoutée
(TVA) appliquée dans beaucoup de pays industrialisés sont complémentaires aux
intérêts. Aux termes du système TVA, un impôt appliqué sur le prix de vente à
chaque passage, au net des frais subis au niveau même. L’intention en est de
récupérer les impôts sur les profits lourds à chaque niveau. Le consommateur
final paye tout. Chaque fournisseur, fabricant, et vendeur réponde à l’état de
l’impôt TVA sur ses profits lourds. Les intérêts accumulatifs à chaque niveau
font partie du prix à chaque niveau. Le
pourcentage du prix en question n’est pas d’ailleurs facile à tracer.
Dans la pratique, ne s’agit-il
pas du seul montant à titre des intérêts faisant partie du prix d’un produit ou
service qui s’accumule le long de la chaîne de production. Ces intérêts,
faisant partie du prix, sont à leur tour sujets aux impôts.
Soit le contenu en intérêts du prix
d’un produit ou services, soit les impôts y appliqués sont de nature
improductive et parasite. Ils n’ont rien à faire avec le contenu inhérent ou
avec l’utilité du produit ou service en question. Les intérêts versés du
consommateur final trouvent leur voie de retour aux banques qui ont créé le
financement originaire. Toutefois, ces montants à couverture des intérêts ne
sont pas, comme le capital leur relatif, annulés à leur retour aux banques qui
ont fait les émissions originaires du capital. Ils restent libres à circuler
par le monde à grande vitesse et en temps réel.
Ils forment partie d’une masse financière volatile sans aucun contrôle,
toujours en augmentation exponentielle, dans les mains d’une petite élite financière,
pas élu, et souvent d’un niveau éthique dubitable. La crise de crédit récente
en fournit un exemple puissant.
Le total des intérêts
accumulatifs et des impôts compris dans le prix d’un produit ou service est
payé par le consommateur final. Sans eux les prix moyens des produits industriels
et des services ne seraient que le 50-60% des prix actuellement demandés. Et
même moins.
Le financement de la part du consommateur final.
Il se peut bien que le
consommateur final doive emprunter de l’argent pour financer l’achat d’un bien
ou service. En tel cas il doit payer
soit le contenu entier des intérêts accumulatifs et des impôts faisant partie
du prix, soit des intérêts sur son financement bancaire qui lui permet de faire
l’achat. La valeur du montant dont au financement peut, évidemment, varier du
0% à plus du 100% du prix du produit ou service en question. Dans les pays
occidentaux aux cas des voitures et de la propriété immeuble, ce pourcentage
tende vers le 100%. En quelques cas, dans certain pays, tels par exemple les
Pays Bas, des jeunes peuvent prêter même jusqu’à 120% de la valeur de la
propriété qu’ils achètent.
Les taux d’intérêt peuvent
résulter plutôt réduits au cas des investissements dans les propriétés
immeubles. D’autre part peuvent-ils facilement arriver et même dépasser le 10%
par an pour les articles à consommation achetés sur crédit. Dans tels cas, plus
longue la période du crédit, plus élevé le pourcentage des intérêts réels
exprimés en fonction du prix d’achat du produit ou service. En général, plus
pauvre l’acheteur, plus les intérêts qu’il devra payer sur une période plus
longue. Les taux annuels des intérêts dans les pays pauvres peuvent arriver à
et même dépasser le 20%. Ces observations se réfèrent aux marchés et aux taux
d’intérêts officiels. Du moment qu’on passe du secteur formel à celui du marché
noir et usuraire, le situation devient-elle encore plus grave.
Au cas où le les intérêts
accumulatifs compris dans le prix montent au moins au 40%, et où les intérêts
sur le capital nécessaire pour financer l’achat montent à 10% (par an), le
total des intérêts payables arrive à 50% ou même plus. Au cas d’application des
impôts tels
Malheureusement, les principes
applicables à la chaîne de production industrielle sont-ils valables désormais
aussi aux secteurs alimentaires et aux secteurs des engrais.
Qu’est-ce que se passe
avec les intérêts?
Ce qui suit est un sommaire généralisé du trajet des
intérêts dans le cadre de l’actuel système économique dominant. La réalité est
plus complexe. Chacune des remarques suivantes est sujette à des nombreuses
variations.
Celui qui achète un produit ou
service le paye d’habitude au vendeur. Le paiement peut être effectué en
comptant, ou bien versé sur le compte en banque du vendeur. Ils existent
évidemment d’autres systèmes de paiement. D’une manière ou l’autre, la plupart
des fonds finira dans le système bancaire privé, d’abord au niveau d’une banque
ou filiale locale, poi au niveau national, et pour terminer souvent au niveau
international.
À quelque point le long de la
chaîne bancaire la partie du paiement qui représente la valeur du travail et
des matériaux investis dans le produit ou service acheté du consommateur final
sera compté comme un crédit. Le crédit servira pour annuler une dette correspondante
du consommateur dans les livres de la banque
qui émise le financement originaire. La banque aurait enregistré la
transaction en forme d’un crédit pour elle-même, et comme une dette au nom de
son client. Le remboursement de la dette représente un crédit de l’acheteur. La
solde de l’acheteur auprès de la banque, et le crédit de la banque auprès de
l’acheteur restent en équilibre l’un avec l’autre. Au moment du rembours total
du capital de la part de l’acheteur, sa solde auprès de la banque, et le crédit
de la banque auprès de l’acheteur tournent tous les deux à zéro. Les deux transactions
(le financement et son rembours) forment toutes les deux une partie du système
productif de l’économie. Au cas la production des biens et service ait lieu
hors de la zone de résidence de l’acheteur, le montant des remboursements sort
du système économique local de l’acheteur pour tourner à celui d’origine
du produit ou du service. Dans de tels cas, même la partie productive et bona fide des transactions porte à une
fuite financière de la zone de l’acheteur.
Les intérêts cumulatifs (avec les
impôts y appliqués) forment une partie importante du prix final d’achat. Ces
intérêts tournent, eux aussi, à la fin
auprès de ceux, d’habitude les banques, qui ont «créé » ou émis les
financements originaires. Ces intérêts représentent des revenus improductifs. Ils
ne sont «gagnés ». Aucun enregistrement formel fut effectué de la
banque à son crédit à la couverture des intérêts. Aucun enregistrement
d’endettement fut effectué en compte de l’acheteur du crédit. Le montant des
intérêts ne pas annulé, jamais. Les intérêts restent par conséquence en
circulation à la volonté du système bancaire. Ils forment, à partir de leur
paiement, partie de l’économie parallèle dite «spéculative ». Cela a
lieu d’habitude auprès des banques au niveau national ou international. La masse
financière créée de ces intérêts n’est jamais éliminée des livres des banques.
Parfois, soit rarement, la fait-on, pour
une partie, tourner dans le système productif de l’économie en présence de
dépression économique. En général est-elle
tenue en forme de «papier » ou “liquide” et utilisée pour des
manœuvres spéculatives au niveau mondial, par exemple sur les devises, ou bien
“investie” dans les propriétés immeubles et les actions en bourse. Les prix des terres, immeubles, et actions s’augmentent de manière
inflationniste. Ceux qui les achètent doivent les payer toujours plus cher.
Pour les payer doivent-ils emprunter plus d’argent, sur lequel ils doivent
payer des intérêts. Ce cycle improductif et spéculatif continue sans fin .... jusqu’à l’effondrement
provisoire du système financier entier au moment où la partie productive de
l’économie ne peut plus supporter le poids du paiement de touts les intérêts.
Comme dans la situation actuelle de la crise mondiale du crédit.
L’endettement dans les pays en voie
de développement.
Dans un sens,
les personnes les plus pauvres dans les pays en voie de développement ont des
avantages sur celles «riches » dans les pays industrialisés, car
elles n’ont que rarement des endettements personnels à financer. Heureusement,
les banques occidentales ne les ont pas retenues méritantes de financements.
Elles ont été contraintes à survivre sur la base du travail propre, sans aucune
subvention publique et sans aucun financement à intérêts. Malheureusement les
mêmes observations ne s’appliquent pas aux gouvernements des pays pauvres. Ils
ont, fréquemment sous pression des organisations financières internationales
(occidentales), emprunté de l’argent contre intérêts pour des raisons qui
rarement, peut-être jamais, ont
contribué à des améliorations réelles de la qualité de vie des habitants.
En absence de
mesures d’allègement des dettes des pays en voie de développement, ces derniers
doivent-ils rembourser leurs dettes plus les intérêts relatifs aux dettes. Pour
payer les intérêts doivent-ils chercher des nouveaux financements, dans une
spirale continue d’augmentation exponentielle de leur endettement. La seule
alternative dont ils disposent est la réduction de leurs dépenses pour produits
et services. Dans les pays pauvres, cela signifie une réduction des dépenses
sur les services de base, déjà faibles, tels la santé et l’éducation publique,
ou bien sur l’entretien d’infrastructures tel le système routier. Plus
récemment, les institutions internationales telles
L’argent sert de catalysât,
un moyen nécessaire pour compléter une transaction.
On a écrit des bibliothèques
entières au sujet de la monnaie. Pour ce qui concerne le Modèle, la monnaie est
retenue sans aucune valeur intrinsèque. Le métal utilisé pour faire les pièces
de monnaie aurait une valeur réduite au cas de son recyclage dans l’économie
productive réelle. Toutefois la valeur intrinsèque des pièces de monnaie
utilisées pour des transactions dans les pays industrialisés ne constitue pas
une partie relevante de la masse monétaire actuellement en circulation. La
valeur des billets bancaires et les pièces de monnaie ne supère pas le 2% de la
masse monétaire. La valeur des pièces métalliques n’est qu’une partie minuscule
du 2%.
L’argent auquel nous nous
référons d’habitude sert de “catalysât”, de moyens de transfert, qui permet à
ce qu’une transaction commerciale puisse avoir lieu. Ils y ont, normalement, au
moins deux parties à une transaction, soit un vendeur de biens ou services et
leur acheteur. Le vendeur vende ses biens et services à l’acheteur.
Mettons que les biens et les services du vendeur représentent le résultat de 10
heures d’activité de la vie du vendeur. Pour les payer, l’acheteur doit lui
aussi fournir des biens et services pour une valeur comparable, d’habitude à un
parti tiers. Mettons pour notre convenance qui dits biens et services
représentent à leur tour 10 heures de productivité de la part de l’acheteur. La
valeur perçue des biens et services fournis de l’acheteur au parti tiers
résulte, en principe, en équilibre avec la valeur perçue des biens et services
qu’il a acheté auprès du vendeur. L’argent, qui fonctionne de catalysât de la
transaction, permet au vendeur d’attendre avant d’acheter des biens et des
services de la même valeur auprès d’un parti tiers. Le contrat effectif entre
le vendeur et l’acheteur traite, en fait, les heures de productivité dont le
vendeur a besoin pour faire les biens ou rendre les services qu’il vende à
l’acheteur. Ces heures-là sont équilibrées
à travers des heures de productivité nécessaires à ce l’acheteur produise les «crédits » pour l’achat des
biens et services. Il va sans dire que compte va toujours tenu des variables
éventuellement présents telles la vitesse de travail, le rendement comparatif
des deux partis, et les techniques dont ils se servent.
Dan le passé, des catalysâtes
différents des pièces de monnaie, des billets bancaires, et des morceaux de
papier, telles les coquilles et le grain ont été acceptés des membres des
communautés et utilisés avec succès comme moyens de transaction, même sur des
périodes de centaines d’années. En effet, toute chose matérielle ou
immatérielle se prête à l’utilisation comme catalysât pour favoriser les
transactions, à condition que les membres de la communauté sont d’accord de le
faire. Au cas du Modèle, le moyens, ou catalysât, prévu pour l’exécution des
transactions est la valeur perçue d’une heure de travail.
Sans
catalysât, aucune transaction.
Au cas de manque d’un
catalysât communément concordé au niveau communautaire pour faire les
transactions, est-il impossible de compléter des transactions entre plusieurs
partis, sauf là où il s’agit du troque. Une pratique alternative serait le vol.
Tandis que ce dernier est pratique commune, il n’est pas retenu une alternative
acceptable dans le cadre des projets aux termes du Modèle.
La fuite financière.
Au cas où des individus, des
familles, des groupes, ou des communautés achètent plus de biens ou services
qu’ils puissent produire ou vendre, expérience-t-on une situation de fuite financière.
La fuite financière à cause du commerce, des paiements à titre d’intérêts et de
«l’exportation » des épargnes signifie que le montant réduit de
monnaie formelle qui arrive dans les zones pauvres soit rurales qu’urbaines
dans les pays en voie de développement en est d’habitude tout de suite
« sucé ». Les zones pauvres se trouvent par conséquence dépourvues de
moyens pour le transfert de biens et services, y compris ceux produits et
vendus à l’intérieur de la zone même.
Le développement économique y reste par conséquence bloquée.
Tandis que les intérêts
cumulatifs relatifs à l’achat d’un bien ou service produit dans la zone
d’un projet aux termes du Modèle sont pour 100% éliminables, cela n’est pas
applicable aux cas des biens et services importés dans une zone de
projet. Cela est la raison pourquoi seuls les biens et les services nécessaires
à l’augmentation de la productivité sont importables dans un zone de projet de
développement intégré dans le cadre d’un projet aux termes du Modèle. À titre
d’exemple l’achat sans intérêts des panneaux photovoltaïques pour les appareils
de télévision particuliers ne tombe pas dans le cadre du Modèle. L’achat sans
intérêts d’appareils TV photovoltaïques à bénéfice des salles d’études
collectives est au contraire bien couvert du projet, comme, d’ailleurs le
financement sans intérêts de l’achat d’une machine à coudre pour qu’une femme
puisse produire des vêtements.
Il va sans dire que les projets
aux termes du Modèle ne limitent jamais
la liberté des membres de la communauté à dépenser leurs revenus en monnaie
formelle comme ils le veulent. S’ils veulent acheter un appareil de télévision
utilisant leurs moyens en monnaie formelle propre, peuvent-ils toujours le
faire. Toutefois les membres ne peuvent pas se servir des structures du projet
pour le faire. Au cas où ils existent des groupes d’habitants intentionnés à
acheter des appareils TV, le projet pourrait, si l’on lui demandera, les aider
à établir ds groupes coopératifs d’achat. La direction du projet négocierait
des achats en bloc aux prix escomptés. Elle payerait les biens en comptant. Les
biens seraient ensuite livrés aux membres de la coopérative au prix originaire
d’importation. Les éventuels coûts de gestion de la direction du projet
seraient comptabilisés dans le cadre du système de monnaie locale.
1. Opinion.
Les banques gagnent leur argent sur la
différence entre l’intérêt qu’elles font payer à leurs clients sur la monnaie
qu’elles créent et les intérêts qu’elles paient à leurs clients avec un surplus
en argent en forme de dépôts. Toutefois, la plupart des profits des banques
dépend du montant total qu’elles puissent créer. Plus de monnaie créée, plus de
profits. Sur une page appliquez ce
concept à la crise bancaire des dernières années.
2. Opinion.
Pour pouvoir faire toujours plus de
nouvelles émissions les banques doivent trouver des clients toujours plus
«marginaux » en prenant toujours plus de risques. Sur une page appliquez ce
concept à la crise bancaire des dernières années.
3. Opinion.
Pour pouvoir revendre (transférer) les
risques les plus sérieux aux investisseurs tiers en tenant pour soi des marges
de profit les banques construisent des formules financières tellement complexes
que peu de personnes puissent les comprendre. La création de tels instruments
demande des qualités particulières qui vont rétribuées avec des salaires et des
bonus très élevés. Sur une page appliquez ce concept à la crise bancaire des
dernières années.
4. Opinion.
L’un des services demandés aux magiciens du
monde bancaire est de créer des instruments qui permettent aux banques de tenir
les paquets de dérivés des crédits/endettements hors des bilans des banques.
Sur une page appliquez ce concept à la crise bancaire des dernières années.
◄ Cinquième bloc : Section 3: Crise de crédit.
◄ Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font
face à des problèmes spécifiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)
Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th
annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
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