ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
Édition
06: 31 Mars, 2011.
Édition 13 :
30 Novembre, 2014.
01. Cours e-learning :
Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév. Int)
SECTION A : LES PROBLÈMES DU
DÉVELOPPEMENT.
Valeur attribuée : 04 points sur
18
Travail prévu : 112 heures sur
504
Les points ne sont attribués qu’après
le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Deuxième bloc : Les problèmes à résoudre.
Valeur attribuée : 02 points sur 18
Travail prévu : 55 heures sur 504
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Deuxième bloc : Section 1 : Analyse des
objectifs du Millénaire.
Valeur attribuée : 01 point sur 18
Travail prévu : 22 heures sur 504
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
[18.00 Heures] Analyse
objectifs du Millénaire.
[04.00 Heures] Rapport sur la
Section 1 du Bloc 2.
Section
1. Analyse des objectifs du Millénaire. [18 heures]
[18.00 Heures] Analyse
objectifs du Millénaire.
00. Sommaire objectifs du Millénaire.
01. Réduction de l’extrême pauvreté et de la faim.
02. Assurer l’éducation primaire à tous.
03. Promouvoir l’égalité des sexes et
l’autonomisation des femmes.
04. Réduire la mortalité des enfants de moins de 5
ans.
05. Améliorer la santé maternelle.
06. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres
maladies.
07. Cible 09 : Assurer un environnement durable.
07 Cibles 10 et 11 : Eau
, assainissement et taudis.
08. Mettre en place un partenariat pour le développement.
Section
1. Analyse des objectifs du Millénaire. [18 heures]
[18.00 Heures] Analyse
objectifs du Millénaire.
08. Mettre en place un partenariat pour le
développement. (Au moins
deux heures).
Voir
diapositive de référence: Cibles 12-18 Mettre en
place un partenariat mondial pour le développement.
À l’objectif 8 a-t-on donné le titre
“Mettre en place un partenariat mondial pour le développement.”
Comme Carla Koppell, la “chief
strategy officer” de
L’on y a dédié la section V « Le développement durable à l’ère de la
mondialisation » (articles 47-52) toute entière du Plan d’Application du Sommet
Mondial pour le développement durable.
« 47.
La mondialisation offre des possibilités et des défis pour le développement
durable. Nous reconnaissons que la mondialisation et l’interdépendance offrent
de nouvelles possibilités en matière de commerce, d’investissement et de flux
de capitaux ainsi que de progrès technologiques, y compris dans le domaine des
technologies de l’information, pour la croissance de l’économie mondiale, le
développement et l’amélioration des conditions de vie partout dans le monde. En
même temps, il reste de graves défis à relever, y compris de graves crises
financières, l’insécurité, la pauvreté, l’exclusion et les inégalités au sein
des sociétés et entre les diverses sociétés. Les pays en développement ou en
transition doivent faire face à des difficultés particulières pour relever ces
défis et saisir ces possibilités. La mondialisation devrait profiter à tous et
être équitable et il y a un fort besoin de politiques et de mesures aux niveaux
national et international, élaborées et mises en œuvre avec la participation
pleine et efficace des pays en développement ou en transition, afin de les
aider à répondre efficacement à ces défis et possibilités. Cela exigera qu’on
agisse d’urgence à tous les niveaux pour :
a)
Continuer à promouvoir des systèmes commerciaux et financiers multilatéraux
ouverts, équitables, fondés sur des règles, prévisibles et non
discriminatoires, qui bénéficient à tous les pays s’efforçant de réaliser un
développement durable. Favoriser l’aboutissement du programme de travail
contenu dans
b)
Encourager les efforts actuels des institutions financières et commerciales
internationales pour garantir que les processus de prise de décisions et les
structures institutionnelles soient ouverts et transparents;
c)
Renforcer les capacités des pays en développement, y compris des pays les moins
avancés, des pays en développement sans littoral et des petits États insulaires
en développement, pour tirer parti des possibilités offertes par la
libéralisation du commerce par le biais de la coopération internationale et de
mesures visant à accroître la productivité, la diversification des produits de
base et la compétitivité et à favoriser les capacités d’entreprise basées sur
les populations locales ainsi que le développement des infrastructures dans le
domaine des transports et des communications;
d)
Soutenir l’Organisation internationale du Travail et encourager ses travaux en
cours concernant la dimension sociale de la mondialisation, conformément au
paragraphe 64 du Consensus de Monterrey;
e)
Accroître l’apport de programmes coordonnés, efficaces et ciblés d’assistance
technique et de renforcement des capacités dans le domaine commercial, y
compris pour tirer parti des possibilités actuelles et futures d’accès au
marché et pour examiner les rapports existant entre commerce, environnement et
développement.
48.
Mettre en œuvre les déclarations et décisions de
49.
Promouvoir activement la responsabilité et l’obligation de rendre des comptes
des entreprises, sur la base des Principes de Rio, y compris par l’élaboration
complète et la mise en œuvre efficace d’accords et de mesures
intergouvernementaux, d’initiatives internationales et de partenariats entre le
secteur public et le secteur privé ainsi que de cadres de réglementation
nationaux appropriés, et soutenir l’amélioration permanente des pratiques des
entreprises dans tous les pays.
50.
Renforcer les capacités des pays en développement à encourager les initiatives
publiques/privées qui facilitent l’accès au marché et permettent d’obtenir des
informations à la fois fiables, d’actualité et complètes sur les pays et les
marchés financiers. Les institutions financières multilatérales et régionales
pourraient fournir une assistance plus importante à cette fin.
51.
Renforcer les accords régionaux commerciaux et de coopération conformes au
système commercial multilatéral, entre pays développés et pays en développement
ou en transition, ainsi qu’entre pays en développement, avec le soutien des
institutions financières internationales et des banques régionales de
développement, lorsqu’il convient, en vue d’atteindre les objectifs du
développement durable.
52.
Aider les pays en développement ou en transition à réduire le fossé numérique,
à créer des possibilités dans le domaine du numérique et à tirer parti du
potentiel offert par les technologies de l’information et des communications
pour le développement par des transferts de technologies à des conditions
convenues de part et par la fourniture d’un soutien financier et technique et,
à cet égard, soutenir l’organisation du Sommet mondial sur la société de
l’information. »
Ce que cela signifie
est rendu évident par Malig, M.L. dans Tailored for Sharks : How rules are tailored and
public interest surrendered to suit corporate interest in the WTO, FTAs and BITs trade and
investment regime,
“As
more and more cases are filed the governments have had to surrender substantive
sovereignty every time they withdraw national public interest policy measures
in favor of corporate interest global trade rules,…. In
this global trade and investment regime, whether multilateral or bilateral,
governments have not only failed to
protect humanity and the planet from
corporate abuse, they have aided and abetted corporate economic and
ecological crime. Through trade and investment agreements, governments have
been complicit in facilitating the expansion of corporate power and weakening
the overall capacity and responsibility of states to regulate corporations in
the public interest.”
Au cours des études dont à
1.
Opinion.
Sur 2 pages : À la première page,
faites une liste des causes principales de la pauvreté. À côté de chacune des
causes, écrivez ,cas écheánt, les paragraphes parmi
les paragraphes 47,48,49,50,51,52 que vous y retenez applicables. À la deuxième
page, décrivez vos conclusions.
La globalisation économique tolère la concentration du pouvoir financier
dans les mains d’une petite élite de personnes qui ne sont élues. Les
instruments dont ils se servent comprennent la création des dettes, l’application
des intérêts sur les dettes, et l’accumulation des intérêts le long du cours de
préparation des produits industriels. Le système tolère l’opération de
subventions à bénéfice des opérateurs des pays industrialisés. Par exemple, ces
subventions montaient à US$
350.000.000.000 pour les seules subventions dans le secteur agricole en 2001. (US$ 350 billion in
2001). (Eight Broken Promises, Watkins K., Oxfam briefing
paper 9, Oxfam International, Washington, 2001) .
Cela représente plus que trois fois le montant de US$ 103.900.000.000 (y
compris un chiffre d’environ US$ 19.000.000.000 pour la cancellation
des dettes) dépensé de tous les pays de
Des informations sur la structure
pour le règlement des litiges (le DSM) dans le cadre de l’Organisation Mondiale
du Commerce, structure retenue le “joyau de la couronne” du contrôle global des
entreprises multinationales voir M.L.Malig, Big Corporations, the Bali
Package and Beyond : Deepening
TNCs Gains from the WTO, The Transnational Institute (TNI)
avec Serikat Petani Indonesia (SPI), Amsterdam, Novembre 2014.
Le
rapport par Koplow D., Nuclear Power : Still
not Viable without Subsidies, Union of Concerned Scientists, Cambridge
(Massachusetts), Février, 2011, fut cité dans
03. les dettes et les subsides de la section 1 : première analyse des causes de la
pauvreté. Les
subsides applicables aux centrales nucléaires sont décrites voix par voix à la
page 131. Au case des centrales
existantes, les estimations variant entre le 152%-168% de la valeur de
l’électricité générée, celles les plus élevées de 209% - 240%. Au cas des centrales nouvelles, les
estimations les plus favorables variant
entre 74% et 88%, et celles les plus élevées entre 152%-200%. Les subsides sur
les centrales existantes sont légèrement plus basses au cas des centrales
privées qu’au case de celles publiques. Les subsides pour les nouvelles
centrales devraient être légèrement supérieures au cas de centrales privées
qu’au cas de celles publiques.
L’un des slogans de la globalisation économique est le concept du
“partenariat public - privé” qui a ouvert aux corporations multi -nationales
l’accès au, et le contrôle monopoliste de certains services publics avec des
conséquences désastreuses dans tout le monde, surtout pour les membres les plus
pauvres et les moins protégés de la société. (Voir votre travail sur la
privatisation de l’eau , Section 1 du bloc 2, 07A. Cibles 10 et 11 :
Eau, assainissement et taudis).
Les cibles nommés à l´objectif 8 comprennent, par exemple :
Cible 15
: Traiter globalement le problème de la dette des pays en développement, par
des mesures d’ordre national et international propres à rendre leur dette
viable à long terme.
Cible 16
: En coopération avec les pays en développement formuler et appliquer des
stratégies qui permettent aux jeunes de trouver un travail décent et utile.
Cible 17
: En coopération avec l’industrie pharmaceutique, rendre les médicaments
essentiels disponibles et abordables dans les pays en développement.
Cible 18
: En coopération avec le secteur privé, faire en sorte que les avantages des
nouvelles technologies, et particulier des technologies de l’information et de
la communication, soient à la portée de tous.
Concernant le cible 16 :
“Unemployment
and underemployment plague the lives of people in poverty around the world.
In developing countries, many work in
insecure informal jobs as waste pickers, street vendors, water carriers,
shoe-shiners and labourers. Vulnerable employment, comprising unpaid family
workers and self-employed workers, accounted for an estimated 58% of all
employment in the developing regions in 2011. Informal workers lack adequate
social protection and suffer from low pay and poor working conditions. Whether
in formal or informal jobs, many are exploited. Their insecurity is increased
by the lack of legal identity, as one participant from
L’encadrement de tels cibles dans un objectif nommé “Mettre en place un
partenariat mondial pour le développement” semble présager la rentrée à travers
la porte de service des causes principales de la fuite financière et de la
pauvreté que les objectifs du Millénaire auraient du combattre.
On a même voulu dédier des cibles spécifiques à des secteurs tels celui
pharmaceutique et celui de l’information et de la communication dont la
réputation, avec celle des secteurs de l’eau et de l’énergie sont coresponsables
importantes de la fuite financière, qui est la cause principale de la pauvreté.
Des ouvertures aux partenariats globaux et à la “coopération” publique
-privée sont introduites également de façon systématique dans les descriptions
d’autres objectifs, cibles, et indicateurs. On en donne ci-dessous deux
exemples. Il y en a beaucoup d’autres.
In “Public Private
Partnerships” “governments run the risks and companies collect the profits. As
is common to other processes of wealth concentration, governments will be
called to invest as much and as long as is necessary to take the big risks, as
long as important processes of research and development are necessary or while
the start-up investment costs and needs remain high. Private enterprises will
be the ones to carry out the work paid for by state investors and they will
cash in at rates they consider acceptable. Hundreds of research projects,
infrastructure construction projects, insurance schemes, consumer control
systems and other projects have been built up with government money. If a
government does not have money, the World Bank and other agencies are available
to ensure indebtedness. However, the government's presence is not a long-term
guarantee. As soon as conditions become clearer and more favourable, good
business opportunities are transferred over to the private sector. If such
opportunities do not turn out to be promising, governments must bear the
costs.” (Behind the “Green Economy” : Profiting from environmental and climate
crisis, GRAIN, Allianza Biodiversidad, WRM, ATALC, site web www.grain.org, Barcelona, 11 Septembre,
2012.)
Relisez votre
travail au cours de vos études dans cette Section 1.
Analyse des objectifs du Millénaire.
2.
Opinion.
Sur une page faites une liste à deux
colonnes. À la colonne gauche, faite une liste des objectifs, cibles, et
indicateurs étudiés. À la colonne droite, écrivez les références aux
partenariats et aux activités industrielles, transferts de technologies etc. y
décrites.
3.
Opinion.
Sur deux pages faites votre conclusion sur
le contenu de votre liste. Les problèmes sont-ils problèmes de développement ou
de consommation illimitée de la part des nations industrialisées. Se
trouve-t-on en présence d’un effort en bonne foi d’améliorer les conditions de
vie dans les pays moins développés ou d’un rideau de fumée qui couvre
l’intention de créer des encouragements
pour une consommation encore plus exagérée de la part des pays
riches ?
Procéder
à la rédaction de votre rapport sur l’analyse des objectifs du Millénaire dont à la
Section 1 du Bloc 2.
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