ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours
e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
01: 25 Janvier, 2011.
Édition
08 : 26 Septembre, 2013.
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 : Les aspects
économiques.
[Valeur 03 points
sur 18]
[Travail prévu : 85 heures sur 504]
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
01. Une référence générale avec avertissement
sur les risques d’implémentation à plusieurs projets.
“The only way to ensure the resilience of forests to climate change is
through zero deforestation, meaning to put an end to industrial logging of
primary and intact forest landscapes, while ensuring sustainable biomass
consumption and agriculture practices.” (Listen to the people – not the
polluters, Greenpeace International, Policy
note for COP 17 Conference in
Une bonne référence
aux projets d’Afforestation et Reforestation (AR) qui est bien mise à jour est Building Forest Carbon
Projects : A Step-by-Step Guide, par J.Olander et J.Ebeling, publiée
par Forest-Trends
avec the Katoomba Group, Décembre 2010. Cette publication comprend des boîtes à
information aspect par aspect avec
citations des ressources les plus importantes sur chaque aspect.
Des facteurs
importants à se rappeler sont la nécessité de contrôle des zones de projet par
ceux qui proposent les projet, et qu’en principe il faut des épargnes
d’émissions de 10.000-20.000 tonnes CO2 pour pouvoir couvrir les frais élevés
de rédaction, validation, et gestion du projet. Ls frais de pré -implémentation
peuvent monter à € 100.000-250.000 et
même plus. La préparation d’une méthodologies € 20.000-75.000 et plus, et chaque
vérification périodique entre €
15.000-40.000 et même plus. La plupart des ces paiements couvrent les
frais des Entités Opérationnelles
Désignées (DOE) (auditeurs) et des
institutions internationales (en particulier celles financières) qui puissent
compliquer ou faciliter les procédures. Ceux qui proposent des projets
dépendent de leurs décisions. Au cas où l’organe d’émission (au cas de projets
au termes du Mécanisme de développement (CDM),
Chaque projet
d’afforestation ou reforestation (AR) significatif constitue une entreprise
vaste et à long terme. Il a besoin de fourniture durable en eau jusqu’au moment
où les arbres ne deviennent autonomes de toute forme d’irrigation. Il a besoin
d’engrais durables produits localement. La quantité de main d’œuvre qu’il demande est ahurissant.
Les projets de
développement intégré présentent des possibilités multiples inhérentes en ce
qui concerne l’implémentation de projets d’afforestation et reforestation (AR)
à long terme. La disponibilité limitée d’eau et engrais, et même de main
d’œuvre peut résulter trop restreinte pour permettre l’implémentation
contemporaine de toutes les possibilités AR. En tel cas, les coordonnateurs des
projets de développement devront faire des choix très difficiles. Il se peut
que parfois le financement CDM des projets se sacrifie aux principes dominants
de la neutralité énergétique, de la durabilité et écologiques à la base de
projets de développement intégré.
Les projets
d’afforestation et reforestation (AR) proposés sont de faible ampleur. La
plupart s’en considère des projets pilotes sujette à la répétition à phases
main à main de l’eau et de la main d’œuvre soit disponible pour la réaliser.
Des projets à grande échelle n’y sont pas possibles car ils seraient au de là
des possibilités physiques des populations (à peine 50.000 personnes) des zones
de projet.
02. Les projets REDD de réduction des émissions
dérivante de
Le système REDD est une forme
«d’alternatif » aux projets AR. Les projets REDD ont une base
sociale plus large que ceux CDM. Ils devraient éviter la déforestation et/ou la
dégradation de forêts existantes, apporter des bénéfices aux communautés
locales et y promouvoir la biodiversité. Ils introduisent une sorte de
troisième secteur opérationnel, celui de l’évitement d’ultérieure déforestation
et dégradation environnementale, en addition aux deux secteurs existants, soit
la réduction des émissions CO2 et l’augmentation du taud de stockage du
carbone. En contraste avec les projets aux termes du mécanisme de développement
propre (CDM), ceux REDD peuvent être réalisés dans tous les pays du monde.
L’applicabilité des projets REDD est toujours
sujet de discussion. Une liste des projets REDD soumis à l’approbation
jusqu’ici se trouve au site web de
Des informations détaillées sur le système REDD
se trouvent auprès de
REDD+, qui devrait tenir compte des intérêts
sociaux des populations locales, est traité
(avec optimisme) dans Angelsen, A
et al, Analysing REDD+ : Challenges
and choices, Center for International Forestry Research, Bogor
Barat, 2012. ISBN 978-602-8693-80-6.
“Rights are only real when they are
enforced….so rules that are not enforced are not rights. Likewise, safeguards
that are not enforced, that are voluntary, or that protect rights that are not
enforced, are meaningless.”(Ribot J and Larson A, Reducing REDD risks : affirmative policy on an uneven playing field, International
Journal of the Commons, Vol .6, no. 2, Bloomington Août 2012, p. 248.)
Un analyse critique actuelle des développements relatifs au REDD+ de trouve à Protecting carbon to destroy forests : Land enclosures and REDD+ , Carbon Trade Watch, The
Transnational Institute (TNI), Forschungs -und Dokumentationszentrum
Chile-Lateinamerika (FDCL)
“In the early
2000s, after the
Emissions
Trading Scheme (EU-ETS). The first two phases of the EU-ETS (2005-2007 and
2008-2012) however proved to be a resounding failure. After seven years, the EU-ETS
did not reduce GHG emissions while consistently gave generous free permits (subsidies), translated into windfall
profits, to industrial polluters (citing Coelho, R., Green is the Colour of
Money : The EU-ETS failure as a model for the Green Economy. (Carbon Trade
Watch,
“The
use of [carbon] offsets has resulted in
an increase of Co2 emissions worldwide, displacing emissions cuts in the North in
favour of projects in the South.” ( ci-dessus, p. 14).
“Unresolved
technical problems [amongst others not even on the agenda] include
additionality, leakage (forest destroyers moving to another area), permanence
(trees will never store carbon permanently), measurement (highly complex and
uncertain since it relies on biological variables, and temporality (emissions
and removals may occur many years after a project happens).” ( ci-dessus p. 15)
“Across
“REDD’s
purpose is to isolate one of the functions of forests – its ability to capture
and store carbon – and then measure how much CO2 it can capture. Once the value
of the potential carbon storage of the forest has been estimated, carbon
credits are issued and sold to rich countries and big corporations, who then
use these to offset, or buy and sell, polluting permits in the carbon
markets….. In theory, REDD provides a monetary incentive for not
deforesting. In actuality, corporations purchasing credits can release into the
atmosphere the amount of CO2 they paid for. In other words, carbon credits
are
polluting permits for the rich.” (Solón P., Rights of Nature : Planting Seeds of Real Change, Global
Exchange,
“REDD-plus is a false solution to climate change promoted by the UN, the
World Bank and climate corporate criminals, such as Shell, that allow
polluters to expand fossil fuel development and not reduce their emissions at
source. REDD-plus is a pillar of the global agenda for the privatization and
financialization of nature, and constitutes a worldwide land grab and carbon
offset scam.” (Goldtooth, T., Rights of Nature : Planting Seeds of Real Change, Global
Exchange,
03. Quelques définitions.
Aux termes dut Mécanisme de Développement Prope
(CDM), chaque pays d’accueil est tenu à adopter ses propres paramètres relatifs
à la couverture des cimes (threshold parameters for forest coverage.) Au
cas où un pays ne l’ait pas fait, et quelques pays ne l’ont pas fait, il ne peut pas accueillir un projet AR (ou
d’autre projet CDM) qui se qualifie pour des financements CDM.
Quelques définitions
importante (source : Decision -/CMP.1 Land use,
land-use change and forestry ) relatives aux projets d’afforestation
et reforestation (AR) sont:
(a) Une “Forêt”
comprend une superficie de terre de 0.05–1.0 hectare avec une couverture de
cimes (ou niveau équivalent de stockage
ligneux) de plus de 10–30 pourcent à arbres avec un potentiel hauteur minime à
maturation sur place de 2–5 mètres. Un forêt peut avoir ou des formations
«couvertes » à arbres à plusieurs niveaux avec sous-bois couvrante
une bonne proportion de la terre, ou des forêts ouvertes. Les forêts comprennent
les peuplements naturels jeunes et toutes les plantations qui n’aient pas
encore achevé une couverture des cimes du 10–30 pourcent ou une hauteur minime
de 2–5 mètres. Des superficies qui font normalement partie d’une forêt qui sont
provisoirement dépourvues de plantation suite aux interventions humaines telles
la récolte ou les causes naturelles à condition qu’on puisse attendre qu’elles
redeviennent forêt, comptent elle aussi comme forêt. Avant qu’un pays puisse
accueillir un projet AR dans le cadre du système CDM, son Autorité Nationale Désignée (DNA) doit
avoir établi sa propre définition de forêt dans le cadre des paramètre
ci-dessus indiqués. Au cas de nécessité, les pays d’accueil ont la possibilité
de varier leur définition de forêt. L’importance de faire l’extension des
définitions nationales pour couvrir les herbes ligneuses tells le bambou et les
palmier, qui puissent jouer un rôle important dans le stockage du carbone est
expliqué en détail dans la publication de Yiping L. Yanxia L. et al, Bamboo and Climate Change
Mitigation, International Network for Bamboo and Rattan (INBAR),
Beijing, 2010.
[Traductions de l’anglais par Stichting Bakens
Verzet]
“ ….jusqu’au moment ou une DNA ne fournisse une clarification que la
définition de forêt qu’elle a rapporté
au Conseil Exécutif (EB) comprend les palmier et/ou les bambous, l’on
retiendra que telles définition ne les comprend pas.” [Report of the 27th
meeting of the afforestation and reforestation working group, UNFCCC
Headquarters, Bonn, Germany 17.19 Février 2010.].
La séquestration de carbone
dans les cultures agricoles et dans les sols ne se qualifie pas pour la vente
au termes du système CDM au course de la première période de engagement (CP)
2008-2012. Ceci constitue un handicap pour les bambous, dont le deux tiers de
la séquestration de carbone a lieu sous le niveau du sol.
(b) L“afforestation”
est définie comme la conversion direct moyennant l’activité humaine des terres
qui n’ont pas été forêt pendant aux moins 50 ans en forêt à travers la
plantation, l’ensemencement et/ou la promotion par voie humaine des source de
semences naturelles.
(c) La “Reforestation”
et la conversion directe moyennant l’activité humaine de superficies dépourvues
de forêt qui étaient une fois forêt pour être successivement convertie en
superficie sans bois en terres boisées forêt à travers la plantation,
l’ensemencement et/ou la promotion par voie humaine des source de semences
naturelles. Au cours de la première période d’engagement, les activités de
reforestation se limitent aux terre déjà dépourvues de forêt sur le 31 Décembre 1989.
Aux termes du mécanisme
CDM, la dégradation des terres est définie comme un déclin sur un long
terme de la fonction et de la productivité d’un écosystème mesuré en termes de
sa productivité primaire nette. Toutes les formes de dégradation des terres
portent à la fin à une réduction de la fertilité des sols et de la
productivité. Le résultat général en est une réduction de la croissance
végétale, qui a son tour est cause de perte des couvertures à protection des
sols et d’une augmentation de la vulnérabilité des sols et de la végétation à
des dégradations ultérieures telles l’érosion.
04.
L’importance de l’afforestation et de la reforestation (AR) pour les projets de
développement intégré.
Les activité d’afforestation et reforestation (AR)
ont un grand potentiel pour les projets de développement intégré. Le niveau de
la dégradation continue des terres boisées dans les pays en développement est
presque généralement épouvantable. La cause principale de cette situation est
l’exploitation impitoyable (vol) des ressources en bois des pays en
développement à bénéfice des entreprises industrielles commerciales privées.
(Voir Bloc 1, Section 1 du cours : 08. La fuite financière : le vol des ressources
naturelles.) Une deuxième cause en est la
dégradation à travers l’utilisation non durable des terres boisées comme
ressource de bois de cuisine et de bois pour la production du carbone de
bois. Beaucoup de pays en développement
ont de superficies vastes de terres marginales.
Les pays les moins avancés
en particulier «souffrent » d’un manque de consommation d’énergie.
Puisque la plupart des 15 secteurs opérationnels du Mécanisme de Développement
Propre dont à la section 02. Introduction se réfèrent à la réduction de l’utilisation
actuelle d’énergie ou à la substitution des énergies non renouvelables
utilisées par celles renouvelables, les pays à bas niveau de consommation
d’énergie partent déjà avec un handicap sévère. Le secteur opérationnel 14
“Afforestation et reforestation” par contre se réfère à l’augmentation du
stockage du carbone. Dans ce deuxième secteur d’activité les pays les moins
développés possèdent des marges supérieures de manœuvre. Ils restent toutefois
toujours handicapés en rapport aux pays à économies émergeantes cause manque
grave de moyens financiers.
Les calculs relatifs aux
émission de gaz à serre sont particulièrement complexes au case des projets
d’afforestation et reforestation (AR).
Quelques projets AR ont été sujet à des critiques vivaces dans quelques
cercles internationaux. Se référer, par
exemple, à Silverstein D., A method to finance a global
climate fund with a harmonized carbon tax, Université de Munich,
MPRA papier 27121, 03 Décembre, 2010.
Les tables de défaut pour le
calcul de la biomasse se trouvent à l’annexe 3A.1 du Good Practice Guidance for
Land Use, Land-use Change and Forestry, publié par Institute for Global Environmental Strategies (IGES) pour le compte du
Groupe d’experts intergouvernemental sur les Changements du Climat (GIECC)
(IPCC), Kamiyamaguchi, 2003.
05. Les
risques.
Les réductions certifiées à
long terme et permanentes des émissions (ICER) et (CER) relatives aux projets
d’afforestation et de reforestation (AR) sont plus vulnérables que celles
relatives aux autres secteurs CDM. Les
catastrophes naturelles tels les incendies et les inondations peuvent anéantir
des années d’investissement en quelques heures. En tel cas les revenus CDM
reçus au cours de l’accumulation des stocks de carbone doivent être remboursés, cause la perte des
stocks de carbone mêmes. En pricipe ce risque est-il assurable. Toutefois les
frais des assurances sont élevés. Ils constitueraient une fuite financière des
zones de développement intégré où les projets AR se trouvent. Les propriétaires
au niveau régional des projets ( tels par exemple UEMOA en Afrique de l’Ouest)
pourraient peut-être fournir des garanties à couverture de tels risques. Ce
problème ne s’applique pas aux crédits provisoires ou à termes bref (tCER). Tels crédits ne sont pourtant
valables que pour la période relative à laquelle ils sont émis. C’est pour
cette raisons que les crédits à terme bref ont une valeur de beaucoup
inférieure des certificats à long terme.
En présence de plantation de
bambou, la floraison des plantes de bambou est à éviter. Comme le est le case
pour d’autres herbes, leur floraison peut signifier la fin du cycle de vie de
quelques espèces de bambou, et à la morte de la plante et à la perte du carbone
y séquestré. Dit cela, l’intervalle de la floraison des bambous est 30 ans
environ. Au cas de récolte systématique auprès des plantations de bambou, tout
risque de floraison est d’habitude évitable.
Activités de pâturage à
l’intérieur des plantations constitue un troisième risque. Toute les espèces
préférées pour les projets d’afforestation et reforestation (AR) à l’exclusion du Jatropha sont attrayantes au
bétail. Cela signifie que les zones
choisies devront être soigneusement protégées contre l’endommagement de la part
des animaux. Des clôtures solaires à énergie photovoltaïque pourront y fournir
une solution à condition les systèmes solaires puissent à leur tour être protégés
contre le vol.
Un quatrième risque est
celui du braconnage surtout en forme de la récolte illégale et le vole de
matériel ligneux ce qui pourrait annuler la valeur des crédits pour l’accumulation
de carbone à la base des certificats CER. Pour éviter le braconnage a-t-on
besoin d’une gestion forte des zones des forêts. Une gestion fortes commence
avec l’absence de la corruption parmi les responsables de l’administration des
forêts, et la concession de moyens coercitifs adéquats policiers pour garantir
le cas échéant l’application de la politique environnementale à l’intérieur des
zones de forêt et des réserves naturelles.
Le cinquième risque est même
plus graves des quatre précédents – celui du manque d’un suffisance d’eau et de
main d’œuvre. Soit le fourniture en eau que la disponibilité de main d’œuvre
sera limitées dans chaque zone de
projet. La main d’œuvre est limitée à cause de faut que chaque zone de projet
n’ a que 50.000 habitants, soit +/- 37.500 adultes environ, qui pourront
travailler`pour la réalisation des projets AR. En deuxième lieu, la quantité
d’eau à disposition des projets AR sera souvent limité, car les projets de
développement intégré ne prévoient pas d’initiatives d’irrigation à grande
échelle. Ce concept est confirmé à la
section sur l’utilisation des terres pour bioénergie du Energy Report : 100%
Renewable Energy by 2050, World Wide Fund for Nature (WWF), Gland,
Janvier 2011 ( ISBN 978-2-940443-26-0), page 164 , où l’on soutient l’exigence de l’utilisation de
la “ land suitable for rain-fed agriculture…..without requiring additional water
uses.” [ terres adaptées à l’agriculture
à eau d’origine pluviale…. Sans qu’on ait besoin de ressources en eau
supplémentaires].
Il serait out à fait inutile commencer un
projet s’afforestation ou reforestation (AR) sans avoir assurance de la
disponibilité d’eau à suffisance et de la main d’œuvre y nécessaire. Au cas où
les exigences en eau ou de main d’œuvre apparaissent excessives, faut-il faire
des choix. Tels choix pourraient porter à l’exigence de la mise en œuvre des
projets à phases, distribuées sur une période plus prolongée.
Un avantage des projets
d’afforestation et reforestation (AR) dans les pays en développement est que
les travaux agricoles traditionnels y sont souvent réalisés au cours des
saisons de pluie quand les arbres des projets d’afforestation et reforestation
(AR) ont besoin de moins de soins. La charge du travail en est plus intensive
au cours des saison sèches.
06.
Documents de contrat pour les achats de carbone.
Se
référer au document Hawkins
S. et al, Contracting for Forest Carbon : Elements of a Model
Forest Carbon Purchase Agreemeent,
publié
par Forest-Trends avec the Katoomba Group, Décembre 2010.
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Examen Bloc 8 : [4 heures]
Examen consolidé : Section C. [6 heures].
◄ Huitième bloc : Sect. 5 : Protocole de Kyoto :
Analyse des possibilités de financement.
◄ Huitième
bloc : Bloc 8 : Les aspects économiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la clef
qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell
Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)
Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th
annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
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