ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
01: 25 Janvier, 2011.
Édition
03 : 05 Février, 2013.
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 : Les aspects
économiques.
[Valeur 03 points
sur 18]
[Travail prévu : 85 heures sur 504]
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite
échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
1. Introduction.
“Within the bamboo villages, bamboo has proven to be
an important resource to the majority of households at all income levels,
although the specific role it played in livelihoods varied according to the
socioeconomic status of the households.” (Hogarth N.J and Belcher B., Contribution
du bambou aux revenus des foyers et aux moyens d’existence ruraux dans une région
pauvre et montgneuse dans le Guangxi en Chine, International Forestry
Review, Vol. 15 (1), 2013, Commonwealth Forestry Association, Craven Arms, 2013. (Texte en englais))
L’utilisation des bambous
pour les projets d’afforestation et reforestation (AR) dans le cadre de projets
de développement intégré résulte importante aux fins du financement CDM aux termes du
Protocole de Kyoto.
Pour des informations
détaillées sur le potentiel des bambous pour les projets CDM
(AR) voir : Lobovikov, M., Yiping,
L., et al, The poor
man’s carbon sink. Bamboo on climate change and poverty alleviation, Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture
(FAO), Forestry Department,
Non-Wood Forest Products, document de travail no. 8,
Rome, 2009. Cette œuvre comprend une bibliographie complète relatif au sujet
avec quelques 160 ressources référées. Une deuxièe
ressource de bonne qualité est Yiping L. Yanxia L. et al, Bamboo and Climate
Change Mitigation, International Network for Bamboo
and Rattan (INBAR),
Beijing, 2010.
La productivité annuelle du
bambou varie entre les 5 et les 12 tonnes of biomasse par hectare avec
2000-10000 pousses par hectare. Telle production représente de 9 à 22 tonnes de
CO2 par hectare par an. Les projets à faible ampleur
couvrent des épargnes jusqu’à 15000
tonnes de CO2
par an. Cela signifie qu’une superficie de plantation d’au moins
Un projet de développement
se constituera de 200 environ d’unités de développement local chacun avec +/-
50 familles (soit 250 personnes). Les racines des bambous se trouvent à la
superficie des sols. Les plantes ont besoin de soins au cours des saisons
sèches. Chaque unité locale de développement devra s’occuper d’une superficie
minime de
Puisque les projets de bambou fournissent
des revenus CDM à terme bref, soit au cours de
première sept années d’exploitation, les revenus en seront d’habitude dédiés au
remboursement des fonds initiaux d’investissement en compte capital du projet
de développement intégré en question. Suite au remboursement des capitaux
initiaux, les revenus successifs seront payés à l'Association coopérative pour la gestion permanente
des structures du projet. Tous les habitants de chaque zone de
projet sont de façon automatique des membres de
Supposant la mise en œuvre
de jusqu’à 2500 projets de développement intégré en Afrique de l’Ouest (exclus
le Nigeria et le Ghana) le schéma des plantations bambou donnerait un résultat
dans l’ensemble d’au moins Euro 3.675.000.000.
L’application généralisé des concepts en Nigeria et en Ghana en
fournirait autant. Les pays pauvres ne sont pas tenus à payer des frais
d’enregistrement ni les frais d’émission. Le montants cités restent toutefois
des indications lourdes, car ils sont sujets à la déduction des frais de
validation et de vérification demandés par les Entités Opérationnelles
Désignées. L’on se confie que tels
frais puissent être réduits à un chiffre nominal dans le cadre d’une convention
générale de travail au niveau sub-régional.
2. La
culture des bambous : exigences en eau.
Un désavantage de la culture des bambous est qu’ils ont besoin de
bonne fourniture en eau, laquelle n’est pas toujours le cas dans les pays en
développement, surtout dans les pays à zones arides et semi-arides.
Our des raisons écologiques
les projets de développement intégré ne prévoient pas de systèmes d’irrigation
extensive au niveau industriel. Cela veut dire que les eaux de pluie dans les
zones à déficit en eau devront être supplémentés par de l’irrigation à gouttes
appliquée manuellement, le cas échéant à travers le recyclage des urines et des
eaux grises fournies par les ménages.
Pour d’autres informations
sur les exigences en eaux des cultures de bambou et leur distribution à travers
l’année voir : Aspects of Bamboo
Agronomy, Kleinhenz B. and Midmore J., Academic Press, North Rockhampton, 2001.
L’humidité
minime annuelle prévue pour les bambous est
Supposant des densités de
plantation typiques de 1000-2500 plantes par hectare (espèces monopodiales) et
150-300 touffes par hectare (espèces pachymorphes) la
superficie y intéressée au niveau de chacune des +/- 200 unités de gestion
locale serait de 650m x 650m environ.
Les plantes de bambou
répondent bien à l’application de toute sorte de lisier organique. Le
carbone de bois des bambous fixe du carbone dans les sols avec un bonne
rétention de l’humidité et de nutritifs.
Pour
plus de détails voir la partie 4 de la section 09 09-04. Small-scale agro-forestry
activities – such as distributed bamboo plantations on grasslands and
croplands.
3. Les
caractéristiques principales du bambou.
[Traduction de l’anglais par Stichting Baekns Verzet]
“Les bambous
fournissent des matière premières pour 1500 produits commerciaux connus (Scurlock, Dayton et al. 2000). Tels produits comptent des
articles artisanaux tels les paniers
tressés, les pousses de bambou comestibles produites par 200 espèces, à de
biens industriels à valeur élevée tels la pâte de bois, papier, textiles,
biocombustibles, carbone de bois, logements, panneaux, revêtement de sol, et
meubles (Lobovikov, Paudel
et al. 2007) ” [Lobovikov, M., Yiping,
L., et al, The poor
man’s carbon sink. Bamboo on climate change and poverty alleviation,
p.13.] En principe, là où les bambous
sont utilisés pour la production de biens durables, de pourcentages importants
d’épargnes de carbone peuvent être stockés dans les produits sur une période à
long terme. Il faut remarquer cependant, que les produits dérivants du bois
récolté ne sot pas encore acceptés pour les calculs au termes du Protocole de
Kyoto, bien que cette question se trouve en phase de débat.
Les plantations de
bambou produisent des possibilités variées pur la création de nouvelles
occupations.
La floraison des plantes de
bambou est à éviter. Comme est le case avec les herbes communes, la floraison
en peut porter à la fin du cycle de vie de la plante. La morte de la plante,
porte à la perte du carbone y séquestrée. On relève en même temps que la
floraison des bambous n’a lieu qu’une fois tous les 30 ans.
Les
caractéristiques des bambous contre le changement du climat [ pris de Lobovikov, M., Yiping, L., et al,
The poor
man’s carbon sink. Bamboo on climate change and poverty alleviation,
cité ci-dessus, Table 3, p.28]
[Traduction de
l’anglais par
Attribut |
Avantage |
Désavantage |
|
|
|
Rotation brève. |
Fournit des revenus à
temps bref; flexibilité d’utilisation des terres et exportation élevé des
nutritifs; fréquence élevée d’adaptation aux changement de climat;
conséquence de la perte des plantations; petite échelle pour opérations
productives continues; s’adapte bien aux périodes de calcul des bénéfices et
au concept tCER; est bien adapté à l’intensité de l’investissement
en compte capital ; exposition
brève aux risques. |
Réduit le potentiel
pour les interventions de dégradation du site, par exemple compaction de la
zone; pas de certificats l-CERs. |
Production continue. |
Revenus économique
continus, occupation, demande de main d’œuvre. |
|
Gestion inéquienne . |
Multitude de produits;
aucune récolte totale; moins de perte
de nutritifs et moins de
détérioration des sols;
sarclage, utilisation herbicides, risques en phase d’établissement.. |
Difficulté accès à
l’intérieur des touffes sympodiales; monitorage
plus bas et plus difficile ; amincissement. |
Rhizomes persistants
suite à la récolte des pousses.. |
Déclin lente de la
biomasse et du carbone stocke: régénération facile. |
Peut empêcher
l’utilisation agricole intermittente ou successive. |
Pléthore de produits. |
Efficience de
conversion extrêmement élevée, pertes de conversion réduites; réaction
flexible aux fluctuations du marché; bénéfices économiques continus le long
la chaîne d’approvisionnement de l’industries artisanale à la production
industrielle à grande échelle. |
|
Attrayant aux
consommateurs. |
Revenus économiques
élevés pour les produits de bambou, des T-shirts aux médicaments aux panneaux
de plancher. |
|
Substitut pour le bois. |
Réduit la demande du
bois. |
|
Établissement végétatif
. |
À bon marche, facile,
indépendant des limitations de durée des semences. |
|
Main d’œuvre intensive. |
Crée soit des emplois
que des occasions de travail autonome ; sensible aux augmentations des
salaires sur échelle industrielle,
capital extensif; travail pour
femmes et jeunesse. |
|
Léger une fois séché à
l’air. |
Dérapage et transport manuels,
utilisation des animaux, aucune compaction du sol. |
|
Possibilité
d’intégration dans les schémas agro - forestiers. |
Réduit la culture à
brûlage et/ou la déforestation; opportunités pour adaptatio
aux changements du climat synergies mitigation/adaptation. |
Possibilité d’allélopathie (“invasion d’autres systèmes végétaux”). |
Beaucoup d’espèces,
distribution dans tout le monde. |
Adaptation aux sites
spécifiques et au changements de climat possible; utilisation comme espèces
introduites; chevauchement avec les pays CDM. |
|
Croissance rapide
sous-sol. |
Réclamation des
sites ; accumulation des substances organiques et du carbone. |
Envahissant; rupture de
pente en présence de masses denses de racines. |
Plante type C3. |
Augmente la production
à concentrations plus élevées de CO2 . |
Plus sensible à la
sécheresse que les plantes C4. |
Anatomie et
physiologie. |
Contenu de cendres,
silice- et eau comme biocombustible. |
Monitorage du carbone
difficile ; émissions de méthane
et substances organiques volatiles autre que le méthane; contenu cyanure. |
Sect. 5 :
Kyoto Treaty : Analysis of possibilities
for finance. (Additional)
03. Potential areas of
application of CDM mechanisms to integrated
development projects.
04. Small-scale CDM activities.
06. Selection of the CDM methodologies for the applications listed in section
03.
08. Notes specific to the role
of bamboo in afforestation and reforestation (AR) projects.
09. CDM
funding indications for the selected applications and methodologies.
Examen Bloc 8 : [4 heures]
Examen consolidé : Section C. [6 heures].
◄ Huitième bloc : Sect. 5 : Protocole de Kyoto :
Analyse des possibilités de financement.
◄ Huitième
bloc : Bloc 8 : Les aspects économiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté
est la privation construite)
Wahu Kaara,
point 8 of the Global Call to Action Against Poverty,
58th annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
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œuvre est mise dans le domaine public aux termes d’une licence
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