ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
Cette œuvre a
été mise à la disposition du public général
aux termes d’une licence
Édition
08 : 14 Juin, 2014.
« Comme la biosphère, les économies vivantes que
nous cherchons s’organiseront elles-mêmes dans un cadre de
règles de marché. Avec leurs racines locales, dépendant
surtout de la propre base de ressources, elles contiendront des incitations
à faveur de l’adaptation aux microenvironnements locaux. En
présence de pouvoirs propriétaires pour faire des
décisions distribuées parmi les membres de la communauté
dans leurs rôles multiples de producteurs, consommateurs et
citoyens, y aura-t-il une
incitation naturelle à faveur de l’internalisation des frais et
à de la gestion responsable. » (Korten
D., The New Economy
: Design for Life. Can we design a self-correcting society?, YES! Magazine, Bainbridge Island, 02 Mai, 2011 – traduction Stichting Bakens Verzet (ONG Une Autre Voie))
Le projet ci-joint a été rédigé suivant un
Modèle innovateur pour projets locaux de développement
intégré autofinancés, écologiques et durables. Il
couvre un ensemble complet de structures sociales, financières,
productives et de service nécessaires au développement durable
continu des communautés bénéficiaires. Tous les objectifs
du Millénaire y sont dépassés sauf ceux relatifs aux
vaccinations, à la médecine curative et à l’objectif 8 qui n’a rien à
quoi faire avec le développement local. Telles exclusions sont dues au fait qu’elles
sont cause de fuites financières de la zone du projet. Le projet
à été élaboré avec la participation des
populations intéressées qui en font le planning,
l’exécution et la gestion de toutes les structures
établies, dont elles sont les propriétaires. Elles en remboursent
tous les frais de gestion, d’entretien, de remplacement à long
terme, et éventuellement à l’échéance
d’une période de dix ans, même les frais initiaux en compte
capital. Toutes les structures sont organisées pour réserver et
assurer aux femmes un rôle dominant dans toutes les activités du
projet. Le financement, les technologies adoptées et le
développement des capacités humaines sont harmonisés pour
offrir des solutions praticables et durables au développement
intégré de la zone du projet.
Toutes les structures sociales, financières, productives et de
service s’appliquent de manière automatique à tous les
habitants résidents de la zone du projet, sans exclusion. Le concept
prioritaire est celui de l’achèvement d’une bonne
qualité de vie pour tous. Le projet porte à la mobilisation
générale de la population locale.
Le modèle pour les projets de développement
intégré lui-même à la forme d’une table matières pour la
rédaction de la documentation relative à chaque projet
individuel.
Cliquer sur les voix individuelles pour avoir des informations plus
détaillées.
PRÉSENTATION
DU PROJET.
Une présentation Powerpoint
à 31 diapositives.
ZONE DU PROJET.
[ Un
paragraphe sur la location du projet, ses dimensions, sa population]
Liste des villages et de quelques services y prévus.
QUELQUES
PROBLÈMES DE BASE.
Le projet fournit des solutions innovatrices et complètes aux
problèmes les plus urgents dans la zone du projet,
présentés en ordre alphabétique.
Adaptation, écologie et conservation.
Agriculture et la sécurité alimentaire.
Crises du crédit et les solutions y offertes.
Genre et les droits de la femme.
Objectifs du Millénaire : Présentation
Powerpoint.
Objectifs du Millénaire : les solutions proposées.
Renforcement des capacités des populations locales.
(Texte actuellement en anglais)
JUSTIFICATION ANTHROPOLOGIQUE DES
STRUCTURES DU PROJET.
Ce
projet de développement intégré est justifié anthropologiquement. Il est structuré pour une communauté de 11.155
ménages, soit 76.740 habitants, avec une superficie de
La zone
du projet comprend 41 structures administratives intermédiaires, chacune
desquelles avec un moyen de 1865 habitants, offrant déjà une
certaine division des tâches. On les appelle les «commissions
intermédiaires ». Ce type de structure s’est constitué
il y a 7.500 ans.
Au
troisième niveau, a-t-on 288 unités administratives locales,
chacune avec un moyen de 266 personnes. On les appelle les «commissions
réservoir ». Elles constituent le cœur battant du
projet. Cette structure a pris forme en Mésopotamie il y a +/- 13.000
ans. Elle est basée sur un clan de famille ou tribu.
Beaucoup
des structures typiques des pays industrialisés
réfléchissent toujours les trois niveaux administratifs ci-dessus
prévus, car ils se réfèrent soit au développement
des rapports sociaux humains soit au développement des capacités
humaines et, peut être, même aux dimensions du cerveau humain.
Le principe de
subsidiarité avec sa chaîne des responsabilités s’applique à toutes les structures.
Pour
plus détails voir la présentation Powerpoint sur l
'architecture de base du projet. Powerpoint (14 diapositives.).
LES STRUCTURES DE
BASE DU PROJET.
Toutes
les structures créées au cours de la mise en œuvre du projet
fonctionnent aux trois niveaux anthropologiques cités. Elles sont
créées dans un ordre de séquence critique.
Les
premières structures créées sont les clubs de
santé, qui permettent aux femmes de s’organiser et de voter en
bloc aux réunions ; puis les commissions réservoir, puis les
commissions intermédiaires, et enfin la commission centrale, ou
parlement, du projet. Une fois créées les structures sociales,
suivent les structures financières, à commencer avec la formation
du système local d’échanges (système SEL-LETS), suivi du système coopératif de micro-crédits sans intérêts et sans
frais en monnaie formelle et enfin les groupes coopératifs d’achat
de biens d’investissement à faveur de la productivité. Une fois établies les
premières deux structures financières, peut-on commencer à
créer les structures productives nécessaires et de suite les
services prévus, y compris ceux pour l’eau potable et
l’assainissement.
Pour un sommaire des structures
voir la présentation Powerpoint sur
les structures de base du projet.
Pour informations
complètes sur les structures voir la section sur la création des structures prévues..
LES
OBJECTIFS À LONG TERME.
Les objectifs à long terme de ce projet de développement
intégré comprennent :
01. Faciliter une
amélioration continue de la qualité de vie et de la santé
de tous les 76.740 habitants résidents de la zone du projet, sans
exclusion.
02. Établir une économie locale dans le zone du projet qui soit
autonome, coopérative, sans intérêts financiers et sans
inflation.
03. Éliminer les fuites
financières de la zone du projet..
04. Dédier les ressources
humaines présentes dans la zone du projet à la production et au
développement locaux.
05. Réduire l’incidence des
maladies d’origine hydraulique, de la malaria et d’autres maladies
infectieuses.
06. Réduire la
mortalité infantile et faciliter le planning familial.
07. Améliorer le niveau
de la scolarité pour tous, et surtout celui des
jeunes filles et des femmes.
08. Éliminer la
dépendance sur les combustibles et aliments importés dans la zone
du projet.
09. Contribuer activement à la réduction
de la déforestation et à a lutte contre l’augmentation de
la température globale mondiale et surtout adapter la Commune de Tougan
aux changements climatiques.
10. Créer de la
valeur ajoutée à travers la mise en œuvre de structures de recyclage des urines, de
l'excréta et des ordures solides (assainissement).
11. Créer une culture d'entretien et de conservation des
investissements réalisés.
12. Atteindre le plein respect des droits des femmes et leur participation majoritaire
à toutes les structures du projet.
13. Assurer à tous les
habitants de la zone du projet une activité coopérative
productive à plein temps.
(“Travail à pleines journées”)
14. Contribuer à
arrêter l’émigration des zones rurales vers les grandes
villes.
15.
Dépasser les objectifs du Millénaire dans la zone du projet à l’exclusion des vaccinations, de la
médecine curative et quelques aspects de
l’objectif 8, lesquels n’ont rien à faire
avec le développement local.
LES RÉSULTATS ATTENDUS À COURT TERME.
Une
fois créées les structures de base prévues, la population
locale peut suivre ses propres idées et initiatives. Là où
on se sert de la main d’œuvre et des matériaux locaux,
peut-on agir dans le cadre du système d’échanges local
créé par le projet sans avoir besoin d’un budget en monnaie
formelle (Euros). Cela explique comment on peut construire.par exemple,
tellement d’écoles locales y payer, le cas échéant,
les professeurs sans influencer le budget en monnaie formelle du projet.
Les
populations locales se mobilisent.
À
titre d’exemple, puisque les 288 commissions de développement au
niveau de réservoir agiront de façon tout à fait
indépendante l’une de l’autre, une école peut en
principe être construite de manière contemporaine dans la zone de
chaque commission réservoir. La construction de
jusqu’à 288
écoles primaires peut sembler une tâche énorme. Vue
toutefois comme 288 microprojets chacun mis en œuvre par les populations
locales dans le cadre d’un système local d’échanges,
peut-on comprendre la possibilité de sa réalisation au cours de
quelques mois.
Le
même concept s’applique aux résidences des
infermières, aux structures pour la conservation des aliments, les
pépinières etc., et au niveau des commissions pour le
développement intermédiaire en ce qui concerne la construction
des écoles secondaires, des cliniques pour médecins, des banques
à semences etc.
La
plupart de telles nombreuses activités importantes ne pèse en
effet qu’à peine sur le bilan du projet.
Les bénéfices aux
populations sont calculés sur la base d’un taux de conversion de €
3 par journée de travail à 8 heures.
Par conséquence, les
résultats minimums directs attendus (il s’agit de calculs extrêmement
conservateurs) sortant «automatiquement » de ce projet
comprennent :
La création de structures sociales commissions
réservoir, commissions intermédiaires, commission centrale
démocratiques de préférence
avec une participation active
possiblement majoritaire des femmes .
01. 288 clubs de santé
communautaires
créés et fonctionnels dans la zone du projet; cours permanents
d’éducation à l’hygiène auprès de jusqu’à
329 écoles.
02. 288 commissions réservoir à 5-7 membres établies et fonctionnelles,
chacune à service de +/- 40 familles (266 personnes).
03. 41 commissions intermédiaires à 5-9 membres établies et fonctionnelles, chacune à
service de +/- 270 familles (1865 personnes).
04. Une
commission centrale à 41 membres créée
et fonctionnelle, à service de la zone entière du projet (11.155
ménages; 76.740 personnes).
Structures financières
pour combattre la crise financière, et les
épargnes y relatives.
05. Une structure coopérative
d’échange local SEL-LETS
créée et fonctionnelle, à service des 288 zones de développement local, des 41 zones de
développement intermédiaire, et de la zone entière du
projet.
06. Une structure coopérative
de microcrédit sans intérêts créée et fonctionnelle, à service des 288 zones de
développement local, des 45 zones de développement
intermédiaire, et de la zone entière du projet.
07. Diverses coopératives
d’achat
créées et en fonctionnelles, à service des 288 zones de développement
local, des 45 zones de développement intermédiaire, et de la zone
entière du projet. On pense à des groupes (volontaires et non) pour
l’achat par exemple de médicaments et de systèmes PV
domestiques.
Structures de sécurité sociale.
09. Un système de
sécurité sociale est créé et fonctionnel, à service des 288 zones de
développement local, des 41 zones de développement
intermédiaire, et de la zone entière du projet.
Eau et l'assainissement, et les
épargnes y relatives.
10. Un
système individuel d’assainissement est installé auprès
de chacune des 11.155 habitations, dans les lieux publics et dans les
écoles.
11. 104 forages à plusieurs pompes sont forés et
équipés d’une installation à trois unités de
pompage manuel et d’une aire de lavage. Bénéfice
des aires à lavage : 4 heures/femme par semaine = +/- € 693.756 par an.
13. 288
réservoirs à eau potable, chacun installé dans un rayon
maximum de
14.
11.115 systèmes domestiques de récolte de l’eau pluviale
produits localement et installé auprès de chacune des habitations
individuelles.
15. 288
systèmes efficients de drainage des eaux pluviales installés et fonctionnels,
un auprès chacun des 288 réservoirs à eau.
16. +/-
1000 réservoirs à 15m3
pour la récolte de l’eau pluviale, installés sur les
terrains agricoles pour la micro-irrigation manuelle et/ou à gouttes. Aucune irrigation
«industrielle » n’est prévue.
Recyclage des urines, de l'excréta et
des ordures solides (assainissement), et les épargnes y relatives.
17. 288
systèmes pour la récolte et recyclage des déchets
établis et fonctionnels, au niveau de chaque commission de
développement local.
18. 41
systèmes pour la récolte et recyclage des déchets
établis et fonctionnels, au niveau de chaque commission
intermédiaire de développement.
19. Un
système pour la récolte et recyclage des ordures, établi
et fonctionnel au niveau du projet.
20. Épargne des coûts des engrais.
Facilités
à faveur de la santé, et les épargnes y relatives.
21. Jusqu’à
288 infermières locales fournies d’habitation au travail (et
éventuellement payées) au niveau du développement local
(commission réservoir).
22. Jusqu’à
41 centres médiques pour médecins construits au niveau de
commission intermédiaire, et fonctionnelles selon la
disponibilité de personnel qualifié.
23. Un
plan rédigé pour la construction et mise en œuvre d’un
hôpital de base, au niveau du projet, dont la construction,
l’entretien, et quelques services pourront être effectués
dans le cadre du système local d’échanges établi.
24. Réduction des frais médicaux pour le
traitement des maladies portées de l’eau. 50% de la population
(38.370 partie de 76.740) au moins une fois par an par multiplié le coût moyen
par cas pour les médicaments et pour le médecin de € 20.
38.370 cas x € 20 = € 767.400.
27. Augmentation de la productivité
due à la réduction de l’incidence de la malaria :
29. Présence
de 41 ambulances à vélo construites localement , fournies de
personnel, une pour commission intermédiaire de développement.
30. Présence
de 3 voitures à ambulance (deuxième main), fonctionnelles
utilisant de bio-fuels produits localement au niveau du projet. À partir
des 3 années de gestion.
Éducation : structures. Selon les méthodes
traditionnelles de calcul, la création de services éducatifs
nouveaux ne porte aucun bénéfice monétaire. ( !)
31. Jusqu’à 288 écoles primaires
construites au niveau de commission de développement local, fournies
d’enseignants.
32. Jusqu’à
41 écoles secondaires
construites au niveau de commission intermédiaire, fournies d’enseignants.
33. Une
école métiers construite au niveau du projet, fournie d’enseignants.
34. Un
cours universitaire préparatoire au niveau du projet, fournie de
professeurs.
35. Jusqu’à
288 écoles
élémentaires, 41 écoles secondaires, 1 école
métiers et 1 facilité de cours universitaire préliminaire
équipées de structures d’éclairage
photovoltaïque.
36. Jusqu’à
288 salles d’études
construites au niveau des commissions réservoir.
37. Jusqu’à
288 salles d’études
équipées d’éclairage photovoltaïque.
38. Jusqu’à
288 cours permanents du soir
à faveur des adultes, surtout des femmes, fournis d’enseignants et
fonctionnels.
Foyers de cuisine améliorés, et les épargnes y
relatives.
39. Au
moins 11.155 foyers de cuisine améliorés produits localement,
distribués, et fonctionnel.
40.
Élimination de la corvée de bois : 60% des familles (soit 60% de
11.155 familles ou 6.693 familles)
x 4 heures par semaine (soit
40% d’une journée, cette fois à dix heures de travail) x
revenu € 3 par jour, soit
€1,20 par famille par semaine. € 1,20 par semaine x 6.693 femmes =
€ 8.031 par semaine, soit
€ 472.000 par an.
42. Reforestation
“automatique”
Agriculture et la sécurité
alimentaire, et les épargnes et fournitures supplémentaires
y relatives.
43. Jusqu’à 288
pépinières établies au niveau des commissions
réservoir, et fonctionnelles.
44. Jusqu’à 41
pépinières établies au niveau des commissions
intermédiaire, et fonctionnelles.
45. La
réduction des frais du traitement de personnes souffrant la faim, ou du
à l’hygiène inadéquate, ou causés par la
fumée à l’intérieur et à
l’extérieur des habitations : 25% de la population au moins
une fois par an x un coût
moyens pour médicaments et médecins € 20 = 19185 x € 20 = € 383.700.
47. 288 Facilités
pour le stockage des aliments construites, une au niveau de chaque commission
réservoir, avec personnel et fonctionnelles.
48. 41 Facilités
pour le stockage des aliments construites, une au niveau de chaque commission intermédiaire,
avec personnel et fonctionnelles.
72. 1
Coordonnateur central pour la gestion du stockage des aliments nommé et
fonctionnel.
49. Les
bénéfices alimentaires supplémentaires
dérivants de la plantation de 600.000 arbres à fruit et/ou
à noix, 400.000 plantes de bambou (pour pousses de bambou comestibles et
pour l’utilisation générale), 1.440.000 arbres de Moringa (feuilles
« à épinards » comestibles), et l’afforestation
à espèces traditionnelles avec 1.200.000 arbres.
50. Jusqu’à
41 banques de semences
créées et fonctionnelles,
une au niveau de chaque commission intermédiaire.
51. Une
banque de semences créée et fonctionnelle, au niveau du projet.
Meuneries, et les épargnes y relatives.
52. 288
meuneries manuelles établies et fonctionnelles, une au niveau de chaque
commission réservoir.
53.
Épargne de temps des femmes et jeunes filles pour la préparation
des aliments sur une base typique de
Activités agro-forestières et biomasse pour la production de
mini-briquettes pour les fourneaux améliorés.
54. Jusqu’à 576 contrats pour la fourniture de biomasse
pour la production des mini briquettes pour les foyers signés et en cours d’implémentation.
55. Un projet démonstration pour le reforestation et
parc naturels utilisant des espèces natives établi et
en cours de mise en œuvre. 1.200.000
arbres (400 arbres par hectare sur
57. Jusqu’à 288 initiatives au niveau de développement local
pour les plantations de bambou sur le
prairies ou terres de récolte planifiées et en cours
de mise en œuvre. Superficie
moyenne de
58.
Jusqu’à 288
activités
agro-forestières à petite échelle – plantations
à démonstration et à utilisation exclusivement locale, y
comprises les plantation de Moringa sur les terres
marginales. Superficie moyenne
59. 288 activités pour la plantation, récolte et
distribution d’huile de Jatropha.
Superficie moyenne par activité
Éclairage photovoltaïque à
faveur des études et l’éclairage et
réfrigération dans les cliniques.
60. Jusqu’à 288 systèmes éclairage à 200 Wc, un système installé dans chacune des 288
écoles élémentaires au niveau local de
développement.
61.
Jusqu’à 288 systèmes éclairage à 200 Wc, un système installé dans chacune des 288
salles d’études au niveau local de développement.
62.
Jusqu’à 41 systèmes éclairage à 400 Wc, un système installé dans chacune des 41
écoles secondaires au niveau intermédiaire de
développement.
63.
Jusqu’à 41 systèmes éclairage à 400 Wc, un système installé dans chacune des 41
cliniques au niveau intermédiaire de développement.
64.
Jusqu’à 41 systèmes de réfrigération
à 400 Wc pour vaccines et médicaments,
un système installé dans chaque zone intermédiaire de
développement.
Transport et communications.
65. Jusqu’à
66. Jusqu’à 288 unités de radiotéléphone ou équivalent
établies et fonctionnelles au niveau de commission réservoir.
67. Une station radio locale établie, avec personnel, et
fonctionnelle.
Unités de production, et
les épargnes y relatives.
68. 4 unités
coopératives de production d'articles en composites de gypse
construites et opératives.
69. 41 unités
coopératives pour la production des mini briquettes pour les
foyers construites et opératives au niveau de commission de développement
intermédiaire.
70. Une coopérative pour l’installation et
l’entretien des services de
fourniture en eau potable établie et opérative.
71. La production de
LISTE DES 9861 OCCUPATIONS DIRECTEMENT
CRÉÉES
À supplément des
71 voix nommées ci-dessus et les occupations indiquées
ci-dessous, les structures mises en place par le projet permettent aux
populations locales d’entreprendre toutes les initiatives qu’elles ne
veulent, selon leurs désirs et capacités.
Cliquer ici pour la liste complète des occupations FTE
(temps plein) permanentes créées.
Structures sociales 272
Structures financières 386
Structures eau et
assainissement 476
Structures recyclage 405
Structures santé 460
Structures éducation
2411
Structures agriculture et
sécurité alimentaire 973
Structures meunières 144
Structures afforestation et
mini-briquettes
3380
Structures de transport et
communications 421
Structures de production 533
CONFORMITÉ
AVEC LES CONDITIONS DE LA CHARTE DE LA
TERRE.
Ce
projet de développement intégré se conforme à
toutes les conditions de la Charte de la Terre. Il
dépasse tous les objectifs du Millénaire
dans la zone du projet, sauf ceux relatifs aux vaccinations, la médecine
curative et quelques aspect de l’objectif
8 qui n’ont rien à quoi faire avec le
développement local.
LES FRAIS DU PROJET.
Ce projet coûte +/-
€ 13.750.000 soit € 179 par personne dont le 42% (soit € 75,50)
est fourni par les habitants eux-mêmes à travers des travaux
effectués aux termes du système de monnaie locale établi
au cours de l’une des premières phases de la mise en œuvre du
projet. Cela laisse une exigence financière en forme de capital initial
d’investissement montant à € 7.979.531 (soit +/- € 104
par habitant).
Aux buts budgétaires, la
participation des populations locales (exprimée en heures de travail aux
termes du système de monnaie locale) est convertie en Euros à un
taux d’échange agréé pour chaque journée de
huit heures de travail. Ce taux de conversion monte d’habitude à
Euro 3 par jour. Au cas où le capital initial de
€ 7.979.681 ne soit pas mis à disposition en forme de don, le
projet s’autofinance, sujet à un prêt sans intérêts
remboursable à distance de dix ans.
LE BILAN DU
PROJET.
Cliquer :
Pour informations
complètes sur le système du bilan du projet, consulter la section
justification financière.
Les fonds au bilan
destinés aux “structures productives” se trouvent au bilan
pour en couvrir les frais initiaux de leur établissement. Ces
financements sans intérêts en monnaie formelle sont
remboursés dans le Fonds Coopératif de Développement Local
sur une période, d’habitude de 4-5 ans, retenue réaliste
par les participants eux-mêmes. Les remboursements effectués par
les individus recevant des financements du Fonds sont effectués par
moyen de la vente d’une partie des produits ou services en question HORS
DE
REMBOURSEMENT (LE CAS
ÉCHANT)) DES INVESTISSEMENTS INITIAUX.
Les investissements
initiaux en compte capital sont couverts et remboursés, le cas
échéant, par les populations à distance de dix ans.
Le fonds local de microcrédit.
Le système de base pour le
financement des projets de développement intégré est celui
du Fonds Coopératif de Développement Local établi dans
chaque zone de projet. Les populations bénéficiaires paient une contribution mensuelle
d’au moins Euro 3 par famille dans ce fonds. Une structure à trois
niveaux de sécurité sociale est créée à
défense des intérêts des pauvres, des malades et des
handicapés. Les monnaies versées dans le fonds sont
recyclés de manière systématique en forme de microcrédits
sans intérêts aux populations locales à couverture des
investissements productifs. Les financements autofinancés mis à
disposition de cette manière montent à au moins €
31.219.696 ( soit € 2.800 par famille) sur la première
période de dix ans.
Le fonds est organisé
à ce que le montant y disponible soit suffisant à distance de dix
ans à couvrir le remboursement dans un seul coup du capital initial
d’investissement. Au cas d’un tel remboursement, le montant dans le
Fonds Coopératif de Développement Local tournera vers le
zéro. Puisque les familles continueront à faire leurs
contributions mensuelles dans le fonds, le montant y disponible
s’augmentera de nouveau au cours du deuxième cycle décennal
comme il l’a fait au cours du premier cycle. Tel montant est à sa
fois recyclé pour le financement de microcrédits sans
intérêts à bénéfice du développement
productif local jusqu’au moment où il ne soit nécessaire
pour le remplacement de biens en compte capital et/ou des extensions aux
services À ce point, le fonds tournera de nouveau à zéro,
pour se reconstituer de nouveau au cours du troisième cycle
décennal, et ainsi de suite de manière durable et permanente.
Le protocole de Kyoto.
Un menu
innovateur de 13 méthodologies pour financement CDM
aux termes du Protocole de Kyoto aurait fourni le financement du projet
à distance de six ou huit ans. Malheureusement le marché CDM du carbone s’est écroulé au point
où la valeur des certificats CER est
inférieure aux coûts de gestion, malgré les
procédures simplifiées introduites pour la forme au
bénéfice des pays les plus pauvres.
Pour
des informations détaillées sur tels éventuels financements,
référez-vous SVP au document le problème du protocole de Kyoto et le projet
Vivons Tougan.
En théorie, les revenus nets indicatifs pour
le projet auraient pu monter à +/- € 24.000.000, permettant le remboursement du
projet vers la fin de la sixième année de gestion sur la base des
revenus CDM des premiers cinq ans
d’activités.
Fonds Vert pour
le Climat : Pour l’Adaptation aux Changements Climatiques.
Ce projet couvre automatiquement presque toutes les
actions recommandées pour l’adaptation aux changements du climat
dans les pays et les communautés pauvres. À ce but un Fonds
Vert pour l’Adaptation aux Changements Climatiques se trouve en cours de formation dans le cadre de
Pour informations sur comment le projet fait face
aux problèmes poses du changement climatique voir la section adaptation, écologie et conservation.
ASPECTS INNOVATEURS DU PROJET.
Observations de nature
générale sur les aspects innovateurs du projet:
01. Le concept de la
création de structures
sociales, financières, productives et de service comme base
du développement intégral dans une zone de projet à 76.740 personnes est à retenir
extrêmement innovateur. La révolution qu’il porte aux
possibilités de développement se réfère à
l’organisation des structures proposées. Une fois
que les structures soient en place, les populations locales disposeront de tous
les instruments leur nécessaires pour la mise en œuvre de leurs
initiatives préférées.
02. L’ordre de
séquence critique pour la création des structures du projet est
d’importance vitale. On se sert en effet des structures sociales pour
créer celles financières, puis des structures financières
pour créer celles de la production locale, et par la suite des unités
de production locale à couverture des exigences (par exemple
réservoirs à eau, toilettes, foyers) nécessaires aux
structures de service.
03. On met en marche
une mobilisation générale puissante des populations locales
à travers des structures créées.
04. Les populations
locales sont responsables de la planification, de la mise en œuvre, de la
gestion, et des frais de toutes les structures. EIles reçoivent de
l’assistance, au cours de l’implémentation initiale du
projet d’une équipe (très réduite) d’experts
sous la direction d’un coordonnateur/coordonnatrice d’origine locale.
Les aspects innovateurs
relatifs à l’agriculture et à la sécurité
alimentaire comprennent :
01. On se sert d’un menu innovateur de
méthodologies CDM pour achever soit la
sécurité alimentaire, soit le stockage de CO2, soit
la génération de certificats CER à couverture [éventuelle]
du remboursement (le cas échéant) du financement initial en
compte capital.
02. La production d’engrais à
travers du recyclage des urines et des fèces au niveau des
ménages et/ou au niveau local est suffisante à permettre la culture de tous les aliments de base
nécessaires aux populations. Les épargnes
ANNUELLES ( € 7.125.500 par
an) représentent le 89% du capital initial d’investissement !
03. Le recyclage des
déchets de cuisine et des jardins au niveau des commission
réservoir fournit des aliments pour poules, chèvres, et en
présence de conditions religieuses appropriées, porcs, favorisant
une variété de diètes.
04. L’institution de
pépinières opérantes dans le cadre du système de
monnaie locale optimise soit les cultures locales que l’utilisation des
semences locales.
05. L’utilisation de plantations
à arbres de fruit et de noix,
de bambou, de Moringa (raifort) et de Jatropha
constitue une double garantie de sécurité alimentaire et fournit
des matières premières pour de nombreuses applications
productives locales. Le cas
échéant, les plantations peuvent servir à garantir le
remboursement du capital initial d’investissement.
Les aspects innovateurs
relatifs à l’écologie, à la conservation et à
l’énergie comprennent:
01. On se sert d’un menu innovateur de
méthodologies CDM couvrant des types
divers d’utilisation des terrains pour rembourser (le cas
échéant) le capital initial d’investissement, pour
réaliser le stockage de CO2, et pour
améliorer la gestion des eaux pluviales et les infrastructures
écologiques dans la zone du projet.
02. Une combinaison unique de méthodes
et technologies facilite la formation d’un système
économique local qui soit énergie-neutre et écologiquement
durable et responsable.
03. La combinaison de méthodes et
technologies proposée se conforme aux principes de
04. On se sert exclusivement et de
manière systématique de technologies d’énergie
renouvelables, telle l’application généralisée des
installations à énergie photovoltaïque.
05. En principe, toute l’énergie
utilisée est renouvelable. Elle est produite et consommée exclusivement
dans la zone du projet même.
Les aspects innovateurs
relatifs à l’éducation comprennent:
01 On peut construire
selon les exigences un nombre quelconque d’écoles et d’accommodations
pour les enseignants en utilisant de la main d’œuvre et des
matériaux locaux dans le cadre du système de monnaie locale
établi. Cela signifie que soit les écoles que les accommodations
soient construites de façon coopérative par les populations
locales. En même temps, les constructeurs et fournisseurs sont toujours
payés pour leur travail et leurs livraisons.
02. On peut payer les
enseignants, ou bien subventionner leurs salaires en monnaie formelle, aux
termes du système local d’échanges établi par le
projet.
Les aspects
innovateurs relatifs aux structures financières comprennent:
01. La fusion
(mélange) d’un système innovateur de monnaie locale avec un
système, également innovateur, de microcrédits sans
intérêts et sans frais en monnaie formelle opérant dans le
cadre du système de monnaie
locale. Il s’agit peut-être de l’aspect individuel le plus
innovateur du projet.
02. On se sert du
système de monnaie locale pour mobiliser les populations locales. Tous
les membres adultes de la population deviennent automatiquement membres du
système. Toutefois, les usagers sont toujours libres de choisir,
s’ils le préfèrent, d’effectuer une transaction dans
le cadre du système de monnaie locale ou dans le cadre de celle
formelle. La monnaie locale établie supplémente celle
formelle sans la remplacer.
03. Le système
innovateur proposé des microcrédits sans intérêts et
sans frais en monnaie formelle est géré par les populations
elles-mêmes. Les fonds utilisés les appartiennent. Le contrôle
social local féroce devrait assurer le remboursement de tous les
financements effectués. Sur base conservatrice, supposant une
période moyenne de rembours de deux ans, le système
générera des microcrédits sans intérêts pour
au moins € 2.800 par famille à faveur de l’augmentation de
la productivité au cours de chaque période de dix ans de gestion
et des épargnes d’intérêts de € 1.500.000 par
an.
Les aspects innovateurs
relatifs aux structures de la santé comprennent:
01. Les actions relatives à la
santé sont basées sur la prévention et sur la santé
sociale plutôt que sur la médecine curative.
02. [Avec le passer du
temps, à main que l’on puisse disposer de médecins],
l’on se sert du système de monnaie locale pour établir jusqu’à
41 centres médicaux locaux y comprises des accommodations
appropriées avec cabinet médical et, le cas
échéant, des subventions aux salaires des docteurs. Cela signifie
que soit les centres de santé que les accommodations soient construites
de façon coopérative par les populations locales. En même
temps, les constructeurs et fournisseurs sont toujours payés pour leur
travail et leurs livraisons.
03. Les
médecins peuvent être payés, ou bien leurs salaires de
l’état subventionnés, par les populations locales aux
termes du système local d’échanges établi.
04
Jusqu’à 288 points d’infirmier, y comprises les
accommodations pour les infirmières, seront construits aux termes du
système de monnaie locale établi en utilisant des
matériaux et main d’œuvre locaux. Cela signifie que les
points infirmiers restent la propriété coopérative des
populations, tandis que les constructeurs et fournisseurs sont toujours
payés pour leurs contributions.
05. Les
infirmiers/infirmières peuvent être payés, ou bien leurs
salaires de l’état subventionnés, par les populations
locales aux termes du système local d’échanges
établi.
06. L’achat en
vrac des médicaments est effectué par le projet en fonction des
prescriptions médiques. À ce but, l’on établit un
fonds coopératif d’assurance maladies au niveau des commissions réservoir
ou au niveau de commissions intermédiaires ou au niveau général
du projet. Les infirmiers/infirmières locaux assurent
l’administration des médicaments selon leurs prescriptions.
07. [Avec le passer du
temps] un hôpital de base local avec jusqu’à 150 lits (au
moins 0,5 lit par commission réservoir) se construira à Tougan. Beaucoup des frais de construction et des frais des
services non-professionnels seront couverts aux termes du système local
d’échanges mis en place. L’achat des équipements
médicaux et des fournitures médiques pour l’hôpital
n’est pas couvert du projet, car il porte à des fuites
financières de la zone du projet. Les fonds pour l’achat des
équipements médicaux et des fournitures médiques devront
être mis à disposition séparément par
l’état aux termes d’un accord conventionnel
d’assistance bilatérale et/ou par des ONG internationales
spécialisées du secteur.
Les aspects innovateurs
relatifs à l’eau potable et à l’assainissement:
01. Pour les
fournitures en eau potable un concept de moyeu et rayon sera adopté.
Supposant toujours que les débits des forages le permettent,
installera-t-on plusieurs pompes solaires à pression
élevée en série dans chaque forage à grand
diamètre servant 5-8 points d’eau distribuée. Les pompes
seront capables de forcer l’eau, le cas échéant, sur une
distance de plusieurs kilomètres. Cela signifie que l’on ne doit
creuser que 104 forages à débit élevé, au lieu de
288 forages comme serait le cas pour les projets conventionnels. Cela portera
à des réductions importantes des frais des systèmes de
fourniture en eau potable.
02. L’on se sert
de technologies utilisant des composites de gypse pour la fabrication locale de réservoirs d’eau,
systèmes de toilettes, foyers de cuisine améliorés,
structures de support pour les bâtiments et pour le mobilier scolaire
etc. En principe, tels produits peuvent-ils être fabriqués, installés,
et maintenus dans le cadre du système local d’échanges
établi sans avoir besoin d’aucun capital en monnaie formelle.
03. L’on se sert
de systèmes de toilettes à compostage à sec, avec la séparation
des urines des fèces. Les urines et les fèces sont
recyclés sans risque au niveau des commissions réservoir pour des
utilisations productives.
Les aspects innovateurs
relatifs aux droits des femmes:
01. On applique un système
électif qui assure un rôle dominant des femmes dans toutes les structures
du projet à tous les niveaux.
02. Les femmes sont les
bénéficiaires principaux du menu de structures soit relatif à
l’épargne de leurs temps de travail soit au développement des
capacités réalisé au cours de l’exécution du
projet.
03. On améliore l’autonomie des femmes
dans la zone du projet à travers des microcrédits sans
intérêts et sans frais en monnaie formelle mis à leur
disposition pour l’augmentation de leur productivité.
04.
Les droits des femmes comme définis dans les divers traités sur
les droits de l’homme sont toujours respectés.
LE POTENTIEL DE REPLICATION DU PROJET.
La documentation du projet à
été rédigée aux termes d’un Modèle
innovateur pour les projets de développement local autofinancés,
écologiques, et durables.
On a besoin par conséquent de 20 projets
individuels pour chaque 1.000.000 d’habitants.
À titre d’exemple, un plan
subrégional pour le développement intégré de
l’Afrique de Ouest avec la supervision de l’Organisation des
États de l’Afrique de l’Ouest (ECOWAS,
en Français UEMOA) exclus le Nigéria et
Selon la densité des populations et
l’accessibilité des zones des projets, peut-on rédiger les
documentations complètes et détaillées pour plans aux niveaux régional et national à un coût de quelques centimes
d’Euro par habitant. Les étudiants et les membres des ONG
responsables de la rédaction des projets se qualifient automatiquement
comme coordonnateurs des projets individuels dont les documentations ils auront
rédigé.
Chaque projet de développement
intégré établit un système coopératif
économique local autonome, sans intérêts, et sans
inflation. Sujet toujours à la disponibilité de capital d’investissement
initial (éventuellement remboursable), n’y a-t-il aucun limite au
nombre de projets qui puissent être mis en exécution de
façon contemporaine.
On offre par conséquence une perspective
pour l’achèvement rapide des Objectifs du Millénaire.
COMPTABILITÉ ENVIRONNEMENTALE.
Ce projet de développement
intégré est neutre vis-à-vis les émissions de CO2. Il se base sur le concept que toute énergie
utilisée soit durable et produite localement.
Le projet couvre presque toutes les
possibilités ouvertes à
Au cas où ils existent des gisements de
gypse dans la zone de projet, les familles éventuellement habitant
directement dessus des gisements devront être déplacées. Il
s’agit d’activités sur toute petite échelle
exclusivement pour la consommation locale. Il est par conséquent
extrêmement improbable qu’une telle situation se présente.
Le gypse est pour 100% inerte. Les produits
à base de gypse écartés suite à leur utilisation
seront toujours restitués aux centres de production pour être pour
100% recyclés en nouveaux produits.
Ils ne comporteraient toutefois aucun risque aux personnes ni à
l’environnement au cas de leur abandonnement dans la nature.
L’on devrait en principe porter des
masques au cours de quelques phases de la production d’articles à
base de composites de gypse, à cause de la poudre fine dans l’air.
Tous les déchets organiques et
non-organiques produits dans la zone du projet sont récoltés
systématiquement dans le cadre du système local d’échanges
établi. Là où possible, ils sont tous recyclés
localement pour créer de la valeur ajoutée locale. Les
matériaux et substances qui ne se prêtent pas au recyclage local
(en particulier les produits chimiques et les médicaments) sont
récoltés et, le cas échéant, triés
localement dans le cadre du système local d’échanges et
exportés en vrac de la zone du projet contre de paiements en monnaie
formelle.
UN COURS COMPLET
AU NIVEAU POST-MASTER.
Un cours complet d’une
année au niveau post-masters
se
trouve au site web www.integrateddevelopment.org . Il est mis gratuitement
on-line à l’utilisation de la part de tous.
La seule lecture des textes du
cours donne des informations complètes sur les concepts et
méthodes sur lesquelles ce projet se base. Le cours contient un fichier
étendu de références détaillées à
bénéfice de ceux qui voudront approfondir ultérieurement
leurs connaissances sur les sujets touchant le projet de leur intérêt.
Il contient aussi une liste des mots-clefs liés aux sections du cours
où ils sont traités.