ONG Stichting Bakens
Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours e-learning :
Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int).
Édition
01: 25 Janvier, 2011.
Édition
10 : 30 Novembre, 2012.
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 : Les aspects
économiques.
[Valeur 03 points
sur 18]
[Travail prévu : 85 heures sur 504]
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
SECTION 01. LE SOMMAIRE EXÉCUTIF.
«…le verdissement non seulement
entraîne une augmentation de la richesse, en particulier un gain de biens
environnementaux communs ou de capital naturel, mais génère aussi (sur une
période de six ans) un taux plus élevé de croissance du PIB, mesure classique
de la performance économique…..il existe un lien indissociable entre
éradication de la pauvreté et amélioration de l’entretien et de la sauvegarde
des biens environnementaux communs en raison du flux des bienfaits issus du
capital naturel dont bénéficient directement les pauvres. » (Vers
une économie verte : Pour un développement durable et une éradication de la
pauvreté- Synthèse à l’intention des décideurs. Nations Unies Programme pour l’ Environnement (UNEP) www.unep.org/greeneconomy, Mars 2011.)
Sauf pour la citation ci-dessus, le document ambitieux à 626 pages de l’UNEP s’ouvre des critiques
sévères. Voir, par exemple Verzola P (Jr), Quintos P., Green Economy : Gain or Pain for the Earth’s Poor, IBON International,
“By
focusing on getting “the economy right” [ that is, “framing…greening strategies
in terms of capital, prices, cost-benefit analysis…..seeking an early and solid
buy-in from big business, mainstream economists, and developed countries]
proponents of the Green Economy and Green growth end up getting development
wrong. It does not deliver enough on poverty eradication, may likely worsen
inequity within and between countries, and does not veer us away from the path
to irreversible ecological catastrophe ” (p.6).
Ils
poursuivent :
“The
social agenda in the green economy is largely relegated to trickle-down poverty
alleviation, effectively side-lining issues of redistribution.” (p.8).
et
conclurent :
“We
should move towards more democratic modes such as cooperative, community-based,
commons or public forms of ownership to ensure that economic activity provides
sustainable livelihoods for all and meets the development goals of the
community and society…. to promote sufficiency-based economies, i.e. those that
cater primarily towards meeting local needs and demands, developing local
capacities, based on available resources, appropriate technologies and resource
sharing. ” (p. 10)
Un tiers des émissions de dioxyde de carbone [créées de l’homme]
dérivent de la combustion du charbon. (Campagne de la Greenpeace
"Quit coal").
Les plus grandes banques du monde (“banques assassins du climat”) ont
fait € 232 billion d’investissements dans les mines de charbon et la
construction de centrales au charbon et les sociétés qui les gèrent à partir de
l’entrée en vigueur du Protocole de Kyoto en 2005 :
“Les grandes banques sont en train de déstabiliser notre système
climatique. Depuis l’entrée en vigueur du Protocole de Kyoto, les banques ont
presque redoublé leur support à l’industrie du charbon, qui est la cause la
plus importante des émissions de CO2
[faites de l’homme] qui réchauffent notre planète. ” (Shücking H. et al, Bankrolling Climate Change, Urgewald, groundWork, Earthlife
Africa Johannesburg, Bank Track, Sassenberg, Décembre 2011, p. 58.) Comme
le disent les auteurs : “ Les investissements d’aujourd’hui sont les émissions
de demain.” (p.58) [Traductions de l’anglais : Stichting Bakens Verzet.]
“Pour réaliser des profits à court terme à travers du financement de
l’industrie du charbon, les banques sont en train de préparer le terrain pour
un changement climatique catastrophique à long terme.” (Shücking et al, ci-dessus cité, p. 19). [Traduction de
l’anglais : Stichting Bakens Verzet.]
“En Chine, on livre deux nouvelles centrales au charbon par semaine. Ai
cas où la consommation du charbon continue à ce rythme en Chine, ses émissions
de dioxyde de charbon en 2030 seront les mêmes que la production de CO2 du
monde entier aujourd’hui.’’ (Shücking et al, ci-dessus cité, pp. 30-31,
citant Madrigal A, “China’s 2030 Emission Could
Equal the Entire World’s Today’, Wired Science, Février 08, 2008, qui
cite à sa fois Zeng, N. et al, “Climate Change – The Chinese
Challenge”, Science Magazine, Washington, 08 Février 2008, Vol. 319,
no. 5864, pp. 730-731.) [Traduction de l’anglais : Stichting
Bakens Verzet.]
Les projets locaux de développement intégré écologiques et durables à
bénéfice des pauvres fournissent des solutions pratiques simples et
terre-à-terre aux problèmes associés au développement dans des zones individuelles de projet dont
chacune a une population de +/- 50.000 habitants. Des structures sociales,
financières, productives et de service sont établies dans chaque zone de projet
dans un ordre critique de séquence, et étroitement intégrées l’une à l’autre.
De cette manière, l’on crée des environnements économiques locaux coopératifs,
sans intérêts, et sans inflation à fin que l’initiative locale et la
compétition loyale y puissent fleurir. La mise en exécution de chaque projet de
développement intégré permet d’achever et de dépasser les huit objectifs du millénaire dans la
zone du projet même, à l’exclusion de ceux relatifs aux vaccinations et à la
médecine curative.
Les projets locaux de développement intégré fournissent tous les
services nécessaires à une bonne qualité de vie pour les habitants, sans
exclusion, dans leur zone d’exécution. Chaque projet dans une zone non
pastorale coûte € 5.000.000 environ, dont le 25% est à la charge des habitants
eux-mêmes à travers du travail qu’ils font aux termes du système de monnaie
locale établi dans l’une des premières phases de l’exécution du projet. Cela
porte à l’exigence d’un financement capital initial en monnaie formelle
d’environ € 3.750.000 par projet. Les
projets dans les zones pastorales par contre coûtent € 7.000.000 environ, dont
le 20% est fourni par les habitants à travers de leur travail dans le cadre des
systèmes de monnaie locale établis. Cela laisse une solde en Euros dans les
zones pastorales de € 5.600.000 par projet. La différence entre les zones
pastorales et celles non pastorales est due aux exigences supérieures de
fourniture en eau potable et de nourriture des troupeaux.
Plus ou moins 2.500 projets de développement intégré sont nécessaires
au développement intégré de l’Afrique de l’Ouest (exclus le Nigeria et le
Ghana). D’autres 2.500 projets seront nécessaires au développement intégré du
Nigeria avec le Ghana. Puisque tous ces projets individuels seront des
applications d’un seul Modèle pour les projets de développement intégré, toutes
les zones de projet auront une population de 50.000 de personnes environ. Tous
les projets prévoient le même ensemble de base de structures sociales,
financières, productives, et de service nécessaires à une bonne qualité de vie
pour tous. Cela signifie que les
exigences humaines et environnementales et les dimensions des structures et des
activités prévues sont communes aux zones de tous les projets individuels,
sujet toujours à des variations locales d’importance secondaire.
L’investissement financier initial e compte capital requis de
respectivement € 3.750.000 (zones non pastorales) et € 5.600.000 (zones
pastorales) doit être déposé d’avance à couverture de la mise en œuvre des
projets, qui en principe ne dure que deux ans. Ce capital initial peut être
remboursé au cours des années d’exercice suivantes à travers de la vente
d’unités certifiées de réduction des émissions de CO2 (CER) comme prévu du
Mécanisme de Développement Propre (CDM) établi aux termes du Protocole de Kyoto.
Ceci est rendu possible à travers l’application d’un menu de
méthodologies approuvées par le Mécanisme de Développement Propre (CDM). Telles
méthodologies sont communes à tous les projets de développement intégré. Elles
sont basées sur des Programmes d’Activités (PoA) organisés sur deux niveaux.
Le Programme d’Activités (PoA) au premier niveau est le PoA
«dominant ». Pour le développement intégré de l’Afrique de l’Ouest (exclus
le Nigeria et le Ghana) par exemple, aurait-on besoin de 2.500 applications
environ du Programme of Activités (PoA)
«dominant ».
Le deuxième niveau de PoAs comprend un menu de 13 sous-Programmes
d’Activités (PoAs), chacun desquels se sert d’une méthodologie CDM spécifique.
Chacun des 2.500 projets individuels de
développement intégré peut élire d’appliquer un seul, ou une combinaison
quelconque des 13 PoAs, ou même tous, selon les exigences locales. Par exemple,
une zone de projet pourrait appliquer la
méthodologie AR AMS-003, Version 1 pour
la reforestation des zones humides; une deuxième pourrait choisir de se servir
de celle AR-AMS-0005 (Version 2, 8
Avril 2009) dans une zone à bas potentiel pour supporter la croissance de la biomasse
vivante; un troisième projet ayant soit des zones humides que des zones arides
pourrait choisir d’appliquer l’une et l’autre des deux méthodologies et un
quatrième projet aucune des deux.
Le schéma des PoA à deux tranches proposé ici est
différent de ce qu’on a fait jusqu’ici aux termes du mécanisme CDM On aura besoin du temps, des investissements
financiers, et de l’engagement actif au niveau sous-régional pour le faire
approuver par le Conseil Exécutif (EB)
du Mécanisme de Développement Propre
(CDM). Une telle approbation pourrait introduire une innovation profonde à
faveur du financement des projets de développement intégré à bénéfice des pays
les moins développés. La promotion du plan CDM ici présenté représente une entreprise aux
risques élevés qui comporte le paiement d’avance de montants importants sans
aucun garanti de succès.
Le système CDM reconnaît deux secteurs principaux d’intervention. Le premier en est le
financement de la réduction des émissions CO2 dans les zones des projets,
à réaliser à travers l’utilisation des fourneaux de cuisine améliorés, des
systèmes d’éclairage plus efficients, l’utilisation de biomasse renouvelable au
lieu de celle non renouvelable, etc. Les possibilités offertes de ce premier
secteur au cas des pays les plus pauvres sont restreintes à cause du fait que
l’on s’y sert de peu d’énergie. Le deuxième secteur principal est celui du
financement de l’augmentation du stockage de CO2 à travers de projets variés
d’afforestation et reforestation (AR). Ce deuxième secteur offre plus de
possibilités aux zones pauvres, à condition que l’on y dispose de suffisamment
d’eau et de main d’œuvre pour la mise en exécution des initiatives.
Une analyse préliminaire montre que les revenus potentiels lourds à
travers le système CDM sur 60 ans et pour toutes les 13 applications du menu
dans leur ensemble pourrait monter en moyen à € 28.000.000 (lourd) environ par
projet. Il s’agit d’une première approximation prudente,
pas établie de manière scientifique. Elle est sujette à la déduction du 15% (peut-être de plus) à couverture
des frais d’administration et de
validation. Elle est exprimée en Euros d’aujourd’hui. Elle est basée sur la
valeur de marché d’une tonne de CO2 au
14 Novembre 2009 (€ 14 environ par tonne CO2). Le montant n’a pas été escompté
sur une période de 10-20 ans selon la pratique traditionnelle de calcul des
coûts et des bénéfices appliquée aux investissements commerciaux. Des
différentes méthodologies CDM prévoient actuellement des intervalles
différentes pour la validation du progrès réalisé. Les projets d’afforestation
et reforestation (AR), par exemple, sont pour la plupart à long terme. Ils
prévoient un choix du moment de la première validation. Suite à la première
validation, celles successives ont lieu tous les cinq ans. L’analyse
assume la disponibilité d’eau en suffisance et de main d’œuvre pour pouvoir
faire partir les divers projets d’afforestation et de reforestation prévus dans
plus ou moins la même période. Le cas échéant telles applications devront être
mis en œuvre en phases. Cela n’aurait aucun effet sur le montant total des
revenus CDM, toutefois la période pour le remboursement des investissements
initiaux en compte capital serait prolongée.
Un PoA «dominant » de premier niveau avec 2.500 applications
représentant 2.500 projets de développement intégré individuels pour
125.000.000 habitants en Afrique de l’Ouest pourrait générer jusqu’à €
70.000.000.000 environ de revenus CDM lourds. Cela éliminerait la pauvreté en
Afrique de l’Ouest et y dépasserait tous les objectifs du millénaire sauf ceux
relatifs aux vaccinations et aux frais de la médecine curative.
Cliquer
ici pour avoir une vision générale des revenus lourds CDM attendus pour chaque
sous-programme d’activité (Total par zone de projet +/- € 28.000.000).
Cliquer
ici pour voire un graphique général avec la
distribution annuelle des revenus lourds CDM attendus pour chaque zone de
projet individuelle sur une période de 50 ans . (Total par zone de
projet +/- € 28.000.000).
Les
graphiques confirment que n’importe ce qui ait lieu, n’importe ce que soit le
système des calculs adopté, chaque projet individuel de développement intégré peut rembourser les
investissements initiaux en compte capital au cours de quelques années
d’opération.
Supposant
une marge de 10% à couverture des frais de validation et d’administration, le
total des revenus nets CDM prévisibles par projet sur 50 ans serait +/- €
24.000.000.
Les
revenus nets prévus pour les premiers six ans des opérations CDM
seraient :
Revenus
CDM nets attendus relatifs à la première année € 0.
Revenus
CDM nets attendus relatifs à la deuxième année +/-€ 450.000.
Revenus
CDM nets attendus relatifs à la troisième année +/-€ 950.000
Revenus
CDM nets attendus relatifs à la quatrième année +/-€ 1.350.000.
Revenus
CDM nets attendus relatifs à la cinquième année +/- € 1.400.000.
Revenus
CDM nets attendus relatifs à la sixième année +/- € 1.100.000.
Il est de même que le potentiel réel du système CDM n’a pas été
exploité au maximum dans les textes présentés. La méthodologie 07 AR-AMS-0005 (Version 2, 8
Avril 2009) pour les zones
arides avec Jatropha sera en toute probabilité appliqué plus souvent que celle
06 AR AMS-003, Version 1 pour
les zones humides à Mangroves, qui donneraient des résultats supérieurs. Le
calcul relatif à la méthodologie
AMS-III-AR pour la captation du méthane aux termes de l’application
La façon de remboursement des
investissement initiaux en compte capital est une question politique. Un propriétaire de projet au niveau sous-régional tel
Même au cas d’adoption d’activités du Mécanisme de Développement Propre
(CDM) à petite échelle basées sur des Programmes d’Activités (PoAs) permettant
la simplification des procédures formelles, des délais jusqu’à 12 mois entre la
soumission des rapports périodiques CDM et l’émission et la vente des unités de
Carbon Emission Reduction (CER) sont prévisibles.
Sujet aux observations faites ci-dessus, les revenus nets CDM pour les
projets dans les zones non pastorales à capital initial de € 3.750.000
devraient en permettre le remboursement au cours du
sixième année d’activités, sur la base des revenus des premiers cinq
ans. Dans les zones de projet pastorales à investissement initial de €
5.600.000 devrait-on pouvoir rembourser le capital à la fin de la huitième
année d’exercice sur la base des revenus relatifs aux premiers sept ans.
Une fois remboursé l’investissement initial en compte capital, tous les
revenus suivants seront payés dans le compte de la Coopérative pour la Gestion Continue des Structures
du Projet, dont tous les habitants adultes de la zone du projet sont
membres. La coopérative fera la distribution des fonds de façon égale d’entre
ses membres, ou bien les utilisera pour financer des améliorations aux
structures du projet.
Les paiements des revenus CDM commenceront au cours de la troisième ou
de la quatrième année d’exercice du projet. Cela signifie que le montant total
du capital initial
d’investissement nécessaire devra toujours être mis à la
disposition du projet d’avance.
Le menu de 13
sous-programmes d’activités (PoAs) proposé fournira aux populations des
bénéfices importants outre la possibilité de rembourser le capital initial du
projet. Par exemple, leur sécurité alimentaire sera augmentée à travers la
plantation d’arbres fruitiers et à noix. On pourra établir des haies dans les
zones arides et semi-arides à protection des cultures. Les plantations à
bambou fourniront aux populations des
puisses de bambou comestibles, des matières premières pour de nombreuses
activités productives, et de la biomasse pour les foyers de cuisine améliorés.
Les arbres Moringa leur fourniront des «feuilles d’épinards » et de
l’huile végétale comestibles, et du pâte de Moringa pour la purification de
l’eau potable. Les arbres Jatropha produiront des quantités restreintes de
biocarburant pour faire fonctionner des générateurs locaux et des équipements
motorisés. Toutes les activités CDM amélioreront la qualité de l’environnement
et y soutiendront la biodiversité. Une liste dles bénéfices des projets se
trouve à l’analyse des coûts et des
bénéfices de
Des graphiques avec des détails des revenus lourds CDM attendus au
cours de chacun des premiers neuf ans d’exercice et ceux relatifs à chacune des
13 applications prévues sont accessibles à
Pour
voir un schéma d’un plan typique de développement intégré au niveau
sous-régional financé à travers du système CDM, consulter le plan structurel pour l’Afrique de l’Ouest.
La table 1 montre le plan du Programme d’Activités (PoA) dominant, et
des 13 sous-programmes de la tranche secondaire. Au cas, par exemple, du
développement de l’Afrique de l’Ouest, le PoA dominant aurait 2500 applications
environ. Chacun des sous-programmes aurait à son tour, pour chaque projet
individuel de développement intégré, ou une seule application au niveau de
projet, ou jusqu’à 45 applications environ au niveau administratif intermédiaire,
ou jusqu’à 250 applications environ au niveau des unités administratives de
base, ou bien jusqu’à 10.000 applications environ au niveau des ménages. À
remarquer que les applications 02 et 03 continueront sur un période de 60 ans –
les derniers 40 ans n’y sont pas marqués sur la table à raison de manque
d’espace. De même, l’application 06 se poursuivra sur 30 ans – les derniers 10
ans n’y sont pas marqués. À relever d’ailleurs qu’au cas où l’on pense à
répéter des projets de démonstration, les périodes de validité des Programmes
d’Activités devront être plus étendues pour y prévoir des espaces temporales
suffisantes. Les périodes maximales sont
21 ans pour les projets «normaux » et 60 ans pour les
projets AR.
Table 1 : Les deux tranches de
Programmes d’Activités (PoA) prévues.
Année d’exercice. |
Sous-PoAs Une application au niveau de projet, ou jusqu’à 45 applications au
niveau intermédiaire, ou jusqu’à 250 applications au niveau local, ou jusqu’à
10000 applications au niveau des ménages. |
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06 |
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20 |
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22 |
Une application aux termes du PoA dominant pour chaque projet individuel de développement intégré. |
09.01. Réduction émissions
CO2 à travers l'utilisation de foyers de cuisine améliorés. Projet à petite échelle : Méthodologie
AMS-II-G.(Version 5) (21 ans) (Aucune répétition possible.) |
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09.02. Projets de
démonstration pour le rétablissement de forêts, parcs nationaux, et réserves..
Méthodologie AR-AMS-0004 , version 2.
(60 ans). (Jusqu’à 60 ans au cas où l’on prévoie des répétitions des
projets). |
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09.03. Activités
d'afforestation dans les habitats selon les définitions fournies.
La plantation d'arbres fruitiers et à noix. Méthodologie AR-AMS-0002 (version 2). (60 ans) (Aucune répétition prévue.) |
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09.04. Activités agro -forestières
à petite échelle – telle la culture de plantations de bambou sur les prairies
et les terres cultivées. Projet à petite échelle :
Méthodologie AR-AMS-0001
(10 ans). (Aucune répétition prévue.) |
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00.05 Activités agro -forestières
à petite échelle – plantations de démonstration de Moringa sur des terres
marginales : Projet à petite échelle. Méthodologie AR-AMS-0004 , version 2.
(10 ans) (Jusqu’à 60 ans au cas où l’on prévoie des répétitions des projets). |
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09.06. Projet d’afforestation
et/ou reforestation (AR) de démonstration sur terres humides utilisant les
espèces traditionnelles telles les Mangroves. Projet à petite
échelle : Méthodologie AR AMS-003, Version 1.
(30 ans). (Jusqu’à 60 ans au cas où l’on prévoie des répétitions des
projets). |
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09.07 Projets démonstration sur des terres à
potentiel réduit de soutien de biomasse vivante, utilisant Jatropha ou
équivalent. Projet à petite échelle : Méthodologie AR-AMS-0005 (Version 2, 8
Avril 2009) (14 ans) (Jusqu’à 60 ans au cas où l’on prévoie des
répétitions des projets). |
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09.08. Utilisation de la
biomasse renouvelable au lieu de celle non renouvelable avec des foyers
améliorés. Projet à petite échelle : Méthodologie AMS 1.E . (21 ans). (Aucune
répétition possible.) |
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09.09. Recyclage des déchets
humains pour éviter l’utilisation d’engrais industriels. Projet à
petite échelle, gestion simplifiée : Méthodologie AMS-III-Y (21
ans). (Aucune répétition possible.) |
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09.10. Captation du méthane
des déchets du bétail à utilisation pour la cuisine et pour l’éclairage,
surtout dans les zones pastorales. Projet à petite échelle,
gestion simplifiée : Méthodologie AMS-III-R
(Utilisation réservée
attente informations sur les applications). (21 ans). (Aucune
répétition possible.) |
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90.11. Remplacement des
lampes à kérosène etc. ( sources éoliennes, solaires, et/ou biomasse
renouvelable y comprise l’huile végétale, la gazéification de la biomasse).
Projet à petite échelle, gestion simplifiée : Méthodologie AMS-III-AR (21 ans). (Aucune répétition possible.) |
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09.12. Remplacement de
sources électriques, diesel, et accumulateurs pour les équipements mécaniques.
Projet à petite échelle : Méthodologie
AMS-I-A (21
ans). (Aucune répétition possible.) |
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90.13. Recyclage et récupération de matériaux des
déchets solides, y comprises mais pas limité aux plastiques. . Projet à petite échelle, gestion simplifiée :
Méthodologie AMS-III-AJ.
(Utilisation réservée attente information
sur les applications) (21 ans). (Aucune répétition possible.) |
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Retour
:
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Examen Bloc 8 : [4 heures]
Examen consolidé : Section C. [6 heures].
◄ Huitième bloc : Sect. 5 : Protocole de Kyoto :
Analyse des possibilités de financement.
◄ Huitième
bloc : Bloc 8 : Les aspects économiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell
Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)
Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th
annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
Cette
œuvre est mise dans le domaine public aux termes d’une licence
Creative Commons
Attribution-Non-commercial-Share Alike 3.0.