NGO "ANOTHER WAY" (STICHTING BAKENS VERZET), NETHERLANDS, SUSTAINABLE INTEGRATED SELF-FINANCING DEVELOPMENT PROJECTS AND ADVANCED DEVELOPMENT TECHNOLOGIES

Sur base de l’analyse que vous avez fait, calculez les exigences raisonnables en eau dans votre zone, par personne, par famille, et pour la zone entière.

Faites votre calcul voix par voix et y ajouter le total des exigences.

Récolte de l’eau pluviale (à utilisation ménagère).

2. Recherches.

Sur une page, calculez la surface moyenne couverte des toits des habitations dans votre zone de projet. Au cas de grandes variations, Where there are large variations des surfaces, pouvez-vous faire le calcul des deux ou trois dimensions les plus communes et le pourcentage des habitations avec chacune des dimensions pour faire de suite un moyen par habitation. Il s’agit de calculer le 100% de la superficie totale couverte des toits dans leur ensemble. Important : il s’agit de calculer la superficie COUVERTE des toits, pas la superficie des toits eux-mêmes. Selon la pente et la forme des toits, leur propre superficie peut bien excéder celle qu’ils couvrent..

3. Recherches.

Sur une page, utilisant la superficie moyenne des toits calculée ci-dessus et les informations hydrographiques dont à votre analyse calculer le volume en litres qui tombe sur les toits chaque année dans la zone du proje.,

De suite :

1. Calculer, là où nécessaire sur la bas des estimations intelligentes, la distribution mensuelle de la quantité d’eau pluviale qui tombe chaque année.

2. Diviser la quantité de pluie mensuelle dont à `. par le nombre de toits. Cela vous donnera la quantité moyenne d’eau par toi, mois par mois.

3. Multiplier le résultat en 2.par 75%, à couverture de la perte de capacité pluviale due par exemple au débordement, à l’ absorption par les matériaux de construction des toits, et à l’évaporation.

4. Calculer les exigences en eau (pluviale) d’un famille typique, mois par mois, à travers l’année. Les exigences peuvent varier d’un mois à l’autres sous l’influence de variables telles la température, le nombre des membres résidents des famille, la croissance végétale, les activités productives.

5. Soustraire le résultat 4 au résultat 3,moi par mois, sur une période de deux ans.. Un résultat positif signifie la quantité d’eau pluviale tombée supère les exigences en eau au cours du mois en question.. L’eau supplémentaire peut, en principe, être récoltée. Un résultat négatif signifie qu’on dispose de mois d’eau pluviale au cours du mois en question que demandent les exigences. La quantité d’eau qui manque peut être, en principe, récupérée des réserves stockés.

6. Calculer pour chaque mois le total des résultats dont au point 5 pour les 12 mois précédents à commencer du mois 13 .

Pour le mois 13, compter le total des résultats des mois 1-12

Pour le mois 14, compter le total des résultats des mois 2-13

Pour le mois 15, compter le total des résultats des mois 3-14

Etc.

La valeur la plus élevée des résultats positifs dont au point 6. représente la quantité maximum d’eau disponible, en principe, mois par au stockage. La valeur la plus élevée des résultats négatifs représente la capacité de stockage dont n a en principe besoin. Il faut mieux, toutefois, cas échéant, prévoir des variations saisonnières de l’eau de pluie, augmentant, même redoublant la capacité de stockage prévue.

Au cas où la valeur positive (eau disponible au stockage) soit inférieure à celle négative (exigences en eau), la superficie du toit ne permet pas la capture de la quantité d’eau de pluie nécessaire On se trouve en présence d’un manque structurel d’eau pluviale. En tel cas ou la quantité d’eau mise à disposition devra être rationnée, tout au moins au cours des mois «critiques » ou bien l’on devra organiser une capacité supplémentaire. Une capacité supplémentaire peut être fournie à travers la création de superficies supplémentaires de drainage au cours des saisons de pluie y comprise le montage de superficies de captation provisoires.

Attention :

Le résultat dont au point 6 ne représente pas automatiquement le volume du réservoir qu’on installera. Il s’agit d’être pratique. Aux temps de pluie, a-t-on en principe besoin de moins d’eau pluviale au niveau ménager. Une concentration de pluie sur une période relativement brève (ce qui est commun dans beaucoup des pays en voie développement) pourrait produire un volume potentiel juste mais également tout à fait irréel du point de vu du stockage physique.

Supposant une période sèche de trois mois, une réserve de 5 m3 signifie 1000 litres par personne dans une famille de 5 membres, ce qui veut dire une marge +/- 10 litres par personne par jour. Une période sèche typique de six mois pourrait justifier, selon les conditions hydrologiques, un volume de stockage supérieur.

L’entretien des structures de fourniture en eau potable dans votre zone.

4. Recherches.

Faites des recherches sur les expériences de l’entretien des structures en eau potable dans votre zone (cas échéant, dans votre pays).

5. Opinion.

Écrivez un rapport de maximum 2 pages A4 (1000 mots) à présentation des conclusions que vous faites sur la base de vos recherches.

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