ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.

 

PROJETS DE DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ À FAVEUR DES PLUS PAUVRES AU MONDE.

 

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ÉCRIRE UN PROJET DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ

COURS DE DIPLÔME DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ (Dip. Dév. Int.)

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Édition 03: 01 Février, 2010

 

(ENGLISH)

 


 

08.50  Comment le projet achèvera les objectifs du Millénaire dans la zone du projet.

 

08.50.01 La vérification des résultats du projet.

 

La zone du projet a une superficie réduite. Sa population entière participe activement aux activités du projet. La vérification des résultats des activités du projet est donc plutôt simple car les résultats sont pour le plupart visibles. L’utilisation des structures du projet est enregistrée tous les jours comme partie intégrée de leur opération. Elle peut être consultée en temps réelle. 

 


 

08.50.10 Une critique brève des objectifs du Millénaire.

 

Le projet permet au 100% des habitants de la zone du projet d’achever presque tous les objectifs, cibles, et indicateurs approuvés par  la Déclaration du Développement Durable au cours de la dix-septième session plénière de la Conférence Mondiale sur le Développement Durable signée à Johannesburg le  4 Septembre 2002.  Toutefois quelques-uns des objectifs, cibles, et indicateurs ne sont pas couverts directement du projet, vu qu’ils peuvent créer la fuite financière hors la zone du projet. Au lieu d’aider à l’élimination de la pauvreté ils contribuent à la rendre plus grave. Cela est contre les principes du développement intégré appliqués dans ce projet. Quelques initiatives annoncées du Millénaire semblent en effet résulter plus avantageuses aux organisations multinationales et aux pays industrialisés qu’utiles à la réduction de la pauvreté.

 

Puisque la population du la zone du projet ne monte qu’`a 50.000 personnes, l’effet des activités ne sera que peu relevable dans les statistiques au niveau national en cas de l’implémentation d’un seul projet. Pour assurer la couverture de la population entière du pays où le projet a lieu, a-t-on besoin de 20 de tels projets pour chaque 1.000.000 d’habitants. À main que ces projets ne seront terminés, l’achèvement des différents objectifs du Millénaire dans le pays en question deviendra –t-il toujours plus évident dans les graphiques représentants la situation nationale.

 

La rédaction d’un plan détaillé au niveau régional ou national suivant le Modèle sur lequel ce projet est basé coûte environs Euro 0.025 (2.5 euro cents) par personne.

 

Comme déjà dit, pas tous les objectifs, cibles, et indicateurs énoncés à Johannesburg ont une relation directe avec le développement intégré comme il est entendu dans les documents du projet. En particulier, les descriptions telles “la réduction du 50% des pauvres”, ou “la réduction du 50% des personnes qui souffrent la faim” représentent une approche discriminatoire au problèmes du développement qui n’est pas divisée des auteurs de ce projet. «Tant pis pour toi, mon ami, si tu feras partie du 50% des pauvres destinés à rester dans la pauvreté  ou du 50% des destinés à continuer à souffrir la faim. » 

 

L’objectif de ce projet est l’élimination totale de la pauvreté et de la faim dans la zone du projet. L’application au niveau régional ou national des concepts incorporés dan le projet éliminerait entièrement la pauvreté et la faim au niveau régional ou national.

 

À l’objectif  8 a-t-on donné le titre menaçant “Mettre en place un partenariat mondial pour le développement.”  La globalisation économique tolère la concentration du pouvoir financier dans les mains d’une petite élite de personnes qui ne sont élues. Les instruments dont ils se servent comprennent la création des dettes, l’application des intérêts sur les dettes, et l’accumulation des intérêts le long du cours de préparation des produits industriels. Le système tolère l’opération de subventions à bénéfice des opérateurs des pays industrialisés. Par exemple, ces subventions montaient à  US$ 350.000.000.000 pour les seules subventions dans le secteur agricole en 2001[1].  Cela représente plus que trois fois le montant de US$ 103.900.000.000 (y compris un chiffre d’environ US$ 19.000.000.000 pour la annulation des dettes) dépensé de tous les pays de la OECD ensemble sur l’aide au développement en 2006. [2] L’un des slogans de la globalisation économique est le concept du “partenariat public -privé” qui a ouvert aux corporations multinationales l’accès au, et le contrôle sur des monopoles et services publics avec des conséquences désastreuses dans tout le monde, surtout pour les membres les plus pauvres et les moins protégés de la société.

 

Les cibles nommés à l´objectif 8 comprennent, par exemple :

 

Cible 15 : Traiter globalement le problème de la dette des pays en développement, par des mesures d’ordre national et international propres à rendre leur dette viable à long terme.

 

Cible 16 : En coopération avec les pays en développement formuler et appliquer des stratégies qui permettent aux jeunes de trouver un travail décent et utile.

 

Cible 17 : En coopération avec l’industrie pharmaceutique, rendre les médicaments essentiels disponibles et abordables dans les pays en développement.

 

Cible 18 : En coopération avec le secteur privé, faire en sorte que les avantages des nouvelles technologies, et particulier des technologies de l’information et de la communication, soient à la portée de tous.

 

L’encadrement de tels cibles dans un objectif nommé “Mettre en place un partenariat mondial pour le développement” semble présager la rentrée à travers la porte de service des causes principales de la fuite financière et de la pauvreté que les objectifs du Millénaire auraient du combattre.  

 

Des ouvertures aux partenariats globaux et à la “coopération” public -privée sont introduites également de façon systématique dans les descriptions d’autres objectifs, cibles, et indicateurs. On en donne ci-dessous deux exemples. Il y en a beaucoup d’autres.

 

L’article 66 (a)  section VIII du Plan of Implémentation

L’article 66 (a) du Plan d’Implémentation adopté pendant le Sommet Mondial sur le Développement Durable de Johannesburg le 4 Septembre 2002  avec la Déclaration de Johannesburg fait partie de la section VIII du Plan.  La section VIII a pour titre : “Développement Durable pour l’Afrique”. Elle comprend les articles 62-71 du Plan d’Implémentation.

L’article 66 se réfère à la mise en valeur intégrée des ressources en eau en Afrique.  Voici le texte du paragraphe 66(a)

66 a) Fournir aux ménages un accès à l’eau potable, à l’éducation en matière d’hygiène et à de meilleurs services d’assainissement et de gestion des déchets par des initiatives pour encourager l’investissement public et privé dans l’approvisionnement en eau et l’assainissement ……, tout en respectant les situations locales, en associant toutes les parties prenantes concernées, en assurant un suivi des résultats obtenus…………”

Les objectifs du Millénaire se feront achever donc en encourageant les investissements “publics et privés”.  La signification des mots “respectant les situations locales ... en assurant un suivi des résultats obtenus... ” n’est pas claire. Une interprétation en pourrait toutefois être que tous les droits déjà établis tels ceux des entreprises multinationales qui ont gagné le contrôle de la fourniture en eau dans quelques grandes villes dans les pays pauvres, et donc le statu quo, seront protégés.

Ni dans l’article 66 (a) ni ailleurs dans le Plan d’Implémentation ne trouve-t-on mention de concepts à la base du développement comme “les intérêts (financiers)”, “élimination de la monoculture”, “les économies locales”, “les micro -économies” ou “ la production locale”. Pas une seule fois. Nulle part. Les mots “développement local” ne sont utilisés ensemble qu’une fois, à l’Article 19, couplés directement avec “le développement national”. La question la plus critique au développement, l’élimination des fuites financières hors des zones pauvres, n’est mentionné qu’une fois, indirectement, à l’article 83 du Plan d’Implémentation, où on parle de “la fuite des capitaux”.

 

Article 83, section X, du Plan d’Implémentation

L’article 83 du Plan d’Implémentation du Sommet Mondial sur le Développement Durable, Johannesburg, 4 Septembre 2002, fait froid dans le dos de toute personne qui s’occupe de bonne foi aux intérêts des plus pauvres au monde. Le Plan d’Implémentation fut adopté avec la Déclaration de Johannesburg. L’article 83 fait partie de la section X du Plan.  La Section X a pour titre “Moyens de mise en œuvre” . Elle comprend les articles 81-136 du Plan d’Implémentation.

Voici le texte de l’Article 83:

“83. Dans notre recherche commune de la croissance, de l’éradication de la pauvreté et du développement durable, un défi crucial est de faire en sorte que soient réunies les conditions internes nécessaires à la mobilisation de l’épargne intérieure, tant publique que privée, au maintien de niveaux adéquats d’investissements productifs et au renforcement des capacités humaines. Une tâche essentielle est d’améliorer l’efficacité, la cohérence et la constance des politiques macroéconomiques. L’existence d’un environnement national favorable est vitale pour mobiliser des ressources nationales, accroître la productivité, réduire la fuite des capitaux, encourager le secteur privé, attirer et utiliser avec efficacité les investissements étrangers et l’aide internationale. Les efforts pour créer un tel environnement devraient être soutenus par la communauté internationale.”

L’article 83 est un exemple de la confusion délibérément créée au niveau international sur le développement et sur l’aide au développement au début du XXIième siècle.

Il se réfères à la création des conditions nécessaires à la  “mobilisation” de l’épargne intérieure, publique et privée. De quelles conditions s’agit-il ? Qui devra les “mobiliser” et comment?

L’article 83 dit qu’il faut qu’on maintienne “de niveaux adéquats d’investissements productifs”. Investissements de la part di qui?  Productifs en quelle manière?

On y dit que les “investissements productifs” sont  “essentiels”  à l’amélioration de “l’efficacité, la cohérence et la constance des politiques macroéconomiques.”  Les politiques de qui? Quels sont les critères pour qu’elles deviennent efficaces, cohérentes, et constantes?

Un “environnement national favorable” serait un environnement qui encourage le secteur privé et attire et utilise avec efficacité «les investissements étrangers et l’aide internationale. » 

L’une des tâches de la communauté nationale et de soutenir les efforts pour créer un environnement national favorable aux investissements étrangers .

Dans la réalité l’article 83 suggère de façon évidente que l’implémentation des Objectifs du Millénaire, et par conséquence le développement et l’élimination de la pauvreté s’achèvera en mettant les gouvernements des pays en voie de développement sous pression à fin de poursuivre la politique de privilège aux intérêts des pays industrialisés et des entreprises multinationales, et de maintenir la situation  économique actuelle qui a tant contribué à la formation de la pauvreté dans le monde.

 

[1] Watkins K. Eight broken promises, Oxfam briefing paper 9, Oxfam International, Washington, 2001 (US$ 350 billion in 2001).

[2] OECD Organisation for Economic Cooperation and Development, press release “Development Aid from OECD countries fell 5.1% in 2006”, Paris, 3 april 2007

 


 

08.50.20 Comment le projet achève-t-il chacun des objectifs, cibles, et indicateurs du Millénaire ?

 

Le commentaire suivant suit l’énumération tortueuse et  pédante des objectifs, cibles et indicateurs du Millénaire adoptés pendant la Conférence de Johannesburg.

 

Les informations relatives à chaque indicateur se lisent de façon indépendante à celles des autres indicateurs. Cela signifie que les informations données sur plusieurs indicateurs dans leur ensemble sont répétitives.

 


 

08.50.21 Objectif 1 : Réduction de l’extrême pauvreté et de la faim.

 

08.50.21.01 Cible 01 : Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar par jour

 

Indicateur 01 : Proportion de la population disposant de moins d’un dollar par jour en parité de pouvoir d’achat(1993 PPA)(Banque Mondiale)

 

Les principes sur lesquels ce projet est basé ne reflètent pas les approches monétaristes inhérentes le concept arbitraire “d’un dollar par jour” dont à l’indicateur 01.  Les résultats du projet  reflètent au contraire les évaluations subjectives des habitants en rapport à l’amélioration de la qualité  effective de leur vie. Telles évaluations comprendront  les bénéfices apportées des activités productives pas monétisées et celles apportées de toutes les transactions effectuées dans le cadre du système de monnaie locale établi pendant l’une des premières phases d’exécution du projet.

 

Je projet fournira environs 4000 occasions de travail, et l’occupation productive du 100% de la population adulte de la zone du projet. Il éliminera la pauvreté dans la zone du projet. Pas de moitié. Complètement.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national en cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, l’achèvement des objectifs du Millénaire dans le pays en question deviendra-t-il  toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne..

 

Évaluation : rapport direct indiquant les améliorations dans la qualité de vie des habitants de chacun des 200 groupes de développement local établis dans la zone du projet, et les comparaisons avec leur qualité de vie au moment de commencement du projet.

 

Indicateur 02: Indice d’écart de la pauvreté [incidence de la pauvreté x degré pauvreté]

 

Les principes sur lesquels ce projet est basé ne reflètent pas les approches monétaristes inhérentes le concept arbitraire “d’un dollar par jour” dont à l’indicateur 02.  Les résultats du projet  reflètent au contraire les évaluations subjectives des habitants en rapport à l’amélioration de la qualité  effective de leur vie. Telles évaluations comprendront  les bénéfices apportées des activités productives pas monétisées et celles apportées de toutes les transactions effectuées dans le cadre du système de monnaie locale établi pendant l’une des premières phases d’exécution du projet.

 

Je projet fournira environs 4000 occasions de travail, et l’occupation productive du 100% de la population adulte de la zone du projet. Il éliminera la pauvreté dans la zone du projet. Pas de moitié. Complètement.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national en cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets ne seront mis en exécution, l’achèvement des objectifs du Millénaire dans le pays en question deviendra-t-il  toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation : rapport direct indiquant les améliorations dans la qualité de vie des habitants de chacun des 200 groupes de développement local établis dans la zone du projet, et les comparaisons avec leur qualité de vie au moment de commencement du projet.

 

Indicateur  03 :Part du cinquième le plus pauvre de la population dans la consommation nationale (Banque Mondiale)

 

Puisque TOUS les habitants dans chacun des premiers projets sortiront du cinquième le plus pauvre de la population dans la consommation nationale, par définition le projet aidera-t-il indirectement à augmenter la part du cinquième le plus pauvre de la population dans la consommation nationale du pays où le projet aura lieu.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national en cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets ne seront mis en exécution, la part du cinquième le plus pauvre de la population dans la consommation nationale deviendra-t-elle  toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation du progrès:  Comparaison entre les statistiques pour la zone du projet suite à l’introduction des structures du projet sur une période de 24 mois avec celles avant le commencement du projet. Prendre vision des statistiques des activités du système de monnaie locale établi au cours du projet.  Prendre vision des statistiques des activités du système de micro -crédits sans intérêts établi au cours du projet.

 

08.50.21.02 Cible 02 : Réduire de moitié entre 1990 et 2015, la proportion de la population qui souffre de la faim.

 

Indicateur 04 : Pourcentage d’enfants de moins de 5 ans présentant une insuffisance pondérale (UNICEF -OMS)

 

Puisque TOUS les habitants dans chaque zone de projet bénéficieront d’une diète variée et d’un bonne qualité de vie, n’y aurait-il plus d’enfants présentant une insuffisance pondérale dans la zone du projet à la fin de la période exécutive de 24 mois du projet. Chaque projet aidera donc par définition à la réduction du pourcentage d’enfants de moins de 5 ans présentant une insuffisance pondérale au niveau national.

 

Étant vue que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tells projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. Main à main que tels projets sont mis en exécution, le pourcentage d’enfants de moins de 5 ans présentant une insuffisance pondérale au niveau national deviendra-t-il  toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation : Comparaison entre les statistiques pour la zone du projet suite à l’introduction des structures du projet sur une période de 24 mois avec celles avant le commencement du projet.

 

Indicateur 05 : Proportion de la population n’atteignant pas le niveau minimal d’apport calorique (F.A.O.)

 

Puisque TOUS les habitants dans chaque zone de projet bénéficieront d’une diète variée et d’une bonne qualité de vie, n’y aurait-il plus de personnes n’atteignant pas le niveau minimal d’apport calorique prévu de la F.A.O. dans la zone du projet à la fin de la période exécutive de 24 mois du projet. Chaque projet contribuera donc par définition à la réduction de la  proportion de la population n’atteignant pas le niveau minimal d’apport au niveau national dans le pays où le projet aura lieu.

 

Étant vue que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la proportion de la population n’atteignant pas le niveau minimal d’apport prévu de la F.A.O. deviendra-t-elle toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.

 

Pour plus d’informations sur la sécurité alimentaire dans la zone du projet, voir :

 

08.40 Sommaire des aspects relatifs à l'agriculture et à la sécurité alimentaire.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation : Informations sur la production alimentaire locale dans la zone du projet destinée à la consommation locale.  Informations et statistiques sur l’apport caloriques de la population dans la zone du projet au commencement du projet et comparaison avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations. 

 


 

08.50.22 Objectif  2 : Assurer l’éducation primaire à tous.

 

08.50.22. 03 Cible 03 :  D’ici à 2015, donner à tous les enfants, garçons et filles,  partout dans le monde, les moyens d’achever un cycle complet d’études primaires. (UNESCO).

 

Indicateur 06 : Taux net de scolarisation dans le primaire. (UNESCO)

 

Il s’agit d’avoir informations sur le pourcentage d’enfants qui effectivement assistant aux leçons, car les enfants peuvent être formellement enregistrés aux écoles sans, pour des raisons diverses, pouvoir assister aux leçons.

 

En principe, TOUS les enfants dans une zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet d’études primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.

Le projet peut se servir du système de monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux usés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités dans l’enseignement et qui sont disponibles à travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années.

 

L’exploitation complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants. Elle peut aussi, tout au moins partiellement, dépendre sur la possibilité du Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le cadre du système de Monnaie Locale établi.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux de scolarisation dans l’éducation primaire du pays où le projet a lieu deviendra-t-il toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale. jusqu’à achever le 100%.

 

Pour plus d’informations sur les aspects du projet  touchant l’éducation publique voir :

 

05.46 La création des structures d’instruction publique.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation : Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet qui participent effectivement aux cours d’études primaires sur une période de 24 mois avec celui valable pour la zone du projet avant le commencement du projet.

 

Indicateur  07 : Proportion d’écoliers commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième (UNESCO)

 

En principe, TOUS les écoliers dans une zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet d’études primaires en commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième. Le projet peut se servir du système de monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux utilisés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités dans l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années. Donc, tous les écoliers commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire achèveront la cinquième.

 

L’exploitation complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants. Elle peut dépendre aussi, tout au moins partiellement, sur la possibilité du Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le cadre du système de Monnaie Locale établi.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux d’écoliers commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire qui achèveront la cinquième dans le pays où le projet a lieu deviendra-t-il toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale, jusqu’à achever le 100%.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation : Faire une comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet commençant dans la première année d’études dans l’enseignement primaire et achevant la cinquième avec celui valable pour la zone du projet avant le commencement du projet.

 

Indicateur 08 : Taux d’alphabétisation des 15-24 ans. (UNESCO)

 

En principe, TOUS les enfants dans une zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet d’études primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.

Cela signifie que le taux d’alphabétisation des 15-24 ans dans la zone du projet achèvera automatiquement le 100% avec le passage d’un cycle complet d’études.

 

Un taux d’alphabétisation des jeunes qui se trouvent dans le groupe des 15-24 ans au moment du commencement du projet ne peut pas être garanti étant donné le manque d’obligation de donner suite aux études déjà faites. Le projet fournira 200 salles d’études à éclairage photovoltaïque auprès des habitations, et pour l’éclairage photovoltaïque dans les écoles, pour que l’on puisse y suivre les cours le soir. Une réduction générale de la charge du travail sur les femmes sera l’un des résultats importants de l’exécution du projet. On confie par conséquence de faciliter ainsi la participation des femmes aux cours de soir.

 

Des enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités dans l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années.

 

L’exploitation complète des structures créées du projet dépendra toutefois de la présence d’enseignants. Elle dépendra au moins partiellement sur la possibilité du Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le cadre du système de Monnaie Locale établi.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux d’alphabétisation des 15-24 ans  deviendra-t-il toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale jusqu’à achever le 100%.

 

La section  05.46 La création des structures d’instruction publique présente en détail comment on compte augmenter le taux d’alphabétisation dans la zone du projet.

 

La section 05.16 La création de structures de sécurité sociale présente en détail le système de sécurité sociale à trois niveaux  qui permettra même aux plus pauvres de suivre des cours d’alphabétisation et d’études.

 

Évaluation :  Le nombre d’écoles et de classes dans chaque zone de projet. Le nombre d’enseignants travaillant dans le secteur formel (salaire payé du Ministère de l’Éducation) , ceux travaillant partiellement dans le secteur formel et partiellement dans le cadre du système de monnaie locale établi du projet, et ceux travaillant exclusivement dans le cadre du système de monnaie locale établi du projet. Les statistiques sur l’utilisation du système de sécurité sociale à trois niveaux établi du projet.

 


 

08.50.23 Objectif  3 : Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.

 

08.50.23. 04 Cible 04 :  Éliminer la disparité en les sexes dans les enseignements primaire et secondaire  d’ici à 2005 si possible, et en tous les niveaux d’enseignement en 2015 au plus tard.

 

Indicateur  09 : Rapport filles/garçons dans l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur, respectivement.(UNESCO)

 

Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans la zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, ratio 1 : 1. Le projet n’a aucun contrôle sur l’accès des jeunes filles aux cours tertiaires, mais la proportion de jeunes filles contre garçons préparées pour accéder à l’instruction tertiaire sera 1 :1.

 

Le projet prévoit l’institution d’une école pour l’enseignement des métiers à situer à  [lieu]

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le rapport filles/garçons dans l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur devrait achever 1 : 1.

 

Évaluation : le nombre et le sexe des enfants qui effectivement assistent aux cours des écoles primaires, secondaires, propedeutiques, et de l’école métiers. Ceux de la zone du projet qui suivent des cours d’éducation tertiaire ailleurs.

 

Indicateur 10 : Taux d’alphabétisation des femmes de 15 à 24 ans par rapport à celui des homes.(UNESCO)

 

Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans la zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, en rapport 1 : 1. Le projet n’a aucun contrôle cependant sur l’accès aux cours tertiaires, mais le rapport de jeunes filles contre garçons préparées pour accéder à l’instruction tertiaire sera 1 :1.

 

Le projet prévoit l’institution d’un cours propedeutique au niveau central pour hommes et femmes, à situer à  [lieu]

 

Cela signifie qu’avec le passage de quelques années, la proportion de jeunes femmes de 15 à 24 ans deviendra automatiquement elle aussi 1 :1 sans aucune disparité entre les sexes.

 

Toutes les femmes participeront d’ailleurs aux cours d’éducation à l’hygiène.

 

Un taux d’alphabétisation de 100% d’entre les jeunes de 15 à 24 ans au moment de commencement du projet ne peut pas être toutefois garanti, car la participation d’adultes aux cours d’éducation n’est pas obligatoire. Le projet prévoit 200 salles d’études à éclairage photovoltaïque, et de l’ éclairage photovoltaïque aux écoles pour y favoriser les cours le soir. Une réduction générale du charge du travail sur les femmes devrait les permettre à assister à ces cours.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, toute disparité en les sexes dans les enseignements

Devrait se réduire jusqu’à achever le 0%.

 

Évaluation : Le nombre de personnes (en particulier le nombre de femmes) qui assistent aux cours le soir. Faire comparaison entre les statistiques valables au moment de commencement du projet et celles suite à l’implémentation du projet.

 

Indicateur 11: Pourcentage de salariées dans le secteur non agricole qui sont femmes. (ILO)

 

L’indicateur 11 fait référence à des concepts économiques traditionnels  pas retenus applicables au projet. Le projet est coopératif et ne prévoit pas de création d’emplois «salariés » . Il support des initiatives individuelles, familiales et coopératives à faveur de l’augmentation de la productivité locale. Les structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec celles existantes ; elles ne les remplacent pas.  Les relations traditionnelles employeur -salarié ont lieu librement dans le sphère du système à monnaie formelle, mais le projet n’y donne pas de support direct.

 

Les femmes jouent un rôle majoritaire dans la gestion de toutes les structures du projet, y compris le système de financement à travers les micro -crédits sans intérêts établi au cours de l’une des premières phases d’exécution du projet. Les activités productives reconnues des femmes comprennent celles non -monétisées, celles effectuées dans le cadre du système de monnaie locale établi, et celles effectuées dans le cadre du système de monnaie formelle.

 

La section  08.20 Droits de la femme du projet illustre comment on promeuve et défende les droits des femmes et des jeunes filles dans la zone du projet.

 

Évaluation: L’analyse des activités productives réelles des femmes comparées avec celles valables au commencement du projet. Analyse de l’amélioration de la qualité de vie des femmes au moment du contrôle en comparaison avec celle valable au moment de commencement du projet.

 

Indicateur 12 : Proportion de sièges occupés par des femmes au parlement national (IPU)

 

Le projet ne couvre pas directement l’indicateur 12.

 

Les structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie  avec celles formelles du système économique traditionnelle. Le projet prévoit beaucoup de structures sur trois niveau gérées par des habitants locaux choisis directement des populations. Une participation majoritaire de femmes dans toutes les structures et à tous les niveaux est assurée. Les femmes reçoivent par conséquence une préparation extensive dans l’exercice de leurs droits dans le cadre du procès démocratique introduit au cours du projet. Elles prennent responsabilité des structures du projet à tous les niveaux. Ceci peux faciliter leurs qualifications pour être candidates à l’occasion d’élections parlementaires et les garantir une base élective.

 

La zone du projet même n’est pas suffisamment grande pour pouvoir exprimer un membre de parlement propre, que ce soit homme ou femme.

 

Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux de femmes membres du parlement devrait-il devenir toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale

 

Évaluation:  La participation effective des femmes à la gestion des structures du projet.  Les statistiques sur les femmes qui  participent aux structures politiques locales dans la zone du projet après une première période de 24 mois en comparaison avec celles pour la zone du projet au moment de commencement de l’exécution du projet.

 


 

08.50.24  Objectif  4 : Réduire la mortalité des enfants de moins de 5 ans.

 

08.50.24.05  Cible 05 : Réduire la mortalité des enfants de moins de 5 ans.

 

Indicateur 13 : Taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans. (UNICEF)

 

Les enfants recevront tous des cours d’éducation à l’hygiène aux écoles. Les mères des petits enfants participent aux cours des Clubs d’Hygiène établis. Tous les enfants reçoivent de l’eau potable saine et des structures d’assainissement. La fumée est éliminée des habitations à travers l’utilisation de foyers améliorés. Les enfants auront une diète variée. Les eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets est introduit. Des mesures sont adoptées pour combattre les moustiques, les mouches et la vermine.

La section 05.47 Aspects relatifs à la santé publique illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des enfants et réduire le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans.

 

Évaluation: Comparaison entre le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans au moment de commencement du projet avec celui au moment où le contrôle est effectué.

 

Indicateur 14 : Taux de mortalité infantile (UNICEF)

 

Les enfants recevront tous des cours d’éducation à l’hygiène aux écoles. Les mères des petits enfants participent aux cours des Clubs d’Hygiène établis. Tous les enfants reçoivent de l’eau potable saine et structures d’assainissement. La fumée est éliminée des habitations à travers l’utilisation de foyers améliorés. Les enfants auront une diète variée. Les eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets est introduit. Des mesures sont adoptées pour combattre les moustiques, les mouches et la vermine.

 

La section 05.47 Aspects relatifs à la santé publique illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des enfants  et réduire le taux de mortalité des enfants.

 

Évaluation: Comparaison entre le taux de mortalité des enfants au moment de commencement du projet avec celui au moment où le contrôle est effectué.

 

Indicateur 15 : Proportion d’enfants de 1 an vaccinés contre la rougeole. (UNICEF)

 

Cet indicateur ne fait pas partie du projet car il est la responsabilité du Ministère de la Santé Publique. Le paiement de vaccines directement des populations constituerait fuite financière de la zone du projet, fuite que le projet cherche à combattre.

 

D’ailleurs les enfants recevront de l’eau potable saine, des bonnes structures sanitaires, et une diète variée. Ils seront par conséquence moins affaiblis de maladies telles la malaria, la diarrhée et la rougeole.

 

Quelques experts questionnent la nécessité des campagnes de vaccination préventive dans toutes les circonstances. En tout cas les décisions relatives aux campagnes de vaccination des enfants restent hors de l’application de ce projet.

 

La section 05.47 Aspects relatifs à la santé publique illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des enfants.

 

Évaluation: Comparaison entre les statistiques d’immunisation contre la rougeole au moment de commencement du projet avec celui au moment où le contrôle est effectué. On n’attend pas que la proportion d’enfants vaccinés soit nécessairement plus élevé qu’au début.

 


 

08.50.25  Objectif  5 : Améliorer la santé maternelle.

 

08.50.25.06  Cible 06 : Réduire de trois quarts, entre 1990 et 2015,  le taux de mortalité maternelle.

 

Indicateur 16 : Taux de mortalité maternelle. (OMS)

Cet indicateur n’est adressé du projet qu’indirectement. Le projet ne peut pas se substituer au Ministère de la Santé à cet égard.

 

La santé des femmes s’améliorera de manière importante à main les structures du projet n’entreront en fonctionne.

 

Tous les femmes reçoivent de l’eau potable saine et des structures d’assainissement. La fumée est éliminée des habitations à travers l’utilisation des foyers améliorés. Les femmes auront une diète variée. Les eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets est introduit. Des mesures sont adoptées pour combattre les moustiques, les mouches et la vermine.

 

Une meilleure qualité de vie devrait porter à une réduction du taux de mortalité maternelle.

 

La section  05.47 Aspects relatifs à la santé publique illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des mères.

 

On aura disposition d’un réseau complet d’ambulances à bicyclettes ; de services infirmiers de base ; de points pour la distribution des médicaments. À longue terme (pas prévus au bilan du projet), la présence de 46 médecins et un hôpital local au niveau du projet.

 

Évaluation:  Comparaison du taux de mortalité maternelle au moment de commencement du projet avec celui au moment où le contrôle est effectué.

 

Indicateur 17 : Proportion d’accouchements assistés par du personnel de santé qualifié. (OMS)

 

Cet indicateur n’est adressé au projet qu’indirectement. La disponibilité de la présence d’accoucheuses et d’assistance médique professionnelle reste en principe la responsabilité du Ministère de la Santé Publique.

 

La section  05.47 Aspects relatifs à la santé publique illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des populations, et surtout celle des femmes et des enfants, dans la zone du projet.

 

Évaluation:  Comparaison de la proportion d’accouchements assistés par du personnel de santé qualifié au moment de commencement du projet avec celle au moment où le contrôle est effectué.

 


 

08.50.26  Objectif  6 : Combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies.

 

 

08.50.26.07  Cible 07 : D’ici à 2015 avoir stoppé la propagation du VIH/sida et commencé à inverser la tendance actuelle.

 

Indicateur 18 : Taux de prévalence du VIH parmi les femmes enceintes âgées de 15 à 24 ans. (UNAIDS)

 

La limitation de cet indicateur à un seul groupe prioritaire de femmes (à l’exclusion d’autres femmes et des hommes)  est extraordinaire et laisse beaucoup de questions  ouvertes.

 

Le projet ne s’adresse pas au directement au traitement du VIH/sida et des autres maladies. Il couvre bien les activités de prévention à travers des clubs d’hygiène et les cours d’éducation à l’hygiène aux écoles, et des services infirmiers à bénéfice de la qualité de vie des malades.

 

Là où le traitement du VIH /sida doit être payé utilisant des fonds locaux, devient-il cause de fuite financière sérieuse de la zone du projet. Cette fuite y bloque le                       développement.

 

Toutefois, toutes les femmes de la zone du projet participent aux clubs de santé avec des cours continus d’éducation à l’hygiène. Pour des informations sur les clubs d’hygiène voir 05.12 Création des structures d’éducation à l’hygiène.  Des cours d’éducation à l’hygiène seront disponibles aux écoles. Tous les enfants devront pouvoir bénéficier des cours aux niveaux des écoles primaires et secondaires.

 

Des services infirmiers génériques seront établis au niveau local comme décrit à la section 05.47 Aspects relatifs à la santé. 

 

Un réseau de sécurité sociale fait partie des structures du projet pour garantir la solidarité en support des malades et des handicapés. Ce réseau est décrit à la section 05.16 Création des structures de sécurité sociale.

 

Évaluation :Comparaison de la proportion de la population avec VIH/sida dans la zone du projet au commencement avec celle au moment où la nouvelle information est récolte.

 

Indicateur 19 : Taux d’utilisation du préservatives sur le taux de prévalence des contraceptifs et de la population âgée de 15-24 ans ayant une bonne connaissance générale du VIH/sida. (UNAIDS, UNICEF, UN Population Division, OMS)

 

Le projet n’adresse pas le traitement médical du VIH/sida et des autres maladies. Il couvre bien les activités de prévention à travers des clubs d’hygiène et les cours d’éducation a l’hygiène aux écoles.

 

200 points infirmiers seront mis en place au niveau des commissions réservoir. On prévoit une structure à trois niveaux de sécurité sociale à bénéfice des malades, des handicapés et des vieux.

 

Le projet prévoit la formation de groupes coopératifs d’achat, cas échéant administré du projet même, qui permettront la distribution de condoms contre remboursement de leur prix originaire importé.

 

Toutes les femmes de la zone du projet participent aux clubs de santé avec des cours continus d’éducation à l’hygiène. Pour informations sur les clubs d’hygiène voir 05.12 Création des structures d’éducation à l’hygiène.  Cours d’éducation à l’hygiène seront disponibles aux écoles. Tous les enfants devront pouvoir bénéficier des cours aux niveaux des écoles primaires et secondaires.

 

On attend que les cours d’éducation à l’hygiène couvrent l’utilisation des condoms et les causes des infections HIV/Sida.

 

Le projet ne couvre pas directement l’éducation à l’utilisation des condoms pour les jeunes hommes d’une âge supérieure à celle de l’éducation obligatoire. La raison en     est la difficulté pratique de contacter le groupe cible pour faire fonctionner les cours. Les hommes sont libres, naturellement, à assister aux cours des clubs d’éducation à l’hygiène et aux cours aux écoles, mais l’on n’attend pas que beaucoup d’hommes en s’avalent.

 

Les structures du projet sont disponibles pour l’organisation de l’achat collectif et de la distribution locale systématique de condoms contre rembours de leur prix originaire livré . Les condoms importés dans la zone du projet et payés en monnaie formelle représente, comme les médicaments sujets à des octrois, une source de fuite financière de la zone du projet.

 

Évaluation: comparaison du taux d’utilisation du préservative dans la zone du projet au moment de commencement du projet avec celui au moment de récolte des nouvelles  informations.

 

Indicateur 20 : Taux de scolarisation des orphelins par rapport au taux de scolarisation des autres enfants non orphelins ages de 10 à 14 ans. (UNAIDS, UNICEF, UN Population Division, OMS)

 

En principe, TOUS les écoliers, y compris les orphelins, dans une zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet d’études primaires que secondaires. Le projet peut se servir du système de monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux usés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités dans l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire et secondaire complet pour tous, y compris les orphelins, pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années.

 

On prévoit une structures à trois niveaux de sécurité sociale à bénéfice des besogneux, y compris les orphelins.

 

L’exploitation complète des structures créées du projet dépendra toutefois de la présence d’enseignants. Elle dépendra au moins partiellement sur la possibilité du Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le cadre du système de Monnaie Locale établi.

 

Une structure à trois niveaux de sécurité sociale fait partie du projet pour garantir la solidarité avec les orphelins. Cette structure est décrite à la section 05.16 Création des structures de sécurité sociale. Cas échéant, des structures pour la récolte des orphelins seront établies au niveau local dans le cadre du système de monnaie locale établi. Il s’agit d’une activité à retenir comme activité économique locale normale. Les structures de la sécurité sociale décideront de cas à cas comment les frais en monnaie locale des telles structures seront divisés entre les populations de la zone du projet.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux de scolarisation des enfants orphelins devra devenir le 100%.

 

Évaluation:  Comparaison entre le taux de scolarisation d’enfants orphelins au moment du commencement de l’exécution du projet avec celui au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

08.50.26.08  Cible 08 : D’ici à 2015 avoir maîtrisé le paludisme et d’autres maladies et commencé à inverser la tendance actuelle.

 

Indicateur 21 : Taux de prévalence du paludisme et taux de mortalité liée à cette maladie. (OMS)

 

Le projet prévoit de nombreuse mesures préventives contre le paludisme et les autres maladies. (Pour détails complets voir la section 05.47 Aspects relatifs à la santé. 

de la documentation du projet.

 

Les femmes et les enfants reçoivent tous des cours d’éducation à l’hygiène auprès des clubs d’hygiène établis et aux écoles comme décrit à la section 05.12 Création des structures d’éducation à l’hygiène  Tous les habitants reçoivent de l’eau potable saine comme décrit à la section 05.41 Structures en eau potable et des structures d’assainissement écologique sont installées dans les habitations, les écoles, les cliniques et les lieux publics comme décrit à la section 05.42 Structures d’assainissement. Les eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets est introduit comme décrit à la section 05.43 Structures de recyclage des déchets. Des mesures telles les anti-moustiques) et dispositifs écologiques anti-mouches à production locale seront prises dans la cadre du système de monnaie locale introduit  pour combattre les moustiquaire, les mouches et la vermine. On aura a disposition des services infirmiers de base.

 

Évaluation : Comparaison des statistiques sur la malaria au moment de commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

Indicateur 22 : Proportion de la population vivant dans les zones à risque qui utilisent des moyens de protection et des traitements efficaces contre le paludisme. (UNICEF)

 

Le projet fait une distinction entre les mesures préventives cotre la malaria et le traitement de la malaria.

 

Le projet ne couvre pas les frais en monnaie formelle des médicaments propriétaires pour le traitement de la malaria, car ces frais sont cause de fuite financière de la zone du projet. Les intérêts d’un projet de développement intégré comme celui-ci restent sur la prise d’initiatives à faveur de l’éradication ( en tant possible) des moustiques dans le cadre du système de monnaie locale établi, plutôt que de payer les frais des résultats de la présence des moustiques. Le projet ne couvre pas le traitement médical des maladies. Il couvre bien les services infirmiers locaux.

 

Le projet prévoit de nombreuse mesures préventives contre le paludisme et les autres maladies. (Pour détails complets voir la section 05.47 Aspects relatifs à la santé de la documentation du projet.

 

On introduit un réseau de services infirmiers de base.

 

Les femmes et les enfants reçoivent tous des cours d’éducation à l’hygiène auprès des clubs d’hygiène établis et aux écoles comme décrit à la section 05.12 Création des structures d’éducation à l’hygiène. Tous les habitants reçoivent de l’eau potable saine comme décrit à la section 05.41 Structures en eau potable et des structures d’assainissement écologique sont installées dans les habitations, les écoles, les cliniques et les lieux publics comme décrit à la section 05.42 Structures d’assainissement. Les eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets est introduit comme décrit à la section 05.43 Structures de recyclage des déchets. Des mesures telles les moustiquaires) et des dispositifs anti-mouches à production locale seront prises et produits dans la cadre du système de monnaie locale introduit  pour combattre les moustiques, les mouches et la vermine.

 

Évaluation:  Comparaison entre la proportion de la population vivant dans les zones à risque qui utilisent les moyens de protection et des traitements efficaces contre le paludisme au moment du commencement de l’exécution du projet avec celui au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

Indicateur 23 : Taux de prévalence du tuberculose et taux de mortalité liée à cette maladie. (OMS)

 

Le projet n’adresse pas le traitement du tuberculose. Il couvre bien les activités de prévention à travers des clubs d’hygiène et les cours d’éducation à l’hygiène aux écoles.

 

La détection et la cure du tuberculose sont retenues des responsabilités primaires du Ministère de la Santé Publique.

 

Évaluation:  Comparaison des statistiques de prévalence du tuberculose et du taux de mortalité y associé au moment du commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

Indicateur 24 : Proportion de cas de tuberculose détectés et soignés dans le cadre DOTS (la stratégie contre la tuberculose recommandée au niveau international. ) (OMS)

 

Le projet n’adresse pas le traitement du tuberculose dont à l’indicateur directement. La détection et la cure du tuberculose sont retenues des responsabilités primaires du Ministère de la Santé Publique.

 

Le projet couvre bien les activités de prévention à travers des clubs d’hygiène et les cours d’éducation a l’hygiène aux écoles, l’aération des habitations, et une meilleure qualité de vie en général. Les services infirmiers créés pourront d’ailleurs assurer l’administration systématique des médicaments. Puisque ces services on lieu dans le cadre du système de monnaie locale établi, les frais du Ministère de la Santé seront réduits.

 

Évaluation:  Comparaison des statistiques de détection soins du tuberculose au moment du commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.

 


 

08.50.27  Objectif  7 : Assurer un environnement durable.

 

08.50.27.09  Cible 09 :Intégrer les principes du développement durable dans les politiques nationales et inverser la tendance actuelle à la déperdition des ressources environnementales.

 

Indicateur 25: Proportion de zones forestières. (FAO)

 

Les réserves naturelles dans la zone du projet sont protégées. Les possibilités d'une gestion et d'une conservation actives des réserves dans l'intérêt des générations à venir sont pourtant actuellement mises gravement en danger cause le manque de fonds.

 

Ils existent des marges très intéressantes pour une coopération productive entre les habitants de la zone, à travers des structures créées par le projet, et l'administration des réserves au but d'en assurer le développement et l'exercice durables.

 

Au cas, par exemple, où l'Administration des Réserves devienne membre du système de monnaie locale mis en place, l'Administration pourra se servir de la main d'œuvre locale sans avoir besoin de la monnaie formelle pour toute sorte d'activité, y compris, à titre indicatif, l´entretien de la forêt, les activités de plantation, les travaux des gardiens, des guides, la conservation de la faune et de la flore, et la construction d'infrastructures. Il est possible que, sur demande de l'administration et avec l'accord des habitants, qu'on place dans le parc même des structures photovoltaïques pour la fourniture en eau des animaux.

 

Les frais (exprimés en débits SEL -LETS) à la charge de l'Administration des Réserves pour ces services pourront être déchargés à travers la gestion strictement durable des ressources de la Réserve à bénéfice exclusive des populations locales. Par exemple, la vente de bois, de la viande, des licences de commercialisation etc.

 

Des pépinières pour la culture des arbres d´origine locale seront formées comme activités commerciales locales financées dans le cadre du système de monnaie locale et de la structure de micro -crédits mise en place du projet.

 

Les activités se appliqueront aussi aux arbres à fruits qui seront plantés le long des sentiers entre les villages de la zone du projet, dans les places  des villages etc.

 

Le projet, au moins en théorie, se qualifie pour des Certificats de Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto. Dans le cadre du projet, il y a un marché pour 20.000 à 30.000 foyers à rendement élevé pour la cuisine. Supposant des épargnes de 6.5kg de bois ou équivalent par famille par jour, réalise-t-on  des épargnes de 65 tonnes de bois par jour, ou bien 23725 tonnes de bois par an. Converti en tonnes de CO2, cela fait 18705 tonnes de CO2 par an. Supposant une valeur de marché de Euro 24 par tonne de CO2, le montant du crédit  disponible s’approcherait à Euro 450.000 par projet par an, en addition à d’autres épargnes sur les frais et sur le temps dédié des femmes à la recherche du bois. Sur les dix ans, ces crédits souffiraient pour financer le projet. Comme décrit (en anglais) à la section 09.33 CER certificates Kyoto Treaty : programme of activities as a single CDM project activity, est-on en train de faire des pas timides pour faciliter la participation de groupes de projets petits à la commercialisation des certificats des droits d’émission CO2. Jusqu’ici a-t-on réussi à les tenir hors du système à cause des frais élevés et de la complexité des procédures.  

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la proportion de zone forestière devrait démontrer une augmentation.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Pour des informations détaillées sur les aspects du projet relatifs à l’écologie voir à la section 08.30 Les aspects écologiques du projet. 

 

Évaluation:  comparaison de la zone forestière dans la zone du projet au moment de commencement du projet avec celle au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

Indicateur 26 . Superficie protégée pour préserver la biodiversité (par rapport à la superficie totale) (UNEP)

 

Le projet est au 100% écologique.  Les réserves naturelles dans la zone du projet sont protégées. Les possibilités d'une gestion et d'une conservation actives des réserves dans l'intérêt des générations à venir sont pourtant actuellement mises gravement en danger cause le manque de fonds.

 

Ils existent de marges très intéressantes pour une coopération productive entre les habitants de la zone, à travers des structures créées par le projet, et l'administration des réserves au but d'en assurer le développement et l'exercice durables.

 

Au cas, par exemple, où l'Administration des Réserves devienne membre du système de monnaie locale mis en place, l'Administration pourra se servir de la main d'œuvre locale sans avoir besoin de monnaie formelle pour toute sorte d'activité, y compris, à titre indicatif, l´entretien de la forêt, les activités de plantation, les travaux des gardiens, des guides, la conservation de la faune et de la flore, et la construction d'infrastructures.  Il est même possible que, sur demande de l'administration et l'accord des habitants, qu'on place dans le parc des structures photovoltaïques pour la fourniture en eau des animaux.

 

Le projet instituera, dans le cadre du système de monnaie locale établi, une banque des semences. La banque servira:

a)       À la réintroduction et à la sauvegarde de sortes de plantes locales et régionales menacées de l´extinction

b)       À la préparation et la conservation de semences pour le compte des agriculteurs.

c)       À la conservation et la réintroduction des plantes médicinales traditionnelles.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la superficie protégée pour préserver la biodiversité devra s’augmenter.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Pour des informations détaillées sur les aspects du projet relatifs à l’écologie voir à la section 08.30 Les aspects écologiques du projet. 

 

Évaluation:  comparaison entre la superficie protégée pour préserver la biodiversité dans la zone du projet au moment de commencement du projet avec celle au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

Indicateur 27 : Énergie consommée (en kilogrammes d'équivalent pétrole) par dollar de produit intérieur brut (PPA) (Banque Mondiale)

 

Les auteurs de ce projet sont de l’opinion que la fourniture en énergie (et donc le niveau de consommation d’énergie dans la zone du projet) n’est pas une mesure appropriée du développement. L’importation d’énergie contre paiement en monnaie formelle constitue l’une des causes les plus importantes de fuite financière des pays et des zones pauvres. Ce projet cherche à bloquer cette fuite financière. Les principes du projet ne reflètent pas l’approche monétariste basée sur un concept arbitraire de “$ 1 (PPA)” à la base de l’indicateur 27.

 

Les résultats du projet devront refléter les évaluations subjectives des populations sur la qualité effective de leur vie. Telles évaluations comprennent les bénéfices d’activités productives non -monétisées et de toutes les transactions effectuées dans le cadre du système de monnaie locale établi du projet. 

 

L’un des principes du projet est que l’énergie utilisée dans la zone du projet y soit écologiquement et durablement produit au but de la seule consommation locale.

 

L’activité la plus énergie -intensive dans la zone du projet est la préparation des aliments. Des matériaux recyclés et de la biomasse cultivée localement sont utilisées pour la production de mini- briquettes pour les foyers améliorés fabriqués localement.

 

On se sert d’une gamme large de technologies à énergie solaire. Des arbres et des plantes à huile telle la Jatropha seront cultivés localement sur petite échelle pour la production de petites quantités de biodiesel pour des applications prioritaires locales.

 

Évaluation: comparaison des statistiques sur l’utilisation d’énergie dans la zone du projet au moment de commencement du projet avec celles relevées au moment de la récolte des nouvelles informations. Puisque l’on se servira de moyens à énergie efficiente, l’énergie utilisée pourra subir une réduction au début pour s’augmenter de nouveau avec le passer du temps. Puisque l’énergie utilisée localement sera pour 100% renouvelable et pour 100%  produit localement, la quantité d’énergie effectivement utilisée dans la zone de projet n’a aucune relevance particulière. Son augmentation pourra donner des indications de quelque amélioration de la qualité de vie des populations locales.

 

Indicateur 28. Émissions de dioxyde de carbone par habitant et consommation de chlorofluorocarbones qui appauvrissent la couche d'ozone (en tonnes de PDO)

 

La cause principale d’émissions de dioxyde de carbone dans la zone du projet est actuellement la consommation de bois (et de ses dérivatives) pour faire la cuisine.

 

Les activités du projet comprennent 05.31 La création des usines de production d'articles en composites de gypse,  05.32 La création des unités de production des mini -briquettes pour les foyers et  05.33 La création des structures pour la production de biomasse pour les foyers.

 

Le projet, au moins en théorie, se qualifie pour des Certificats de Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto. Dans le cadre du projet, il y a un marché pour 20.000 à 30.000 foyers à rendement élevé pour la cuisine. Supposant des épargnes de 6.5kg de bois ou équivalent par famille par jour, réalise-t-on  des épargnes de 65 tonnes de bois par jour, ou bien 23725 tonnes de bois par an. Converti en tonnes de CO2, cela fait 18705 tonnes de CO2 par an. Supposant une valeur de marché de Euro 24 par tonne de CO2, le montant du crédit  disponible s’approcherait à Euro 450.000 par projet par an, en addition à d’autres épargnes sur les frais et sur le temps dédié des femmes à la recherche du bois. Sur les dix ans, ces crédits souffraient pour financer le projet. Comme écrit (en anglais) à la section 09.33 CER certificates Kyoto Treaty : programme of activities as a single CDM project activity, est-on en train de faire des pas timides pour faciliter la participation de groupes de projets petits à la commercialisation des certificats des droits d’émission CO2. Jusqu’ici a-t-on réussi à les tenir hors du système à cause des frais élevés des procédures.  

 

L’un des principes du projet est que l’énergie utilisée dans la zone du projet y soit écologiquement et durablement produit au but de la seule consommation locale.

 

Les systèmes inefficients et coûteux d’éclairage à kérosène, autre cause d’émissions de dioxyde de charbon seront remplacés par des systèmes d’éclairage photovoltaïque.

 

Tout produit à CFCs présent dans la zone du projet doit nécessairement y être importé. Le projet ne se servira ni distribuera des produits à CFCs dans la zone du projet, mais n’a aucun pouvoir de les prohiber, même au cas de leur prohibition par loi. Le projet peut bien informer les populations des risques écologiques liés à l’utilisation des CFCs.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Pour des informations détaillées sur les aspects du projet relatifs à l’écologie voir à la section 08.30 Les aspects écologiques du projet. 

 

Évaluation:  comparaison des statistiques sur les émissions de CO2 et des CFC  dans la zone du projet au moment de commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

Indicateur 29: Proportion de la population utilisant des combustibles solides. (UNEP)

 

Les auteurs de ce projet sont de l’opinion que la fourniture en énergie (et donc le niveau de consommation d’énergie dans la zone du projet) n’est pas une mesure appropriée du développement d’une part ou du manque du développement  de l’autre part de la zone du projet. 

 

La fuite financière des zones pauvres à cause de l’importation d’énergie, même s’il agit d’énergie produite dans d’autres parties du pays où le projet a lieu, est l’une des causes les plus importantes de la pauvreté. Cette constatation amère porte à la conclusion que pour arrêter cette fuite financière, faut-on éviter l’importation d’énergie dans la zone du projet. Cela porte, à la fois, à la conclusion inévitable qu’en principe toute énergie utilisée au niveau local doit être produit localement.

 

Puisque la zone du projet n’a aucun réseau général existant de distribution d’énergie, la production locale d’énergie à utilisation locale doit être fortement décentralisée. Puisque la production d’énergie locale sera très réduite faut-on établir une liste rigoureuse des applications prioritaires prévues du projet. On a cherché à créer une équilibre éthique entre les bénéfices apportées des structures et leurs coûts.

 

Le projet couvre les frais des ressources en énergie destinées aux services publics. Les frais des ressources en énergie destinées à l’augmentation de la productivité individuelle sont couverts des 05.22 structures coopératives de micro -crédit sans intérêts mises en place du projet.  Les frais des ressources en énergie destinées au confort individuel ne sont pas directement couverts du projet, chi facilite d’ailleurs la formation de groupes d’achat coopératif à participation volontaire. 

 

Le projet prévoit l’installation de 256 systèmes de pompage photovoltaïque, avec des panneaux photovoltaïques pour une puissance installée de 72.95 KW ; l’installation de systèmes photovoltaïques auprès de cliniques et écoles ; et 200 systèmes d’éclairage photovoltaïque pour les études.

 

L’éclairage à kérosène sera remplacé par celui solaire LED.

 

Le projet ouvrira aussi des possibilités pour la génération locale sur petite échelle des énergies renouvelables pour des activités spécifiques telles celles destinées aux petits établissements meuniers et d’autres services à utilité publique. Pour d’autres informations voir (Une huile verte pour le monde) (Anglais) A green oil for the world. Locally grown fuels for generators. (By courtesy of Sun & Wind Energy Magazine);  (Les lampes LED pour l’éclairage) (Anglais) LED lights for lighting. Information from the Light Up the World Foundation;   (L’huile végétale pour la génération d’électricité sur petite échelle)(Anglais) Plant oil for small-scale energy generation.

 

L’activité la plus énergie -intensive dans la zone du projet est la préparation des aliments. Des matériaux recyclés avec de la biomasse cultivée localement sont utilisées pour la production de mini- briquettes pour utilisation avec les foyers améliorés produits localement. Les activités du projet comprennent 05.31 La création des usines de production d'articles en composites de gypse,  05.32 La création des unités de production des mini -briquettes pour les foyers et  05.33 La création des structures pour la production de biomasse pour les foyers.

 

On se sert d’une gamme large de technologies à énergie solaire. Des arbres et plantes à huile tels la Jatropha seront cultivés localement sur petite échelle pour la production de petites quantités de biodiesel pour des applications prioritaires locales.

 

À conclusion peut-on dire que la proportion de la population utilisant des combustibles solides ne changera pas beaucoup, ni devrait pas changer. C’est la quantité de combustibles solides consommés par personne qui devrait subir une réduction. En même temps ces combustibles doivent-ils être produits localement de façon durable.

 

Évaluation:  comparaison des statistiques sur la proportion de la population utilisant combustibles solides au moment de commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations. Cette proportion ne devrait pas changer beaucoup. Comparaison des statistiques sur la proportion de la population utilisant combustibles solides renouvelables au moment de commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations. Comparaison des statistiques sur l’énergie renouvelable effectivement consommée des populations au moment de commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

08.50.27.10  Cible 10 : Réduire de moitié, d’ici à 2015, la pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau de boisson salubre et à des service d’assainissement de base.

 

Indicateur 30: Proportion de population ayant accès de façon durable à une source d’eau meilleure (zones urbaines et rurales). (OMS/UNICEF)

 

TOUS les habitants dans chaque zone de projet aura accès de façon durable à plusieurs sources d’eau meilleure.

 

Voir aux sections 05.41 (Fourniture en eau potable)  et  05.48 (Récolte de l’eau pluviale).

 

Le projet fournit de manière durable permanent de l’eau potable saine à tous les habitants de la zone du projet : soit 25 litres/personne/jour auprès des points eau situés à moins de 150 mètres de leurs habitations. Une fourniture en back-up d’eau potable saine (encore 25 litres/personne/jour) est disponible par moyens de groupes de pompes manuelles montées à côté des forages et puits. La récolte de l’eau pluviale est fournie dans le cadre du système de monnaie locale établi du projet auprès de chacune des 10.000 habitations dans la zone du projet. De l’eau potable saine sera fournie aussi dans les écoles, les cliniques, et  les lieux publics.

 

Étant vue que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la proportion de la population ayant accès de façon durable à une source d’eau meilleure deviendra-t-elle  toujours  plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation progressive:  Comparaison entre les statistiques sur la population de la zone du projet qui n’est pas fournie en eau potable saine suite à l’introduction des structures du projet sur une période de 24 mois avec celles pour la zone du projet avant le commencement du projet.

 

Indicateur 31: Proportion de la  population ayant accès à un meilleur système d’assainissement (zones urbaines et rurales). (OMS/UNICEF)

 

Le projet fournit de manière permanente durable et écologique à tous les habitants de la zone du projet un système complet d’assainissement et de recyclage des déchets, à partir des toilettes éco -sanitaires à sec auprès des 10.000 habitations, et dans les écoles, les lieux publics, et cas, échéant, les cliniques.

 

Les structures sanitaires et de recyclage des déchets prévues sont décrites en détail aux sections 05.42 Structures d'assainissement et 05.43 Structures de recyclage du projet.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la proportion de la population ayant accès à un meilleur système d’assainissement s’accroîtra.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation progressive:  Comparaison entre les statistiques sur la population de la zone du projet qui n’est pas fournie d’un système complet d’assainissement suite à l’introduction des structures du projet sur une période de 24 mois avec celles pour la zone du projet avant le commencement du projet.

 

08.50.27.11  Cible 11 : Réussir  d’ici à 2020, à améliorer sensiblement la vie d’au moins 100 million d’habitants de taudis.

 

Indicateur 32: Proportion des ménages  population ayant accès à la sécurité d’occupation des logements. (UN Habitat)

 

Les auteurs de ce projet croient que l’élimination des taudis se réalise mieux en donnant aux populations rurales une bonne qualité de vie, à ce qu’on n’ait aucune raison d’émigrer vers les centres urbains. Il se peut qu’avec la réalisation du projet, quelques émigrés fassent retour à leurs zones d’origine, où ils trouveront de nombreuses opportunités de travail.

 

Les concepts dont au Modèle s’appliquent également aux centres urbains comme pour les zones rurales. Toutefois, justement pour adresser le problème de la migration vers les villes et de la formations de taudis, donne-t-on priorité à l’exécution, pour commencer, de projets dans zones rurales.

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 


 

08.50.28  Objectif  8 : Mettre en place un partenariat mondial pour le développement.

 

La description  de cet objectif, ses cibles, et ses indicateurs sont peu compréhensibles et donnent une démonstration impressionnante de la confusion qui règne sur les questions à la base de l’élimination de la pauvreté au début du 21ème siècle.

 

Ce projet traite la création d’un ensemble de structures avancées sociales, financières, productives et de service dans un ordre de séquence critique, et étroitement intégrées l’une à l’autre. Des environnements financiers coopératifs, sans intérêts, et sans inflation sont créés dans la zone du projet.  Les initiatives  locales peuvent y fleurir dans des conditions de vraie concurrence

 

08.50.27.11  Cible 11 : Réussir  d’ici à 2020, à améliorer sensiblement la vie d’au moins 100 million d’habitants de taudis.

 

Indicateur 32: Proportion des ménages  population ayant accès à la sécurité d’occupation des logements. (UN Habitat)

 

Les auteurs de ce projet croient que toute la pauvreté devrait être éliminée entre 2020 et que toute distinction entre les habitants des zones rurales et ceux des zones urbaines est inacceptable. L’élimination des taudis se réalise mieux en donnant aux populations rurales une bonne qualité de vie, à ce qu’on n’ait aucune raison d’émigrer vers les centres urbains. Il se peut qu’avec la réalisation du projet, quelques émigrés fassent retour à leurs zones d’origine, où ils trouveront de nombreuses opportunités de travail.

 

Les concepts dont au Modèle s’appliquent également aux centres urbains comme pour les zones rurales. Toutefois, justement pour adresser le problème de la migration vers les villes et de la formation des taudis, donne-t-on priorité à l’exécution de projets dans zones rurales.

Là où on donne exécution à des projets au termes du Modèle dans les taudis, les zones des projets devront cesser être des taudis.

 

Étant vu que la population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet.  Pour couvrir la population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la sécurité d’occupation des logements s’améliorera.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro –cents) par personne.

 

Évaluation: pas retenue relevante aux projets exécutés dans les zones rurales.

 


 

08.50.28  Objectif  8 : Mettre en place un partenariat mondial pour le développement.

 

08.50.28.12  Cible 12 : Poursuivre la mis en place d’un système commercial et financier multilatéral ouvert, fondé sur des règles, prévisible et non discriminatoire. Cela suppose un engagement à faveur d’une bonne gouvernance, du développement et de la lutte contre la pauvreté, aux niveaux tant national qu’international.

 

Chaque projet innovateur de développement intégré donne des solutions simples et pratiques aux problèmes liés à la pauvreté et au développement intégré. La section 6 du projet décrit à pas à pas les modalités de la réalisation de dites solutions. Suivant ces pas, les opérateurs ont pu rédiger leur propre projet avancé de développement intégré écologique et durable et les applications pour son financement initial.  Des structures sociales, financières, productives et de service décrites à la section 5   sont créées dans une ordre de séquence critique, et étroitement intégrées l’une à l’autre. Un environnement financier coopératif local sans intérêts, et sans inflation est crée dans la zone de projet.  Les initiatives  locales peuvent y fleurir dans des conditions de vraie concurrence.

 

Les concepts du projet assurent que les femmes puissent jouer un rôle majoritaire, donc dominant, dans la formation et la gestion de toutes les structures du projet,  à tous les niveaux , y compris le financement des activités productives à travers le système de micro -crédit sans intérêts et sans frais exprimés en monnaie formelle créé pendant l’une des premières phases d’exécution du projet. Les activités productives des femmes, soient celles dans le cadre du système de monnaie locale établi, soient celles réalisées dans le secteur à monnaie formelle, sont reconnues comme contributions à la qualité de vie des habitants. 

 

La  section 08.20 Les droits des femmes contient une description sur comment les droits des femmes et des jeunes filles de la zone du projet sont respectés.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Évaluation : l’analyse des activités productives dans la zone du projet au moment du commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations. Comparaison entre la qualité de vie des populations de la zone du projet au moment du commencement du projet au avec celle au moment de la récolte des nouvelles informations.

 

08.50.28.14  Cible 13  : S’attaquer aux besoins particuliers des pays les moins avancés. La réalisation de cet objectif suppose l’admission en franchise et hors contingents des produits exportés des pays les moins avancés, l’application du programme renforcé d’allègement de la dette des PPTE et l’annulation des dettes bilatérales envers les créanciers officiels; et l’octroi d’une APD plus généreuse aux pays qui démontrent leur volonté de lutter contre la pauvreté.

 

(Aide publique au développement – APD)

 

Indicateur 33: APD nette, total et aux PMA,  en pourcentage du revenue national brut des pays donateurs membres du CAD/OCDE.

 

Indicateur 34: Proportion du montant total de l’APD bilatérale des pays donateurs du CAD/OCDE allouée par secteur aux services de base (éducation de base, soins de santé primaires,  nutrition, eau salubre, et assainissement).

 

Indicateur 35: Proportion de l’APD bilatérale des pays membres du CAD/OCDE qui est déliée.

 

Indicateur 36: APD reçue par les pays en développement sans littoral en tant que pourcentage de leur RNB.

 

Indicateur 37: APD reçue par les petits états insulaires en développement en tant que pourcentage de leur RNB.

 

Les concepts sur la base desquels ce projet a été conçu s’appliquent également aux pays sans littoral et aux petits états insulaires comme à toute autre zone rurale ou urbaine, y comprises celles pauvres dans les pays industrialisés.

 

(Accès au marché)

 

Indicateur 38: Proportion du total des importations des pays développés (en valeur et à l’exclusion des armes) en provenance des pays en développement et des pays les moins avancés admises en franchise de droit.

 

Indicateur 39: Taux moyens de droits appliqués par le pays développés aux produits agricoles, textiles et vêtements en provenance des pays en développement. 

 

Indicateur 40: Estimation des subventions agricoles dans les pays de l’OCDE en pourcentage de leur PIB. 

 

Indicateur 41: Proportion de l’APD allouée au renforcement des capacités commerciales. 

 

Indicateur 42: Nombre total des pays ayant atteint le point de décision de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) et nombre total des pays ayant atteint les points d’achèvement  (cumulatif).

 

Indicateur 43: Engagement d’allègement de la dette au titre de l’initiative PPTE.

 

Indicateur 44: Service de la dette, en pourcentage des exportation de biens et de services.

 

Ce projet traite le développement intégré local dans la zone du projet. Des structures sociales, financières, productives et de service décrites à la section 5 sont créées dans une ordre de séquence critique, et étroitement intégrées l’une à l’autre. Des environnements financiers coopératifs locaux, sans intérêts, et sans inflation sont créés dans la zone de projet.  Les initiatives  locales peuvent y fleurir dans des conditions de vraie concurrence.

 

Plusieurs de tels projets dans une région permettent la formation d’un réseau puissant de systèmes économiques locaux coopératifs, sans intérêts. Les systèmes régionaux contribuent à leur tour à la création d’un système puissant économique national coopératif, sans intérêts, et sans inflation. La création de nouveau endettement au niveau local, régional, et national est bloqué. La fuite financière d’un système local vers d’autres, et d’un système régional vers d’autres est bloquée.

 

La rédaction d’un plan détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.

 

Le projet ne couvre pas de négociations relatives aux tarifs ni l’accès des marchés au produits des pays le moins développés. Ni couvre-t-il des programmes plus ou moins menaçants pour la réduction des dettes des pays pauvres les plus endettés, ni couvre-t-il la annulation de dettes bilatérales.

 

On a besoin de faire des investissements en monnaie formelle d’environ €75 par personne pour fournir une bonne qualité de vie aux habitants de chaque zone de projet, soit  €3.750.000 pour une zone de projet avec 50.000 personnes, soit Euro  € 75.000.000 pour chaque 1.000.000 d’habitants.

 

Donner une bonne qualité de vie aux deux billions d’habitants les plus pauvres au monde ne coûterait que € 150.000.000.000, soit :

 

Quatre fois environs la seule AUGMENTATION en 2002 du bilan pour la défense des USA, dûment autorisée du Congrès  [1]

Six mois de guerre en Iraq {2]

Le prix d’achat attendu de 850 Joint Strike Fighters [3].

Trois mois de déficit commercial des USA (US$ 60.000.000.000 par mois) [4].

La moitié des subsidies payées aux agriculteurs des pays industrialisés en 2001 (US$ 350.000.000.000) [5]. 

Deux fois les dépenses des pays de l’OCDE en (US$ 103.900.000.000) [6].

6% de l’argent (US$ 2.300.000.000.000) dépensé sur l’aide au développement des pays bailleurs de fonds pendant les derniers 50 ans [7].

 

Étant vu que le capital initial pour projets aux termes du Modèle peut être en forme de prêt décennal sans intérêts au lieu de don, peut-on comprendre que la solution au problème de la pauvreté n’a jamais constitué un problème financier. Il ne constitue aucun problème financier aujourd’hui.

                      

                        Références :

 

                        [1] U.S. Military Transformation, Center for Defense Information, Washington, 31 Janvier 2002.

[2] Leonhardt D, What US$ 1.2 Trillion Can Buy, New York Times, 17 Janvier 2007.  Un rapport de la Associated Press de Washington D.C. en date  9 Juillet 2007cite un a calcul réalisé du Congressional Research Service qui monte à  $610 billion pour les financements autorisés du Congress à couverture des frais de la guerre en Iraq.

[3] Bureau d’audit Hollandais “Rekenkamer-JSF Kostbaar Investering,” Sdu Dutch Government Information Service, 11 Octobre 2006 (coût prévu : Euro 14.600.000.000 pour  85 avions JSF.

[4] Foreign Trade Statistics, FT900 : U.S. International Trade in Goods and Services, U.S. Census Bureau, Édition 8 Juin 2007.

[5] Watkins K. Eight broken promises (Huit premesses pas maintenues) Oxfam briefing paper 9, Oxfam International, Washington, 2001 (US$ 350 billion en 2001).

[6] OCDE Organisation pour la Coopération et le Développement Économique, document pour la presse “Development Aid from OECD countries fell 5.1% in 2006”, Paris, 3 Avril 2007.

[7] Easterly, William, The White Man’s Burden – Why the West’s Efforts to Aid the Rest have Done so much Ill and so Little Good, Penguin Press, London, 2006.

 

Évaluation :  Retenue sans relevance aux projets intégrés exécutés aux termes du Modèle.

 

08.50.28.14  Cible 14 :Répondre aux besoins particuliers des pays en développement sans littoral des petits états insulaires en développement (en appliquent le programme d’action pour le développement durable des petits États insulaires en développement et les conclusions de la vingt-deuxième session extraordinaire de l’Assemblée Générale)

 

Les auteurs de ce projet ne sont pas d’accord avec le concept de «dette durable »  («sustainable debt » ).

 

Comme à leur temps prévu des présidents Américains Thomas Jefferson [1], Abraham Lincoln [2] et beaucoup d’autres, l’actuel système économique mondial dominant basé sur l’endettement progressif travaille contre le développement intégré. Il travaille dans les intérêts d’une petite élite privilégiée. Comme le dit Silvio Gesell : «L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. » [3]

 

Références :

 

[1] Jefferson Thomas, lettre en date 28 Mai 1816, source John Taylor, Writings, Literary Classics of the United States, New York, 1984.

[2] Lettre de Abraham Lincoln au (Col.) William F. Elkins, Novembre 21, 1864, Archer H. Shaw, The Lincoln Encyclopædia, (Macmillan, 1950, NY) p.40.

[3] Gesell Silvio, The Natural Economic Order, revised English edition, Peter Owen, London 1958, page 228.

 

Évaluation :  Retenue sans relevance aux projets intégrés exécutés aux termes du Modèle.

 

08.50.28.15  Cible 15 : Traiter globalement le problème de la dette des pays en développement, par des mesures d’ordre national et international propres à rendre leur dette viable à long terme.

 

(Viabilité de la dette)

 

Les auteurs de ce projet ne sont pas d’accord avec le concept de «dette durable »  («sustainable debt » ) ou de «dette viable » .

 

Comme à leur temps prévu des présidents Américains Thomas Jefferson [1], Abraham Lincoln [2] et beaucoup d’autres l’actuel système économique mondial dominant basé sur l’endettement progressif travaille contre le développement intégré. Il travaille dans les intérêts d’une petite élite privilégiée. Comme le dit Silvio Gesell : «L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. » [3]

 

Références :

 

[1] Jefferson Thomas, lettre en date 28 Mai 1816, source John Taylor, Writings, Literary Classics of the United States, New York, 1984.

[2] Lettre de Abraham Lincoln au (Col.) William F. Elkins, Novembre 21, 1864, Archer H. Shaw, The Lincoln Encyclopædia, (Macmillan, 1950, NY) p.40.

[3] Gesell Silvio, The Natural Economic Order, revised English edition, Peter Owen, London 1958, page 228.

 

Évaluation :  Retenue sans relevance aux projets intégrés exécutés aux termes du Modèle.

 

08.50.28.16  Cible 16 : En coopération avec les pays en développement formuler et appliquer des stratégies qui permette aux jeunes de trouver un travail décent et utile.

 

Indicateur 45: Taux de chômage des jeunes âgées de 15 à 24 ans, pour chaque sexe, et taux global.

 

Le projet assure du travail productif pour tous les habitants de la zone du projet. Y compris donc du travail pour les jeunes.

 

Le projet donne du support aux initiatives productives locales aux niveaux coopératifs, de famille, et  individuels.  Le projet ne reconnaît pas de relations employeur -employé. Les structures coopératives créées du projet fonctionnent en parallèle avec, et ne se substituent pas à, celles du secteur de la monnaie formelle traditionnelle. Les relations employeur -employé continueront à exister librement au secteur formel, à côté aux structures mises en place du projet. Le projet n’y donnera aucun support. Pour plus de détails consulter la section  du projet : 05.37 La création des emplois.

 

Évaluation :  Retenue  sans relevance aux projets intégrés exécutés aux termes du Modèle.

 

08.50.28.17  Cible 17 : En coopération avec l’industrie pharmaceutique, rendre les médicaments essentiels disponibles et abordables dans les pays en développement.

 

Indicateur 46: Proportion de la population ayant accès de façon durable à des médicaments de base à un coût abordable.

 

Les auteurs de ce projet sont de l’avis que le cible 17 a plus à quoi faire avec les intérêts des multinationales pharmaceutiques qu’avec ceux des habitants des pays pauvres. Protégées comme des vaches sacrées à travers de campagnes vastes de propagande, les dépenses sur les médicaments au niveau mondial ne sont que rarement mises en discussion. D’autre part est-il évident à tous que l’achat de médicaments de provenance hors d’une zone de développement intégré est cause de fuite financière grave, et par conséquence de la pauvreté dans la zone du projet. Même l’achat de médicaments de la part des pays industrialisés à bénéfice de l’aide au développement aux pays pauvres, porte à une réduction correspondante des fonds disponible à financer le développement intégré. Dans la réalité, les fonds destinés à la solution des problèmes de la pauvreté finissent dans les poches des multinationales sans résoudre de manière concrète aucun des problèmes du développement.

 

Le projet cherche à faire face à la pauvreté en promouvant l’éradication des causes originaires des maladies plutôt de traiter leurs conséquences.

 

Évaluation :  Retenue sans relevance aux projets intégrés exécutés aux termes du Modèle.

 

08.50.28.18  Cible 18 : En coopération avec le secteur privé, faire en sorte que les avantages des nouvelles technologies, et particulier des technologies de l’information et de la communication, soient à la portée de tous.

 

Indicateur 47: Nombre de lignes téléphoniques et d’abonnés au téléphone portable pour 100 habitants.

 

Indicateur 48: Nombre de micro-ordinateurs par 100 habitants et d’internautes par 100 habitants.

 

Les auteurs de ce projet sont de l’avis que le cible 18 a plus à quoi faire avec les intérêts des pays industrialisés qu’avec ceux des habitants des pays pauvres. En particulier, le contrôle des technologies des informations et des communications reste pour la plupart dans les main d’une élite d’intérêts au niveau  multinational. Les réseaux téléphoniques et de l’internaute sont centralisés. Ils ont leur bases hors des zones où les projets de développement intégré ont lieu. Leur utilisation généralisée dans les zones pauvres porte à une fuite financière importante des zones pauvres vers des zones et des pays riches et donne une contribution importante à la création et à la perpétuation de la pauvreté. 

 

Le projet approuve et se sert d’applications professionnelles des nouvelles technologies, choisies avec attention et exclusivement au but de l’augmentation de la productivité dans la zone du projet.

 

Le projet institue une station radio locale.

 

Les habitants de la zone du projet bénéficieront de des nombreuses applications de l’énergie alternative, en particulière de l’énergie solaire.

 

Évaluation : Description des nouvelles technologies introduites dans la zone du projet au cours de l’exécution du projet et le niveau de leur applications.

 


«L’argent n’est pas la clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »

 

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 

“La pauvreté est la pénurie créée”

Wahu Kaara, point 8, Appèl Global à l’Action contre la Pauvreté, 58th Coférence Annuelle des ONG,  Nations Unies, New York,  7  Septembre 2005.

 


 


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