ONG
Stichting Bakens Verzet (Une Autre
Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays
Bas.
01. Cours e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
01: 25 Janvier, 2011.
Édition
05 : 30 Novembre, 2012.
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 : Les aspects
économiques.
[Valeur 03 points
sur 18]
[Travail prévu : 85 heures sur 504]
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite
échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
SECTION 04 :
LES ACTIVITÉS CDM
DE FAIBLE AMPLEUR.
Les activités CDM à petite échelle sont classifiées en trois groupes
Le rapport référence FCCC/CP/2001/13/Add.2 de la septième session de
Le paragraphe 6 (c )de la
décision 17/CP.7 donne une
description des tâches assignées pour l’adoption au cours de la huitième
réunion comme suit :
Élaborer et recommander à
i) Activités de projet visant à produire de l’énergie à
partir de sources renouvelables dont la puissance maximale ne dépasse pas 15
mégawatts (ou une valeur équivalente appropriée);
ii) Activités de projet visant à améliorer l’efficacité
énergétique qui entraînent des réductions de la consommation d’énergie, du côté
de l’offre et/ou de la demande, pouvant atteindre l’équivalent de 15 gigawatt
heures par an;
iii) Autres activités de projet qui à la fois réduisent les émissions
anthropiques par les sources et émettent directement moins de 15 kilotonnes
d’équivalent -dioxyde de carbone par an;
Par implication, les projets de
faible ampleur furent divisés en trois groupes :
I. Projets pour la génération d’énergie renouvelable.
II. Projets pour l’augmentation du rendement
des équipements portant à une réduction de consommation d’énergie.
III. D’autres projets à petite
échelle pour la réduction des émissions faites par l’homme, jusqu’à un limite
d’épargnes CO2 de 15 kilotonnes.
Le rapport de la réunion des partis au Protocole
de Kyoto qui s’est tenue à Nairobi
le 6-17 Novembre 2006 fut publié le 2
Mars, 2007. Au cours de cette réunion,
les définitions originairement proposées au paragraphe 6 (c )de la
décision 17/CP.7 furent modifiées par 1/CMP.2,
paragraph 28) comme suit :
[La réunion}
« 28. Décide de réviser les définitions des
activités de projet de faible ampleur au titre du mécanisme pour un
développement propre qui font l’objet de l’alinéa c du paragraphe 6 de la décision 17/CP.7, comme suit:
a) Les activités de projet de type I restent les mêmes;
il s’agit d’activités de projet visant à produire de l’énergie à partir de
sources renouvelables dont la puissance maximale ne dépasse pas 15 MW (ou une
valeur équivalente appropriée);
b) Les activités de projet de type II ou activités de
projet visant à améliorer l’efficacité énergétique qui entraînent des réductions
de la consommation d’énergie du côté de l’offre et/ou de la demande comprennent
uniquement les activités dont la production ne dépasse pas 60 GWh par an (ou une valeur équivalente appropriée);
c) Les activités de projet de type III, dénommées aussi autres activités de
projet, comprennent uniquement les activités qui se traduisent par des
réductions des émissions inférieures ou égales à 60 kt
d’équivalent CO2 par an .» Les procédures de calcul relatives aux projets de
la catégories III ont été simplifiées.
Les
trois groupes de projets à faible ampleur devinrent :
I. Projets pour la génération d’énergie renouvelable jusqu’à une
puissance installée de 15 MW (ou équivalent). Cette définition ne fut pas
modifiée.
II. Projets d’augmentation du rendement
énergétique où la consommation d’énergie est réduite. La dimension maximale fut
augmentée à 60 GWh
par an, et le groupe fut étendu pour couvrir des équivalents appropriés.
III. D’autres petits projets qui
réduisent des émissions de CO2 causée par les
activités humaines, jusqu’un maximum d’épargnes CO2 de 15 kilotonnes. La dimension maximale des projets fut
augmentée jusqu’à 60 kt
de CO2.
Une
raison de l’augmentation des dimensions des projets fut que les coûts de
conformité pour l’approbation et la
validation des projets à petite échelle comme originairement définis
résultèrent tellement élevés qu’ils n’étaient plus économiquement viables.
Il peut
semble à première vue que les trois groupes de petits projets soient faciles à distinguer
l’un de l’autre. Dans la pratique, cela n’est pas toujours le cas.
Les activités individuelles à petite échelle réalisées dans le cadre de
projets de développement intégré peuvent se servir de méthodologies rentrant
dans tous les trois groupes. Le sens commun indiquerait que là où possible,
l’on choisisse des méthodologies simplifiées dont au groupe III. Jusqu’ici la
plupart des activités CDM à petite échelle on eu lieu
dans le cadre des groupes I et II. Le manque relatif d’applications des méthodologies
du groupe III dérive de l’histoire du développement de mécanisme CDM et de l’introduction plutôt récente des procédures
simplifiées mêmes. À titre d’exemple, ils n’existent pas toujours des
méthodologies simplifiées du groupe III pour la production de briquettes à
biomasse renouvelable. La méthodologie choisie à la section 06. La sélection des méthodologies CDM
pour les applications est celle AMS-I-E, tandis que celle relative à
la distribution des foyers de cuisine améliorés est celle AMS-II-G
(version 5).
Pour la sélection de méthodologies dont à la section 06. La sélection des méthodologies CDM
pour les applications, l’on a donné préférence aux
méthodologies de faible ampleur là où praticable.
Les avantages de l’enregistrement de projets de faible ampleur.
Les
avantages des projets de faible ampleur sont les suivants :
- Il
peuvent être regroupés (plusieurs
projets présentés comme un seul projet) utilisant la formule submission of bundled
small-scale project activities (CDM-SSC-Bundle).
- On
peut se servir du document de rédaction “simplifiée” des projets CDM-SSC-PDD (version 03 – 22 Décembre
2006). Un guide à la rédaction de ce
document est disponible.
- On se
sert de méthodologies “simplifiées” pour établir les termes de référence de
départ.
- On
peut présenter des nouvelles méthodologies pour
établir les termes de références selon les systèmes de validation
“simplifiés” relatifs aux projets d’afforestation et reforestation (AR):
a) la récolte et l’enregistrement des informations nécessaires au
calcul des émissions anthropogéniques (causées par les activités humaines) par
source de gaz à serre à l’intérieur de la zone du projet au cours de la
période de comptabilisation comme spécifié à l’annexe B relative à la catégorie
de projet en question (4/CMP.1,
Appendix B, pp. 76-78);
b) le calcul des émissions anthropogéniques (causées par les activités
humaines) par sources de gaz à serre à l’intérieur de la zone du projet au
cours de la période de comptabilisation comme spécifié à l’annexe B relative à
la catégorie de projet en question (4/CMP.1,
Appendix B, pp. 76-78);
c) le calcul des réductions des émissions anthropogéniques (causées par
les activités humaines) réalisées par l’activité CDM
de faible ampleur proposée et pour les effets de fuite, en suivant les
conditions prévues pour la catégorie de projet en question (4/CMP.1,
Appendix B, pp. 76-78).
- On se sert de la même entité opérationnelle désignée (DOE) soit pour la validation initiale du projet soit pour
les validations et les certifications successives. Pour les projets plus grands
a-t-on besoin de deux DOEs différentes.
Malgré
tels avantages, la complexité de la rédaction et de la gestion des projets CDM de faible ampleur signifie que tels projets, eux
aussi, demandent un investissement
important en termes du temps y dédié de la part de personnel bien qualifié. Ils
sont d’ailleurs sont coûteux. Les frais initiaux d’investissement et ceux de la
gestion de l’activité doivent être soigneusement pesés contre les bénéfices
potentiels. On a besoin de deux ans, et même de plus, pour que le projet soit
autorisé et plusieurs années encore avant l’émission de certificats CER et leur vente. Cela signifie que les frais élevés des
préparation sont toujours payables d’avance sans aucune garantie d’approbation
de l’application en question.
Récemment a-t-on introduit la possibilité d’accéder à des financements
sans intérêts à travers du CDM loan
scheme (Programme Environnement des Nations Unies (UNEP)
Risø Centre, Roskilde, Mai 2012) pour faire face aux frais de la préparation
des documentations de projets CDM dans les pays les
moins développés. Tels fonds sont destinés à bénéfice des consultants déjà
reconnus du système CDM. L’efficacité de cette
nouvelle proc’dure a été mise en question dans le
document The CDM
loan scheme : Is it additional? du Differ Group, Oslo, Mai 2012.
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite
échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Examen Bloc 8 : [4 heures]
Examen consolidé : Section C. [6 heures].
◄ Huitième bloc : Sect. 5 : Protocole de Kyoto :
Analyse des possibilités de financement.
◄ Huitième
bloc : Bloc 8 : Les aspects économiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté
est la privation construite)
Wahu Kaara,
point 8 of the Global Call to Action Against Poverty,
58th annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
Cette
œuvre est mise dans le domaine public aux termes d’une licence
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