ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours e-learning: Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
09: 20 Février, 2011.
Édition
18 : 23 Décembre, 2013.
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 : Les aspects
économiques.
[Valeur 03 points
sur 18]
[Travail prévu : 85 heures sur 504]
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 :
Les aspects
économiques.
Sect. 3 : L’analyse des coûts et
des bénéfices. [17 heures]
01. Introduction. (02 heures)
02. Les investissements faits.(02 heures)
03. Les résultats détaillés. (02 heures)
04. Le cadre logique : L’efficience
et l’efficacité. (02 heures)
05. Les frais de gestion.(02 heures)
06. Analyse des coûts
et des bénéfices : introduction. (02 heures)
07. Analyse des coûts et des bénéfices : détails. (02
heures)
08. Traité de Kyoto : analyse des possibilités de
financement. (Additionnel – file en anglais).
Section 3 rapport : 03
heures.
Sect. 3 : L’analyse des coûts et des bénéfices.
[17 heures]
06.Analyse des coûts
et des bénéfices : introduction. (02 heures)
Lisez les citations
suivantes du rapport Reaching the MDG target for sanitation in Africa – a call for realism,
Ministère des Affaires Étrangères, Denmark, Danida, Copenhagen, Février, 2010
ISBN: 978-87-7087-299-7 (version imprimée),
ISBN: 978-87-7087-300-0 (version internaute)
“Failure to implement the MDG target for water
and sanitation would have an economic cost of around US$38
billion per year, with sanitation accounting for 92% of this value (10). In
cost-benefit analysis, total benefits of the interventions include time savings
due to easier access, gain in productive time and treatment costs saved due to
less illness, and the value of prevented deaths. The results showed that water
and sanitation improvements are cost-beneficial in all developing world sub-regions
(5; 11). In developing regions, the return on a US$1
investment was in the range of US$5 to US$46, depending on the intervention. The global return on
investments in low-cost sanitation provision may be around US$9
for each US$1 spent. Achieving MDG
target 10 would, therefore, outweigh the investment cost by a ratio of 8:1. The
main contributor to economic benefits was time savings associated with better
access to water and sanitation services, contributing at least 80% to overall
economic benefits.” (Konradsen F. et al, section
Building political commitment for sanitation in a fragmented institutional
landscape, p. 20)
“Proper sanitation results in the removal of harmful pathogens from the
environment and as a result has broad health benefits. For this reason,
governments have a strong positive motivation to support the sanitation sector.
Poor health carries with it the significant cost associated with health care
provision and reduces income generating potential (i.e. reduced productivity.)
Sanitation related morbidity is also associated with a reduction in school
attendance and childhood development, which creates a generational cycle of
disadvantage (3). Accounting for these factors, various cost benefit analysis
on the expansion of sanitation services has estimated that the benefits of
effective sanitation to the national economy often far outweigh the costs.
Globally, the WHO estimates that a dollar invested in sanitation yields an
annual benefit of around $9 (4).” (Evans B. et al, section Hooked
on sanitation subsidies, p. 24)
Au cours de 01. Introduction à cette
section 3 l’analyse des coûts
et des bénéfices a-t-on fait une analyse de la nécessité ou opportunité
de faire des analyses des coûts et des bénéfices des projets de développement
intégré.
L’établissement d’un calcul
des coûts et des bénéfices relatif aux structures sociales, financières,
productives et de service prévues des projets de développement intégré est
plutôt divertissant.
Le texte suivant est ouvert
à toute discussion et aux améliorations. Il
ne représente que des éléments en principe sujets à conversion en
monnaie formelle dans le cadre des analyses traditionnelles des coûts et des
bénéfices. C’est pour cela que les indications sont limitées aux secteurs de la
fourniture en eau, de l’assainissement ; de l’introduction des foyers
améliores ; de quelques aspects de l’alimentation locale. La liste est
loin de l’être complète. On n’y a attribué aucun bénéfice aux structures
sociales et financières. Vous êtes libre de le faire.
Vous vous approchez à la fin de
votre cours. Divertissez-vous.
Bénéfices
simultanés:
Les initiatives à
base d’écosystèmes locaux peuvent générer une gamme large de bénéfices, souvent
de manière simultanée.
-Les bénéfices
économiques prennent d’habitude la forme ou d’une hausse de revenus
en comptant (dérivante des la vente de services et produits de l’écosystème ou
des activités productives associées avec l’initiative) ou des revenus de
subsistance (aliments, fourragères ou matériaux consommés directement en
support des exigences quotidiennes).
-Les bénéfices
sociaux comprennent l’autonomisation personnelle et une hausse de
la mobilité sociale associées avec un potentiel augmenté de revenus et
l’acquisition de nouvelles compétences. Ils comprennent aussi des bénéfices
collectifs tels l’augmentation du capital social parmi les membres de
l’initiative et de leur participation.
-Les bénéfices
environnementaux comprennent une hausse de la productivité et de la
stabilité de l’écosystème, la restauration de fonctions de l’écosystème
réduites à cause des utilisation no durables précédentes, et le stockage du carbone,
parmi d’autres.
-L’ensemble des
bénéfices apportés des initiatives à base d’écosystèmes locaux peuvent
augmenter la résistance et la capacité
d’adaptation aux divers défis économiques, sociaux et environnementaux auxquels
ils doivent faire face—y compris les impacts toujours plus forts dérivants
des changements climatiques.
-Le calendrier des bénéfices est
important— en général, les initiatives réussites présentent des bénéfices à
court terme au but de renforcer l’intérêt initial dans l’initiative en même
temps générant un flux croissant de b’néfices à long
terme qui permet à l’initiative de se développer sur une période plus longue.
Source
: Hazlewood P., Mock G., Enabling Local
Success: A Primer on Mainstreaming Local Eco-based Solutions do Poverty Environment Challenges.
( N.B. This is an 11.8 MB file.) UNDP-UNEP Poverty
Environment Initiative (
Quelques
bénéfices environnementaux des initiatives basées sur les écosystèmes locaux:
Hausse de la résistance et de la stabilité de
l’écosystème.
-Réduction de la vulnérabilité aux baisses rapides de la production
des services de l’écosystème, et une augmentation de la capacité de combattre
les défis biologiques tels les attaques des ravageurs et les impacts
climatiques tels la réduction de la précipitation pluviale.
Maintenance de l’habitat naturel et de la biodiversité.
-Facilite la survie de populations robuste d’espèces
végétales et animales essentielles au fonctionnement de l’écosystème ou au flux
des bénéfices; élargit la gamme et la diversité génétique des espèces présentes
en augmentant la gamme de bénéfices potentiels de l’écosystème.
Forêts: conditions améliorées des forêts et augmentation
du stockage du carbone.
-Augmentation du couvert forestier ; réduction de la
déforestation ; fréquence réduite de feux de forêt.
Bassins versants: amélioration des conditions des bassins
versants
-Augmentation du flux des eaux ; augmentation de la
qualité des eaux; diminution e la fréquence des inondations et de l’érosion.
Agro-écosystèmes: augmentation de la fertilité et de la
condition des sols, et augmentation du stockage du carbone.
-Augmentation des substances organiques et de l’humidité;
réduction de l’érosion, salinisation et engorgement des sols.
Pêche : stocks de poissons plus sains
Réserves de poissons plus grandes avec une distribution meilleure
des âges et des classes; augmentation de l’introduction des juvéniles à travers
la protection des zones de reproduction et d’alevinage.
Prairies: conditions améliorées des prairies et
augmentation du stockage du carbone
-Amélioration des conditions de fourrage et des prairies;
augmentation du stockage du carbone dans les sols des prairies.
Source : Hazlewood
P., Mock G., Enabling Local
Success: A Primer on Mainstreaming Local Eco-based Solutions do Poverty Environment Challenges. UNDP-UNEP Poverty
Environment Initiative (
Tous les bénéfices ci-dessous cités sont
supplémentaires aux financements CDM prévus à la
section Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement.
01. Points d’eau à
Bénéfice moyenne 1 heure de corvée eau par jour (soit 10% d’une journée de
travail de 10 heures par jour) x revenu
Euro 3 par jour, soit Euro 0,30 par jour x 10.000 femmes = Euro 3000 par jours
x 365, soit Euro 1.095.000 par an.
Un chiffre donné pour l’Inde est 1.1 heures par jour. (India Cookstoves
and Fuels Market Assessment, Dalberg Global Development Advisors for Global Alliance for
Clean Cookstoves, Washington, Février 2013, p.43.)
02. Aires de lavage.
Bénéfice 4 heures par semaine (soit 40% d’une journée de travail) x revenu
Euro 3 = Euro 1,20 x 52 semaines x par 10.000 femmes = Euro
624.000
03. Réduction des frais de traitement des personnes avec
maladies portées de l’eau malsaine :
50% de la population (25.000) au moins une fois par an x coût moyen pour
médicaments et médiques frais moyen Euro
20 = 25000 x Euro 20 = Euro 500.000
04. Augmentation de la productivité à cause de la
réduction du taux des maladies portées de l’eau malsaine :
50% de la population adulte (50% de 30.000)
x dix jours par an x revenu Euro 3 par jour = 15000 x 10 x 3 = Euro
450.000.
05. Réduction des frais de traitement des personnes avec
maladies portées du manque alimentaire, hygiène inadéquate, fumée dans et autour
des maisons etc. :
25% de la population au moins une fois par an x coût moyen pour médicaments
et médiques Euro 20 = 25000 x Euro 20 = Euro 250.000.
06. Réduction du 50% des cas de malaria
(soit 40% de la population au moins
une fois par an) à travers le drainage des eaux de surface, l’utilisation des
rets anti-moustiques, les cours d’éducation à l’hygiène etc. 50% du 40% de la population au moins 1 fois
par an, soit 10.000 personnes x coût moyen du traitement anti-malarique Euro 10
= 10.000 x Euro 10 = Euro 100.000
“Malaria is a
leading cause of morbidity and mortality among children under five in
07. Augmentation de la productivité à cause de la
réduction du taux des cas de paludisme (malaria) :
10% de la population adulte (soit 10% de 30.000) x dix jours par an x revenu Euro 3 par jour =
3000 x 10 x 3 = Euro 90.000.
08. Réduction des transports urgents des malades
à l’hôpital d’une grande ville (on
loue une auto à € 38 par fois, payé par
collecte entre tous les membres de la famille) ; 10% de la population au
moins 1 fois par ans, soit Euro 38 x 5.000 = Euro 190.000.
09. Élimination de la corvée du bois de
chauffe :
“Research in rural
60% des familles (soit 60% de 10.000 soit 6.000) x 4
heures corvée par semaine (soit 40% d’une journée de travail de 10 heures)
x revenu Euro 3 soit Euro 1,20 par
semaine x 6.000 femmes = Euro 7200 par semaine, soit Euro 374.400 par an.
Un chiffre donné pour l’Inde est 0.6 heures par jour. (India Cookstoves
and Fuels Market Assessment, Dalberg Global Development Advisors for Global Alliance for
Clean Cookstoves, Washington, Février 2013, p.43.)
10. Réduction des
frais de l’achat de bois de chauffe pour la cuisine :
40% des familles (soit 40% de 10.000 soit 4.000). Pour le bois en
ville [centre plus grand], une famille de 5 personnes consomme environ 500
CFA ( +/- € 0,75) de bois par jour. Réduction 65% à travers l’utilisation des foyers améliorés + Cfa 325 (soit
Euro 0,50) par famille par jour. 4000 familles x Euro 0,50 x 365 = Euro 730.000.
Un chiffre donné pour l’Inde est 4.4 rupees
par kg de bois. (India Cookstoves
and Fuels Market Assessment, Dalberg Global Development Advisors for Global Alliance for
Clean Cookstoves, Washington, Février 2013, p.43.)
11. Reforestation automatique :
6.5kg (épargnes bois de chauffe) x 10.000
familles x 365 = 23725 tonnes par an @ valeur à pied de bois à pulpe Euro 7.5
par tonne = Euro 178.000 par an. Référez – vous à la partie 09. Des indications sur le financement à travers du
système CDM relatives aux applications et
méthodologies choisies de la section 5 du bloc 8 pour détails des
applications relatives aux financements CDM pour les
différentes catégories d’afforestation et reforestation prévues.
12. Épargnes
engrais chimiques.
Voir bloc 8, section 5, partie 09.09. Recyclage des déchets humains pour éviter
l’utilisation d’engrais industriels.
Une ressource
conservatrice récente est Richert A. et al Practical Guidance on the Use of Urine
in Crop Production Stockholm Environmental Institute (SEI), EcoSanRes Series 2010-1,
Stockholm, 2010, ISBN 978-91-86125-21-9. La table 2 y présentée à la page 2 suggère un moyen de
Sur cette base, la
population de chaque une zone de projet de développement intégré (50.000
personnes) produirait l’équivalent de 50.000 divisé 9, soit 5500 sacs à
Cela équivaut 275 tonnes d’urée et 275 tonnes d’engrais NPK
15 :15 :15 par projet par an.
Les prix locaux d’achat se détermineront au moment de la rédaction de
chaque projet individuel. Les prix courants actuels au niveau mondial sont de
l’ordre de € 387 par tonne pour l’urée à
46%, et € 402 par tonnes pour engrais NPK 15/15/15.
Les épargnes pour les engrais monte par conséquence à 275 tonnes * (387 + 402) = € 217.000 par projet par an.
La production locale d’engrais à travers le recyclage des urines et des
fèces suffit pour la production de tous les aliments nécessaires aux habitants,
avec une diète très variée. Ceci ne comporte pas de travail additionnel aux
femmes en saison pluvieuse, où, après toutes ces occupations domestiques, elles
sont tenues à aller aux champs pour cultiver pour aider leur mari. En dehors
des champs familiaux ont-elles leurs propres champs qui les permettent
d’avoir un revenu propre.
13.
Réduction du 80% des frais d’importation d’aliments dan la zone du projet.
La
plupart de la population n’a aucune sécurité alimentaire. “Les africains
dépensent entre 60-70% de leurs revenues pour l’achat des aliments.” (Growing out of poverty
: A UK Parliamentary Inquiry
into supporting and dveloping African agriculture, All Party
Parliamentary Group on Agriculture and Food for Development, London, December
2011.) Actuellement le 80% des aliments de base
(mil, mais) nécessaires sont importés dans la zone du projet. Il s’agit de la
cause principale de fuite financière de la zone et par conséquence de la
pauvreté extrême des habitants. Le coût
moyen des achats d’aliments importés est Euro 2,20 par famille par jour dont le
80% est Euro 1,75. Euro 1,75 x 10.000
familles x 365 = Euro 6.387.500.
[Le
prix de l’assiette est de 750 FCFA ( +/- € 1,10). Il faut 2 assiettes pour nourrir 5
personnes soit environ, soit 1500 CFA ( +/- € 2,20) par jour. Son temps de préparation
est très long car il faut écraser le mil avec les mains sur une meule, dont le
temps de travail peut arriver à 2
heures. Son prix est élève lorsqu’elles veulent faire écraser le mil au moulin.
Le prix moyen pour faire écraser une assiette de mil ou de maïs est de 100 CFA
( +/- € 0,15), dû surtout au prix élevé du carburant dans la zone du projet. En
dehors des centres plus grands, presque la quasi totalité des villages
environnants manquent de moulin à grain à
cause de la flambée des prix internationaux des carburants. Ensuite fait-on le
lavage des assiettes environ. (Le temps
total pour la préparation d’un repas de tô pour une famille de cinq personnes est par
conséquence d’environ de 5 h, avec un
coût total de 2500 CFA (( +/- € 3,80) ).]
14. Épargnes
bio-combustible.
09.07 Projets
démonstration sur des terres à potentiel réduit pour le soutien de biomasse
vivante utilisant Jatropha ou équivalent.
Au cas d’application, substitution de carburants jusqu’à € 550.000 par an.
15. Réduction à travers l’introduction de moulins à grain
du temps nécessaire (jusqu’à deux heures par jour) pour écraser
le mil avec les mains sur une meule. “Studies
from
Estimation du temps moyen épargné: 1,5 heures
par femme par jour soit 15% du revenu du € 3 par jour, soit € 0,45 x 10.000 x
365 = € 1.642.500
Un chiffre donné pour l’Inde est 1.4 heures par jour pour
«processing » (exclue la cuisine) . (India Cookstoves
and Fuels Market Assessment, Dalberg Global Development Advisors for Global Alliance for
Clean Cookstoves, Washington, Février 2013, p.43.)
16. [Exclu du calcul des bénéfices.] Fonds Coopératif de
Développement Local :
€ 0,65 par personne sur 4
ans (au net des frais € 260.000 par an) ; € 0.75 par personne années 6-10 (au net
des frais €350.000 par an); €0,90 par
personne années 11-15 (au net des frais
€ 390.000 par an) ; € 1,10 par personne années 16-20 (au net des
frais € 460.000 par an) . Fonds recyclé
de manière systématique sans intérêts pour donner micro -crédits pour au
moins €
2.600 par famille in chaque période de 10 ans d’exercice.
17. Certificats de
Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.01. Réduction CO2 à travers
l'utilisation de foyers à cuisiner améliorés. Jusqu’à € 356.356
par an sur une période de 21 ans.
18. Certificats de
Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.02. Projets démonstration pour le rétablissement
de forêts, parcs nationaux, et réserves. Jusqu’à € 210.000 par an.
19. Certificats de
Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.03. Activités d'afforestation dans les habitats
selon les définitions fournies.
Jusqu’à € 175.000 par an, sur plus les fruits et les noix, sur
une période indéterminée.
20. Certificats de
Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.04. Activités agro-forestières à petite échelle –
telle la culture de plantations de bambou sur les prairies et les terres
cultivées: Jusqu’à € 210.000 par an
sur 7 ans, plus les pousses de bambou, plus le bambou et ses produits
secondaires, plus la valeur ajoutée y associée sur une période indéterminée.
21. Certificats de
Réduction des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.05 Activités agro-forestières à petite échelle –
plantations démonstration distribuées de Moringa sur
les terres marginales : Jusqu’à € 215.600 par an sur 3
ans, plus les produits du Moringa sur une période
indéterminée.
22. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.06. Projet d’afforestation et/ou reforestation
(AR) démonstration sur terres humides utilisant les espèces traditionnelles
telles les mangroves. Au cas d’application éventuelle, jusqu’à €
215.600 sur 30 ans.
23. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.07 Projets
démonstration sur des terres à potentiel réduit pour le soutien de biomasse
vivante utilisant Jatropha ou équivalent.
Au cas d’application jusqu’à €
288.750 par an sur 5 ans.
24. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.08. Utilisation de la biomasse renouvelable au
lieu de celle non renouvelable avec des foyers améliorés. Au cas
d’application, jusqu’à €
182.000 par an sur 21 ans.
25. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.09. Recyclage des déchets humains pour éviter
l’utilisation d’engrais industriels. Rappel. Application improbable.
26. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.10. Captation du méthane des déchets du bétail à
utilisation pour la cuisine et pour l’éclairage, surtout dans les zones
pastorales. Rappel. Potentiel théorique d’application jusqu’à € 840.000
par an sur 21 ans. Probable application € 0, cause manque d’activités
énergétiques dans les zones des projets.
27. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.11. Remplacement des lampes à kérosène etc. (
sources éoliennes, solaires, et/ou biomasse renouvelable y comprise l’huile
végétale, la gazéification de la biomasse). Rappel. Jusqu’à € 10.774 par an sur 21
ans ; autrement selon la situation dans chaque zone de projet.
28. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.12. Remplacement de sources électriques, diesel,
et accumulateurs pour équipements mécaniques. Rappel. Jusqu’à € 24.000 par an sur 21 ans ; autrement selon la situation dans chaque zone
de projet.
29. Certificats de Réduction
des Émissions de Carbone aux termes du traité de Kyoto :
09.13. Recyclage et récupération de matériaux des
déchets solides, y comprises mais pas limité aux plastiques. Rappel.
Application improbable. Selon la situation
dans chaque zone de projet.
1. Recherches,
Adaptez les points
01-16 à votre zone, et en faites le calcul total.
2. Opinion.
Sur une page
faites un manifeste avec vous conclusions.
3. Opinion.
Vous êtes
responsable d’une ONG internationale qui prend votre manifeste en main. Il se met
à rire. Sur une page faites un sommaire de sa critique de votre manifeste.
4. Opinion.
Sur une page
écrivez-lui une lettre en défense de la vision présentée dans votre manifeste.
◄ Huitième bloc : Section 3 : L’analyse des
coûts et des bénéfices.
◄ Huitième
bloc : Bloc 8 : Les aspects économiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est
la privation construite)
Wahu Kaara,
point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th annual
NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre
2005.
Cette
œuvre est mise dans le domaine public aux termes d’une licence
Creative Commons Attribution-Non-commercial-Share
Alike 3.0.