ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.

 

PROJETS DE DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ À FAVEUR DES PLUS PAUVRES AU MONDE.

 

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ÉCRIRE UN PROJET DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ

COURS DE DIPLÔME DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ (Dip. Dév. Int.)

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Edition 05: 01 Février, 2010

 

(ENGLISH)


 

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DES SOLUTIONS PRATIQUES ET CRÉATIVES POUR LA RÉDUCTION DE LA PAUVRETÉ.

 

Ce site web donne des solutions simples et pratiques aux problèmes liés à la pauvreté et au développement intégré. Il décrit à pas à pas les modalités de la réalisation de dites solutions. Suivant ces pas, les opérateurs peuvent rédiger leurs propres projets avancés de développement intégré écologique et durable et les applications pour leur financement initial.  Des structures sociales, financières, productives et de service sont créées dans une ordre de séquence critique, et étroitement intégrées l’une à l’autre. Des environnements financiers coopératifs, sans intérêts, et sans inflation sont créés dans chaque zone de projet. Les initiatives locales peuvent y fleurir dans des conditions de vraie concurrence.

 

LA RÉDACTION DE PLANS DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ AU NIVEAU NATIONAL OU RÉGIONAL QUI NE COÛTENT QUE QUELQUES EURO CENTIMES PAR PERSONNE

 

Le Modèle ici présenté rend possible la rédaction de manière rapide, facile, et à faible prix de plans détaillés de développement intégré nationaux ou régionaux pour l’achèvement de presque tous les objectifs du Millénaire. La vitesse de la rédaction des plans dépend du numéro de personnes (d’habitude des étudiants ou des membres des ONGs locales) et du numéro de projets individuels  (environ 20 par 1.000.000 d’habitants) en question. La durée maximum pour la rédaction d’un plan est trios mois, celle minimum un mois. Les plans pour des populations supérieures à 10.000.000 coûtent environ 2.5 euro centimes ( € 0.025) par personne. Les plans à dimensions réduites pour populations comptant jusqu’à 1.000.000 d’habitants peuvent coûter jusqu’à 15 euro centimes ( €  0.15) par personne, selon la distribution de la population et la superficie des zones des projets individuels.

Les plans nationaux et régionaux demandent la rédaction aux termes du Modèle de documentations pour chaque zone de projet individuel du pays ou de la région avec une population d’environs 50.000 habitants. La rédaction des documentations des projets individuels porte quelques avantages pratiques. Leurs auteurs reçoivent une formation directe sur l’application des principes sur lesquels le Modèle est basé, à fin qu’ils se qualifient pour agir comme coordonnateurs des projets ils ont rédigés. Un autre avantage est que les bailleurs de fonds qui financent les plans, dont les coûts peuvent varier d’environ    100.000 à    300.000 selon les populations intéressées, ont l’occasion de prendre connaissance des ONGs locales en question. La rédaction réussite du plan national ou régional devrait augmenter la confiance des bailleurs en les ONG locales et faciliter leur disponibilité au financement des coûts des projets pilotes dans les zones les plus pauvres et besogneux  couvertes des plans.

 

LA CONVERSION DES STRUCTURES DES PROJETS DE TYPE TRADITIONNEL EN STRUCTURES DURABLES 

 

Beaucoup de projets de développement traditionnel n’ont pas réussi ou risquent de ne pas réussir à cause du manque de durabilité à long terme. Ils manquent un réseau de structures appropriées sociales, financières, et productives qui permettent la couverture des frais de leur gestion et de leur entretien et la formation de réserves pour le remplacement à long terme des biens en compte capital du projet.

Les structures sociales, financières, productives et de service prévues du Modèle peuvent être créées autour des structures déjà établies par les projets de type traditionnel pour les fournir des environnements financiers coopératifs, sans intérêts, et sans inflation. Par conséquence peut-on aussi créer dans chaque zone de projet des milliers d’occasions d’emploi. On peut y réaliser des épargnes de frais de gestion en monnaie formelle pour des montants très importants. La fuite financière continue des zones des projets y est bloquée. Les petits montants de monnaie formelle qui filtrent jusqu’aux zones de projet y restent pour y être  recyclés de façon systématique.

 

LES ASPECTS POLITIQUES

 

Les structures créées au cours de l’exécution de chaque projet ont beaucoup de conséquences de nature politique. Ces conséquences sont écrites dans l’article Policy implications of an innovative model for self-financing ecological sustainable development for the world's poor qui n’est actuellement disponible qu’en langue anglaise.

 

 

LES STRUCTURES DU PROJET

 

Un sommaire bref des structures du projet se trouve à la section 05.06 Un sommaire des structures à créer du Modèle. Chaque zone de projet forme un système économique local avec 50.000 à 70.000 habitants. Chaque système économique locale doit être suffisamment grand pour offrir des possibilités de spécialisation des activités productives et en même temps rester suffisamment petit pour permettre à chaque individu de le comprendre, de s’y associer, et de participer directement à toutes les structures du projet. Les zones de différents projets sont en interaction entre elles. Elles forment une sorte de couverture à chiffons de systèmes d’économies locales qui dans leur ensemble constituent une économie nationale forte.

 

LES ASPECTS FINANCIERS

 

Un bilan de projet typique pour une zone à 50.000 habitants monte à €5.000.000, ou bien €100 par habitant. De ce chiffre, le 25% est contribué directement des habitants eux-mêmes à travers la conversion en Euro de la valeur des biens fournis et du travail effectué des habitants locaux pour l’exécution du projet aux termes des 05.21 structures coopératives de monnaie locale SEL -LETS' sans intérêts établis dans une première phase de chaque projet. En général, cette contribution monte à 425.000 jours à 8 heures de travail. Avec un taux de conversion de Euro 3 pour chaque journée de travail, le montant contribué des habitants monte à  €1.250.000 environ, ou le 25% du coût total du projet. Ceci signifie que le montant mis à la disposition en forme de don ou en forme de financement sans intérêts pendant 10 ans est de  75% environ du total, soit €3.750.000 ou €75 par habitant. Exactement comment ce montant est divisé entre les différentes activités et structures de chaque projet est illustré à la section 07.10 Le bilan du Modèle. Le 35-40% environ de la valeur du projet sert à financer les structures en eau potable, à couverture des frais des forages (là où nécessaires), les pompes, les panneaux solaires et les autres équipements prévus. Le 15-20 % du capital initial est utilisé pour permettre aux habitants locaux de créer des structures productives pour faire la plupart des articles nécessaires à la réalisation du projet.  Ils n’y ont pas de frais pour la préparation les documents des projets et les documentations pour leur financement initial, car cela est effectué aux termes du Modèle. Cela signifie que les frais des consultants étrangers pour les premiers projets pilotes dans chaque pays se limitent au 10% ( € 350.000 environ ) du total de la partie exprimée en monnaie formelle du bilan.  L’exécution de chaque projet pilote comprend la formation d’opérateurs capables de gérer l’exécution d’autres projets dans les zones limitrophes. De conséquence, le système se propage de façon durable.

Comme indiqué au tableau à la section 07.40 les revenus chaque famille paye une contribution mensuelle de €0,60 par personne, soit €3 par famille à 5 membres, dans un Fonds Coopératif de Développement Local. Le montant prévu fournit des revenus de l’ordre de Euro 290.500 par an, ce qui est suffisant, cas échéant, au remboursement d’un prêt sans intérêts en monnaie formelle de jusqu’à Euro 3.750.000 sur une période de 10 ans, compte tenu des différentes réserves et des remboursements en compte capital prévus. Au cas où les paiements hors des réserves résultassent supérieurs aux montant prévus, l’administration du projet pourrait opter à augmenter la contribution mensuelle des familles suite aux premières 4 à 5 années de fonctionnement, à main à main que leur qualité de vie ne s’augmentera.

 

De la micro -finance sans intérêts et sans frais en monnaie formelle est fournie aux habitants à travers des 05.22 structures coopératives de mciro -crédit sans intérêts prévues dont les bénéfices montent à au moins €1,500 de crédits par famille pendant chaque période de 10 ans. Cette évaluation est d’ailleurs extrêmement conservatrice, car elle est basée sur une période moyenne de remboursement des micro -crédits de deux ans.  

 

Les financements sans intérêts pour des structures du projet transférées aux personnes privées et aux coopératives sont remboursés dans la Fonds Coopératif de Développement Local sur une période de 3-5 ans. Ces remboursements sont compris dans les calculs ci-dessus. Il s’agit des financements des unités de production d’articles en composites de gypse, des unités de production de mini- briquettes, des coopératives de transport public (bus), et des coopératives  d’installation et entretien des structures. Au cas de financement du projet moyennant un prêt décennal sans intérêts, et de son remboursement à distance de dix ans, les fonds disponibles aux micro -crédits tourneraient provisoirement à zéro. Puisque les familles continueront à verser leurs contributions mensuelles dans le Fonds Coopératif de Développement Local, le Fonds même se reconstruira pendant la deuxième période de dix ans comme il l’a fait pendant la première période décennale. À la fin de la deuxième période le montant disponible dans le Fonds est disponible pour le remplacement des biens en compte capitale. Au cas de financement en forme de don,  le montant important dans le Fonds Coopératif de Développement Local à la fin de la première période de dix ans continuera à circuler à financement des micro -crédits. Il pourrait aussi être déployé pour payer des extensions aux structures du projet.

 

Pour des détails se référer aux sections : 07.20 une analyse brève du bilan, 07.30 Les dépenses systématiques, 07.50 Quelques observations sur le bilan., 07.60 Les fonds disponibles aux micro -crédits.

 

 

FORMALITÉS PRÉPARATOIRES

 

Plusieurs formalités doivent être réglées avant de procéder aux phases exécutives d’un projet. Elles comprennent la signature de déclaration de partenariat de la part des ONG intéressées, et la formation d’un conseil provisoire avec la tâche  d’établir une ONG responsable de l’exécution du projet et une deuxième ONG pour la gestion continue des structures créées au cours de l’exécution du projet. La ONG de gestion est transférée à la population locale à peine les structures sociales et financières prévues du projet ne soient en opération. La propriété des structures créées du projet sont transférées à la ONG de gestion à main qu’elles ne deviennent opérationnelles.

 

Pour d’autres détails voir  à la section 05.09 Schéma des formalités préparatoires nécessaires à l’exécution du projet.

 

 

PROTECTION DES INTÉRÊTS DES BAILLEURS DE FONDS ET CO-DONATEURS

 

Le Modèle incorpore des moyens innovateurs de protection des investissements des bailleurs de fonds et des co-donateurs.  L’exposition des bailleurs dans un moment quel que ce soit de l’exécution du projet est réduite. Ce résultat est rendu possible à travers l’exécution du projet par tranches, ou bien à travers l’ordre de séquence de la réalisation des différentes structures du projet. Du travail sur la structure suivante n’a lieu qu’une fois les structures précédentes ne soient en place et fonctionnant.

 

Le contenu en capital formel nouveau des structures à créer s’augmente à main l’exécution du projet ne développe. Les premières structures créées (celles sociales et financières) ont un contenu en capital formel réduit. Les structures intermédiaires (celles productives) ont besoin d’un niveau moyen de capital formel. Les dernières structures (celles de service), et en particulier celles du système de fourniture en eau potable distribuée, ont le niveau le plus élevé  de contenu en capital formel. Au moment de la mise en exécution des structures de service, la plupart du travail en peut être réalisée dans le cadre du système de monnaie locale, on est déjà en train de faire la récolte des frais de gestion et les réserves en monnaie formelle à couverture de l’entretien et du remplacement à long terme , et la production locale de beaucoup des biens nécessaires aux structures de service a déjà été commencée.

 

LE TRAITÉ DE KYOTO

 

Les projets, au moins en théorie, se qualifient pour des Certificats de Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto. Dans le cadre de chaque projet, il y a un marché pour 20.000 à 30.000 foyers à rendement élevé pour la cuisine. Supposant des épargnes de 6.5kg de bois ou équivalent par famille par jour, réalise-t-on des épargnes de 65 tonnes de bois par jour, ou bien 23725 tonnes de bois par an. Converti en tonnes de CO2, cela fait 18705 tonnes de CO2 par an. Supposant une valeur de marché de Euro 24 par tonne de CO2, le montant du crédit  disponible s’approcherait à Euro 450.000 par projet par an, en addition à d’autres épargnes sur les frais et sur le temps dédié des femmes à la recherche du bois. Sur les dix ans, ces crédits suffiraient pour financer le projet. Comme décrit (en anglais) à la section 09.33 CER certificates Kyoto Treaty : programme of activities as a single CDM project activity, est-on en train de faire des pas timides pour faciliter la participation de groupes de projets petits à la commercialisation des certificats des droits d’émission CO2. Jusqu’ici a-t-on réussi à les tenir hors du système à cause des frais élevés des procédures.  

 

LES COÛTS DU DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ

 

Des investissements en don ou par moyens des prêts sans intérêts pour €75 par personne donneront un montant total de €337.500.000 pour un pays, comme le Togo, avec une population de 4.500.000 habitants pour un paquet complet de services de base pour une bonne qualité de vie pour tous. Pour mettre de tels services à la disposition des 2 milliards d’habitants les moins favorisés de la terre, aurait-on besoin  de €150 milliard.

Ceci est quatre fois environ l’AUGMENTATION (US$48 milliard) du bilan pour la défense des États Unis en 2002. [1]. Il représente le coût de six mois de guerre en Iraq.[2]  Il est le prix d’achat de 850 Joint Strike fighters. [3]  Il est égal à TROIS FOIS le déficit commercial MENSUEL des États Unis (US$60 milliard par mois) [4]. Il est la moitié des subventions payées aux agriculteurs en Amérique du Nord, au Japon, et en Europe en 2001 (US$ 350 milliard).[5] Il est deux fois les contributions annuelles des pays donateurs de la OECD à bénéfice de l’aide au développement en 2006, y compris le “debt relief” (US$ 103,9 milliard).[6]  Il est le 6% de l’argent fourni des pays bailleurs de fonds à  l’aide au développement sur les derniers 50 ans (US$2.300 milliard). [7]

Puisque le financement des projets aux termes du Modèle peuvent, cas échéant, prendre la forme de prêts sur dix ans sans intérêts, est-il évident que la solution de la pauvreté au monde n’a jamais été un problème financier; ni est-il un problème financier aujourd’hui.

 

LE CADRE LOGIQUE

 

Pour avoir une vision générale d’un projet typique aux termes du Modèle se référer à la section 05.02 Le cadre logique de l'action.

 

 

LES DROITS DE LA FEMME

 

La section 08.20 Le respect des droits de la femme se réfère à la protection des droits de la femme dans le cadre de projets aux termes du Modèle.

 

 

LES ASPECTS ÉCOLOGIQUES

 

La section 08.30 Une liste des files spécifiques aux aspects écologiques décrit comment les structures créées sont toujours entièrement énergie -neutres, les applications extensives des énergies renouvelables, et les activités à faveur de la conservation des ressources naturelles dans les zones des projets.

 

 

LA PRODUCTION AGRICOLE ET LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE

 

La section 08.40, production agricole et la sécurité alimentaire couvre la gestion des terres communes, les structures de recyclage des dégoûts y compris le recyclage des urines, des fèces compostés, et des autres ordures solides, l'alimentation et la sécurité de fourniture en eau pendant les périodes de sécheresse et de crise, les pépinières, les banques coopératives des semences, la biomasse pour la production des mini -briquettes pour les foyers améliorés prévus, et la protection des sources d'eau et la conservation des ressources en eau.

 

 

LA SANTÉ PUBLIQUE

 

Le modèle se base sur le concept que le niveau de santé nécessaire à une bonne qualité de vie dans les pays en voie de développement se réalise pratiquement sans dépenses en monnaie formelle à travers des initiatives locales et non -industrialisées. Des exemples, tous encadrés dans ce projet, sont des cours d’éducation à l’hygiène pour femmes et aux écoles, la fourniture en eau potable, une diète variée produite localement, les systèmes d’assainissement et de recyclage des déchets et ordures, une bonne aération des maisons et l’élimination de la fume des ménages et des villages à travers l’utilisation des foyers améliorés,  le drainage et l’élimination des eaux de superficie stagnantes, l’utilisation  intelligente de moyens produits localement pour combattre les mouches et les moustiques. 

 

Au lieu de combattre les résultats des maladies, cherche-t-on dans le cadre du développement intégré prévu de ce projet de les prévenir, car la prévention est souvent possible sans fuite financière de la zone du projet. Le traitement des résultats des maladies porte de l’autre part à des fuites financières très graves et augmente la pauvreté des habitants au lieu de la combattre. 

 

Les structures sociales et financières  créées au cours de ce projet comprennent  des structures de sécurité sociale à trios niveaux . Elles favorisent la mise en place des structures physiques de la santé curative à l’exclusion de celles qui portent à la fuite financière.

Pour détails voir  La santé des habitants. 

 

L’ÉDUCATION

 

Le Modèle n'a pas pour but de se substituer à l'état en ce qui concerne les structures scolastiques présentes dans la région, sauf pour l'installation de systèmes sanitaires la où nécessaires, la fourniture en eau potable pour les enfants, et, éventuellement, l'installation de systèmes d'éclairage là où on décide de faire commencer des leçons le soir au bénéfice des adultes.  Le projet collaborera avec le Ministère de Éducation Publique pour promouvoir l’éducation formelle complète dans la zone du projet à fin d’y achever tous les objectifs du Millénaire relatifs à l’éducation entre 2015. Là où le Ministère ne réussira pas a fournir des équipements ou des services d’enseignants, le projet lui-même s’efforcera d’en assumer la responsabilité.

 

Les investissements en monnaie formelle nécessaires aux structures des écoles ne sont pas bien adaptés au recyclage rapide et sans intérêts qui est à la base des projets de développement intégré autofinancé. Des contributions de la part du Ministère aux frais des écoles sont de conséquence retenues nécessaires.

 

Le projet n’a pas pour but aucun changement du ou adaptation au curriculum scolastique national, sauf pour l’inclusion des cours d’hygiène prévus.

Le système scolastique dans la région est souvent presque totalement à la charge des parents des élèves. Les associations des parents essaient de trouver à la mesure de leurs moyens des solutions idoines aux problèmes auxquels les écoles sont confrontées, qui sont nombreux et graves.

Il s'agit :

a) d'un manque d'infrastructure immobilière
b) d'une insuffisance mobilière
c) d'un manque de matériel didactique
d) d'une insuffisance de personnel enseignant

Le projet créera, néanmoins, des institutions importantes à l'amélioration du système scolastique de la zone du projet telles:

a) Les commissions réservoir
b) Un système SEL -LETS de monnaie locale
c) Des usines pour la production d’articles en composites de gypse.

d) Des matériaux disponibles localement.

 

Dans la pratique beaucoup des biens et services disponibles localement et nécessaires aux structures éducatives peuvent être payés dans la monnaie locale SEL -LETS créée du projet. Ces biens et services peuvent comprendre :

 

a) Des services d’enseignants disponibles à travailler (à plein temps ou à complément de leurs salaires étatiques) dans le cadre du système SEL -LETS pour un salaire exprimé (éventuellement partiellement) en crédits SEL -LETS
b) Des éléments en composites de gypse à utiliser pour les constructions, y comprises des structures portantes.
c) Des meubles scolastiques en composites de gypse pour les écoles.
d) L’utilisation de matériaux disponibles localement.

e) La reproduction de matériel didactique à travers des systèmes TV à énergie photovoltaïque et/ou à travers des services de reproduction documentaire mis à la disposition des écoles de la part de consultants locaux établis avec le support du système de micro -crédit prévu.

La construction des facilités mentionnées pourra commencer dès l’établissement des structures sociales et financières prévues.

Pour détails voir : L'éducation.

 

 

LA GESTION PERMANENTE DES STRUCTURES

 

À main à main que les structures sociales, financières, productives et de service sont créées au cours de l’exécution du projet, sont-elles prises en charge par la Coopérative dont à la section 05.07 Association Coopérative pour la gestion permanente des structures créées. La coopérative fonctionne de manière durable à trois niveaux de gestion.

 

 

LA CRÉATION D’OCCUPATIONS

 

Chaque projet donne des emplois permanents à 4.000 personnes environ, soit le 10% environ de la population adulte de la zone du projet.

 

 

SOURCES

 

(Sources citées)

1.U.S. Military Transformation, Center for Defense Information, Washington, 31 January 2002.

2.Leonhardt D, What US$ 1.2 Trillion Can Buy, New York Times, 17 January 2007.  Associated Press report 9 July 2007 from Washington D.C.citing  Congressional Research Service calculations for $610 billion for U.S. Congress authorised financing of the Iraq war.    

3. Dutch Rekenkamer-JSF an expensive investment, Sdu government  information service, 11 October 2006 (costs Euro 14.600.000.000 for 85 planes).

4. Foreign Trade Statistics, FT900 : U.S.International Trade in Goods and Services, U.S.Census Bureau, Release 8 June 2007.

5. Watkins K. Eight broken promises, Oxfam briefing paper 9, Oxfam International, Washington, 2001 (US$ 350 billion in 2001).

6. OECD Organisation for Economic Cooperation and Development, press release “Development Aid from OECD countries fell 5.1% in 2006”, Paris, 3 April 2007

7. Easterly, William, The White Man’s Burden – Why the West’s Efforts to Aid the Rest have Done so much Ill and so Little Good, Penguin Press, London, 2006.


 

INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES : QUELQUES GROUPES DE FILES UTILES

 

Modèle complet pour projets de développement écologiques, durables, et auto-financés.

Des introductions brèves et des instructions sur comment commencer un projet.

Des sommaires brefs, y compris un sommaire exécutif avec des informations élémentaires. Ce groupe de files comprend des instructions sur comment commencer les activités.

Des illustrations des structures prévues.

Des schémas, des dessins, et des graphiques qui illustrent les structures les plus caractéristiques des projets.

Les annexes supplémentaires aux documents du projet.

Une liste de documents avec des informations supplémentaires en support des projets. La liste fournit des informations spécifiques sur les concepts et les technologies prévus du Modèle, telles les informations sur le travail du sociologue Brasilien Clodomir Santos de Morais, sur les systèmes de monnaie locale, sur les systèmes de micro-crédit, sur quelques technologies appropriées recommendées et sur des cours d’éducation à l’hygiène.

Des articles publiés sur des aspects spécifics du Modèle.

La liste comprend des articles sur des implications politiques du Modèle, sur l’utilisation des énergies alternatives, sur les micro-crédits, et sur la fourniture en eau potable. Ces informations ne sont pas, hélas, disponibles en langue française.

Quelques projets en Anglais et en Français écrits suivant les principes introduits du Modèle.

 


 

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«L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 

"À la fin, il s’agit d’aimer l’humanité. La liberté commence avec l’amour.

Notre défi est d’apprendre à aimer le monde."

L’écrivain Nigérien Ben Okri, ODE Magazine, Déc 2002-Jan. 2003, p.49

 


 


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