ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.

 

Édition 01: 25 Mai, 2009.

Édition 04: 22 Décembre, 2013.

 

01. Cours e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév. Int)

 

Trimestre 1.

 

 

SECTION A : LES PROBLÈMES DU DÉVELOPPEMENT.

 

 

Valeur attribuée : 04 points sur 18

Travail prévu : 112 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section A : Problèmes de Développement.

 


 

Premier bloc : La pauvreté et la qualité de vie.

 

Valeur attribuée : 02 points sur 18

Travail prévu : 57 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section A : Problèmes de Développement.

 


 

Premier Bloc : Section 2. Les services à la base d’une bonne qualité de vie. [26.50 heures]

 

[06.50 Heures] Analyse du matériel du Modèle.

[14.00 Heures] Approfondissement.

[06.00 Heures] Rédaction de votre rapport.

 


Premier Bloc : Section 2. Les services à la base d’une bonne qualité de vie. [26.50 heures]

 

[06.50 Heures] Analyse matériel du Modèle.

 

01. Les bases d’une bonne qualité de vie.

02. La sécurité physique.

03. L’abris.

04. L’eau potable.

05. Schéma typique d’une zone de forage/puits.

06. Point d’eau typique.

07. La sécurité alimentaire.

08. La santé et l’assainissement.

09. Système complet de recyclage des ordures.

10. Toilette à compostage à sec.

11. L’éducation pour tous.

12. Travail pour tous.

13. Système de sécurité sociale.

 


 

Premier Bloc : Section 2. Les services à la base d’une bonne qualité de vie. [26.50 heures]

 

[06.50 Heures] Analyse matériel du Modèle.

 

07. La sécurité alimentaire. (Au moins une heure).

 

Nous passons au troisième service à la base d’une bonne qualité de vie, après ceux relatifs à la sécurité physique et à la fourniture en eau potable.

 

Consultez la diapositive :

 

17. Sécurité alimentaire. 

 

Familiarisez-vous avec la Section 4: Crise alimentaire du cinquième bloc Comment les structures dont au troisième bloc font face à des problèmes spécifiques.

 

L’alimentation suffisante ; diète variée.

 

Des ressources indépendantes «désintéressées » sur les exigences calorifiques journalières des êtres humains sont difficiles à trouver à cause des variables dont il faut tenir compte. Les variables comprennent le sexe de l’individu, son âge, son hauteur, son poids (préféré), et la nature de ses activités. Les exigences des petits enfants sont évidemment différentes à celles des adolescents. Faire un moyen indicatif global comme font des organisations telles la Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’ouvre à des discussions. Pour prendre un homme «moyen » de 45 ans, à poids autour des 75 kg, qui mène des activités modérées, peut-on prévoir une consommation calorifique journalière autour de 3000 calories. Celle d’une femme de 45 ans à poids 65 kg , avec des activités modérées, se trouverait autour des 2500 calories.  

 

Le Conseil Pontifical  «Cor Unum » du Vatican donne comme référence 14 à son rapport du 1996  La Faim dans le Monde un Défi pour Tous : Le Développement Solidaire:

“(14) Des études faites par la FAO et l'OMS ont établi que le minimum journalier de calories nécessaire est d'environ 2100, lorsque la disponibilité d'aliments journalière doit être 1,55 fois le métabolisme basal: au-dessous de ces paramètres une personne peut être considérée comme souffrante de sous-alimentation chronique (cf. FAO et OMS, Conférence Internationale sur la Nutrition. Nutrition et développement. Une évaluation d'ensemble, Rome, 1992). Il y a encore environ 800 millions de personnes au monde sous-alimentées: en moyenne, un adulte requiert quelques 2500 calories par jour. Les habitants des pays industriels obtiennent quelques 800 calories excédentaires par jour, alors que ceux des pays en développement doivent se contenter des deux tiers de cette ration (cf. Le Sud dans votre assiette. L'interdépendance alimentaire mondiale, CRDI, Ottawa 1992, p. 26).”

 

Ni la viande, ni les produits laitiers ne sont essentiels à la fourniture de protéines pour une diète équilibrée .Les plants contiennent elles aussi des protéines. Pour informations additionnelles lisez : Goodland, R., Plants have proteins, Down to Earth ( http://downtoearth.org.in ), Society for Environmental Communications, New Delhi, 15th Novembre, 2012.   

 

 

La production alimentaire locale pour la consommation locale.

 

Comme on peut lire par exemple des notes publiées de la FAO, Rome en 2002 sur  Mondialisation, biens publics et commerce international ne peut-on pas s’attendre que les grandes organisations mondiales offrent des solutions logiques au problème de la faim au monde. On en parle, mais on suit dans la réalité  le but prioritaire de promouvoir le commerce mondial  “ouvert” à bénéfice surtout de ceux qui font les règles et qui reçoivent les subsides énormes mis à leur disposition des gouvernements des pays industrialisés.  Ces subventions montaient à  US$ 350.000.000.000 pour les seules subventions dans le secteur agricole en 2001. (Watkins K. Eight broken promises, Oxfam briefing paper 9, Oxfam International, Washington, 2001 (US$ 350 billion in 2001). Cela représente plus que trois fois le montant de US$ 103.900.000.000 (y compris un chiffre d’environ US$ 19.000.000.000 pour la annulation des dettes) dépensé de tous les pays de la OECD ensemble sur l’aide au développement en 2006. ( Press release  L'aide au développement consentie par les pays de l'OCDE affiche un recul de 5.1 % en 2006  - OECD Organisation for Economic Cooperation and Development, Paris, 3 Avril 2007

 

Pour une analyse des effets de l’achat de terres de la part d’organisations étrangères voir:  Odeny E. et al (eds), Landgrabbing in Kenya and Mozambique.

 Food First Information and Action Network (FIAN), Heidelberg, Avril 2010.

 

La culture au niveau des habitations : la  production alimentaire locale pour la consommation locale.

 

Le recyclage sur site, là où possible, de 7,5 litres d'urine par jour (par famille de 5 personnes) mêlés avec 75 litres d'eaux grises filtrées suffit pour des jardins verticaux, ou des jardins sur les toits ou placés à côté des maisons pour assurer aux ménages une bonne partie (si non toutes) de leurs exigences alimentaires. Ceci veut dire que nous pouvons recycler directement au niveau des ménages les engrais nécessaires à la production des aliments suffisants à la survie.

 

L’élimination des monocultures.

                            

Consultez :  Suárez S., Emanueli M, Monocultures and human rights, Food First Information and Action Network (FIAN), Heidelberg, and Habitat International Coalition Regional Office Latin America, Mexico City, Juin 2009 .

 

1. Recherches.

 

Existent-elles des monocultures dans la zone que vous avez choisi , cas échéant dans votre pays?  En faites une liste.

 

Les facilités de stockage des aliments de production locale destinés à la consommation locale.

 

2. Recherches.

 

En faites une liste pour la zone que vous avez choisi , cas échéant dans votre pays. Quelles structures, selon vous, manquent ?

 

L’utilisation de semences locales.

 

3. Recherches.

 

Fates une liste des semences utilisées dans votre zone, cas échéant dans votre pays. Lesquelles d’entre elles sont de production locale ? Pourquoi est-ce qu’on les produit localement ? Quelles sont les structures en place pour le faire ? Quelles semences sont  importées ? Pourquoi ? Établissez une valeur indicative de leur coût.

 



 Premier bloc : Section 2.

 Premier  bloc : La pauvreté et la qualité de vie.


Table matières pour le Diplôme du Développement Intégré  (D.Dév.Int).

 Liste des mots clefs.

 Liste des références.

  Schéma du cours.


  Cours disponibles.

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