ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
MODÈLE POUR
PROJETS DE DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ À
FAVEUR DES PLUS PAUVRES AU MONDE.
Édition 04: 30 Janvier,
2010.
Édition 05 : 06
Décembre, 2011.
Chapitre 05: L’ordre de séquence de l’exécution des activités du projet.
05.46 Les structures pour l’éducation publique.
“Au cas de transfert par les pays
riches du montant qu’ils dépensent sur une période d’à peine six jours pour
leurs activités militaires à l’aide au développement à faveur de l’éducation de
base, pourrait-on faire face au déficit de US$16 billion qui manque à
l’éducation globale pour achever les objectifs de l’Education pour Tous, que
tous les enfants puissent aller à l’école avant
Le
projet n'a pas pour but de se substituer à l'état en ce qui concerne les
structures scolastiques présentes dans la région, sauf pour l'installation de
systèmes sanitaires la où nécessaires, la fourniture en eau potable pour les
enfants, et, éventuellement, l'installation de systèmes d'éclairage là où on
décide de faire commencer des leçons le soir au bénéfice des adultes. Le projet collaborera avec le Ministère de
Éducation Publique pour promouvoir l’éducation formelle complète dans la zone
du projet à fin d’y achever tous les objectifs du Millénaire relatifs à
l’éducation entre 2015. Là où le Ministère ne réussira pas a fournir des
équipements ou des services d’enseignants, le projet lui-même s’efforcera d’en
assumer la responsabilité.
Les
investissements en monnaie formelle nécessaires aux structures des écoles ne
sont pas bien adaptés au recyclage rapide et sans intérêts qui est à la base
des projets de développement intégré autofinancé. Des contributions de la part
du Ministère aux frais des écoles sont de conséquence retenues nécessaires.
Le
projet n’a pas pour but aucun changement du ou adaptation au curriculum
scolastique national, sauf pour l’inclusion de cours d’hygiène prévus.
Le
système scolastique dans la région est presque totalement à la charge des
parents des élèves. Les associations des parents essaient de trouver à la
mesure de leurs moyens des solutions idoines aux problèmes auxquels les écoles
sont confrontées, qui sont nombreux et graves.
Il s'agit :
1) d'un manque d'infrastructure immobilière.
2) d'une insuffisance mobilière.
3) d'un manque de matériel didactique.
4) d'une insuffisance de personnel enseignant.
Le projet créera, néanmoins, des institutions
importantes à l'amélioration du système scolastique de la zone du projet
telles:
a) Les commissions réservoir.
b) Un système SEL -LETS de monnaie locale.
c) Des usines pour la production d’articles en composites de gypse.
d) Des matériaux disponibles localement.
Dans la pratique beaucoup des biens et services
disponibles localement et nécessaires aux structures éducatives peuvent être
payés dans la monnaie locale SEL -LETS créée du projet. Ces biens et services
peuvent comprendre :
a) Des services d’enseignants disponibles à
travailler (à plein temps ou à complément de leurs salaires étatiques) dans le
cadre du système SEL -LETS pour un salaire exprimé (éventuellement
partiellement) en crédits SEL -LETS.
b) Des éléments en composites de gypse à utiliser pour les constructions, y
comprises des structures portantes.
c) Des meubles scolastiques en composites de gypse pour les écoles.
d) L’utilisation de matériaux disponibles localement.
e) La reproduction de matériel didactique à
travers des systèmes TV à énergie photovoltaïque et/ou à travers des services
de reproduction documentaire mis à la disposition des écoles de la part de
consultants locaux établis avec le support du système de micro -crédit prévu.
La construction des facilités mentionnées pourra
commencer dès l’établissement des structures sociales et financières prévues.
Les commissions
réservoir pourront prendre, avec le permis des autorités locales et celui des
organes du Ministère de Éducation, des initiatives concernant les écoles
situées dans leur territoire. La codification des membres du système SEL -LETS
prévu permettra la possibilité d'identifier les parents des élèves de chacune
des écoles. Les populations décideront au cours de réunions convoquées par les
commissions réservoir, quels frais devront être distribués parmi toutes les
familles et quels frais (en monnaie locale SEL -LETS) devront être à la charge
des seuls parents des élèves.
05.46.1 ÉCOLES PRIMAIRES.
Une fois établies les
structures sociales et financières prévues du projet, peut-on commencer avec la
construction rapide d’aussitôt d’écoles primaires dont on puisse avoir besoin,
en tenant présent les structures déjà existantes. En manque de financements de
l’état, les écoles seront construites dans le cadre du système de monnaie
locale établie en se servant de la main d’œuvre et matériaux locaux. Tandis des
contributions du Ministère de l’éducation sont attendues et bienvenues, les
écoles peuvent être payées des habitants servis de l’école qui évidemment en
deviendront par conséquence les propriétaires.
La propriété légale
relative aux structures sera investie dans de tels cas dans les commissions
réservoir dans les zones desquelles les écoles seront construites.
Les services de base des
écoles, tels l’eau potable, les structures éco -sanitaires, la récolte des eaux
pluviales à utilisation générale, et l’éclairage photovoltaïque sont déjà
encadrés dans le projet. Au cas de la construction d’une école peut-elle
incorporer la fonction d’une salle d’études à éclairage photovoltaïque, déjà
prévue au bilan du projet au niveau des commissions réservoir.
Les écoles primaires
devraient être situées auprès des maisons des élèves pour éviter que les élèves
doivent consacrer trop de temps pour les atteindre. Les écoles établies du
projet resteront petites, avec une classe pour chaque niveau. Le (pays) connaît (nombre) de classes à
l’école primaire. L’éducation de base commence à (âge) pour la classe 1 et termine à (âge) à la classe (nombre).
Un objectif
raisonnable de base pour le nombre d’élèves dans chaque classe (sans y
laisser des marges pour l’inclusion d’enfants handicapés) est 18.
Le nombre de classes (nombre) multiplié de le
numéro standard d’élèves par classe (18) donne
(numéro) d’élèves moyennement par école.
Chaque commission réservoir a moyennement (numéro)
enfants âgés (5 à 12) pour attendre une école primaire. Au cas d’écoles à
dimensions petites, peut-on prévoir la présence de deux sections par
classe.
Le numéro de commissions réservoir nécessaires à
fournir une école primaire est,. en principe, donc (numéro).
La quantité d’écoles primaires à construire par
conséquence est prévue en (quantité). La construction des écoles dépende de la
disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème le plus grave à l’expansion des facilités éducatives dans le
cadre du projet.
En (pays) les étudiants
ayant complété (niveau de qualification) se qualifient automatiquement comme
enseignants primaires. Beaucoup d’étudiants ainsi qualifiés et provenant de la
zone du projet se trouvent actuellement dans les grandes villes à la recherché
d’un emploi. L’amélioration générale de la qualité de vie dans la zone du
projet devrait suffire à encourager leur rentrée à leurs villages d’origine, en
particulier là où le projet pourra les offrir une accommodation appropriée
gratuite.
On attend à ce que le
Ministère de l’Éducation Publique soit disponible à payer aux enseignants un
salaire là où une école avec accommodation pour l’enseignant est construite en
tout ou partiellement à la charge des habitants locaux. Éventuellement une partie
du salaire des enseignants pourrait être payée du Ministère et une partie des
habitants. La partie éventuellement à la charge des habitants pourra être payé
de la communauté locale ou des parents des élèves dans le cadre du système de
monnaie locale établi du projet. Au cas de défaut total ou partiel de la part
du Ministère, les enseignants disponibles à travailler entièrement dans le
cadre du système monétaire local pourront être payés en tout cas de la
communauté locale (à voir, la communauté totale ou des seuls parents des
élèves) dans le cadre du système de monnaie locale.
Des cours de formation
des enseignants qui rentrent à leur zone d’origine leur seront disponibles. En
principe, tels cours devraient être mis à la disposition de la part du Ministère
de l’Éducation. Au cas de défaut du Ministère, le projet cherchera l’assistance
des ONG spécialisées dans le secteur de la formation des enseignants. Au cas de
manque d’une telle assistance de la part des ONG internationales, le projet
nommera et payer (dans le cadre du système de monnaie locale établi) les
enseignants locaux les mieux qualifiés et avec la plus grande expérience pour
réaliser une formation supplétive aux jeunes enseignants.
05.46.2 LES ÉCOLES SECONDAIRES.
Une école de deuxième niveau
peut être en principe prévu pour chaque zone de commission forage. Avec ( ) commissions forage dans la zone,
prévoit-on donc ( ) écoles de deuxième
niveau dans la zone du projet.
La construction des
écoles dépendra de la disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème de
base relatif à l’expansions des
facilités éducatives dans la zone du projet.
En (pays) les étudiants
ayant complété (niveau de qualification) se qualifient automatiquement comme
enseignants au niveau de l’éducation secondaire. Beaucoup d’étudiants ainsi
qualifiés et qui proviennent de la zone du projet se trouvent actuellement dans
les grandes villes à la recherché d’un emploi. L’amélioration générale de la
qualité de vie dans la zone du projet devrait suffire à encourager leur rentrée
aux villages d’origine, en particulier là où le projet pourra les offrir une
accommodation appropriée gratuite.
On attend à ce que le
Ministère de l’Éducation Publique soit disponible à payer aux enseignants un
salaire là où une école avec accommodation pour l’enseignant est construite en
tout ou partiellement à la charge des habitants locaux. Éventuellement une
partie du salaire des enseignants pourrait être payée du Ministère et une
partie des habitants. La partie éventuellement à la charge des habitants pourra
être payé de la communauté locale ou des parents des élèves dans le cadre du
système de monnaie locale établi du projet. Au cas de défaut total ou partiel
de la part du Ministère, les enseignants disponibles à travailler entièrement dans
le cadre du système monétaire local pourront être payés en tout cas de la
communauté locale (à voir, la communauté totale ou des seuls parents des
élèves) dans le cadre du système de monnaie locale.
Des cours de formation des
enseignants qui rentrent à leur zone d’origine leur seront disponibles. En
principe, tels cours devraient être mis à la disposition de la part du
Ministère de l’Éducation. Au cas de défaut du Ministère, le projet cherchera
l’assistance des ONG spécialisées dans le secteur de la formation des
enseignants. Au cas de manque d’une telle assistance de la part des ONG
internationales, le projet nommera et payer (dans le cadre du système de
monnaie locale établi
On ne prévoit aucune
forme de transport public spécifique pour les élèves du deuxième niveau. On
attend bien le développement d’un système de transport public général au cours
de l’exécution du projet. On prévoit aussi la construction d’un réseau de
sentiers de communication améliorés pour piétons et bicycles sur tout le
territoire du projet.
Les écoles de deuxième
niveau se trouveront d’habitude dans un rayon de 2-3 kilomètres des maisons des
élèves.
Le projet pourra décider
d’établir des groupes coopératifs d’achat et/ou fournir des subventions à
l’achat de bicyclettes pour permettre aux enfants d’arriver à leurs écoles. La
présence des bicyclettes dans la zone du projet augmenterait la mobilité aussi
d’autres membres de la famille.
05.46.3 L’ÉDUCATION TERTIAIRE.
Les enfants de la zone du projet en possession de
leurs certificats d’éducation de deuxième niveau ont le droit aux termes de
Les études tertiaires ne seront-elles pas, en
général, disponibles au niveau du projet.
Les écoles techniques les plus proches de la zone
du projet se trouvent à (lieux) à une
distance de (km).
L’université la plus proche se trouve à (lieu), à
une distance de (km).
Les étudiants capables ont le droit, cas échéant, au
support de leur communauté d’origine. Le niveau de tel support dépende des
bourses et des services mis à la disposition des étudiants de la part des
autorités nationales et régionales.
Les bourses et les services à la disposition des
étudiants de la zone du projet sont:
(description des bourses et des services)
La population de la zone
du projet a un intérêt propre direct à ce que ses jeunes étudiants puissent se
qualifier dans leurs spécialités choisies pour qu’ils puissent exercer leurs
professions dans la zone du projet même et contribuer à long terme à son
développement. À ce but, le projet pourra établir les bourses d’études soit en
monnaie formelle soit en monnaie locale.
Les bourses en monnaie formelle
seront payées du Fonds Coopératif d’Éducation établi du projet. Les communautés
peuvent contribuer à ce Fonds au niveau des commission forage, et
éventuellement au niveau central du projet.
Les membres du Fonds payeront une petite contribution mensuelle au Fonds
Coopératif Éducation (bourses). Le Fonds fournira des subsidies aux commissions
forage à favoriser les études avancées des étudiants y résidentes. Les
commissions forage décideront comment effectuer la distribution des fonds
disponibles entre les étudiants et leurs familles.
Le projet s’efforcera à
jeter les bases pour la formation d’un institut de cours propédeutiques dans la
zone du projet, offrant des cours sur un ou deux ans de préparation
propédeutique aux études universitaires suivantes. Un tel institut ne rentre
pas pourtant dans les capacités autonomes du projet car il implique un niveau
d’investissements en monnaie formelle au de là
des possibilités du projet. Il ne pourra se réaliser qu’avec la
participation d’une ou plusieurs universités et du Ministère de l’Éducation
Publique. Au même temps les frais de gestion de l’Institut pourront être
réduits d’une manière importante, en donnant une stimulation aux investisseurs.
En effet, beaucoup des services relatifs à la gestion journalière de l’Institut
pourront être exécutés dans le cadre de la monnaie locale avec la participation
de population locale aux frais de gestion. Des exemples en seraient la mise a
disposition gratuite du terrain, la supervision des structures y compris la gestion
des zones vertes, les services de nettoyage et de restauration, et le transport
des étudiants.
05.46.4 ÉCOLE MÉTIERS.
On prévoit l´institution
à (un endroit au centre de la zone du projet) au niveau du projet d´un collège
technique pour les métiers.
On espère que le collège
puisse être établi entièrement dans le cadre du système de monnaie locale. Les
enseignants devront par principe venir de la zone du projet. Ils seront payés
dans la cadre du système de monnaie locale. On attend que l´école soit
construite dans le cadre du système de monnaie locale, entre d’autres des
élèves mêmes.
Les étudiants et leurs
familles payeront une petite contribution en monnaie formelle dans le Fonds
Coopératif d´Éducation (métiers) pour
couvrir les dépenses en monnaie formelle à couverture des coûts des matériaux
et équipements qui ne peuvent pas être produits localement.
05.46.5 ÉCOLES D’AGRICULTURE EN PLEIN AIR. (Source
en anglais : F.A.O. Farmer Field School.)
Les écoles d’agriculture en plein air sont
privées de murs. Un groupe d’agriculteurs se rencontre dans l’un de leurs propres champs pour
obtenir informations sur leurs cultures et les facteurs y pertinents. Les
membres du groupe y apprennent comment améliorer les résultats de leur travail
à travers l’observation, l’analyse, et les expérimentations.
Les promoteurs (instructeurs) des groupes ont besoin de
matériel de support pour illustrer les pratiques les plus indiquées pour une
bonne gestion des sols et des ressources en eau à travers le développement de
technologies participatives et de démonstrations qui puissent aider les
cultivateurs dans le choix des options les plus appropriées aux types
spécifiques de fermes et contextes physiques agricoles. Ils ont besoin en plus
d’informations qui permettent aux agriculteurs de comprendre les aspects divers
de la réduction de la productivité des sols et comment y apporter des
améliorations.
Les agriculteurs dans chaque groupe se rencontrent
d’habitude une fois par semaine à partir de la plantation et jusqu’à la récolte pour contrôler la croissance des
cultures, la humidité des sols, et faire le compte soit des ravageurs des
plantes soit des créatures bénéfiques telles les lombrics et les araignées. On
réalise des expérimentations.
L’instructeur d’un groupe est d’habitude un vulgarisateur ou bien un autre
agriculteur qui a déjà fait une école en plain air. Il donne des conseils et
assiste le groupe en ce qui concerne ses décisions sur le contenu du cours. Il
pense à des solutions possibles, et fournit des réponses aux questions du
groupe. Les agriculteurs se servent de leurs propres expériences et
observations, et décident comment gérer la culture en question. Les groupes
tiennent des journées sur le terrain pour faire connaître leurs activités aux
autres agriculteurs.
05.46.6 L’ACHÈVEMENT DES OBJECTIFS DU MILLÉNAIRE.
Objectif 2
: Assurer l’éducation primaire à tous.
Cible 03
: D’ici à 2015, donner à tous les
enfants, garçons et filles, partout dans
le monde, les moyens d’achever un cycle complet d’études primaires. (UNESCO).
Indicateur
06 : Taux net de scolarisation dans le primaire. (UNESCO)
Il
s’agit d’avoir informations sur le pourcentage d’enfants qui effectivement
assistant aux leçons, car les enfants peuvent être formellement enregistrés aux
écoles sans, pour des raisons diverses, pouvoir assister aux leçons.
En
principe, TOUS les enfants dans la zone de projet bénéficieront soit d’un cycle
complet d’études primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.
Le
projet peut se servir du système de monnaie locale établi pour construire des
écoles neuves près des habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau
potable, et de structures d’assainissement. La population peut payer ces structures
ou faire une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les
matériaux usés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà
qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des
activités dans l’enseignement et qui sont disponibles à travailler
partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi
pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire
complète pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants.
Elle peut aussi, tout au moins partiellement, dépendre sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux de scolarisation dans l’éducation primaire du pays où le projet a lieu
deviendra-t-il toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les
statistiques représentant la situation nationale. jusqu’à achever le 100%.
Évaluation
: Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet
qui participent effectivement aux cours d’études primaires sur une période de
24 mois avec celui valable pour la zone du projet avant le commencement du
projet.
Indicateur 07 : Proportion d’écoliers commençant dans la
première année d’études dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième
(UNESCO)
En
principe, TOUS les écoliers dans la zone de projet bénéficieront soit d’un
cycle complet d’études primaires en commençant dans la première année d’études
dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième. Le projet peut se server
du système de monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des
habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de
structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire
une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux
utilisés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés,
ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités
dans l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement ou
entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront
commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète
pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années. Donc,
tous les écoliers commençant dans la première année d’études dans
l’enseignement primaire achèveront la cinquième.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants.
Elle peut dépendre aussi, tout au moins partiellement, sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux d’écoliers commençant dans la première année d’études dans
l’enseignement primaire qui achèveront la cinquième dans le pays où le projet a
lieu deviendra-t-il toujours plus
facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la
situation nationale, jusqu’à achever le 100%.
Évaluation
: Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet
commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire et
achevant la cinquième avec celui valable pour la zone du projet avant le
commencement du projet.
Indicateur
08 : Taux d’alphabétisation des 15-24 ans. (UNESCO)
En
principe, TOUS les enfants dans la zone de projet bénéficieront soit d’un cycle
complet d’études primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.
Cela
signifie que le taux d’alphabétisation des 15-24 ans dans la zone du projet
achèvera automatiquement le 100% avec le passage d’un cycle complet d’études.
Un
taux d’alphabétisation des jeunes qui se trouvent dans le groupe des 15-24 ans
au moment du commencement du projet ne peut pas être garanti étant donné le
manque d’obligation de donner suite aux études déjà faites. Le projet fournira
200 salles d’études à éclairage photovoltaïque auprès des habitations, et pour
l’éclairage photovoltaïque dans les écoles, pour que l’on puisse y suivre les
cours le soir.
Une
réduction générale de la charge du travail sur les femmes sera l’un des résultats
importants de l’exécution du projet. On confie par conséquence de faciliter
ainsi la participation des femmes aux cours de soir.
Des
enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant
de commencer des activités dans l’enseignement qui sont disponibles à
travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie
locale établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas,
l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de deux
ou trois années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra toutefois de la présence
d’enseignants. Elle dépendra au moins partiellement sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux d’alphabétisation des 15-24 ans
deviendra-t-il toujours plus
facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la
situation nationale jusqu’à achever le 100%.
La section 05.16 La
création de structures de sécurité sociale présente en détail le système de
sécurité sociale à trois niveaux qui
permettra même aux plus pauvres de suivre des cours d’alphabétisation et
d’études.
Évaluation : Le nombre d’écoles et de classes dans chaque
zone de projet. Le nombre d’enseignants travaillant dans le secteur formel
(salaire payé du Ministère de l’Éducation) , ceux travaillant partiellement dans
le secteur formel et partiellement dans le cadre du système de monnaie locale
établi du projet, et ceux travaillant exclusivement dans le cadre du système de
monnaie locale établi du projet. Les statistiques sur l’utilisation du système
de sécurité sociale à trois niveaux établi du projet.
Objectif 3
: Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
Cible 04
: Éliminer la disparité en les sexes
dans les enseignements primaire et secondaire
d’ici à 2005 si possible, et en tous les niveaux d’enseignement en 2015
au plus tard.
Indicateur 09 : Rapport filles/garçons dans
l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur, respectivement.(UNESCO).
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans la
zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, ratio 1 :
1. Le projet n’a aucun contrôle sur l’accès des jeunes filles aux cours
tertiaires, mais la proportion de jeunes filles contre garçons préparées pour
accéder à l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet
prévoit l’institution d’une école pour l’enseignement des métiers à situer
[lieu]
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes,
est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent
avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le rapport filles/garçons dans l’enseignement primaire, secondaire, et
supérieur devrait achever 1 : 1.
Évaluation :
le nombre et le sexe des enfants qui effectivement assistent aux cours des
écoles primaires, secondaires, de première année tertiaire, de l’école métiers,
et d’école en plain air pour les agriculteurs. Ceux de la zone du projet qui
suivent des cours d’éducation tertiaire ailleurs.
Indicateur 10 : Taux d’alphabétisation des femmes de 15 à
24 ans par rapport à celui des homes.(UNESCO).
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans la zone
du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, en rapport 1 :
1. Le projet n’a aucun contrôle cependant sur l’accès aux cours tertiaires,
mais le rapport de jeunes filles contre garçons préparées pour accéder à
l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet prévoit l’institution d’un cours préparatif de
première année au niveau central pour hommes et femmes, à situer à [lieu].
Cela signifie qu’avec le passage de quelques années, la
proportion de jeunes femmes de 15 à 24 ans deviendra automatiquement elle aussi
1 :1 sans aucune disparité entre les sexes.
Toutes les femmes participeront d’ailleurs aux cours
d’éducation à l’hygiène.
Un taux d’alphabétisation de 100% d’entre les jeunes de 15 à 24 ans au
moment de commencement du projet ne peut pas être toutefois garanti, car la
participation d’adultes aux cours d’éducation n’est pas obligatoire. Le projet
prévoit 200 salles d’études à éclairage photovoltaïque, et de l’ éclairage
photovoltaïque aux écoles pour y favoriser les cours le soir. Une réduction
générale du charge du travail sur les femmes devrait les permettre à assister à
ces cours.
Étant
vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
toute disparité en les sexes dans les enseignements devrait se réduire jusqu’à
achever le 0%.
Évaluation :
Le nombre de personnes (en particulier le nombre de femmes) qui assistent aux
cours le soir. Faire comparaison entre les statistiques valables au moment de
commencement du projet et celles suite à l’implémentation du projet.
Indicateur
11: Pourcentage de salariées dans le secteur non agricole qui sont femmes. (ILO)..
L’indicateur 11 fait référence à des concepts économiques
traditionnels pas retenus applicables au
projet. Le projet est coopératif et ne prévoit pas de création d’emplois
«salariés » . Il support des initiatives individuelles, familiales et
coopératives à faveur de l’augmentation de la productivité locale. Les
structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec celles
existantes ; elles ne les remplacent pas.
Les relations traditionnelles employeur -salarié ont lieu librement dans
le sphère du système à monnaie formelle, mais le projet n’y donne pas de
support direct.
Les femmes jouent un rôle majoritaire dans la gestion de
toutes les structures du projet, y compris le système de financement à travers
les micro -crédits sans intérêts établi au cours de l’une des premières
phases d’exécution du projet. Les activités productives reconnues des femmes
comprennent celles non -monétisées, celles effectuées dans le cadre du système
de monnaie locale établi, et celles effectuées dans le cadre du système de
monnaie formelle.
La
section 08.20 Droits de la femme du
projet illustre comment on promeuve et défende les droits des femmes et des
jeunes filles dans la zone du projet.
Évaluation:
L’analyse des activités productives réelles des femmes comparées avec celles
valables au commencement du projet. Analyse de l’amélioration de la qualité de
vie des femmes au moment du contrôle en comparaison avec celle valable au
moment de commencement du projet.
Indicateur
12 : Proportion de sièges occupés par des femmes au parlement national (IPU)
Le projet ne
couvre pas directement l’indicateur 12.
Les
structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec celles formelles du système économique
traditionnelle. Le projet prévoit beaucoup de structures sur trois niveau
gérées par des habitants locaux choisis directement des populations. Une participation
majoritaire de femmes dans toutes les structures et à tous les niveaux est
assurée. Les femmes reçoivent par conséquence une préparation extensive dans
l’exercice de leurs droits dans le cadre du procès démocratique introduit au
cours du projet. Elles prennent responsabilité des structures du projet à tous
les niveaux. Ceci peux faciliter leurs qualifications pour être candidates à
l’occasion d’élections parlementaires et les garantir une base élective.
La zone du
projet même n’est pas suffisamment grande pour pouvoir exprimer un membre de
parlement propre, que ce soit homme ou femme.
Pour
couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels
projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont
mis en exécution, le taux de femmes membres du parlement devrait-il devenir
toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques
représentant la situation nationale
Évaluation: La participation effective des femmes à la
gestion des structures du projet. Les
statistiques sur les femmes qui
participent aux structures politiques locales dans la zone du projet
après une première période de 24 mois en comparaison avec celles pour la zone
du projet au moment de commencement de l’exécution du projet.
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TOUCHÉS PAR LE MODÈLE POUR PROJETS DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ.
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développement intégré.
L'écologie et la conservation dans les projets de développement
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Les objectifs du Millénaire : comment les projets de
développement intégré les achèvent. Comment les projets achèvent la plupart des objectifs du
Millénaire : Présentation Powerpoint (35 diapositives).
La pauvreté, ses causes, et ce qu'on doit faire pour
l’éliminer. Powerpoint (24 diapositives). La question du genre et les
droits de la femme dans les projets de développement intégré.
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intégré. Les structures de base des projets de développement
intégré. Présentation Powerpoint (43 diapositives).
Suite:
05.47 La création des structures pour la santé.
Retour:
05.45 La création des structures d'élimination des risques
de la fumée dans les ménages.
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La table
complète des matières.
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«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
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