ONG Stichting
Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
Édition 06 : 29 Août,
2010.
Édition 19 : 01 Août, 2014.
01. Cours e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév. Int)
SECTION A : LES PROBLÈMES DU DÉVELOPPEMENT.
Valeur attribuée : 04 points sur 18
Travail prévu : 112 heures sur 504
Les points ne sont attribués qu’après le complètement
réussi de l’examen consolidé pour
Deuxième bloc : Les
problèmes à résoudre.
Valeur attribuée : 02 points sur 18
Travail prévu : 55 heures sur 504
Les points ne sont attribués qu’après le complètement
réussi de l’examen consolidé pour
Deuxième bloc : Section
1 : Analyse des objectifs du Millénaire.
Valeur attribuée : 01 point sur 18
Travail prévu : 22 heures sur 504
Les points ne sont attribués qu’après le complètement
réussi de l’examen consolidé pour
[18.00 Heures] Analyse
objectifs du Millénaire.
[04.00 Heures] Rapport sur la
Section 1 du Bloc 2.
Section
1. Analyse des objectifs du Millénaire. [18 heures]
[18.00 Heures] Analyse objectifs
du Millénaire.
00. Sommaire objectifs du Millénaire.
01. Réduction de l’extrême pauvreté et de la faim.
02. Assurer l’éducation primaire à tous.
03. Promouvoir l’égalité des sexes et
l’autonomisation des femmes.
04. Réduire la mortalité des enfants de moins de 5
ans.
05. Améliorer la santé maternelle.
06. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres
maladies.
07. Cible 09 : Assurer un environnement durable.
07 Cibles 10 et 11 : Eau
, assainissement et taudis.
08. Mettre en place un partenariat pour le
développement.
Section 1. Analyse des objectifs du Millénaire.
[18 heures]
[18.00 Heures] Analyse
objectifs du Millénaire.
06. Combattre le VIH/sida, le paludisme et d’autres
maladies. (Au moins deux
heures de travail).
Votre diapositive de
référence: Combattre le VIH/sida, le
paludisme, le tuberculose et d’autres maladies.
L’objectif 6 des Objectifs du
Millénaire traite la lutte contre le VIH/sida, le paludisme, le tuberculose et
d’autres maladies.
Au sujet de la santé en
général, lisez de nouveau vos notes à la section 1 du bloc 1 analyse santé et assainissement et approfondissement santé et assainissement
du cours. Voir aussi la section 04. Réduire la mortalité des enfants de moins de 5
ans ,
qui couvre entre d’autre la question de la malaria et de la rougeole.
Une bonne référence générale aux approches intégrées aux questions de
la santé et leur rapport avec le milieu et le climat est Costello A. et al, Managing the health effects of
climate change, Lancet (The) Vol. 373,
Issue 9676, pp. 1693-1733 with University College London (Institute for Global
Health Commission), Londres, 2009.
[Enregistrement est nécessaire pour obtenir accès gratuit].
On remarque que elle manqué aux Objectifs du
Millénaire “toute mention de NCDs [maladies non-transmissibles].
« …le fardeau et la
menace que les maladies non transmissibles représentent à l’échelle mondiale
constituent l’un des principaux défis pour le développement au XXIe siècle, en ce qu’il vient remettre en
cause le développement social et économique dans le monde entier et
compromettre la réalisation des objectifs de développement arrêtés sur le plan
international » ( Paragraphe 1 de
Cependant les maladies non-transmissibles dans
leur ensemble causent presque deux tiers des cas de mortalité au monde !
« .. selon l’OMS,
près de 36 millions des 57 millions de décès enregistrés dans le monde en 2008
étaient dus à des maladies non transmissibles, principalement des maladies
cardiovasculaires, des cancers, des maladies respiratoires chroniques et le
diabète, près de 9 millions de ces décès étant survenus avant l’âge de 60 ans
et près de 80 % dans des pays en développement; » ( Paragraphe
14 de
Pour les enfants au-dessous de 5 ans, les
facteurs de risque des maladies non-transmissibles en 2010 furent toujours la déficience du poids des enfants (12,4% des
années-vie corrigées selon les incapacités [disability-adjusted life-years
–DALYs] , manque ou insuffisance d’allaitement
(7.6%) et la pollution de l’air à cause de l’utilisation des
combustibles fossiles à l’intérieur des ménages (6.3%). Pour les adultes, les
maladies les plus importantes furent la pression élevée du sang, l’obésité, le
diabète, l’abus de l’alcool et risques alimentaires. (S.Lin et al, A comparative assessment of burden of disease attributable to 67 risk
factors and risk factor clusters in 21 regions, 1990-2010 : a systematic
analysis for the Global Burden of Disease Study 2010, The Lancet, Vol. 380, numéro 9859, pp. 2226-2260, Londres, 15 Décember
2012. [Enregistrement
nécessaire pour obtenir accès gratuit] ).
Le Rapport mondial sur le
développement humain 2007-2008 du PNUD fournit les tableaux
suivants :
06 Engagement en faveur de la
santé : le pourcentage des immunisés contre le tuberculose et la
rougeole ; taux de prévalence de la contraception..
08 Inégalités en matière de santé
maternelle et infantile : les enfants «totalement immunisés ».
09.Prévalence du VIH, les
mesures anti-paludisme, les cas de tuberculose, utilisation de
préservatifs.
L’objectif 6 contient 2 cibles (VIH/sida et
les autres maladies), et bien 7 indicateurs.
1. Opinion.
Sur une page, tenant compte de votre travail précédent, expliquez pourquoi, à votre avis, on semble
donner tellement d’importance à cet objectif ?
La section VI : « Santé et
développement durable », articles 53-57, du Plan d’Application du Sommet
Mondial pour le développement durable traite les objectifs
du Millénaire relatifs à la santé.
L’article 53,
déjà objet de discussion à la section 04. Réduire la mortalité des enfants de moins de 5
ans), lit : «...........Les objectifs du développement durable ne peuvent être
atteints qu’en l’absence d’une fréquence élevée des maladies débilitantes, tandis
que l’amélioration de la santé de l’ensemble de la population exige
l’éradication de la pauvreté. Il y a un besoin urgent de s’attaquer aux causes
des maladies, y compris à celles qui sont liées à l’environnement, et à leurs
effets sur le développement, en accordant une attention toute particulière aux
femmes et aux enfants, ainsi qu’aux groupes vulnérables de la société, comme
les handicapés, les personnes âgées et les populations
autochtones. »
L’art. 53 prévoit, aux
sub-paragraphes b), et g),
« b) Promouvoir, à tous les niveaux du
système de santé, un accès équitable et amélioré à des services de santé
abordables et efficaces, y compris en matière de prévention, à des médicaments
essentiels sûrs et ayant des prix abordables, à des services de vaccination et
des vaccins sans danger et à la technologie médicale’.......
g) Cibler les efforts de recherche et en appliquer les
résultats aux problèmes de santé publique prioritaires, en particulier à ceux
qui touchent des populations prédisposées et vulnérables, par la mise au point
de nouveaux vaccins, en réduisant l’exposition à des risques sanitaires, en
élargissant l’accès, sur un pied d’égalité, aux soins de santé, à l’éducation,
à la formation, aux thérapeutiques et aux techniques médicales et en combattant
les effets secondaires d’un mauvais état de santé; »
En ce qui concerne le cible 7 sur le
VIH/sida, le Plan d’Application du Sommet
Mondial pour le développement durable prévoit au paragraphe 55 :
«55. Mettre en oeuvre, dans les
délais convenus, tous les engagements pris dans
a) En mettant en oeuvre des
stratégies nationales de prévention et de traitement, des mesures de coopération
régionales et internationales adoptées, et en créant des programmes
internationaux afin de fournir une assistance spéciale aux enfants orphelins du
VIH/sida;
b) En honorant les engagements
d’allouer des ressources suffisantes pour soutenir le Fonds mondial pour la
lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, tout en promouvant
l’accès au Fonds pour les pays qui en ont le plus besoin;
c) En protégeant la santé des
travailleurs et en promouvant la sécurité du travail, par exemple en tenant
compte, lorsqu’il convient de le faire, du recueil de directives pratiques sur
le VIH/sida et le monde du travail de l’Organisation internationale du Travail,
dans le but d’améliorer les conditions de travail;
d) En mobilisant des ressources financières publiques
adéquates et en encourageant les apports financiers privés pour la
recherche-développement, dans le domaine biomédical et de la santé, sur les
maladies qui touchent les pauvres, tels le VIH/sida, le paludisme et la
tuberculose, ainsi que pour la mise au point de nouveaux vaccins et
médicaments. »
2. Opinion.
Sur une page, décrivez pourquoi à votre avis la description des
actions relatives au HIV/sida résulte, en comparaison avec celle d’autres
objectifs et cibles, est tellement détaillée.
Mais les articles 53 et 55 seuls ne
suffisent évidemment pas, car à la section VIII du Plan d’Application du Sommet
Mondial pour le développement durable qui traite plus spécifiquement le
développement durable pour l’Afrique, prévoit-on, à l’article 64 b)
« b) Rendre disponibles, d’une manière durable et
abordable, les médicaments et la technologie nécessaires pour combattre et
contrôler les maladies contagieuses, y compris le VIH/sida, la tuberculose, le
paludisme et la trypanosomiase, ainsi que les maladies non contagieuses, y
compris celles qui sont causées par la pauvreté; »
“Since 2000, more
than $70 billion of overseas development assistance has been spent for mass
drug treatments and other allied health interventions, such as antimalarial
bednets, health education, and other health system strengthening measures.”
(Hoetz, P. : Millennium Development Goal 6
: Measuring Progress, PLOS Medical Journals’ Blog, San Francisco, 02
Août, 2014.)
Le paiement direct des médicaments contre la
malaria importés par les victimes pauvres porte à une réduction de leur pouvoir
d’achat. Le paiement par le gouvernement national des médicaments importés est
cause de fuite financière au niveau national, réduisant les fonds disponibles
au gouvernement à couverture d’autres services sociaux. Puisque les médicaments
et moustiquaires ne fournissent une protection contre la malaria sur une
période brève, leur fourniture doit être systématique, portant à une fuite
financière grave continue. Cela est cause d’une augmentation de la pauvreté
plutôt qu`à une réduction. Surtout, le plus de médicaments distribués, la plus
élevée la probabilité de développement de l’immunité des protistes (en
particulier celui du Plasmodium Falciparum) aux médicaments mêmes comme A. Costello a
décrit dans sa contribution Bed Nets for Malaria : Losing
the Arms Race, Public Radio International
(PRI), Minneapolis, Juillet 16, 2103, ou elle cist aussi la très pauvre qualité
des moustiquaires fournies par l’industrie de l’aide internationale.
Malgré ce qu’on ait choisi de dire à l’article
64 b) dans les intérêts des multinationales de l’industrie pharmaceutique, la
manière la plus efficace et économique pour combattre beaucoup de maladies
infectieuses et surtout la malaria reste la mise en œuvre de mesures d’hygiène
domestique et sociale de base. Elles comprennent l’élimination des eaux
stagnantes, y comprise la récolte d’eau dans des récipients tels les pots à
fleurs et les fossés. Le cycle de développement des moustiques dure de 5 jours
à quelques semaines, selon la sorte et l’environnement. Au cas de manque d’eau
dans les zones résidentielles où elles puissent se reproduire, les moustiques
doivent-elles venir à vol des zones aux alentours. La portée de vol des
moustiques peut arriver à quelques kilomètres. Toutefois celle de la plupart
des espèces ne supère par quelques centaines de mètres du point de leur
développement, surtout là où il y a peu de vente. Plusieurs espèces de poisson
mangent les œufs et les larves des moustiques dans les zones stagnantes de
rivières, lacs, étangs et réserves à eau. Les espèces adoptées à ce but doivent être natives de la zone, jamais
introduites.
Moustiquaires de bonne qualité sans pesticides
peuvent être fabriquées au niveau local dans chaque zone de projet de
développement intégré.
Telles mesures sont faciles à réaliser aux termes
du système de monnaie locale établi au cours de l’une des premières phases de
l’exécution de chaque projet de développement intégré, en principe sans qu’on
ait besoin de faire de paiements en Euros ou Dollars. Peut-être serait cela la
raison du manque d’attention
dans le Plan d’Application du Sommet
Mondial pour le développement durable aux actions effectives locales pour la réduction du
nombre de cas de malaria. La réduction de la pauvreté comporte la réduction des
cas de malaria, pas le traitement d’aussitôt cas que possibles en utilisant
«les médicaments et la technologies » importés.
Selon
l’Organisation Mondiale de
À noter que les observations précédentes ne
signifient pas que les médicaments contre la malaria sont inutiles et ne
doivent jamais être utilisés !
Le rapport Audit of USAid/Benin’s Efforts
to Treat and Prevent Malaria, Office of the Inspector General, Audit Report
7-680-13-001-P, Dakar, 09 Novembre, 2012 contient des informations
intéressantes sur comment on réalise telles initiatives.
Le projet y décrit fait partie de l’Initiative du Président [George W.
Bush] contre la malaria [President’s Malaria Initiative ou PMI] lancée en 2008. Pour le Benin, un pays avec
4.5 millions habitants, US$ 76.1 million fut concédé à John Snow Inc., Boston
(41,6 million), Management Sciences for Health (MSH), Cambridge, Massachusetts
(4.5 million) et Medical Care Development International (MCDI), Augusta, Maine
(30 million).
Selon le sommaire des résultats
achevés (à la page p. 2) :
“In
FY 2011 the mission met its goals as defined in its performance plan report by
purchasing 17,000 malaria treatment kits that were used by public and private
hospitals and by more than 250 health workers. In support of comprehensive diagnostics,
USAID/Benin contributed 600,000 rapid diagnostic tests toward the 3 million
total national need, and 509,100 ACTs for uncomplicated malaria treatment to
health facilities……
“…Additionally,
results from
Telle conclusion ne semble pas confirmée dans le corps du
rapport.
Voici quelques observations des auditeurs :
“All [of its]
1,048 community health workers were trained to treat simple cases of malaria,
diarrhea (sic), and acute respiratory infections in children under 5. However, only
102 workers were taught how to use diagnostic tests. In 2011 none of the 39,259
suspected cases of malaria treated by the program’s community health workers
were confirmed through diagnostic tests before the administration of
antimalarial medication. This is not surprising since the 102 workers who knew
how to use the tests were trained in January 2012—only 5 months before the
project ended.” (p. 4)
“We were unable to verify any reported results for
BASICS’ [Basic Support for Institutionalizing Child Survival ] malaria-related
activities because neither MSH not its five subpartners maintained records.”
Des 29259 traitements réclamés aucun ne fut vérifié. (p. 5)
“Some health centers do not report their inventory and
consumption levels as required when they ask for more drugs…. inventory and
consumption levels are not reviewed to determine whether the request is
reasonable.” (p. 7)
“At
“In some cases, stock cards were inaccurate.”(p. 8)
“In response to the February 2011 audit—which also discovered that nets
were missing, diverted, or sold for profit—the mission was supposed to improve
its monitoring and perform quarterly site visits. The former commodities
logistics specialist reportedly visited the sites to monitor the project, but
the mission could not provide documentation of these visits.” (p. 8)
“The bags in which the bed nets were packed were not disposed of
promptly… bags are collecting at health centers and could pose health and
environmental risks.” (p.8)
“Activities Either Started Late or Not at
All.” (p. 9)
“USAID/Benin has not worked intensively with MCDI and partners from the
other projects to ensure that there is adequate collaboration.” (p. 10)
“the government [of Benin] had not been able to reimburse health centers
because it was still putting a system in place to verify that only expenses for
legitimate malaria cases qualified for reimbursement. The mission was aware of
the possible adverse effects of this policy before it took effect and advised
government officials to first study its implications, but the government did
not. Failure to address the reimbursement problem will hinder PMI goals and
jeopardize the program’s sustainability.” (p. 12)
Le seul montant “dépensé” sur ce volet du
programme anti-malaria dans le petit Benin aurait suffit pour financer le
développement intégré de presque 1 million de personnes, soit plus de 20% de la
population du pays. On se demande d’ailleurs pourquoi on ait distribué pour
utilisation avec des petits enfants des moustiquaires dont les seuls emballages
pouvaient constituer un risque à la santé.
Le rapport GAO-13-688, Washington, July 2013, du United States’
Government Accountablity Office (GAO) sur le programme PEPFAR, soit le President’s Emergency Plan for AIDS relief : Millions
Being Treated, but Better Information Needed to Further Improve and Expand
Treatment, est lui aussi très intéressant. PEPFAR est l’énorme
initiative anti-AIDS lance par président George Bush Jr et ré-financée pour
bien US$ 48 milliard en 2008 sur une période de 5 ans. Il s’agit d’un rapport à
niveau élevé. Il est extrêmement critique, toutefois le document doit être lu de manière
analytique pour le comprendre. Le GAO a conclu que “GAO’s reviews of PEPFAR Treatment
costs, results, and ARV drug supply chains have revealed limitations in the
completeness, timeliness, and consistency of key program information. GAO also
found important information lacking in PEPFAR program evaluations plans and
results reporting.” Entendu que “Fully functioning monitoring and evaluation (M&E)
systems are critical for tracking results and ensuring treatment program
effectiveness…. OGAC [ Office of the U.S. Global AIDS Coordinator] has not yet
established minimum standards [même à distance de dix ans !] for partner
countries’ M&E systems, particularly relating to completeness and
timeliness” (p. 14) confirmant ainsi que l’ “Evaluation of partner country
supply chains reflect weaknesses in inventory controls and record keeping….”.
Des analyses des dépenses n’ont été effectuées que dans 8 pays partenaires et
même dans tels cas auprès d’une petite quantité de sites. (p. 17).
La définition donnée du PEPFAR du terme
« rétention de programme » [programme retention] est incroyable. “Retention, defined as the
percentage of adults and children known to be alive and on treatment 12 months
after starting treatment is used by OGAC and PEPFAR as a proxy for treatment
program quality.” (p. 15) La plupart des patients souffrant du SIDA seraient
toujours en vie à distance de seuls 12 mois même sans traitement ! Le
rapport poursuit en disant que 20 sur les 23 équipes de pays PEPFAR auraient
fourni des informations à ce sujet
dont 10 présentaient un niveau de « rétention de programme » du
80% ou supérieur, mais que même les informations“ for this indicator are not
always complete and have other limitations.”
Telles limitations comprennent “differing ways of ascertaining and
defining treatment retention; lack of data for key populations at risk of
contracting…. And minimal data on long-term retention (24 months after starting
treatment.” À la fin du rapport le GAO écrit : “We provided a copy of this
report [to the agencies involved] for review. We received limited technical
information.”
La lutte
contre le tuberculose :
“TB is terrifying. According
to the WHO, it is the biggest infectious-disease killer, taking more lives than
AIDS, cholera and other pandemics combined. But we have made matters worse. We
have created Drug Resistant TB by our failure to ensure the complete six months
of treatment. Incomplete and irregular treatment has led to successively
worsening of disease forms, each more deadly than the last…..The EU spent $700
million on TB in one year alone. By 2015, there will be 1.3 million drug
resistant cases, needing $16 billion to treat. 10 million children will be
orphaned. In the next decade, the loss to the world's economy, due to TB in 22
high burden countries, will be $3.4 trillion. The brunt of the burden will be
borne by low and middle countries… Huge amounts of funds have been poured into
a bottomless pit. Global fund gave $3.8 billion to TB in 2012 alone.
As a last “supplement”, article 100 of section X the Plan d’Application du Sommet Mondial pour le développement durable, which is about the “means of implementation” provides :
Comme dernier supplément au le Plan d’Implémentation,
trouve-t-on à la section X du Plan d’Application du Sommet
Mondial pour le développement durable sur les moyens
de mise en œuvre trouve-t-on à l’art. 100, qui paraît remarquablement
spécifique dans une mare de mots vagues:
«100. Traiter les problèmes de santé
publique qui affectent un grand nombre de pays en développement, et de pays les
moins avancés, spécialement ceux qui résultent du VIH/sida, de la tuberculose, du
paludisme et d’autres épidémies, tout en notant l’importance de
La “Déclaration sur l’accord
sur les ADPIC et la santé publique” fut adoptée à Doha le 20
Novembre, 2001 à la fin d’une Conférence Ministérielle de l’Organisation
Mondiale du Commerce. Elle fut suivie par l’amendement de l’accord sur
les ADPIC WT/L/641 du 8 décembre 2005 qui apporte un nouveau article
31 bis à l’accord Aspects des droits de
propriété intellectuelle qui touchent au commerce, du cycle
d’Uruguay. Ce dernier fut reproduit
à l'Annexe
Dans la pratique l’amendement donne une possibilité aux
pays les plus pauvres d’importer des produits pharmaceutiques faits sous
licence dans d’autres pays (par exemple l’Inde) en dérogation partielle des
licences originaires entre les propriétaires de la technologie et les
fabricants en question. Le résultat est de mettre à la disposition des pays les
plus pauvres des médicaments à un prix inférieur.
3. Opinion.
Sur deux pages
écrivez un dialogue entre le directeur international d’une multinationale
pharmaceutique qui a un partenaire fabricant produisant des médicaments sous
licence en Inde, avec le Ministre de
Le rapport Making the MDGs Work
for All traite l’Objectif 6
du Millénaire aux pages 109 – 128.
Le HIV/sida.
On pense que la moitié de
personnes avec HIV/sida est femme.
“ Un nombre important de femmes
qui sembleraient à risque réduit à cause du fait qu’elles n’ont des rapports
sexuels qu’avec leurs maris sont exposées au HIV là où la plupart des hommes
achètent du sexe, qu’ils soient déjà mariés soit qu’ils doivent encore se
marier. (p.112) {Traduction T.E.Manning].
“Le risque d’exposition des
femmes au HIV/sida est augmenté de la pauvreté, de la malnutrition, des niveaux
inférieurs d’éducation, de l’analphabétisme, du manque d’information sur le HIV/sida,
du manque de connaissance de la sexualité et de l’incapacité de la discuter
avec les partenaires sexuels, du manque d’autonomisation des femmes en général
et du manque de la possibilité des prostituées de négocier des rapports sexuels
avec leurs partenaires et leurs clients. (p.121) [Traduction T.E.Manning].
D’autre part
trouve-t-on les femmes, y comprises les grand’mères et les filles, qui sont responsables des
soins pour les malades. Le temps y dédié est tel qu’elles n’ont ni le temps ni
l’énergie pour les activités économiques nécessaires au soutien de leurs
familles. (p. 123)
La
malaria.
En
ce qui concerne la malaria, 50.000.000 femmes deviennent enceintes chaque année
dans les régions ou le paludisme est endémique. La moitié en habite l’Afrique tropicale. L’infection malarique
auprès des femmes enceintes porte à la morte de 10.000 femmes et de 200.000
enfants environ. Plus de la moitié de telles morts est due à l’anémie malarique
grave. (Voir «Where and why are 10 million children dying every
year » (The Lancet, Vol. 361, édition 9376, pp
2226-2234, Juin 2003) et «Knowledge into action for
child survival » , The Bellagio Study Group on Child
Survival, The Lancet, Vol, 363, édition 9380, pp. 323-327, Juillet 2003, cités
au cours de votre analyse sur la mort des enfants à la section 04. Réduire la mortalité des enfants de moins de 5
ans. )
Le tuberculose.
Le tuberculose en Afrique est la
cause la plus importante de la mort de personnes avec HIV/sida.
“Plus de femmes meurent du tuberculose
que de toutes les autres causes de morte maternelle ensemble. Du point de vue
biologique les femmes sont plus à risque
du tuberculose que les hommes, et la progression de l’état d’infection au
tuberculose actif est plus rapide au cas des femmes. Le tuberculose est la
cause la plus importante de mort entre les jeunes femmes.” (p.114) {Traduction
T.E.Manning]. À cause des structures sociales dominantes, aux femmes
manquent souvent des possibilités à
l’accès aux centres de médication.
4. Opinion.
Essayez d’organiser sur une page à trois colonnes dont une pour
le HIV/sida, une pour la malaria, et une pour le tuberculose, les actions
locales qu’à votre avis pourraient être mises en exécution dans votre zone pour
y réduire d’une manière importante les morts du HIV/sida, la malaria, et le
tuberculose.
Cette œuvre est mise dans le
domaine public aux termes d’une licence
Creative
Commons Attribution-Non-commercial-Share Alike 3.0.