ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.

 

01. Cours e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)

 

Édition 02: 08 Septembre, 2009.

Édition 03 : 05 Décembre, 2011.

 

Trimestre 2.

 

SECTION B : LES SOLUTIONS AUX PROBLÈMES.

 

 

Valeur attribuée : 06 points sur 18

Travail prévu : 186 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section B : Les Solutions aux Problèmes.

 


 

Quatrième bloc: Les structures à créer.

 

Valeur attribuée : 03 point sur 18

Travail prévu : 96 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section B : Les Solutions aux Problèmes.

 


 

Quatrième bloc: Les structures à créer.

 

Section 5: Les structures de service. [24 heures]

 

24.00 heures : Analyse des structures de service.

04.00 heures : Rédaction rapport.

 


 

Section 5: Les structures de service. [24 heures]

 

20.00 heures : Les structures de services.

 

01. Structures en eau potable : organisation.

02. Structures en eau potable : technique.

03. Structures d’assainissement : organisation.

04. Structures d’assainissement : technique.

05. Structures de recyclage ordures : organisation.

06. Structures de recyclage ordures : technique.

07. Structures d’éclairage photovoltaïque.

08. Structures pour l’élimination de la fumée dans et autour des habitations.

09. Structures éducatives.

10. Structures de santé.

 


 

20.00 heures : Les structures des services.

 

09. Structures éducatives. (Au moins deux heures).

 

Les projets de développement intégré n'ont pas pour but de se substituer à l'état en ce qui concerne les structures scolastiques présentes dans la région, sauf pour l'installation de systèmes sanitaires la où nécessaires, la fourniture en eau potable pour les enfants, et, éventuellement, l'installation de systèmes d'éclairage là où on décide de faire commencer des leçons le soir au bénéfice des adultes.  Le projet collaborera avec le Ministère de Éducation Publique pour promouvoir l’éducation formelle complète dans la zone du projet à fin d’y achever tous les objectifs du Millénaire relatifs à l’éducation entre 2015. Là où le Ministère ne réussira pas a fournir des équipements ou des services d’enseignants, le projet lui-même s’efforcera de s’en assumer la responsabilité.

 

Les investissements en monnaie formelle nécessaires aux structures permanentes des écoles ne sont pas bien adaptés en principe au recyclage rapide et sans intérêts qui est à la base des projets de développement intégré autofinancé. Des contributions de la part du Ministère aux frais des écoles sont de conséquence retenues nécessaires.

 

Le projet n’a pas pour but aucun changement du, ou adaptation au, curriculum scolastique national, sauf pour l’inclusion, avec la pleine collaboration des responsables du ministère, des cours d’hygiène prévus.

 

Le système scolastique dans les zones de développement intégré est souvent presque totalement à la charge des parents des élèves. Les associations des parents essaient de trouver à la mesure de leurs moyens des solutions idoines aux problèmes auxquels les écoles sont confrontées, qui sont en général  nombreux et graves.

 

Il s'agit :

 

a) d'un manque d'infrastructure immobilière.
b) d'une insuffisance mobilière.
c) d'un manque de matériel didactique.
d) d'une insuffisance de personnel enseignant.

 

Les  projets de développement intégré créeront, néanmoins, des institutions importantes pour l'amélioration du système scolastique dans chaque zone de projet. Par exemple :

 

a) Les commissions réservoir
b) Un système SEL -LETS de monnaie locale
c) Des usines pour la production d’articles en composites de gypse.

d) Des matériaux disponibles localement.

 

Dans la pratique beaucoup des biens et services disponibles localement et nécessaires aux structures éducatives peuvent être payés dans la monnaie locale SEL -LETS créée au cours de chaque projet. Ces biens et services peuvent comprendre :

 

a) Des services d’enseignants disponibles à travailler (à plein temps ou à complément de leurs salaires étatiques) dans le cadre du système SEL -LETS pour un salaire exprimé (éventuellement partiellement) en crédits SEL -LETS.
b) Des éléments en composites de gypse à utiliser pour les constructions, y comprises des structures portantes.
c) Des meubles scolastiques en composites de gypse pour les écoles.
d) L’utilisation de matériaux disponibles localement.

e) La reproduction de matériel didactique à travers des systèmes TV à énergie photovoltaïque et/ou à travers des services de reproduction documentaire mis à la disposition des écoles de la part de consultants locaux établis avec le support du système de micro -crédit prévu.

 

La construction des facilités mentionnées pourra commencer dès l’établissement des structures sociales et financières prévues.

 

Les commissions réservoir pourront prendre, avec le permis des autorités locales et celui des organes du Ministère de Éducation, des initiatives concernant les écoles situées dans leur territoire. La codification des membres du système SEL -LETS prévu permettra la possibilité d'identifier les parents des élèves de chacune des écoles. Les populations décideront au cours de réunions convoquées par les commissions réservoir, quels frais devront être distribués parmi toutes les familles et quels frais (en monnaie locale SEL -LETS) devront être à la charge des seuls parents des élèves.

 

ÉCOLES PRIMAIRES.

 

Une fois établies les structures sociales et financières prévues du projet, peut-on commencer avec la construction rapide d’aussitôt d’écoles primaires dont on puisse avoir besoin, en tenant présent les structures déjà existantes. En manque de financements de l’état, les écoles seront construites dans le cadre du système de monnaie locale établi en se servant de la main d’œuvre et des matériaux locaux.

 

Tandis des contributions du Ministère de l’éducation sont attendues et bienvenues, les écoles peuvent être payées des habitants servis de l’école en question, qui évidemment en deviendront par conséquence les propriétaires. La propriété légale relative aux structures sera investie dans de tels cas dans les commissions réservoir dans les zones où les écoles seront construites. On s’attend à ce que la Commune locale mette gratuitement des terrains à la disposition des écoles suivant la pratique traditionnelle.

 

Les services de base des écoles, tels l’eau potable, les structures éco -sanitaires, la récolte des eaux pluviales à utilisation générale, et l’éclairage photovoltaïque sont déjà encadrés dans chaque projet. Au cas de la construction d’une école peut-elle incorporer la fonction d’une salle d’études à éclairage photovoltaïque, déjà prévue au bilan du projet au niveau des commissions réservoir.

 

Les écoles primaires devraient être situées auprès des maisons des élèves pour éviter que les élèves doivent consacrer trop de temps pour les atteindre. Les écoles établies des projets resteront petites, avec un maximum d’une classe pour chaque niveau. 

 

Recherches.

 

1. Sur une page indiquez le nombre de niveau (classes) à l’école primaire, .l’âge où l’éducation primaire de base commence et l’âge  où il (d’habitude) se termine. En donnez les statistiques pour votre zone.

 

Un objectif  raisonnable de base pour le nombre d’élèves dans chaque classe (sans y laisser des marges pour l’inclusion d’enfants handicapés) est 18. 

 

Le nombre de classes multiplié du numéro standard d’élèves par classe (18) donne en principe un numéro d’élèves moyennement par école.

 

Toutefois, chaque commission réservoir n’aura  peut être que moyennement 50-70 enfants âgés 5 à 12 pour attendre une école primaire. Au cas d’écoles à dimensions petites, peut-on prévoir la présence de deux sections par classe. 

 

En principe, chaque commission réservoir devrait prévoir la construction d’une école primaire. Toutefois, dans les zones à populations plus concentrées, une école peut bien être «divisée » entre deux zones de commission réservoir.  

 

La quantité d’écoles primaires à construire par conséquence est prévue en +/- 200 par zone de projet. La construction physique des écoles dépende de la disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème le plus grave à  l’expansion des facilités éducatives dans le cadre des projets de développement intégré. On ne procède à la construction des écoles qu’une fois qu’il y aient des enseignants disponibles à y travailler.

 

En beaucoup de pays pauvres les étudiants ayant complété une instruction supérieure se qualifient automatiquement comme enseignants primaires. Beaucoup d’étudiants ainsi qualifiés et provenant d’une zone de projet se trouveront actuellement dans les grandes villes à la recherché d’un emploi. L’amélioration générale de la qualité de vie dans la zone du projet devrait suffire à les encourager de rentrer à leurs villages d’origine, en particulier là où le projet pourra leur offrir une accommodation appropriée gratuite.

 

On attend à ce que les Ministères de l’Éducation Publique soient disponibles à payer aux enseignants un salaire là où une école avec accommodation pour l’enseignant est construite en tout ou partiellement à la charge des habitants locaux. Éventuellement une partie du salaire des enseignants pourrait être payée du Ministère et une partie des habitants. La partie éventuellement à la charge des habitants pourra être payé par la communauté locale ou par les parents des élèves dans le cadre du système de monnaie locale établi du projet. Au cas de défaut total ou partiel de la part du Ministère, les enseignants disponibles à travailler entièrement dans le cadre du système monétaire local pourront être payés en tout cas de la communauté locale (à voir, la communauté totale servie d’une commission réservoir, ou des seuls parents des élèves) dans le cadre du système de monnaie locale.

 

Des cours de formation des enseignants qui rentrent à leur zone d’origine leur seront disponibles. En principe, tels cours devraient être mis à la disposition de la part du Ministère de l’Éducation. Au cas de défaut du Ministère, les projets chercheront l’assistance des ONG spécialisées dans le secteur de la formation des enseignants. Au cas de manque d’une telle assistance de la part des ONG internationales, le projet nommera et payera (dans le cadre du système de monnaie locale établi) les enseignants locaux les mieux qualifiés et avec la plus grande expérience pour réaliser une formation supplétive aux autres jeunes enseignants.   

 

LES ÉCOLES SECONDAIRES.

 

Une école de deuxième niveau peut être en principe prévu pour chaque zone de commission forage. Avec 35 commissions forage dans la zone, prévoit-on donc 35 écoles de deuxième niveau dans chaque zone du projet.

 

Les principes relatifs à la construction des écoles secondaires sont les même de ceux ci-dessus cités pour les écoles primaires. Sauf que les écoles secondaires seront plus grandes, à couverture de la diversification des études. Supposant que chaque commission forage sert 7 commissions réservoir et que le passage annuel d’élèves des écoles primaire aux écoles secondaire soit 10 par commission réservoir, a-t-on +/- 70 élèves à chaque niveau de l’école secondaire. Supposant au moins 5 ans d’études secondaires, parle-t-on d’écoles secondaire avec de 350 à  420 étudiants. Celle-ci est la dimension retenue idéale pour les écoles.  (Wilson V., Does small really make a difference?, Scottish Council for Research and Education (SCRE) Report 107, Glasgow, 2002. )   

 

La construction des écoles dépendra de la disponibilité d’enseignants, qui constitue le problème de base relatif à  l’expansions des facilités éducatives dans la zone du projet. On ne procède à la construction des écoles qu’une fois qu’il y aient des enseignants disponibles à y travailler.

 

Pour la disponibilité, paiement et formation des enseignants et la participation du Ministère voir les observations ci-dessus sur les écoles primaires.

 

On ne prévoit aucune forme de transport public spécifique pour les élèves du deuxième niveau. On attend bien le développement d’un système de transport public général au cours de l’exécution de chaque projet. On prévoit aussi la construction d’un réseau de sentiers de communication améliorés pour piétons et bicyclettes sur tout le territoire des projets. 

 

Les écoles de deuxième niveau se trouveront d’habitude dans un rayon de 2-3 kilomètres des maisons des élèves.

 

Chaque projet pourra décider d’établir des groupes coopératifs d’achat et/ou fournir des subventions à l’achat de bicyclettes pour permettre aux enfants d’arriver à leurs écoles. La présence des bicyclettes dans la zone du projet augmenterait la mobilité aussi d’autres membres de la famille.

 

L’ÉDUCATION TERTIAIRE.

 

Les enfants de la zone du projet en possession de leurs certificats d’éducation de deuxième niveau ont le droit aux termes de la Déclaration des Nations Unies sur les Droits de L’enfant (1959) de poursuivre leurs études.

 

Les études tertiaires ne seront-elles pas, en général, disponibles au niveau des projets.

 

Chaque documentation de projet nommera les écoles techniques les plus proches et la distance à laquelle elles se trouvent.

 

Chaque documentation de projet nommera l’université la plus proche et la distance à laquelle elle se trouve.

 

Les étudiants capables ont le droit, cas échéant, au support de leur communauté d’origine. Le niveau de tel support dépende des bourses et des services mis à la disposition des étudiants de la part des autorités nationales et régionales.

 

Chaque documentation de projet nommera les bourses et les services à la disposition des étudiants de la zone du projet.

 

La population de chaque zone du projet a un intérêt propre direct à ce que ses jeunes étudiants puissent se qualifier dans leurs spécialités choisies pour qu’ils puissent exercer leurs professions dans la zone du projet même et contribuer à long terme à son développement. À ce but, la Coopérative de Gestion Permanente des Structures de chaque projet pourra établir les bourses d’études soit en monnaie formelle soit en monnaie locale.

 

Les bourses en monnaie formelle seront payées du Fonds Coopératif d’Éducation établi du projet. Les communautés peuvent contribuer à ce Fonds au niveau des commission forage, et éventuellement au niveau central du projet. Les membres du Fonds payeront une petite contribution mensuelle au Fonds Coopératif Éducation (bourses). Le Fonds fournira des subsides aux commissions forage à favoriser les études avancées des étudiants y résidentes. Les commissions forage décideront comment effectuer la distribution des fonds disponibles entre les étudiants et leurs familles.

 

Les projets jetteront les bases pour la formation d’un institut de cours propédeutiques dans leur zone, offrant des cours sur un ou deux ans de préparation propédeutique aux études universitaires suivantes.

 

Tels instituts ne rentrent pas pourtant dans les capacités autonomes des projets car ils impliquent un niveau d’investissements en monnaie formelle au de là de leurs possibilités. Ils ne pourront se réaliser qu’avec la participation d’une ou plusieurs universités et du Ministère de l’Éducation Publique. Au même temps les frais de gestion des Instituts pourront être réduits d’une manière importante, en donnant une stimulation aux investisseurs. En effet, beaucoup des services relatifs à la gestion journalière des Instituts pourront être exécutés dans le cadre des monnaies locales avec la participation des populations locales aux frais de gestion. Des exemples en seraient la mise a disposition gratuite du terrain, la supervision des structures y compris la gestion des zones vertes, les services de nettoyage et de restauration, et le transport des étudiants.

        

ÉCOLE MÉTIERS.

 

On prévoit l´institution à (un endroit au centre de la zone du projet) au niveau de chaque projet d´un collège technique pour les métiers.

 

On espère que les collèges puissent être établis entièrement dans le cadre du système de monnaie locale. Les enseignants devront par principe venir de la zone du projet. Ils seront payés dans la cadre du système de monnaie locale. On attend à ce que l´école soit construite dans le cadre du système de monnaie locale, entre d’autres des élèves mêmes.

 

Les étudiants et leurs familles payeront une petite contribution en monnaie formelle dans le Fonds Coopératif  d´Éducation (métiers) pour couvrir les dépenses en monnaie formelle à couverture des coûts des matériaux et équipements qui ne peuvent pas être produits localement.

 

ÉCOLES D’AGRICULTURE EN PLEIN AIR. (Source en anglais :  F.A.O.  Farmer Field School.)

 

Les écoles d’agriculture en plein air sont privées de murs. Un groupe d’agriculteurs se rencontre dans l’un de leurs propres champs pour obtenir informations sur leurs cultures et les facteurs y pertinents. Les membres du groupe y apprennent comment améliorer les résultats de leur travail à travers l’observation, l’analyse, et les expérimentations. La  FAO et d’autres organisations intéressées à la promotion du développement les proposent au but d’achever une amélioration de l’utilisation des terres et des ressources en eau. Différemment aux approches traditionnelles, les écoles en plein air pour agriculteurs  encouragent les groupes de cultivateurs à trouver des réponses aux questions qu’ils se posent et des solutions aux propres problèmes.

 

Les promoteurs (instructeurs) des groupes ont besoin de matériel de support pour illustrer les pratiques les plus indiquées pour une bonne gestion des sols et des ressources en eau à travers le développement de technologies participatives et de démonstrations qui puissent aider les cultivateurs dans le choix des options les plus appropriées aux types spécifiques de fermes et contextes physiques agricoles. Ils ont besoin en plus d’informations qui permettent aux agriculteurs de comprendre les aspects divers de la réduction de la productivité des sols et comment y apporter des améliorations.

 

Les agriculteurs dans chaque groupe se rencontrent d’habitude une fois par semaine à partir de la plantation et jusqu’à  la récolte pour contrôler la croissance des cultures, la humidité des sols, et faire le compte soit des ravageurs des plantes soit des créatures bénéfiques telles les lombrics et les araignées. On réalise des expérimentations.

L’instructeur d’un groupe est d’habitude un vulgarisateur ou bien un autre agriculteur qui a déjà fait une école en plain air. Il donne des conseils et assiste le groupe en ce qui concerne ses décisions sur le contenu du cours. Il pense à des solutions possibles, et fournit des réponses aux questions du groupe. Les agriculteurs se servent de leurs propres expériences et observations, et décident comment gérer la culture en question. Les groupes tiennent des journées sur le terrain pour faire connaître leurs activités aux autres agriculteurs.

 

2. Opinion.

 

La formation à trois niveaux anthropologiques des structures des projets de développement intégré se prête bien aux systèmes éducatives modernes tels qu’ils sont réalisés dans les pays industrialisés. Sur une page en expliquez les raisons, y exprimez vos éventuelles réserves, et faites votre conclusion.

 

3. Opinion.

 

Pour pouvoir créer rapidement les structures éducatives prévues dans chaque zone de projet, doit-on pouvoir disposer d’une réserve de jeunes suffisamment qualifiés  dont quelques-uns seront déjà émigrés aux centres plus grands. Vous êtes le responsable éducation de la Commission de Gestion Permanente d’un projet. Vous rencontrez un groupe de jeunes qualifiés de la zone pour les convaincre de rentrer dans la zone pour y devenir enseignant. Sur une page faites votre plaidoirie.

 

4. Opinion.

 

Vous êtes femme, présidente d’une commission réservoir qui a décidé de construire une école primaire à trois classes pour les 60 enfants âgés entre les 5 et 12 dans de votre communauté. On doit disposer d’enseignants. On doit obtenir un terrain. On doit construire l’école. On doit organiser la fourniture en eau, les structures d’assainissement, un système photovoltaïque pour les études le soir. Sur une page faites votre «business plan ».

 

5. Opinion.

 

Vous êtes jeune. Vous avez terminé vos études de l’école secondaire. Vous êtes allé à la capitale de votre pays pour chercher du travail. Vous réussissez à y obtenir des commissions occasionnelles mais vous n’avez pas trouvé un emploi «permanente ».Vous recevez une communication de la commission forage de votre zone de village d’origine d’y tourner pour enseigner au niveau d’école secondaire. Sur une page répondez à l’invitation.

 



 Quatrième bloc :  Section 5: Les structures de service.

 Quatrième  bloc : Les structures à créer.


Table matières pour le Diplôme du Développement Intégré  (Dip.Dév.Int)

 Liste des mots clefs.

 Liste des références.

  Schéma du cours.

 Aspects techniques.


 Cours disponibles.

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«L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 

“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)

Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.


 

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