ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
PROJETS DE
DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ À FAVEUR DES
PLUS PAUVRES AU MONDE.
Édition 03: 01 Février, 2010
08.50 Comment le projet
achèvera les objectifs du Millénaire dans la zone du projet.
08.50.01 La vérification des
résultats du projet.
La zone du projet a une superficie réduite. Sa population entière participe
activement aux activités du projet. La vérification des résultats des activités
du projet est donc plutôt simple car les résultats sont pour le plupart
visibles. L’utilisation des structures du projet est enregistrée tous les jours
comme partie intégrée de leur opération. Elle peut être consultée en temps
réelle.
08.50.10 Une critique brève des
objectifs du Millénaire.
Le projet permet au 100% des habitants de la zone du projet d’achever
presque tous les objectifs, cibles, et indicateurs approuvés par
Puisque la population du
la zone du projet ne monte qu’`a 50.000 personnes, l’effet des activités ne
sera que peu relevable dans les statistiques au niveau national en cas de
l’implémentation d’un seul projet. Pour assurer la couverture de la population
entière du pays où le projet a lieu, a-t-on besoin de 20 de tels projets pour
chaque 1.000.000 d’habitants. À main que ces projets ne seront terminés,
l’achèvement des différents objectifs du Millénaire dans le pays en question
deviendra –t-il toujours plus évident dans les graphiques représentants la
situation nationale.
La rédaction d’un plan
détaillé au niveau régional ou national suivant le Modèle sur lequel ce projet
est basé coûte environs Euro 0.025 (2.5 euro cents) par personne.
Comme déjà dit, pas tous les objectifs, cibles, et indicateurs énoncés à
Johannesburg ont une relation directe avec le développement intégré comme il
est entendu dans les documents du projet. En particulier, les descriptions
telles “la réduction du 50% des pauvres”, ou “la réduction du 50% des personnes
qui souffrent la faim” représentent une approche discriminatoire au problèmes du
développement qui n’est pas divisée des auteurs de ce projet. «Tant pis pour
toi, mon ami, si tu feras partie du 50% des pauvres destinés à rester dans la
pauvreté ou du 50% des destinés à
continuer à souffrir la faim. »
L’objectif de ce projet est l’élimination totale de la pauvreté et de la
faim dans la zone du projet. L’application au niveau régional ou national des
concepts incorporés dan le projet éliminerait entièrement la pauvreté et la
faim au niveau régional ou national.
À l’objectif 8 a-t-on donné le titre
menaçant “Mettre en place un partenariat mondial pour le développement.” La
globalisation économique tolère la concentration du pouvoir financier dans les
mains d’une petite élite de personnes qui ne sont élues. Les instruments dont
ils se servent comprennent la création des dettes, l’application des intérêts
sur les dettes, et l’accumulation des intérêts le long du cours de préparation
des produits industriels. Le système tolère l’opération de subventions à
bénéfice des opérateurs des pays industrialisés. Par exemple, ces subventions
montaient à US$ 350.000.000.000 pour les
seules subventions dans le secteur agricole en 2001[1]. Cela représente plus que trois fois le
montant de US$ 103.900.000.000 (y compris un chiffre d’environ US$ 19.000.000.000
pour la annulation des dettes) dépensé de tous les pays de
Les cibles nommés à l´objectif 8 comprennent, par exemple :
Cible 15
: Traiter globalement le problème de la dette des pays en développement, par
des mesures d’ordre national et international propres à rendre leur dette
viable à long terme.
Cible 16
: En coopération avec les pays en développement formuler et appliquer des
stratégies qui permettent aux jeunes de trouver un travail décent et utile.
Cible 17
: En coopération avec l’industrie pharmaceutique, rendre les médicaments
essentiels disponibles et abordables dans les pays en développement.
Cible 18
: En coopération avec le secteur privé, faire en sorte que les avantages des
nouvelles technologies, et particulier des technologies de l’information et de
la communication, soient à la portée de tous.
L’encadrement de tels cibles dans un objectif nommé “Mettre en place un
partenariat mondial pour le développement” semble présager la rentrée à travers
la porte de service des causes principales de la fuite financière et de la
pauvreté que les objectifs du Millénaire auraient du combattre.
Des ouvertures aux partenariats globaux et à la “coopération” public
-privée sont introduites également de façon systématique dans les descriptions
d’autres objectifs, cibles, et indicateurs. On en donne ci-dessous deux
exemples. Il y en a beaucoup d’autres.
L’article 66 (a) section VIII du Plan of Implémentation
L’article 66 (a) du Plan d’Implémentation adopté pendant le Sommet Mondial
sur le Développement Durable de Johannesburg le 4 Septembre 2002 avec
L’article 66 se réfère à la mise en valeur intégrée des ressources en eau
en Afrique. Voici le texte du paragraphe
66(a)
“
Les objectifs du Millénaire se feront achever donc en encourageant les
investissements “publics
et privés”. La signification des mots “respectant les
situations locales ... en assurant un suivi des résultats obtenus... ” n’est pas claire. Une
interprétation en pourrait toutefois être que tous les droits déjà établis tels
ceux des entreprises multinationales qui ont gagné le contrôle de la fourniture
en eau dans quelques grandes villes dans les pays pauvres, et donc le statu
quo, seront protégés.
Ni dans l’article 66 (a) ni ailleurs dans le Plan d’Implémentation ne
trouve-t-on mention de concepts à la base du développement comme “les intérêts
(financiers)”, “élimination de la monoculture”, “les économies locales”, “les
micro -économies” ou “ la production locale”. Pas une seule fois. Nulle part.
Les mots “développement local” ne sont utilisés ensemble qu’une fois, à
l’Article 19, couplés directement avec “le développement national”. La question
la plus critique au développement, l’élimination des fuites financières hors
des zones pauvres, n’est mentionné qu’une fois, indirectement, à l’article 83
du Plan d’Implémentation, où on parle de “la fuite des capitaux”.
Article 83, section X, du
Plan d’Implémentation
L’article 83 du Plan d’Implémentation du Sommet Mondial sur le
Développement Durable, Johannesburg, 4 Septembre 2002, fait froid dans le dos
de toute personne qui s’occupe de bonne foi aux intérêts des plus pauvres
au monde. Le Plan d’Implémentation fut adopté avec
Voici le texte de l’Article 83:
“83. Dans notre recherche commune de la croissance, de l’éradication de la
pauvreté et du développement durable, un défi crucial est de faire en sorte que
soient réunies les conditions internes nécessaires à la mobilisation de
l’épargne intérieure, tant publique que privée, au maintien de niveaux adéquats
d’investissements productifs et au renforcement des capacités humaines. Une
tâche essentielle est d’améliorer l’efficacité, la cohérence et la constance
des politiques macroéconomiques. L’existence d’un environnement national
favorable est vitale pour mobiliser des ressources nationales, accroître la
productivité, réduire la fuite des capitaux, encourager le secteur privé,
attirer et utiliser avec efficacité les investissements étrangers et l’aide
internationale. Les efforts pour créer un tel environnement devraient être
soutenus par la communauté internationale.”
L’article 83 est un exemple de la confusion délibérément créée au niveau
international sur le développement et sur l’aide au développement au début du
XXIième siècle.
Il se réfères à la création des conditions nécessaires à la “mobilisation” de l’épargne intérieure,
publique et privée. De quelles conditions s’agit-il ? Qui devra les “mobiliser” et comment?
L’article 83 dit qu’il faut qu’on maintienne “de niveaux adéquats d’investissements
productifs”.
Investissements de la part di qui?
Productifs en quelle manière?
On y dit que les “investissements productifs” sont “essentiels”
à l’amélioration de “l’efficacité, la cohérence et la constance des
politiques macroéconomiques.” Les
politiques de qui? Quels sont les critères pour qu’elles deviennent efficaces,
cohérentes, et constantes?
Un “environnement national favorable” serait un environnement qui encourage
le secteur privé et attire et utilise avec efficacité «les investissements
étrangers et l’aide internationale. »
L’une des tâches de la communauté nationale et de soutenir les efforts pour
créer un environnement national favorable aux investissements étrangers .
Dans la réalité l’article 83 suggère de façon évidente que l’implémentation
des Objectifs du Millénaire, et par conséquence le développement et
l’élimination de la pauvreté s’achèvera en mettant les gouvernements des pays
en voie de développement sous pression à fin de poursuivre la politique de
privilège aux intérêts des pays industrialisés et des entreprises
multinationales, et de maintenir la situation
économique actuelle qui a tant contribué à la formation de la pauvreté
dans le monde.
[1] Watkins K. Eight broken promises, Oxfam briefing paper 9, Oxfam
International, Washington, 2001 (US$ 350 billion in 2001).
[2] OECD Organisation for Economic Cooperation and Development, press
release “Development Aid from OECD countries fell 5.1% in
08.50.20 Comment le projet
achève-t-il chacun des objectifs, cibles, et indicateurs du Millénaire ?
Le commentaire suivant suit l’énumération tortueuse et pédante des objectifs, cibles et indicateurs
du Millénaire adoptés pendant
Les informations relatives à chaque indicateur se lisent de façon
indépendante à celles des autres indicateurs. Cela signifie que les
informations données sur plusieurs indicateurs dans leur ensemble sont
répétitives.
08.50.21 Objectif 1 : Réduction
de l’extrême pauvreté et de la faim.
08.50.21.01 Cible 01 : Réduire de moitié, entre 1990 et
2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar
par jour
Indicateur 01 :
Proportion de la population disposant de moins d’un dollar par jour en parité
de pouvoir d’achat(1993 PPA)(Banque Mondiale)
Les principes sur
lesquels ce projet est basé ne reflètent pas les approches monétaristes
inhérentes le concept arbitraire “d’un dollar par jour” dont à l’indicateur
01. Les résultats du projet reflètent au contraire les évaluations
subjectives des habitants en rapport à l’amélioration de la qualité effective de leur vie. Telles évaluations
comprendront les bénéfices apportées des
activités productives pas monétisées et celles apportées de toutes les
transactions effectuées dans le cadre du système de monnaie locale établi
pendant l’une des premières phases d’exécution du projet.
Je projet fournira
environs 4000 occasions de travail, et l’occupation productive du 100% de la
population adulte de la zone du projet. Il éliminera la pauvreté dans la zone
du projet. Pas de moitié. Complètement.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national en cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
l’achèvement des objectifs du Millénaire dans le pays en question
deviendra-t-il toujours plus facilement vérifiable dans les
graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne..
Évaluation : rapport
direct indiquant les améliorations dans la qualité de vie des habitants de
chacun des 200 groupes de développement local établis dans la zone du projet,
et les comparaisons avec leur qualité de vie au moment de commencement du
projet.
Indicateur 02: Indice
d’écart de la pauvreté [incidence de la pauvreté x degré pauvreté]
Les principes sur lesquels
ce projet est basé ne reflètent pas les approches monétaristes inhérentes le
concept arbitraire “d’un dollar par jour” dont à l’indicateur 02. Les résultats du projet reflètent au contraire les évaluations
subjectives des habitants en rapport à l’amélioration de la qualité effective de leur vie. Telles évaluations
comprendront les bénéfices apportées des
activités productives pas monétisées et celles apportées de toutes les
transactions effectuées dans le cadre du système de monnaie locale établi
pendant l’une des premières phases d’exécution du projet.
Je projet fournira
environs 4000 occasions de travail, et l’occupation productive du 100% de la
population adulte de la zone du projet. Il éliminera la pauvreté dans la zone
du projet. Pas de moitié. Complètement.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national en cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets ne seront mis en exécution, l’achèvement des
objectifs du Millénaire dans le pays en question deviendra-t-il toujours
plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques
représentant la situation nationale.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation : rapport
direct indiquant les améliorations dans la qualité de vie des habitants de
chacun des 200 groupes de développement local établis dans la zone du projet,
et les comparaisons avec leur qualité de vie au moment de commencement du
projet.
Indicateur 03 :Part du cinquième le plus pauvre de la
population dans la consommation nationale (Banque Mondiale)
Puisque TOUS les
habitants dans chacun des premiers projets sortiront du cinquième le plus
pauvre de la population dans la consommation nationale, par définition le
projet aidera-t-il indirectement à augmenter la part du cinquième le plus
pauvre de la population dans la consommation nationale du pays où le projet
aura lieu.
Étant vu que la population
de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les
effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au
niveau national en cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets ne seront mis en exécution, la part du
cinquième le plus pauvre de la population dans la consommation nationale
deviendra-t-elle toujours plus facilement vérifiable dans les
graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation du
progrès: Comparaison entre les
statistiques pour la zone du projet suite à l’introduction des structures du
projet sur une période de 24 mois avec celles avant le commencement du projet.
Prendre vision des statistiques des activités du système de monnaie locale
établi au cours du projet. Prendre
vision des statistiques des activités du système de micro -crédits sans
intérêts établi au cours du projet.
08.50.21.02 Cible 02 : Réduire de moitié entre 1990 et 2015,
la proportion de la population qui souffre de la faim.
Indicateur 04 :
Pourcentage d’enfants de moins de 5 ans présentant une insuffisance pondérale
(UNICEF -OMS)
Puisque TOUS les
habitants dans chaque zone de projet bénéficieront d’une diète variée et d’un
bonne qualité de vie, n’y aurait-il plus d’enfants présentant une insuffisance
pondérale dans la zone du projet à la fin de la période exécutive de 24 mois du
projet. Chaque projet aidera donc par définition à la réduction du pourcentage
d’enfants de moins de 5 ans présentant une insuffisance pondérale au niveau
national.
Étant vue que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tells projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. Main à main que tels projets sont mis en
exécution, le pourcentage d’enfants de moins de 5 ans présentant une
insuffisance pondérale au niveau national deviendra-t-il toujours
plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant
la situation nationale.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation : Comparaison
entre les statistiques pour la zone du projet suite à l’introduction des
structures du projet sur une période de 24 mois avec celles avant le
commencement du projet.
Indicateur 05 :
Proportion de la population n’atteignant pas le niveau minimal d’apport
calorique (F.A.O.)
Puisque TOUS les
habitants dans chaque zone de projet bénéficieront d’une diète variée et d’une
bonne qualité de vie, n’y aurait-il plus de personnes n’atteignant pas le
niveau minimal d’apport calorique prévu de
Étant vue que la population
de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les
effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au
niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la proportion de la
population n’atteignant pas le niveau minimal d’apport prévu de
Pour plus d’informations sur la sécurité
alimentaire dans la zone du projet, voir :
08.40
Sommaire des aspects relatifs à l'agriculture et à la sécurité alimentaire.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation : Informations
sur la production alimentaire locale dans la zone du projet destinée à la
consommation locale. Informations et
statistiques sur l’apport caloriques de la population dans la zone du projet au
commencement du projet et comparaison avec celles au moment de la récolte des
nouvelles informations.
08.50.22 Objectif 2 : Assurer l’éducation primaire à tous.
08.50.22. 03 Cible 03 :
D’ici à 2015, donner à tous les enfants, garçons et filles, partout dans le monde, les moyens d’achever
un cycle complet d’études primaires. (UNESCO).
Indicateur
06 : Taux net de scolarisation dans le primaire. (UNESCO)
Il
s’agit d’avoir informations sur le pourcentage d’enfants qui effectivement
assistant aux leçons, car les enfants peuvent être formellement enregistrés aux
écoles sans, pour des raisons diverses, pouvoir assister aux leçons.
En principe, TOUS les
enfants dans une zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet d’études
primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.
Le projet peut se servir
du système de monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des
habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de
structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire
une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux
usés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés, ou
des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités dans
l’enseignement et qui sont disponibles à travailler partiellement ou
entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront
commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète
pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants.
Elle peut aussi, tout au moins partiellement, dépendre sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable
que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet
évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le taux de
scolarisation dans l’éducation primaire du pays où le projet a lieu
deviendra-t-il toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les
statistiques représentant la situation nationale. jusqu’à achever le 100%.
Pour plus d’informations sur les aspects du
projet touchant l’éducation publique
voir :
05.46 La création des structures
d’instruction publique.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation : Faire une
comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet qui
participent effectivement aux cours d’études primaires sur une période de 24
mois avec celui valable pour la zone du projet avant le commencement du projet.
Indicateur 07 : Proportion
d’écoliers commençant dans la première année d’études dans l’enseignement
primaire et achevant la cinquième (UNESCO)
En principe, TOUS les
écoliers dans une zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet d’études
primaires en commençant dans la première année d’études dans l’enseignement
primaire et achevant la cinquième. Le projet peut se servir du système de
monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des habitations
des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de structures d’assainissement.
La population peut payer ces structures ou faire une contribution à leur coût à
condition que la main d’œuvre et les matériaux utilisés proviennent de la zone
du projet même. Des enseignants déjà qualifiés, ou des étudiants avec des
diplômes leur permettant de commencer des activités dans l’enseignement qui
sont disponibles à travailler partiellement ou entièrement dans la cadre du
système de monnaie locale établi pourront commencer leurs activités rapidement.
En ce cas, l’éducation primaire complète pour tous pourrait être implémentée au
cours de deux ou trois années. Donc, tous les écoliers commençant dans la
première année d’études dans l’enseignement primaire achèveront la cinquième.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra de la présence d’enseignants.
Elle peut dépendre aussi, tout au moins partiellement, sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux d’écoliers commençant dans la première année d’études dans
l’enseignement primaire qui achèveront la cinquième dans le pays où le projet a
lieu deviendra-t-il toujours plus
facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la
situation nationale, jusqu’à achever le 100%.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation : Faire une
comparaison entre le pourcentage d’enfants dans la zone du projet commençant
dans la première année d’études dans l’enseignement primaire et achevant la
cinquième avec celui valable pour la zone du projet avant le commencement du
projet.
Indicateur 08 : Taux d’alphabétisation des 15-24 ans. (UNESCO)
En principe, TOUS les
enfants dans une zone de projet bénéficieront soit d’un cycle complet d’études
primaires, soit d’un cycle complet d’études secondaires.
Cela signifie que le taux
d’alphabétisation des 15-24 ans dans la zone du projet achèvera automatiquement
le 100% avec le passage d’un cycle complet d’études.
Un taux d’alphabétisation
des jeunes qui se trouvent dans le groupe des 15-24 ans au moment du
commencement du projet ne peut pas être garanti étant donné le manque
d’obligation de donner suite aux études déjà faites. Le projet fournira 200
salles d’études à éclairage photovoltaïque auprès des habitations, et pour
l’éclairage photovoltaïque dans les écoles, pour que l’on puisse y suivre les
cours le soir. Une réduction générale de la charge du travail sur les femmes
sera l’un des résultats importants de l’exécution du projet. On confie par
conséquence de faciliter ainsi la participation des femmes aux cours de soir.
Des enseignants déjà
qualifiés, ou des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des
activités dans l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement
ou entièrement dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront
commencer leurs activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire complète
pour tous pourrait être implémentée au cours de deux ou trois années.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra toutefois de la présence
d’enseignants. Elle dépendra au moins partiellement sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux d’alphabétisation des 15-24 ans
deviendra-t-il toujours plus
facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques représentant la
situation nationale jusqu’à achever le 100%.
La section 05.46
La création des structures d’instruction publique présente en détail
comment on compte augmenter le taux d’alphabétisation dans la zone du projet.
La section 05.16
La création de structures de sécurité sociale présente en détail le système de
sécurité sociale à trois niveaux qui
permettra même aux plus pauvres de suivre des cours d’alphabétisation et
d’études.
Évaluation : Le nombre d’écoles
et de classes dans chaque zone de projet. Le nombre d’enseignants travaillant
dans le secteur formel (salaire payé du Ministère de l’Éducation) , ceux
travaillant partiellement dans le secteur formel et partiellement dans le cadre
du système de monnaie locale établi du projet, et ceux travaillant
exclusivement dans le cadre du système de monnaie locale établi du projet. Les
statistiques sur l’utilisation du système de sécurité sociale à trois niveaux
établi du projet.
08.50.23 Objectif 3 : Promouvoir l’égalité des sexes et
l’autonomisation des femmes.
08.50.23. 04 Cible 04 :
Éliminer la disparité en les sexes dans les enseignements primaire et
secondaire d’ici à 2005 si possible, et
en tous les niveaux d’enseignement en 2015 au plus tard.
Indicateur 09 : Rapport
filles/garçons dans l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur,
respectivement.(UNESCO)
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles dans
la zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, ratio
1 : 1. Le projet n’a aucun contrôle sur l’accès des jeunes filles aux
cours tertiaires, mais la proportion de jeunes filles contre garçons préparées
pour accéder à l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet prévoit l’institution d’une école pour l’enseignement des métiers
à situer à [lieu]
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable
que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet
évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, le rapport
filles/garçons dans l’enseignement primaire, secondaire, et supérieur devrait
achever 1 : 1.
Évaluation : le nombre et le sexe des enfants qui effectivement assistent
aux cours des écoles primaires, secondaires, propedeutiques, et de l’école
métiers. Ceux de la zone du projet qui suivent des cours d’éducation tertiaire
ailleurs.
Indicateur 10 : Taux
d’alphabétisation des femmes de 15 à 24 ans par rapport à celui des
homes.(UNESCO)
Tous les enfants, y comprises les jeunes filles
dans la zone du projet recevront éducation soit primaire que secondaire, en
rapport 1 : 1. Le projet n’a aucun contrôle cependant sur l’accès aux
cours tertiaires, mais le rapport de jeunes filles contre garçons préparées
pour accéder à l’instruction tertiaire sera 1 :1.
Le projet prévoit l’institution d’un cours
propedeutique au niveau central pour hommes et femmes, à situer à [lieu]
Cela signifie qu’avec le passage de quelques
années, la proportion de jeunes femmes de 15 à 24 ans deviendra automatiquement
elle aussi 1 :1 sans aucune disparité entre les sexes.
Toutes les femmes participeront d’ailleurs aux
cours d’éducation à l’hygiène.
Un taux d’alphabétisation
de 100% d’entre les jeunes de 15 à 24 ans au moment de commencement du projet
ne peut pas être toutefois garanti, car la participation d’adultes aux cours
d’éducation n’est pas obligatoire. Le projet prévoit 200 salles d’études à
éclairage photovoltaïque, et de l’ éclairage photovoltaïque aux écoles pour y
favoriser les cours le soir. Une réduction générale du charge du travail sur
les femmes devrait les permettre à assister à ces cours.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable
que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet
évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, toute disparité en
les sexes dans les enseignements
Devrait se réduire
jusqu’à achever le 0%.
Évaluation : Le nombre de personnes (en particulier le nombre de
femmes) qui assistent aux cours le soir. Faire comparaison entre les
statistiques valables au moment de commencement du projet et celles suite à
l’implémentation du projet.
Indicateur 11: Pourcentage de salariées dans le secteur non agricole qui
sont femmes. (ILO)
L’indicateur 11 fait référence à des concepts
économiques traditionnels pas retenus
applicables au projet. Le projet est coopératif et ne prévoit pas de création
d’emplois «salariés » . Il support des initiatives individuelles,
familiales et coopératives à faveur de l’augmentation de la productivité
locale. Les structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec
celles existantes ; elles ne les remplacent pas. Les relations traditionnelles employeur
-salarié ont lieu librement dans le sphère du système à monnaie formelle, mais
le projet n’y donne pas de support direct.
Les femmes jouent un rôle majoritaire dans la
gestion de toutes les structures du projet, y compris le système de financement
à travers les micro -crédits sans intérêts établi au cours de l’une des
premières phases d’exécution du projet. Les activités productives reconnues des
femmes comprennent celles non -monétisées, celles effectuées dans le cadre du
système de monnaie locale établi, et celles effectuées dans le cadre du système
de monnaie formelle.
La section 08.20 Droits de la femme du
projet illustre comment on promeuve et défende les droits des femmes et des
jeunes filles dans la zone du projet.
Évaluation: L’analyse des activités productives réelles des femmes
comparées avec celles valables au commencement du projet. Analyse de
l’amélioration de la qualité de vie des femmes au moment du contrôle en
comparaison avec celle valable au moment de commencement du projet.
Indicateur 12 : Proportion de sièges occupés par des femmes au parlement
national (IPU)
Le projet ne couvre pas directement l’indicateur 12.
Les structures du projet fonctionnent en parallèle et en harmonie avec celles formelles du système économique traditionnelle.
Le projet prévoit beaucoup de structures sur trois niveau gérées par des
habitants locaux choisis directement des populations. Une participation
majoritaire de femmes dans toutes les structures et à tous les niveaux est
assurée. Les femmes reçoivent par conséquence une préparation extensive dans
l’exercice de leurs droits dans le cadre du procès démocratique introduit au
cours du projet. Elles prennent responsabilité des structures du projet à tous
les niveaux. Ceci peux faciliter leurs qualifications pour être candidates à
l’occasion d’élections parlementaires et les garantir une base élective.
La zone du projet même n’est pas suffisamment grande pour pouvoir exprimer
un membre de parlement propre, que ce soit homme ou femme.
Pour couvrir la
population entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets
environs pour chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis
en exécution, le taux de femmes membres du parlement devrait-il devenir
toujours plus facilement vérifiable dans les graphiques et les statistiques
représentant la situation nationale
Évaluation: La participation effective des femmes à la
gestion des structures du projet. Les
statistiques sur les femmes qui
participent aux structures politiques locales dans la zone du projet
après une première période de 24 mois en comparaison avec celles pour la zone
du projet au moment de commencement de l’exécution du projet.
08.50.24
Objectif 4 : Réduire la mortalité
des enfants de moins de 5 ans.
08.50.24.05 Cible 05 : Réduire la mortalité des enfants
de moins de 5 ans.
Indicateur 13 : Taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans. (UNICEF)
Les enfants recevront tous des cours d’éducation à
l’hygiène aux écoles. Les mères des petits enfants participent aux cours des
Clubs d’Hygiène établis. Tous les enfants reçoivent de l’eau potable saine et
des structures d’assainissement. La fumée est éliminée des habitations à
travers l’utilisation de foyers améliorés. Les enfants auront une diète variée.
Les eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des
déchets est introduit. Des mesures sont adoptées pour combattre les moustiques,
les mouches et la vermine.
La section 05.47 Aspects relatifs à la santé publique
illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des
enfants et réduire le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans.
Évaluation: Comparaison entre le taux de mortalité des enfants de moins de
5 ans au moment de commencement du projet avec celui au moment où le contrôle
est effectué.
Indicateur 14 : Taux de mortalité infantile (UNICEF)
Les enfants recevront tous des cours d’éducation à
l’hygiène aux écoles. Les mères des petits enfants participent aux cours des
Clubs d’Hygiène établis. Tous les enfants reçoivent de l’eau potable saine et
structures d’assainissement. La fumée est éliminée des habitations à travers
l’utilisation de foyers améliorés. Les enfants auront une diète variée. Les
eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets
est introduit. Des mesures sont adoptées pour combattre les moustiques, les
mouches et la vermine.
La section 05.47 Aspects relatifs à la santé publique
illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des
enfants et réduire le taux de mortalité
des enfants.
Évaluation: Comparaison entre le taux de mortalité des enfants au moment de
commencement du projet avec celui au moment où le contrôle est effectué.
Indicateur 15 : Proportion d’enfants de 1 an vaccinés contre la rougeole.
(UNICEF)
Cet indicateur ne fait pas partie du projet car il est la responsabilité du
Ministère de
D’ailleurs les enfants recevront de l’eau potable saine, des bonnes
structures sanitaires, et une diète variée. Ils seront par conséquence moins
affaiblis de maladies telles la malaria, la diarrhée et la rougeole.
Quelques experts questionnent la nécessité des campagnes de vaccination
préventive dans toutes les circonstances. En tout cas les décisions relatives
aux campagnes de vaccination des enfants restent hors de l’application de ce
projet.
La section 05.47 Aspects relatifs à la santé publique
illustre en détail les initiatives prises du projet pour améliorer la santé des
enfants.
Évaluation: Comparaison entre les statistiques d’immunisation contre la
rougeole au moment de commencement du projet avec celui au moment où le
contrôle est effectué. On n’attend pas que la proportion d’enfants vaccinés
soit nécessairement plus élevé qu’au début.
08.50.25
Objectif 5 : Améliorer la santé
maternelle.
08.50.25.06 Cible 06 : Réduire de trois quarts, entre
1990 et 2015, le taux de mortalité
maternelle.
Indicateur 16 : Taux de mortalité maternelle. (OMS)
Cet indicateur n’est adressé du projet
qu’indirectement. Le projet ne peut pas se substituer au Ministère de
La santé des femmes s’améliorera de manière
importante à main les structures du projet n’entreront en fonctionne.
Tous les femmes reçoivent de l’eau potable saine
et des structures d’assainissement. La fumée est éliminée des habitations à
travers l’utilisation des foyers améliorés. Les femmes auront une diète variée.
Les eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des
déchets est introduit. Des mesures sont adoptées pour combattre les moustiques,
les mouches et la vermine.
Une meilleure qualité de vie devrait porter à une
réduction du taux de mortalité maternelle.
La section 05.47
Aspects relatifs à la santé publique illustre en détail les initiatives
prises du projet pour améliorer la santé des mères.
On aura disposition d’un réseau complet
d’ambulances à bicyclettes ; de services infirmiers de base ; de
points pour la distribution des médicaments. À longue terme (pas prévus au
bilan du projet), la présence de 46 médecins et un hôpital local au niveau du
projet.
Évaluation: Comparaison du taux de
mortalité maternelle au moment de commencement du projet avec celui au moment
où le contrôle est effectué.
Indicateur 17 : Proportion d’accouchements assistés par du personnel de
santé qualifié. (OMS)
Cet indicateur n’est adressé au projet
qu’indirectement. La disponibilité de la présence d’accoucheuses et
d’assistance médique professionnelle reste en principe la responsabilité du
Ministère de
La section 05.47 Aspects relatifs à la
santé publique illustre en détail les initiatives prises du projet
pour améliorer la santé des populations, et surtout celle des femmes et des
enfants, dans la zone du projet.
Évaluation: Comparaison de la
proportion d’accouchements assistés par du personnel de santé qualifié au
moment de commencement du projet avec celle au moment où le contrôle est
effectué.
08.50.26
Objectif 6 : Combattre le
VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies.
08.50.26.07 Cible 07 : D’ici à 2015 avoir stoppé la
propagation du VIH/sida et commencé à inverser la tendance actuelle.
Indicateur 18 : Taux de
prévalence du VIH parmi les femmes enceintes âgées de 15 à 24 ans. (UNAIDS)
La limitation de cet indicateur à un seul groupe
prioritaire de femmes (à l’exclusion d’autres femmes et des hommes) est extraordinaire et laisse beaucoup de
questions ouvertes.
Le projet ne s’adresse pas au directement au
traitement du VIH/sida et des autres maladies. Il couvre bien les activités de
prévention à travers des clubs d’hygiène et les cours d’éducation à l’hygiène
aux écoles, et des services infirmiers à bénéfice de la qualité de vie des
malades.
Là où le traitement du VIH /sida doit être
payé utilisant des fonds locaux, devient-il cause de fuite financière sérieuse
de la zone du projet. Cette fuite y bloque le développement.
Toutefois, toutes les femmes de la zone du projet
participent aux clubs de santé avec des cours continus d’éducation à l’hygiène.
Pour des informations sur les clubs d’hygiène voir 05.12 Création des structures d’éducation à
l’hygiène. Des cours
d’éducation à l’hygiène seront disponibles aux écoles. Tous les enfants devront
pouvoir bénéficier des cours aux niveaux des écoles primaires et secondaires.
Des services infirmiers
génériques seront établis au niveau local comme décrit à la section 05.47 Aspects relatifs à la santé.
Un réseau de sécurité
sociale fait partie des structures du projet pour garantir la solidarité en
support des malades et des handicapés. Ce réseau est décrit à la section 05.16 Création des structures de sécurité sociale.
Évaluation :Comparaison de la proportion de
la population avec VIH/sida dans la zone du projet au commencement avec celle
au moment où la nouvelle information est récolte.
Indicateur 19 : Taux
d’utilisation du préservatives sur le taux de prévalence des contraceptifs et
de la population âgée de 15-24 ans ayant une bonne connaissance générale du
VIH/sida. (UNAIDS, UNICEF, UN Population Division, OMS)
Le projet n’adresse pas le traitement médical du
VIH/sida et des autres maladies. Il couvre bien les activités de prévention à
travers des clubs d’hygiène et les cours d’éducation a l’hygiène aux écoles.
200 points infirmiers seront mis en place au
niveau des commissions réservoir. On prévoit une structure à trois niveaux de
sécurité sociale à bénéfice des malades, des handicapés et des vieux.
Le projet prévoit la formation de groupes
coopératifs d’achat, cas échéant administré du projet même, qui permettront la
distribution de condoms contre remboursement de leur prix originaire importé.
Toutes les femmes de la zone du projet participent
aux clubs de santé avec des cours continus d’éducation à l’hygiène. Pour
informations sur les clubs d’hygiène voir 05.12 Création des structures d’éducation à
l’hygiène. Cours d’éducation
à l’hygiène seront disponibles aux écoles. Tous les enfants devront pouvoir
bénéficier des cours aux niveaux des écoles primaires et secondaires.
On attend que les cours d’éducation à l’hygiène
couvrent l’utilisation des condoms et les causes des infections HIV/Sida.
Le projet ne couvre pas directement l’éducation à l’utilisation des condoms
pour les jeunes hommes d’une âge supérieure à celle de l’éducation obligatoire.
La raison en est la difficulté
pratique de contacter le groupe cible pour faire fonctionner les cours. Les
hommes sont libres, naturellement, à assister aux cours des clubs d’éducation à
l’hygiène et aux cours aux écoles, mais l’on n’attend pas que beaucoup d’hommes
en s’avalent.
Les structures du projet sont disponibles pour l’organisation de l’achat
collectif et de la distribution locale systématique de condoms contre rembours
de leur prix originaire livré . Les condoms importés dans la zone du projet et
payés en monnaie formelle représente, comme les médicaments sujets à des
octrois, une source de fuite financière de la zone du projet.
Évaluation: comparaison du taux d’utilisation du préservative dans la zone
du projet au moment de commencement du projet avec celui au moment de récolte
des nouvelles informations.
Indicateur 20 : Taux de scolarisation
des orphelins par rapport au taux de scolarisation des autres enfants non
orphelins ages de 10 à 14 ans. (UNAIDS, UNICEF, UN Population Division, OMS)
En principe, TOUS les
écoliers, y compris les orphelins, dans une zone de projet bénéficieront soit
d’un cycle complet d’études primaires que secondaires. Le projet peut se servir
du système de monnaie locale établi pour construire des écoles neuves près des
habitations des familles, les fournir de meubles, d’eau potable, et de
structures d’assainissement. La population peut payer ces structures ou faire
une contribution à leur coût à condition que la main d’œuvre et les matériaux
usés proviennent de la zone du projet même. Des enseignants déjà qualifiés, ou
des étudiants avec des diplômes leur permettant de commencer des activités dans
l’enseignement qui sont disponibles à travailler partiellement ou entièrement
dans la cadre du système de monnaie locale établi pourront commencer leurs
activités rapidement. En ce cas, l’éducation primaire et secondaire complet
pour tous, y compris les orphelins, pourrait être implémentée au cours de deux
ou trois années.
On prévoit une structures à trois niveaux de
sécurité sociale à bénéfice des besogneux, y compris les orphelins.
L’exploitation
complète des structures créées du projet dépendra toutefois de la présence
d’enseignants. Elle dépendra au moins partiellement sur la possibilité du
Ministère de l’Éducation Publique de payer au moins une part de leur salaire en
monnaie formelle aux enseignants qui n’acceptent pas de travailler dans le
cadre du système de Monnaie Locale établi.
Une structure à trois
niveaux de sécurité sociale fait partie du projet pour garantir la solidarité
avec les orphelins. Cette structure est décrite à la section 05.16 Création des structures de sécurité sociale.
Cas échéant, des structures pour la récolte des orphelins seront établies au
niveau local dans le cadre du système de monnaie locale établi. Il s’agit d’une
activité à retenir comme activité économique locale normale. Les structures de
la sécurité sociale décideront de cas à cas comment les frais en monnaie locale
des telles structures seront divisés entre les populations de la zone du
projet.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
le taux de scolarisation des enfants orphelins devra devenir le 100%.
Évaluation: Comparaison entre le
taux de scolarisation d’enfants orphelins au moment du commencement de
l’exécution du projet avec celui au moment de la récolte des nouvelles
informations.
08.50.26.08 Cible 08 : D’ici à 2015 avoir maîtrisé le paludisme
et d’autres maladies et commencé à inverser la tendance actuelle.
Indicateur 21 : Taux de
prévalence du paludisme et taux de mortalité liée à cette maladie. (OMS)
Le projet prévoit de
nombreuse mesures préventives contre le paludisme et les autres maladies. (Pour
détails complets voir la section 05.47 Aspects relatifs à la
santé.
de la documentation du
projet.
Les femmes et les enfants reçoivent tous des cours d’éducation à l’hygiène
auprès des clubs d’hygiène établis et aux écoles comme décrit à la section 05.12 Création des structures d’éducation à l’hygiène Tous les habitants reçoivent de l’eau potable
saine comme décrit à la section 05.41 Structures en eau potable et des
structures d’assainissement écologique sont installées dans les habitations,
les écoles, les cliniques et les lieux publics comme décrit à la section 05.42 Structures d’assainissement. Les
eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets
est introduit comme décrit à la section 05.43 Structures de recyclage des déchets.
Des mesures telles les anti-moustiques) et dispositifs écologiques anti-mouches
à production locale seront prises dans la cadre du système de monnaie locale
introduit pour combattre les
moustiquaire, les mouches et la vermine. On aura a disposition des services
infirmiers de base.
Évaluation :
Comparaison des statistiques sur la malaria au moment de commencement du projet
avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.
Indicateur 22 : Proportion de la
population vivant dans les zones à risque qui utilisent des moyens de
protection et des traitements efficaces contre le paludisme. (UNICEF)
Le projet fait une
distinction entre les mesures préventives cotre la malaria et le traitement de
la malaria.
Le
projet ne couvre pas les frais en monnaie formelle des médicaments
propriétaires pour le traitement de la malaria, car ces frais sont cause de
fuite financière de la zone du projet. Les intérêts d’un projet de développement
intégré comme celui-ci restent sur la prise d’initiatives à faveur de
l’éradication ( en tant possible) des moustiques dans le cadre du système de
monnaie locale établi, plutôt que de payer les frais des résultats de la
présence des moustiques. Le projet ne couvre pas le traitement médical des
maladies. Il couvre bien les services infirmiers locaux.
Le projet prévoit de
nombreuse mesures préventives contre
le paludisme et les autres maladies. (Pour détails complets voir la section 05.47 Aspects relatifs à la santé de la
documentation du projet.
On introduit un réseau de
services infirmiers de base.
Les femmes et les enfants reçoivent tous des cours d’éducation à l’hygiène
auprès des clubs d’hygiène établis et aux écoles comme décrit à la section 05.12 Création des structures d’éducation à l’hygiène.
Tous les habitants reçoivent de l’eau potable saine comme décrit à la section 05.41 Structures en eau potable et des
structures d’assainissement écologique sont installées dans les habitations,
les écoles, les cliniques et les lieux publics comme décrit à la section 05.42 Structures d’assainissement. Les
eaux de superficie seront drainées. Un système complet de recyclage des déchets
est introduit comme décrit à la section 05.43 Structures de recyclage des déchets.
Des mesures telles les moustiquaires) et des dispositifs anti-mouches à
production locale seront prises et produits dans la cadre du système de monnaie
locale introduit pour combattre les
moustiques, les mouches et la vermine.
Évaluation: Comparaison entre la
proportion de la population vivant dans les zones à risque qui utilisent les
moyens de protection et des traitements efficaces contre le paludisme au moment
du commencement de l’exécution du projet avec celui au moment de la récolte des
nouvelles informations.
Indicateur 23 : Taux de
prévalence du tuberculose et taux de mortalité liée à cette maladie. (OMS)
Le projet n’adresse pas le traitement du
tuberculose. Il couvre bien les activités de prévention à travers des clubs
d’hygiène et les cours d’éducation à l’hygiène aux écoles.
La détection et la cure du tuberculose sont
retenues des responsabilités primaires du Ministère de
Évaluation: Comparaison des
statistiques de prévalence du tuberculose et du taux de mortalité y associé au
moment du commencement du projet avec celles au moment de la récolte des
nouvelles informations.
Indicateur 24 : Proportion de cas
de tuberculose détectés et soignés dans le cadre DOTS (la stratégie contre la
tuberculose recommandée au niveau international. ) (OMS)
Le projet n’adresse pas le traitement du
tuberculose dont à l’indicateur directement. La détection et la cure du
tuberculose sont retenues des responsabilités primaires du Ministère de
Le projet couvre bien les activités de prévention
à travers des clubs d’hygiène et les cours d’éducation a l’hygiène aux écoles,
l’aération des habitations, et une meilleure qualité de vie en général. Les
services infirmiers créés pourront d’ailleurs assurer l’administration
systématique des médicaments. Puisque ces services on lieu dans le cadre du
système de monnaie locale établi, les frais du Ministère de
Évaluation: Comparaison des
statistiques de détection soins du tuberculose au moment du commencement du
projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.
08.50.27
Objectif 7 : Assurer un
environnement durable.
08.50.27.09 Cible 09 :Intégrer les principes du
développement durable dans les politiques nationales et inverser la tendance
actuelle à la déperdition des ressources environnementales.
Indicateur 25: Proportion de
zones forestières. (FAO)
Les réserves naturelles dans la zone du projet sont protégées. Les
possibilités d'une gestion et d'une conservation actives des réserves dans
l'intérêt des générations à venir sont pourtant actuellement mises gravement en
danger cause le manque de fonds.
Ils existent des marges très intéressantes pour une coopération productive entre
les habitants de la zone, à travers des structures créées par le projet, et
l'administration des réserves au but d'en assurer le développement et
l'exercice durables.
Au cas, par exemple, où l'Administration des Réserves devienne membre du
système de monnaie locale mis en place, l'Administration pourra se servir de la
main d'œuvre locale sans avoir besoin de la monnaie formelle pour toute sorte
d'activité, y compris, à titre indicatif, l´entretien de la forêt, les
activités de plantation, les travaux des gardiens, des guides, la conservation
de la faune et de la flore, et la construction d'infrastructures. Il est
possible que, sur demande de l'administration et avec l'accord des habitants,
qu'on place dans le parc même des structures photovoltaïques pour la fourniture
en eau des animaux.
Les frais (exprimés en débits SEL -LETS) à la charge de l'Administration
des Réserves pour ces services pourront être déchargés à travers la gestion
strictement durable des ressources de
Des pépinières pour la culture des arbres
d´origine locale seront formées comme activités commerciales locales financées
dans le cadre du système de monnaie locale et de la structure de micro -crédits
mise en place du projet.
Les activités se appliqueront aussi aux arbres à
fruits qui seront plantés le long des sentiers entre les villages de la zone du
projet, dans les places des villages etc.
Le projet, au moins en théorie, se qualifie pour des Certificats de
Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto. Dans le cadre
du projet, il y a un marché pour 20.000 à 30.000 foyers à rendement élevé pour
la cuisine. Supposant des épargnes de 6.5kg de bois ou équivalent par famille
par jour, réalise-t-on des épargnes de
65 tonnes de bois par jour, ou bien 23725 tonnes de bois par an. Converti en
tonnes de CO2, cela fait 18705 tonnes de CO2 par an. Supposant une valeur de
marché de Euro 24 par tonne de CO2, le montant du crédit disponible s’approcherait à Euro 450.000 par
projet par an, en addition à d’autres épargnes sur les frais et sur le temps
dédié des femmes à la recherche du bois. Sur les dix ans, ces crédits
souffiraient pour financer le projet. Comme décrit (en anglais) à la section 09.33 CER
certificates Kyoto Treaty : programme of activities as a single CDM project
activity, est-on en train de faire des pas timides
pour faciliter la participation de groupes de projets petits à la
commercialisation des certificats des droits d’émission CO2. Jusqu’ici a-t-on
réussi à les tenir hors du système à cause des frais élevés et de la complexité
des procédures.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la proportion de zone
forestière devrait démontrer une augmentation.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Pour des informations
détaillées sur les aspects du projet relatifs à l’écologie voir à la section 08.30 Les aspects écologiques du projet.
Évaluation: comparaison de la zone forestière dans la
zone du projet au moment de commencement du projet avec celle au moment de la
récolte des nouvelles informations.
Indicateur 26 .
Superficie protégée pour préserver la biodiversité (par rapport à la superficie
totale) (UNEP)
Le projet est au 100%
écologique. Les réserves naturelles dans la
zone du projet sont protégées. Les possibilités d'une gestion et d'une
conservation actives des réserves dans l'intérêt des générations à venir sont
pourtant actuellement mises gravement en danger cause le manque de fonds.
Ils existent de marges très intéressantes pour une coopération productive
entre les habitants de la zone, à travers des structures créées par le projet,
et l'administration des réserves au but d'en assurer le développement et
l'exercice durables.
Au cas, par exemple, où l'Administration des Réserves devienne membre du
système de monnaie locale mis en place, l'Administration pourra se servir de la
main d'œuvre locale sans avoir besoin de monnaie formelle pour toute sorte
d'activité, y compris, à titre indicatif, l´entretien de la forêt, les activités
de plantation, les travaux des gardiens, des guides, la conservation de la
faune et de la flore, et la construction d'infrastructures. Il est même possible que, sur demande de
l'administration et l'accord des habitants, qu'on place dans le parc des
structures photovoltaïques pour la fourniture en eau des animaux.
Le projet instituera, dans le cadre du système de
monnaie locale établi, une banque des semences. La banque servira:
a)
À la réintroduction et à la
sauvegarde de sortes de plantes locales et régionales menacées de l´extinction
b)
À la préparation et la
conservation de semences pour le compte des agriculteurs.
c)
À la conservation et la
réintroduction des plantes médicinales traditionnelles.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
la superficie protégée pour préserver la biodiversité devra s’augmenter.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Pour des informations
détaillées sur les aspects du projet relatifs à l’écologie voir à la section 08.30 Les aspects écologiques du projet.
Évaluation: comparaison entre la superficie protégée pour
préserver la biodiversité dans la zone du projet au moment de commencement du
projet avec celle au moment de la récolte des nouvelles informations.
Indicateur 27 : Énergie
consommée (en kilogrammes d'équivalent pétrole) par dollar de produit intérieur
brut (PPA) (Banque Mondiale)
Les auteurs de ce projet sont de l’opinion que la
fourniture en énergie (et donc le niveau de consommation d’énergie dans la
zone du projet) n’est pas une mesure appropriée du développement. L’importation
d’énergie contre paiement en monnaie formelle constitue l’une des causes les
plus importantes de fuite financière des pays et des zones pauvres. Ce projet
cherche à bloquer cette fuite financière. Les principes du projet ne reflètent
pas l’approche monétariste basée sur un concept arbitraire de “$ 1 (PPA)” à la
base de l’indicateur 27.
Les résultats du projet
devront refléter les évaluations subjectives des populations sur la qualité
effective de leur vie. Telles évaluations comprennent les bénéfices d’activités
productives non -monétisées et de toutes les transactions effectuées dans le
cadre du système de monnaie locale établi du projet.
L’un des principes du
projet est que l’énergie utilisée dans la zone du projet y soit écologiquement
et durablement produit au but de la seule consommation locale.
L’activité la plus
énergie -intensive dans la zone du projet est la préparation des aliments. Des
matériaux recyclés et de la biomasse cultivée localement sont utilisées pour la
production de mini- briquettes pour les foyers améliorés fabriqués localement.
On se sert d’une gamme
large de technologies à énergie solaire. Des arbres et des plantes à huile
telle
Évaluation: comparaison
des statistiques sur l’utilisation d’énergie dans la zone du projet au moment
de commencement du projet avec celles relevées au moment de la récolte des
nouvelles informations. Puisque l’on se servira de moyens à énergie efficiente,
l’énergie utilisée pourra subir une réduction au début pour s’augmenter de
nouveau avec le passer du temps. Puisque l’énergie utilisée localement sera
pour 100% renouvelable et pour 100%
produit localement, la quantité d’énergie effectivement utilisée dans la
zone de projet n’a aucune relevance particulière. Son augmentation pourra
donner des indications de quelque amélioration de la qualité de vie des
populations locales.
Indicateur 28. Émissions de dioxyde
de carbone par habitant et consommation de chlorofluorocarbones qui
appauvrissent la couche d'ozone (en tonnes de PDO)
La cause principale d’émissions de dioxyde de carbone dans la zone du
projet est actuellement la consommation de bois (et de ses dérivatives) pour
faire la cuisine.
Les
activités du projet comprennent 05.31
La création des usines de production d'articles en composites de gypse, 05.32 La création des unités de
production des mini -briquettes pour les foyers et 05.33 La création des
structures pour la production de biomasse pour les foyers.
Le projet, au moins en théorie, se qualifie pour des Certificats de
Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto. Dans le cadre
du projet, il y a un marché pour 20.000 à 30.000 foyers à rendement élevé pour
la cuisine. Supposant des épargnes de 6.5kg de bois ou équivalent par famille
par jour, réalise-t-on des épargnes de
65 tonnes de bois par jour, ou bien 23725 tonnes de bois par an. Converti en
tonnes de CO2, cela fait 18705 tonnes de CO2 par an. Supposant une valeur de
marché de Euro 24 par tonne de CO2, le montant du crédit disponible s’approcherait à Euro 450.000 par
projet par an, en addition à d’autres épargnes sur les frais et sur le temps
dédié des femmes à la recherche du bois. Sur les dix ans, ces crédits
souffraient pour financer le projet. Comme écrit (en anglais) à la section 09.33 CER
certificates Kyoto Treaty : programme of activities as a single CDM project
activity, est-on en train de faire des pas timides
pour faciliter la participation de groupes de projets petits à la
commercialisation des certificats des droits d’émission CO2. Jusqu’ici a-t-on
réussi à les tenir hors du système à cause des frais élevés des
procédures.
L’un des principes du
projet est que l’énergie utilisée dans la zone du projet y soit écologiquement
et durablement produit au but de la seule consommation locale.
Les systèmes inefficients et coûteux d’éclairage à kérosène, autre cause
d’émissions de dioxyde de charbon seront remplacés par des systèmes d’éclairage
photovoltaïque.
Tout produit à CFCs
présent dans la zone du projet doit nécessairement y être importé. Le projet ne
se servira ni distribuera des produits à CFCs dans la zone du projet, mais n’a
aucun pouvoir de les prohiber, même au cas de leur prohibition par loi. Le
projet peut bien informer les populations des risques écologiques liés à
l’utilisation des CFCs.
Étant vu que la population
de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il improbable que les
effets des activités dans la zone du projet puissent avoir un effet évident au
niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Pour des informations
détaillées sur les aspects du projet relatifs à l’écologie voir à la section 08.30 Les aspects écologiques du projet.
Évaluation: comparaison des statistiques sur les émissions
de CO2 et des CFC dans la zone du projet
au moment de commencement du projet avec celles au moment de la récolte des
nouvelles informations.
Indicateur 29: Proportion de la
population utilisant des combustibles solides. (UNEP)
Les auteurs de ce projet sont de l’opinion que la
fourniture en énergie (et donc le niveau de consommation d’énergie dans la
zone du projet) n’est pas une mesure appropriée du développement d’une part ou
du manque du développement de l’autre
part de la zone du projet.
La fuite financière des zones pauvres à cause de
l’importation d’énergie, même s’il agit d’énergie produite dans d’autres
parties du pays où le projet a lieu, est l’une des causes les plus importantes de
la pauvreté. Cette constatation amère porte à la conclusion que pour arrêter
cette fuite financière, faut-on éviter l’importation d’énergie dans la zone du
projet. Cela porte, à la fois, à la conclusion inévitable qu’en principe toute
énergie utilisée au niveau local doit être produit localement.
Puisque la zone du projet n’a aucun réseau général
existant de distribution d’énergie, la production locale d’énergie à
utilisation locale doit être fortement décentralisée. Puisque la production
d’énergie locale sera très réduite faut-on établir une liste rigoureuse des
applications prioritaires prévues du projet. On a cherché à créer une équilibre
éthique entre les bénéfices apportées des structures et leurs coûts.
Le projet couvre les frais des ressources en énergie
destinées aux services publics. Les frais des ressources en énergie destinées à
l’augmentation de la productivité individuelle sont couverts des 05.22 structures coopératives de
micro -crédit sans intérêts mises en place du projet. Les frais des ressources en
énergie destinées au confort individuel ne sont pas directement couverts du
projet, chi facilite d’ailleurs la formation de groupes d’achat coopératif à
participation volontaire.
Le projet
prévoit l’installation de 256 systèmes de pompage photovoltaïque, avec des
panneaux photovoltaïques pour une puissance installée de 72.95 KW ;
l’installation de systèmes photovoltaïques auprès de cliniques et écoles ;
et 200 systèmes d’éclairage photovoltaïque pour les études.
L’éclairage à kérosène sera remplacé par celui
solaire LED.
Le
projet ouvrira aussi des possibilités pour la génération locale sur petite
échelle des énergies renouvelables pour des activités spécifiques telles celles
destinées aux petits établissements meuniers et d’autres services à utilité
publique. Pour d’autres informations voir (Une huile verte pour le monde)
(Anglais) A green oil for the world.
Locally grown fuels for generators. (By courtesy of Sun & Wind Energy Magazine); (Les lampes LED pour l’éclairage) (Anglais) LED lights for lighting.
Information from the Light Up the World Foundation; (L’huile
végétale pour la génération d’électricité sur petite échelle)(Anglais) Plant oil for small-scale energy
generation.
L’activité la plus
énergie -intensive dans la zone du projet est la préparation des aliments. Des
matériaux recyclés avec de la biomasse cultivée localement sont utilisées pour
la production de mini- briquettes pour utilisation avec les foyers améliorés
produits localement. Les activités du projet comprennent 05.31 La création des usines de
production d'articles en composites de gypse, 05.32 La création des unités de
production des mini -briquettes pour les foyers et 05.33 La création des
structures pour la production de biomasse pour les foyers.
On se sert d’une gamme
large de technologies à énergie solaire. Des arbres et plantes à huile tels
À conclusion peut-on dire
que la proportion de la population utilisant des combustibles solides ne
changera pas beaucoup, ni devrait pas changer. C’est la quantité de
combustibles solides consommés par personne qui devrait subir une réduction. En
même temps ces combustibles doivent-ils être produits localement de façon
durable.
Évaluation: comparaison des statistiques sur la
proportion de la population utilisant combustibles solides au moment de
commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles
informations. Cette proportion ne devrait pas changer beaucoup. Comparaison des
statistiques sur la proportion de la population utilisant combustibles solides
renouvelables au moment de commencement du projet avec celles au moment de la
récolte des nouvelles informations. Comparaison des statistiques sur l’énergie
renouvelable effectivement consommée des populations au moment de commencement
du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles informations.
08.50.27.10 Cible 10 : Réduire de moitié, d’ici à 2015,
la pourcentage de la population qui n’a pas accès de façon durable à un approvisionnement
en eau de boisson salubre et à des service d’assainissement de base.
Indicateur 30: Proportion de
population ayant accès de façon durable à une source d’eau meilleure (zones
urbaines et rurales). (OMS/UNICEF)
TOUS les habitants dans
chaque zone de projet aura accès de façon durable à plusieurs sources d’eau
meilleure.
Voir aux sections 05.41 (Fourniture en eau
potable) et 05.48
(Récolte de l’eau pluviale).
Le projet fournit de manière durable permanent de
l’eau potable saine à tous les habitants de la zone du projet : soit 25
litres/personne/jour auprès des points eau situés à moins de 150 mètres de
leurs habitations. Une fourniture en back-up d’eau potable saine (encore 25
litres/personne/jour) est disponible par moyens de groupes de pompes manuelles
montées à côté des forages et puits. La récolte de l’eau pluviale est fournie
dans le cadre du système de monnaie locale établi du projet auprès de chacune
des 10.000 habitations dans la zone du projet. De l’eau potable saine sera
fournie aussi dans les écoles, les cliniques, et les lieux publics.
Étant vue que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
la proportion de la population ayant accès de façon durable à une source d’eau
meilleure deviendra-t-elle toujours plus facilement vérifiable dans les
graphiques et les statistiques représentant la situation nationale.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation progressive: Comparaison entre les statistiques sur la
population de la zone du projet qui n’est pas fournie en eau potable saine
suite à l’introduction des structures du projet sur une période de 24 mois avec
celles pour la zone du projet avant le commencement du projet.
Indicateur 31: Proportion de la
population ayant accès à un meilleur système d’assainissement (zones
urbaines et rurales). (OMS/UNICEF)
Le projet fournit de manière permanente durable et
écologique à tous les habitants de la zone du projet un système complet
d’assainissement et de recyclage des déchets, à partir des toilettes éco
-sanitaires à sec auprès des 10.000 habitations, et dans les écoles, les lieux
publics, et cas, échéant, les cliniques.
Les structures sanitaires
et de recyclage des déchets prévues sont décrites en détail aux sections 05.42
Structures d'assainissement et 05.43 Structures de recyclage
du projet.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul projet. Pour couvrir la population entière du pays en
question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour chaque 1.000.000 de
personnes. À main que tels projets sont mis en exécution, la proportion de la
population ayant accès à un meilleur système d’assainissement s’accroîtra.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation progressive: Comparaison entre les statistiques sur la
population de la zone du projet qui n’est pas fournie d’un système complet
d’assainissement suite à l’introduction des structures du projet sur une
période de 24 mois avec celles pour la zone du projet avant le commencement du
projet.
08.50.27.11 Cible 11 : Réussir d’ici à 2020, à améliorer sensiblement la vie
d’au moins 100 million d’habitants de taudis.
Indicateur
32: Proportion des ménages population
ayant accès à la sécurité d’occupation des logements. (UN Habitat)
Les auteurs de ce projet
croient que l’élimination des taudis se réalise mieux en donnant aux
populations rurales une bonne qualité de vie, à ce qu’on n’ait aucune raison
d’émigrer vers les centres urbains. Il se peut qu’avec la réalisation du
projet, quelques émigrés fassent retour à leurs zones d’origine, où ils
trouveront de nombreuses opportunités de travail.
Les concepts dont au
Modèle s’appliquent également aux centres urbains comme pour les zones rurales.
Toutefois, justement pour adresser le problème de la migration vers les villes
et de la formations de taudis, donne-t-on priorité à l’exécution, pour
commencer, de projets dans zones rurales.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
08.50.28
Objectif 8 : Mettre en place un
partenariat mondial pour le développement.
La description de cet objectif, ses cibles, et ses
indicateurs sont peu compréhensibles et donnent une démonstration impressionnante
de la confusion qui règne sur les questions à la base de l’élimination de la
pauvreté au début du 21ème siècle.
Ce projet traite la
création d’un ensemble de structures avancées sociales, financières,
productives et de service dans un ordre de séquence critique, et étroitement
intégrées l’une à l’autre. Des environnements financiers coopératifs, sans
intérêts, et sans inflation sont créés dans la zone du projet. Les initiatives locales peuvent y fleurir dans des conditions
de vraie concurrence
08.50.27.11 Cible 11 : Réussir d’ici à 2020, à améliorer sensiblement la vie
d’au moins 100 million d’habitants de taudis.
Indicateur 32: Proportion des ménages
population ayant accès à la sécurité d’occupation des logements. (UN
Habitat)
Les auteurs de ce projet
croient que toute la pauvreté devrait être éliminée entre 2020 et que
toute distinction entre les habitants des zones rurales et ceux des zones
urbaines est inacceptable. L’élimination des
taudis se réalise mieux en donnant aux populations rurales une bonne qualité de
vie, à ce qu’on n’ait aucune raison d’émigrer vers les centres urbains. Il se
peut qu’avec la réalisation du projet, quelques émigrés fassent retour à leurs
zones d’origine, où ils trouveront de nombreuses opportunités de travail.
Les concepts dont au
Modèle s’appliquent également aux centres urbains comme pour les zones rurales.
Toutefois, justement pour adresser le problème de la migration vers les villes
et de la formation des taudis, donne-t-on priorité à l’exécution de projets
dans zones rurales.
Là où on donne exécution
à des projets au termes du Modèle dans les taudis, les zones des projets
devront cesser être des taudis.
Étant vu que la
population de la zone du projet ne monte qu’à 50.000 personnes, est-il
improbable que les effets des activités dans la zone du projet puissent avoir
un effet évident au niveau national au cas d’implémentation d’un seul
projet. Pour couvrir la population
entière du pays en question a-t-on besoin de 20 de tels projets environs pour
chaque 1.000.000 de personnes. À main que tels projets sont mis en exécution,
la sécurité d’occupation des logements s’améliorera.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro –cents) par personne.
Évaluation: pas retenue
relevante aux projets exécutés dans les zones rurales.
08.50.28
Objectif 8 : Mettre en place un partenariat
mondial pour le développement.
08.50.28.12 Cible 12 : Poursuivre la mis en place d’un
système commercial et financier multilatéral ouvert, fondé sur des règles,
prévisible et non discriminatoire. Cela suppose un engagement à faveur d’une
bonne gouvernance, du développement et de la lutte contre la pauvreté, aux
niveaux tant national qu’international.
Chaque projet innovateur de développement intégré donne des solutions
simples et pratiques aux problèmes liés à la pauvreté et au développement intégré.
La section 6 du projet décrit à pas
à pas les modalités de la réalisation de dites solutions. Suivant ces pas, les
opérateurs ont pu rédiger leur propre projet avancé de développement intégré
écologique et durable et les applications pour son financement initial. Des structures sociales, financières,
productives et de service décrites à la
section 5 sont créées dans une ordre de séquence
critique, et étroitement intégrées l’une à l’autre. Un environnement financier coopératif
local sans intérêts, et sans inflation est crée dans la zone de
projet. Les initiatives locales peuvent y fleurir dans des conditions
de vraie concurrence.
Les concepts du projet assurent que les femmes puissent jouer un rôle
majoritaire, donc dominant, dans la formation et la gestion de toutes les
structures du projet, à tous les niveaux
, y compris le financement des activités productives à travers le système de
micro -crédit sans intérêts et sans frais exprimés en monnaie formelle créé
pendant l’une des premières phases d’exécution du projet. Les activités
productives des femmes, soient celles dans le cadre du système de monnaie locale
établi, soient celles réalisées dans le secteur à monnaie formelle, sont
reconnues comme contributions à la qualité de vie des habitants.
La section 08.20 Les droits des femmes contient une description
sur comment les droits des femmes et des jeunes filles de la zone du projet
sont respectés.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Évaluation :
l’analyse des activités productives dans la zone du projet au moment du
commencement du projet avec celles au moment de la récolte des nouvelles
informations. Comparaison entre la qualité de vie des populations de la zone du
projet au moment du commencement du projet au avec celle au moment de la
récolte des nouvelles informations.
08.50.28.14 Cible 13
: S’attaquer aux besoins particuliers des pays les moins avancés. La
réalisation de cet objectif suppose l’admission en franchise et hors
contingents des produits exportés des pays les moins avancés, l’application du
programme renforcé d’allègement de la dette des PPTE et l’annulation des dettes
bilatérales envers les créanciers officiels; et l’octroi d’une APD plus
généreuse aux pays qui démontrent leur volonté de lutter contre la pauvreté.
(Aide publique au développement – APD)
Indicateur 33: APD nette, total et aux PMA,
en pourcentage du revenue national brut des pays donateurs membres du
CAD/OCDE.
Indicateur 34: Proportion du montant total de l’APD bilatérale des pays
donateurs du CAD/OCDE allouée par secteur aux services de base (éducation de
base, soins de santé primaires,
nutrition, eau salubre, et assainissement).
Indicateur 35: Proportion de l’APD bilatérale des pays membres du CAD/OCDE
qui est déliée.
Indicateur 36: APD reçue par les pays en développement sans littoral en
tant que pourcentage de leur RNB.
Indicateur 37: APD reçue par les petits états insulaires en développement
en tant que pourcentage de leur RNB.
Les concepts sur la base desquels ce projet a été conçu s’appliquent
également aux pays sans littoral et aux petits états insulaires comme à toute
autre zone rurale ou urbaine, y comprises celles pauvres dans les pays
industrialisés.
(Accès au marché)
Indicateur 38: Proportion du total des importations des pays développés (en
valeur et à l’exclusion des armes) en provenance des pays en développement et
des pays les moins avancés admises en franchise de droit.
Indicateur 39: Taux moyens de droits appliqués par le pays développés aux
produits agricoles, textiles et vêtements en provenance des pays en
développement.
Indicateur 40: Estimation des subventions agricoles dans les pays de l’OCDE
en pourcentage de leur PIB.
Indicateur 41: Proportion de l’APD allouée au renforcement des capacités
commerciales.
Indicateur 42: Nombre total des pays ayant atteint le point de décision de
l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) et nombre total
des pays ayant atteint les points d’achèvement
(cumulatif).
Indicateur 43: Engagement d’allègement de la dette au titre de l’initiative
PPTE.
Indicateur 44: Service de la dette, en pourcentage des exportation de biens
et de services.
Ce projet traite le développement intégré local dans la zone du projet. Des
structures sociales, financières, productives et de service décrites à la section 5 sont créées
dans une ordre de séquence critique, et étroitement intégrées l’une à l’autre.
Des environnements financiers
coopératifs locaux, sans intérêts, et sans inflation sont créés dans la
zone de projet. Les initiatives locales peuvent y fleurir dans des conditions
de vraie concurrence.
Plusieurs de tels projets dans une région permettent la formation d’un
réseau puissant de systèmes économiques locaux coopératifs, sans intérêts. Les
systèmes régionaux contribuent à leur tour à la création d’un système puissant
économique national coopératif, sans intérêts, et sans inflation. La création
de nouveau endettement au niveau local, régional, et national est bloqué. La
fuite financière d’un système local vers d’autres, et d’un système régional
vers d’autres est bloquée.
La rédaction d’un plan
détaillé régional ou national suivant le Modèle sur la base duquel ce projet a
été préparé coûtera Euro 0,025 (soit 2.5 euro cents) par personne.
Le projet ne couvre pas
de négociations relatives aux tarifs ni l’accès des marchés au produits des
pays le moins développés. Ni couvre-t-il des programmes plus ou moins menaçants
pour la réduction des dettes des pays pauvres les plus endettés, ni couvre-t-il
la annulation de dettes bilatérales.
On a besoin de faire des
investissements en monnaie formelle d’environ €75 par personne pour fournir une
bonne qualité de vie aux habitants de chaque zone de projet, soit €3.750.000 pour une zone de projet avec
50.000 personnes, soit Euro € 75.000.000
pour chaque 1.000.000 d’habitants.
Donner une bonne qualité
de vie aux deux billions d’habitants les plus pauvres au monde ne coûterait que
€ 150.000.000.000, soit :
Quatre fois environs la
seule AUGMENTATION en 2002 du bilan pour la défense des USA, dûment autorisée
du Congrès [1]
Six mois de guerre en
Iraq {2]
Le prix d’achat attendu
de 850 Joint Strike Fighters [3].
Trois mois de déficit
commercial des USA (US$ 60.000.000.000 par mois) [4].
La moitié des subsidies
payées aux agriculteurs des pays industrialisés en 2001 (US$ 350.000.000.000)
[5].
Deux fois les dépenses
des pays de l’OCDE en (US$ 103.900.000.000) [6].
6% de l’argent (US$
2.300.000.000.000) dépensé sur l’aide au développement des pays bailleurs de
fonds pendant les derniers 50 ans [7].
Étant vu que le capital
initial pour projets aux termes du Modèle peut être en forme de prêt décennal
sans intérêts au lieu de don, peut-on comprendre que la solution au problème de
la pauvreté n’a jamais constitué un problème financier. Il ne constitue aucun
problème financier aujourd’hui.
Références :
[1] U.S. Military
Transformation, Center for Defense Information, Washington, 31 Janvier 2002.
[2] Leonhardt D, What US$ 1.2
Trillion Can Buy, New York Times, 17 Janvier 2007. Un rapport de
[3] Bureau d’audit Hollandais
“Rekenkamer-JSF Kostbaar Investering,” Sdu Dutch Government Information
Service, 11 Octobre 2006 (coût prévu : Euro 14.600.000.000 pour 85 avions JSF.
[4] Foreign Trade Statistics,
FT900 : U.S. International Trade in Goods and Services, U.S. Census Bureau,
Édition 8 Juin 2007.
[5] Watkins K. Eight broken
promises (Huit premesses pas maintenues) Oxfam briefing paper 9, Oxfam
International, Washington, 2001 (US$ 350 billion en 2001).
[6] OCDE Organisation pour
[7] Easterly, William, The White
Man’s Burden – Why the West’s Efforts to Aid the Rest have Done so much Ill and
so Little Good, Penguin Press, London, 2006.
Évaluation : Retenue sans relevance aux projets intégrés
exécutés aux termes du Modèle.
08.50.28.14 Cible 14 :Répondre aux besoins particuliers
des pays en développement sans littoral des petits états insulaires en
développement (en appliquent le programme d’action pour le développement
durable des petits États insulaires en développement et les conclusions de la
vingt-deuxième session extraordinaire de l’Assemblée Générale)
Les auteurs de ce projet ne sont pas d’accord avec le concept de «dette
durable » («sustainable debt » ).
Comme à leur temps prévu des présidents Américains Thomas Jefferson [1],
Abraham Lincoln [2] et beaucoup d’autres, l’actuel système économique mondial
dominant basé sur l’endettement progressif travaille contre le développement
intégré. Il travaille dans les intérêts d’une petite élite privilégiée. Comme
le dit Silvio Gesell : «L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au
marché mais la clenche qui la barre. » [3]
Références :
[1] Jefferson Thomas, lettre en date 28 Mai 1816, source
John Taylor, Writings, Literary Classics of the United States, New York, 1984.
[2] Lettre de Abraham Lincoln au (Col.) William F. Elkins,
Novembre 21, 1864, Archer H. Shaw, The Lincoln Encyclopædia, (Macmillan, 1950,
NY) p.40.
[3] Gesell Silvio, The Natural Economic Order, revised
English edition, Peter Owen, London 1958, page 228.
Évaluation : Retenue sans relevance aux projets intégrés
exécutés aux termes du Modèle.
08.50.28.15 Cible 15 : Traiter globalement le problème de
la dette des pays en développement, par des mesures d’ordre national et
international propres à rendre leur dette viable à long terme.
(Viabilité de la dette)
Les auteurs de ce projet ne sont pas d’accord avec le concept de «dette
durable » («sustainable debt » ) ou de «dette
viable » .
Comme à leur temps prévu des présidents Américains Thomas Jefferson [1],
Abraham Lincoln [2] et beaucoup d’autres l’actuel système économique mondial
dominant basé sur l’endettement progressif travaille contre le développement
intégré. Il travaille dans les intérêts d’une petite élite privilégiée. Comme
le dit Silvio Gesell : «L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au
marché mais la clenche qui la barre. » [3]
Références :
[1] Jefferson Thomas, lettre en date 28 Mai 1816, source
John Taylor, Writings, Literary Classics of the United States, New York, 1984.
[2] Lettre de Abraham Lincoln au (Col.) William F. Elkins,
Novembre 21, 1864, Archer H. Shaw, The Lincoln Encyclopædia, (Macmillan, 1950,
NY) p.40.
[3] Gesell Silvio, The Natural Economic Order, revised
English edition, Peter Owen, London 1958, page 228.
Évaluation : Retenue sans relevance aux projets intégrés
exécutés aux termes du Modèle.
08.50.28.16 Cible 16 : En coopération avec les pays en
développement formuler et appliquer des stratégies qui permette aux jeunes de
trouver un travail décent et utile.
Indicateur 45: Taux de chômage des jeunes âgées de 15 à 24 ans, pour chaque
sexe, et taux global.
Le projet assure du travail productif pour tous les
habitants de la zone du projet. Y compris donc du travail pour les jeunes.
Le projet donne du support aux initiatives productives
locales aux niveaux coopératifs, de famille, et
individuels. Le projet ne
reconnaît pas de relations employeur -employé. Les structures coopératives
créées du projet fonctionnent en parallèle avec, et ne se substituent pas à,
celles du secteur de la monnaie formelle traditionnelle. Les relations
employeur -employé continueront à exister librement au secteur formel, à côté
aux structures mises en place du projet. Le projet n’y donnera aucun support.
Pour plus de détails consulter la section
du projet : 05.37 La création
des emplois.
Évaluation : Retenue
sans relevance aux projets intégrés exécutés aux termes du Modèle.
08.50.28.17 Cible 17 : En coopération avec l’industrie
pharmaceutique, rendre les médicaments essentiels disponibles et abordables
dans les pays en développement.
Indicateur 46: Proportion de la population ayant accès de façon durable à
des médicaments de base à un coût abordable.
Les auteurs de ce projet sont de l’avis que le cible
Le projet cherche à faire face à la pauvreté en promouvant l’éradication
des causes originaires des maladies plutôt de traiter leurs conséquences.
Évaluation : Retenue sans relevance aux projets intégrés
exécutés aux termes du Modèle.
08.50.28.18 Cible 18 : En coopération avec le secteur
privé, faire en sorte que les avantages des nouvelles technologies, et
particulier des technologies de l’information et de la communication, soient à
la portée de tous.
Indicateur 47: Nombre de lignes téléphoniques et d’abonnés au téléphone
portable pour 100 habitants.
Indicateur 48: Nombre de micro-ordinateurs par 100 habitants et
d’internautes par 100 habitants.
Les auteurs de ce projet sont de l’avis que le cible
Le projet approuve et se sert d’applications professionnelles des nouvelles
technologies, choisies avec attention et exclusivement au but de l’augmentation
de la productivité dans la zone du projet.
Le projet institue une station radio locale.
Les habitants de la zone du projet bénéficieront de des nombreuses
applications de l’énergie alternative, en particulière de l’énergie solaire.
Évaluation : Description des nouvelles technologies
introduites dans la zone du projet au cours de l’exécution du projet et le
niveau de leur applications.
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The
Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“La pauvreté est la pénurie créée”
Wahu Kaara, point 8, Appèl Global à l’Action contre
Cette œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une
licence
Creative Commons
Attribution-Non-commercial-Share Alike 3.0 Licence.