ONG Stichting Bakens
Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours
e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
01: 25 Janvier, 2011.
Édition
10 : 05 Décembre, 2012.
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 : Les aspects
économiques.
[Valeur 03 points
sur 18]
[Travail prévu : 85 heures sur 504]
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto :
Analyse des possibilités de financement.
(Supplémentaire)
Cette section est de nature
technique. On y essaie de justifier le choix de la méthodologie la plus
appropriée à chacune des treize applications CDM proposées dans le cadre des
projets de développement intégré.
Il s’agit d’une procédure
complexe. Des contributions à l’amélioration de cette section
seront bienvenues.
Tout récemment, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement
(UNEP) a publié un Tool for Selecting CDM Methodologies and Technologies
(United
Nations Environment Programme (UNEP) Risø Centre CD4CDM, Roskilde, Novembre
2010). Cet instrument ne comprend que six des treize méthodologies ici
préférées, malgré le fait qu’à l’exclusion de la méthodologie AMS-III-AJ, toutes les
méthodologies furent disponibles au moment de sa publication. Les indications ci-dessous dont à
l’instrument UNEP sont introduites avec les mots : “Route indicative UNEP:”
L’instrument de l’UNEP ne divise pas les méthodologies pour les sub-types par
secteur CDM. Cela le rende difficile à l’utilisation.
De détails complets sur les
applications individuelles et les calculs indicatifs des revenus CDM se
trouvent à la section 09. Des indications sur le financement à travers du
système CDM relatives aux applications et aux méthodologies choisies.
01. Réduction CO2 à
travers l'utilisation de foyers à cuisiner améliorés.
L’application 01 rentre dans
le CDM secteur 3 : Demandé d’énergie. Route indicative UNEP: Power Consumption > sub-niveau “Various
household installations” > sub-type “Stoves” > small-scale applications
> methodologies AMS-II-G (version 5)
or AMS-I-C.
Des deux technologies indiquées
par l’UNEP, celle AMS-II-G
(version 5) est compatible avec le CDM Secteu 3. Celle AMS-I-C par contre est
compatible avec CDM secteur 1 – industries de l’énrgie. La méthodologie AMS-I-C se réfère à
la génération de l’électricité. Elle peut être de notre analyse.
Une application CDM du 2009
sur les restes de biomasse comme
combustible pour foyers de cuisine individuels complète de
méthodologies proposées pour l’établissement des conditions de référence et
validation se réfère à un projet réel en Chine. Les documents cités
sont les textes effectifs du projet. La nouvelle méthodologie pourra être utilisée
pour la rédaction de projets de faible ampleur relatifs aux foyers de cuisine
une fois qu’elle ne sera approuvée du Conseil Exécutif du CDM.
02. Projets
démonstration pour le rétablissement de forêts, parcs nationaux, et réserves.
L’application 02 rentre dans
le secteur CDM 14 - Afforestation et reforestation.
La méthodologie préférée est
la AR-AMS-0004 , version 2,
11 Juin, 2009 – “Méthodologie simplifiée pour établir les termes de
référence et les conditions de validation pour activités agro -forestières à faible ampleur dans le cadre du mécanisme
pour le développement propre CDM” [Traduit de l’anglais]. Elle serait utilisée pour le rétablissement
des forêts (afforestation et reforestation) à travers la plantation d’arbres
indigènes. Cette méthodologie à été omise de l’instrument UNEP Tool for Selecting CDM Methodologies and Technologies.
Les paramètres décrites
[traduites en français] en sont :
“(a) Activités du projet n’ont pas lieu dans les prairies [grasslands];
“(b) Les activités du projet portent à l’établissement de forêt (selon les
indications relatives à la superficie, à la hauteur, et à la couverture
normative des cimes indiquées au Conseil Exécutif (EB) par le pays d’accueil)
et permettre la continuation ou l’introduction d’une régime de culture;
“(c) La couverture de référence des cimes dans la zone du projet est
inférieure au 20% de la couverture normative signalée au EB par le pays
d’accueil;
“(d) Au cas de diminution de la superficie cultivée attribuable à
l’implémentation du projet, telle diminution ne soit pas supérieure au 20% de la
zone totale cultivée au commencement du projet. »
La possibilité d’application de projets REDD
(Réduction des Émissions dérivantes de
Pour
une analyse des effets des propositions REDD+ voir : Key
Arguments Against Reducing Emissions from Deforestation and Degradation (REDD+),
Carbon Trade Watch et al, Barcelone, Juin 2011. Pour d’autres informations
supplémentaires voir An end to forest offsets : why forests should not be part of the carbon
market, Grundtvig Learning Partnerships
“Forests and climate protection..”, Commission Européenne, Education and
Training, Lifelong Learning Programme, Bruxelles, Mai, 2012.
“For those indigenous and
peasant communities that still occupy territories covering a substantial
surface area and containing the best-preserved natural resources, the preferred
carrot for the moment is the sale of environmental services and their
by-products, especially REDD and REDD Plus. As many social organisations have
shown, REDD/environmental services allow numerous companies, among them the
most polluting and destructive on the planet, to continue contaminating and
generating profits from their destruction, while creating the necessary
conditions for the gradual expropriation of land and territories under the
control of peasants and indigenous people. REDD begins by expropriating the
capacity of families, communities and people to freely determine forms of
control, holding and protection of their spaces and common goods. Using the
pretext of the market, the REDD projects impose contracts or management plans
drawn up by outside authorities that reduce sources of food and subsistence for
local people. This alters local systems of co-existence and destroys or weakens
social organisations, all in exchange for minimal monetary revenues that do not
resolve the problem at its source and that actually exacerbate tensions. There
are well known examples of communities running into debt, fragmenting or
breaking up, which leads to resignation, migration, the division of communal
land and the eventual acceptance of long-term renting concessions or the sale
of the land to access mortgages. The carrot rarely succeeds in curbing
discontent but it does keep it at bay until a point where the affected
communities are no longer in a position to react or resist.” (Behind the “Green Economy” :
Profiting from environmental and climate crisis, GRAIN, Allianza
Biodiversidad, WRM, ATALC, site web www.grain.org,
Barcelona, 11 Septembre, 2012.).
Comme Mbow, C. et al le disent avec modération dans leur rapport Challenges and Prospects for REDD+ in Africa : Desk Review of REDD+
Implementation in Africa, (GLP Report no. 3, Global Land
Project International Project Office International for the Geosphere-Biosphere
Programme (IGBP) and the International Human Dimensions Programme (IHDP),
Université de Copenhagen, Copenhagen, 2012, p.25):
“there is a critical gap between the fundamental aims of REDD+ as
elaborated in the international dialog, and the realities on the ground.”
Les auteurs ajoutent à la page 35 avec un point d’ironie : “The
REDD-mechanisms are more likely to succeed if they build on, rather than
conflict with, the interests of local communities and indigenous groups.” Leur conclusion à
la page 49 lit : “A REDD-scheme that functions poorly will keep local forest
communities and indigenous people imprisoned in extreme poverty. There is the
fear that a group of actors will exert its influence of REDD-revenues to the
detriment vulnerable communities.”
03. Activités
d'afforestation dans les habitats selon les définitions fournies.
Les activités
d’afforestation dans les habitats sont définies dans la directive du 2006 du GIEC
(Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) Lignes
directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre
et
dans le document Good Practice Guidance for
Land-use, Land-use Change, and Forestry publié par l’ Institute for Global Environmental Strategies (IGES) au nom du GIEC, Kamiyamaguchi,
2003. Les terres des habitats comprennent toutes les superficies
«développées » telles celles résidentielles, celles des
infrastructures réservées au transport,
celles commerciales, et celles dédiées à la production quelle qu’en soit les
dimensions qui ne rentre pas dans les autres catégories d’utilisation des
terres.
La méthodologie choisie et
Les paramètres décrites dans
[Traduction de l’anglais de
(ii) Les habitats humains: gazons résidentiels et
commerciaux (soit ruraux qu’urbains), jardins, champs de golf, champs
d’athlétique, parcs, à conditions que telles terres soient associées
fonctionnellement ou administrativement avec des villes, villages ou autres
type d’habitat et qu’elles ne rentrent pas dans aucune autre catégorie
d’utilisation.
Telles activités font partie
du secteur CDM 14 - Afforestation et reforestation.
La méthodologie choisie est
Route
indicative UNEP: Afforestation et Reforestation > sub-niveau forêts > sub-type ou afforestation ou
reforestation.
Les paramètres applicables
sont :
[Traduction de l’anglais de
“(a) Les activités du projet sont réalisées sur
les prairies ou les terres cultivées ;
“(b) Les activités du projet sont réalisées
sur des terres où la superficie cultivée
à l’intérieur de la zone du projet déplacée par les activités du projet soit
inférieure à 50% de la superficie totale de la zone du projet ;
“(c) Les
activités du projet sont réalisées sur des terres où le nombre de bétail au
pâturage soit inférieur à 50% de la capacité totale de pâturage de la zone du
projet ;
“(d) Les activités du projet sont réalisées sur
des terres où ≤ 10% de la
superficie totale de la zone du projet soit touché par les actions de
préparation du sol pour faire les plantations. »
Cette activité rentre dans
le secteur CDM 14 - Afforestation et
reforestation. (AR).
La méthodologie préférée est
celle AR-AMS-0004 , version 2,
11 Juin, 2009. La
methodologie AR-AMS-0004 n’est pas citée dans l’instrument de l’ UNEP tool for Selecting CDM Methodologies and Technologies.
Les paramètres applicables
sont :
[Traduction de l’anglais de
“(a) Les activités du projet sont implémentées sur des prairies;
“(b) Les activités du projet portent à l’établissement de forêts (selon les
paramètres relatives à la superficie, à
la hauteur, à la couverture des cimes indiquées par le parti d’accueil au
Conseil Exécutif) et permettent la continuation ou l’introduction d’un régime
de culture;
“(c) La couverture des cimes des arbres dans la zone du projet au
commencement des activités soit moins de 20% de la couverture des cimes
indiquées par le parti d’accueil au Conseil Exécutif ;
“(d) Au cas où il y ait une diminution de la superficie dédiée aux culture
attribuable à l’implémentation des activités du projet cette diminution ne soit
plus que le 20% de la superficie totale utilisée pour les cultures au
commencement du projet.”
Ces activités rentrent elles
aussi dans le secteur CDM 14 -
Afforestation et reforestation.
La méthodologie préférée est
celle AR-AMS-003, Version 1,
du 14 Décembre 2007. Il s’agit d’une «simplified
baseline and monitoring methodology for small scale CDM afforestation and
reforestation project activities implemented on wetlands. » (
Méthodologie simplifiée l’établissement des points de référence et de
validation relative aux activités de projet A/R CDM de faible ampleur sur les
terres humides.)
Une route indicative de l’UNEP est Afforestation et Reforestation > sub-niveau forêts >
sub-type Mangroves.
Les applications
s’appliqueront d’habitude au rétablissement des forêts de Mangroves dans les
marécages à Mangroves. D’autres espèces pourront être utilisées selon les
biosphères en question.
Ces activités rentre dans le
secteur CDM 14 - Afforestation et reforestation.
La méthodologie choisie est
celle AR-AMS-0005 (Version 2, 8
Avril 2009). Elle n’est pas
citée dans l’instrument de l’UNEP Tool for Selecting CDM
Methodologies and Technologies. La méthodologie s’applique de
manière spécifique aux terres à potentiel réduit pour le soutien de biomasse
vivante sans l’intervention humaine.
Les activités doivent
s’implémenter sur des types de terrains dont aux voix (i) à (iv) ci-dessous.
Les participants aux projets (PPs) sont tenus à fournir des épreuves que les
superficies choisies soient conforme les critères locaux et/ou nationaux zones
pour la définition des types de terrain en question à travers des ressources
vérifiables et/ou les opinions d’experts selon le cas.
(iii) Terres
contaminées ou à déblais miniers;
(iv) Sols fortement alcalins ou salins.
Cette application se réfère
à la catégorie d’activité CDM Secteur 1.
Industries de l’énergie.
Une route indicative de l’ UNEP est : “Waste” >
sub-niveau “Biomass” > sub-type “Biomass briquettes” > small-scale
applications > methodologies AMS-I-C or AMS-III-B.
Toutes deux les
méthodologies se réfèrent au secteur 1
des activités CDM. Cellee la plus souvent utilisée est la AMS-I-C. Elle traite l’énergie thermale,
spécifiquement l’utilisation de ressources
énergétiques renouvelables au lieu de celles fossiles.
La méthodologie AMS 1.E Small-scale Switch from non-renewable biomass
for thermal applications by the user (Version 3) (Changements à
faible ampleur de la biomasse non renouvelable pour les applications thermiques
par l’utilisateur et le document y joint clarification on the calculation of the thermal
output for applicability of small-scale limit of 45 MWth se trouve suivant la route indicative de l’ UNEP : « Waste” > sub-niveau “Biomass”
> sub-type “Manure” > small-scale applications > methodology AMS 1.E, utilisant de la biomasse
renouvelable en substitution du fumier.
La clarification relative au calcul de la puissance
thermique pour l’application de la limite pour les projets de faible ampleur jusqu`à
45 MWth s’applique à la méthodologie AMS 1.E . Elle se réfère à l’acceptation
de la part du groupe de travail CDM pour les projets à petite échelle de l’utilisation
du concept de la “puissance utile”, soit des spécifications des fabricants des
foyers de cuisine sur la puissance installée de leurs appareils, pour établir la conformité du projet avec la
limite de 45 MW de puissance thermique pour les projets du groupe I.
Les projets de développement
intégré prévoient la production locale de mini
-briquettes fabriquées à partir des reste de biomasse renouvelables avec le
supplément au cas de nécessité de cultures renouvelables spécifiquement
cultivées, plutôt que l’utilisation de fumier. La méthodologie AMS 1.E semble plus appropriée que celles
AMS-I-C et AMS-III-B.
L’application 08 supplémente
celle 01 ci-dessus. Supposant des épargnes du
65% de la biomasse of pas renouvelable utilisée dans le passée aux
terems de l’application ci-dessus, la partie restante de 35% de la biomasse
incorporée dans les mini- briquettes doit être elle aussi renouvelable. L’on
doit pouvoir donner des épreuves que la biomasse dont à cette application 08
soit renouvelable.
09. Recyclage des
déchets humain pour éviter l’utilisation d’engrais industriels.
Cette application tomberait
dans le CDM secteur 04. Les industries
manufacturières ou celui 05. Les industries chimiques.
L’élimination de l’exigence
d’importer 550 tonnes d’engrais industriels dans la zone de chaque projet,
porte à des bénéfices financiers intéressants.
Toutefois, du point de vue
des émissions CO2, s’agit-il d’établir quelles émissions ont été évitées au
cours de la fabrication, emballage et transport des engrais.
Il n’existe
actuellement aucune méthodologie CDM qui couvre telles. Les quantités d’engrais
en question sont réduites. Les épargnes d’émissions CO2 semblent trop faibles
pour justifier des actions spécifiques pour obtenir l’approbation d’une
nouvelle méthodologie.
L’application de
réfère à la captation du méthane à faible ampleur des déchets du bétail à
utilisation pour l’éclairage et pour la génération électrique dans les zones
pastorales. L’énergie produite de cette application est utilisable d’ailleurs
aussi avec des foyers de cuisine dans le cadre du secteur d’application CDM
3 : demande d’énergie.
Une route
indicative de l’UNEP serait : Power Consumption > sub-niveau
“Various household installations” > sub-type “Stoves” > small-scale
applications > methodology, AMS-II-G
(version 5) comme prévu à l’ application 01 ci-dessus. Cependant, tout risque de redoublement
devrait être éliminé, car redoublement porte à perte des revenus des
bénéficiaires du projet.
L’énergie dont à cette
application 10 pourrait servir à l’éclairage et/ou pour des petites activités
de génération électrique. Au cas où elle soit utilisée pour l’éclairage,
l’activité pourrait rentrer dans le secteur CDM 1 – Industries de l’énergie. Une
route indicative de UNEP pour cette
application serait : Power Consumption > sub-niveau “Various household
installations” > sub-type “Lighting” > small-scale applications >
méthodologies AMS-II-J, AMS-II-C, AMS-I-A, ou la nouvelle méthodologie
AMS-III-AR.
Des quatre méthodologies
citée, celle AMS-II-C se réfère à l’adoption d’équipements à rendement
énergétique élevé. Celle AMS-II-J s’applique spécifiquement à l’adoption des
lampes fluorescentes compactes. Celle AMS-I-A se réfère aux systèmes autonomes
ou mini -réseaux de génération
d’électricité à petite échelle par l’utilisateur avec une capacité installée de
maximum 15MW et réduction d’émissions CO2 par système d’éclairage inférieurs à
5 tonnes de CO2 équivalent par an, là où l’on peut démontrer que des
combustibles fossiles auraient été utilisées en absence de l’activité du
projet. La nouvelle méthodologie AMS-III-AR (introduite
le 26 Novembre, 2010) s’applique à
l’adoption des lampes LED. On couvrira la méthodologie AMS-III-AR en plus détail à la section 11 ci-dessous.
Une ultérieure,
possiblement meilleure, option est celle AMS-III-R, qui
rentre dans le secteur CDM 15,
Agriculture.
Une rute indicative de
l’UNEP pour AMS-III-R est:
Renewable Energy > sub-niveau “Biomass” > sub-type “Domestic
Manure” > small-scale application AMS-III-R, methane recovery in agricultural activities at household/small
farm level. La
méthodology doit être appliquée en combinaison avec celle AMS-I-C Thermal energy
production with or without electricity.
La définition de la
technologie et/ou mesure relative à
la méthodologie AMS-III-R est celle suivante :
[Traduction
de l’anglais de
“1. Cette catégorie de
projet comprend la récupération et la destruction du méthane du fumier et des déchets résultants
des activités agricoles qui autrement se décomposeraient de manière anaérobique
avec des émissions de
méthane dans l’atmosphère en absence de l’activité du projet. Telles émissions
de méthane sont prévenues moyennant:
“(a) L’installation de
systèmes de captation et combustion aux sources existante d’émissions de
méthane, ou
(b) Le changement de la manière de gestion de
déchets biogéniques ou lisier cru pour en réaliser la digestion anaérobique
contrôlée équipée d’un système de captation et combustion du méthane.
“2. La catégorie se
limite aux mesures prises au niveau de
ménages individuels et aux petites fermes (par exemple l’ installation d’un
digesteur domestique de biogaz). Cette catégorie comprend des systèmes de
récupération du méthane qui réalisent une réduction annuelle d’émissions
jusqu’à 5 tonnes de CO2 e par système. Les systèmes avec des réduction
d’émissions supérieures à 5 tonnes de CO2 e sont éligibles aux termes de la
méthodologie AMS III.D.
“3. Cette catégorie de
projet n’est réalisable qu’en combinaison avec la méthodologie AMS I.C.
“4. Les activités du
projet sont sujettes aux conditions suivantes:
“(a) Les boues doivent
être traitées de manière aérobiose. Au cas d’application au sol des boues
finales, les conditions et procédures appliquées doivent garantir qu’il n’y ait
pas d’émission de méthane. (b) Les
mesures utilisées (par exemple la
combustion dans un brûleur de biogaz pour exigences de cuisine) sont telles
d’assurer que tout le méthane capté par le système de récupération est
détruite.
“5. La réduction des
émissions annuelles agrégées de tous les systèmes compris soit inférieure
à ou égale à 60
kt CO2 équivalent.”
La méthodologie AMS-I-C à son tour
“comprend des technologies d’énergie renouvelable qui fournissent aux utilisateurs
de l’énergie thermique qui remplace des combustibles fossiles. Telles
technologies comptent parmi elles chauffe-eau solaires, séchoirs solaires
thermiques, foyers de cuisine solaires, énergie dérivée de la biomasse
renouvelable ou d’autres technologies produisant de l’énergie thermique qui
déplacent des combustibles fossiles.”
La nouvelle méthodologie AMS-III-AR (introduite
le 26 Novembre, 2010) s’applique à
l’adoption des lampes LED. Elle se réfère à la technologie d’éclairage comme
telle, et serait appliquée pour l’application 11 ci-dessous. La méthodologie AMS-III-R peut être
utilisée avec cell AMS-I-C pour la
partie restante du méthane dont à l’application 11 pour remplacer d’autres
activités déjà existantes de génération de courant. Le défi est
l’identification d’utilisations alternatives d’énergie non renouvelable dans
chaque zone de développement intégré. Les bénéficiaires sont toujours libres à
se servir du gaz pour les applications énergétiques nouvelles. Toutefois, telles
applications ne se qualifieront pas au financements CDM. Les habitants peuvent aussi opter de se
servir de leur gaz méthane pour remplacer les mini – briquettes pour foyers de
cuisine dont à l’application 01. Cette option aussi porterait à un drainage de
revenus CDM.
Il s’agit du remplacement
des lampes à kérosène, des ampoules incandescentes, et des piles à jeter par
des ressources énergétiques renouvelables (éolienne, et/ou solaire et/ou
biomasse renouvelable).
Tels projets rentrent
dans le secteur d’activité CDM 3 –
Demande d’énergie.
Une route
indicative de l’UNEP est : Power Consumption > sub-niveau “Various
household installations” > sub-type “Lighting” > small-scale applications
> méthodologies AMS-II-J or AMS-II-C ou AMS-I-A.
La méthodologie
AMS-I-A est compatible avec le secteur CDM 1 (industries de l’énergie). Elle se
réfère à la génération de courant par l’utilisateur à travers des systèmes
autonomes ou à mini -réseau avec une capacité
installée jusqu’à 15MW et réduction d’émissions due aux systèmes
d’éclairage basés sur l’énergie renouvelable de moins de 5 tonnes of CO2
équivalent par an à condition qu’on
puisse démontrer d’avoir du se servir de combustibles fossiles en absence de
l’activité du projet.
Soit le méthodologie AMS-II-C
que celle AMS-II-J s’applique au secteur d’activité CDM 3. La méthodologie AMS-II-C se réfère à
l’adoption d’équipements à rendement énergétique élevé..Celle AMS-II-J
s’applique spécifiquement à l’utilisation de lampes fluorescentes compactes.
Toutefois, c’est la
nouvelle méthodologie AMS-III-AR, qui fut
introduite le 26 Novembre, 2010 que semble offrir la solution meilleure dans le
cadre des projets de développement intégré. Elles s’applique à l’introduction
de lampes LED. Elle n’est pas citée dans l’instrument de l’UNEP Tool for Selecting CDM Methodologies and Technologies.
Les méthodologies
AMS-II-C, AMS-II-J, et AMS-III-AR
s’associent aux épargnes énergétiques inhérentes l’introduction de technologies améliorées
d’éclairage, plutôt qu’à la source d’énergie. Des trois
technologies les lampes LED donnent les épargnes d’énergie les plus importantes,
et en même temps une meilleure flexibilité d’utilisation. Par conséquence la
méthodologie AMS-III-AR serait
celle préférée. Les frais initiaux d’investissement
des lampes LED sont décidemment supérieurs, Par contre, tels frais devraient
être récupérés directement par la réduction des dimensions de la puissance
installée des sources d’énergie alternative y nécessaire.
12. Remplacement de sources électriques, diesel, et
accumulateurs pour équipements mécaniques.
Cette application se réfère
aux équipements mécaniques tels les pompes, les moulins, éventuellement
l’ éclairage public (des rues etc.)
L’application fait partie du
secteur d’activité CDM 1, industries de l’énergie.
Une route indicative de l’UNEP serait :
ou, pour les applications solaires “Renewable
Energy” > sub-niveau “Solar” > sub-type “Solar PV” > small-scale
applications > AMS-I-D or AMS-I-A;
ou bien , pour l’énergie
éolienne “Renewable Energy” > sub-niveau “Solar” > sub-sub-type “Wind”,
small-scale applications > AMS-I-F, AMS-I-D or AMS-I-A.
Toutes trois les
méthodologies sont compatibles avec le secteur CDM 1.
Des trois méthodologies
celle AMS-I-D ne se réfère qu’a la fourniture d’énergie alternative à un réseau
régional ou national, ce qui ne serait que rarement le cas avec les projets de
développement intégré.
La méthodologie AMS-I-A se
réfère à la génération à petite échelle de la part de l’utilisateur en
utilisant des systèmes autonomes ou des mini –réseaux/
Des trois méthodologies
citées, celle la plu appropriée serait
celle AMS-I-A
laquelle, cependant, n’est pas couplée avc des procédures
simplifiées.
La méthodology
AMS-I-A est décrite dans le
livret CDM Methodology Booklet comme suit :
[Traduction
de l’anglais de
“Cette catégorie
comprend des unités de génération d’électricité renouvelable fournissant des
ménages ou utilisateurs individuels ou des groupes de ménages ou utilisateurs
dans la zone du projet. Elle ne s’applique qu’aux ménage et utilisateurs qui ne
soient pas branchés à un réseau sauf où :
“(a) Un groupe de
ménages ou utilisateurs soit branché à un mini- réseau autonome à génération
d’énergie renouvelable ou la capacité
des unités de génération ne supère pas les 15 MW (cela signifie que la somme
des capacités installées de tous les générateurs branchés au mini- réseau ne
doit pas résulter supérieure à 15 MW) par exemple des systèmes communautaires
autonomes de génération d’électricité pas branchés au réseau; ou
“(b) La réduction
d’émissions par système d’éclairage à base d’énergie renouvelable soit
inférieure à 5 tonnes of CO2e par an où l’on peut démontrer que des
combustibles fossiles auraient été utilisés en absence de l’activité du
projet à travers;
(i) Une enquête
représentative (90% intervalle de confiance, ±10% erreurs de marge) des ménages
intéressés ; ou
(ii) Des statistiques
officielles fournies par les agences gouvernementales du pays d’accueil.
“Les technologies des
unités de génération de l’énergie renouvelable tells celles solaires, hydro,
éoliennes, gazéification de biomasse et d’autres technologies qui produisent de
l’électricité toutes desquelles produisent de l’électricité utilisée sur site ou
localement par l’utilisateur, par exemple des systèmes solaires domestiques,
chargeurs éoliens de piles. Les unités de génération renouvelable peuvent être
soit des nouvelles installations (Greenfield) ou remplacer la génération sur
site à base de combustibles fossiles. Pour qu’un projet puisse se qualifier
comme projet de faible ampleur, la capacité totale de l’unité de doit pas
excéder la limite de 15 MW.”
L’on s’est déjà servi de la méthodology
AMS-I-A pour des systèmes solaire, éoliens, et biomasse y compris mais pas
limité à la biomasse à base de fumiers et celle à base d’huile de palmiers. Elle
semble résulter par conséquence la méthodologie pour l’application 12 qui soit
celle plus fléxible.
Le recyclage à petite
échelle avec récupération de matériaux des déchets solides non organiques, y
comprises mais pas limitée aux plastiques,, est un caractéristique des projets
de développement intégré. La récolte et recyclage des matériaux plastiques est
une activité qui rentre dans le secteur CDM 13.
La méthodologie AMS-III-AJ s’y
applique.
La méthodologie AMS-III-AJ n’est
pas citée dans l’instrument de l’UNEP tool for Selecting CDM
Methodologies and Technologies. Elle comprend des activités pour la
récolte et recyclage des matériaux à base du polyéthylène à haute densité
(HDPE) et du polyéthylène à basse densité (LDPE) dans les déchets municipaux
solides et leur transformation en produits intermédiaires ou finis. Un exemple
en est les résines plastiques qui déplacent la production de matériaux HDPE et LDPE vierges dans des établissements
y dédiés, avec des épargnes énergétiques et la réduction des émissions de CO2.
La méthodologie AMS-III-AJ traite le recyclage mécanique. Elle définit
les procédés physiques/mécaniques comme ceux qui permettent la récupération des
déchets solides municipaux non organiques
des matériaux recyclables tels les pastiques HDPE et LDPE par moyens de
la séparation, du nettoyage du compactage et emballage en vue de traitement
ultérieur pour obtenir des produits intermédiaires et/ou finis utilisables dans
une chaîne de production industrielle en lieu de matériaux vierges. Le procédé peut
de réaliser soit manuellement et/ou avec l’utilisation d’équipements
mécaniques. D’entre les mesures prévues se trouvent une ou plusieurs des
activités suivantes : le lavage à l’eau chaude des matériaux LDPE et HDPE
séparés, leur séchage, leur compaction, leur déchiquetage, et leur
pelletisation.
Les établissements de
recyclage sont des lieux où les matériaux recyclables des déchets solides
municipaux récoltés sont séparés, classifiés et rendus en commodités vendables
en vue des activités successives de procédé et/ou fabrication. Le terme
établissement de procédé ou de fabrication comprend les procédés pour
transformer les matériaux recyclables reçus des établissement de recyclage en
produits intermédiaires ou finis : par exemple la résine pastique.
Jusqu’ici
Une autre méthodologie,
celle AMS-III-X , se réfère
expressément à la captation de HFCs (hydrofluorocarbons) du
recyclage des réfrigérateurs. Elle n’est appropriée aux projets de développement
intégré.
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Examen Bloc 8 : [4 heures]
Examen consolidé : Section C. [6 heures].
◄ Huitième bloc : Sect. 5 : Protocole de Kyoto :
Analyse des possibilités de financement.
◄ Huitième
bloc : Bloc 8 : Les aspects économiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell
Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)
Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th
annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
Cette
œuvre est mise dans le domaine public aux termes d’une licence
Creative Commons
Attribution-Non-commercial-Share Alike 3.0.