ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.

 

MODÈLE POUR PROJETS DE DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ À FAVEUR DES PLUS PAUVRES AU MONDE.

 

Homepage

Projets, exemples

ÉCRIRE UN PROJET DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ

COURS DE DIPLÔME DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ (Dip. Dév. Int.)

Articles, ressources

  Sur nous

Downloads 

Informations supplémentaires

Technologies utiles

   Contactez nous

 

Version 01 : 03 Octobre, 2007.

Version 05 : 27 Octobre, 2013.

(English)


01.02 SOMMAIRE EXÉCUTIF POUR LE PROJET DE DÉVELOPMENT INTÉGRÉ ÉCOLOGIQUE ET DURABLE

(NOM ET LIEU DU PROJET)

 (Nom du projet)

 

« Comme la biosphère, les économies vivantes que nous cherchons s’organiseront elles-mêmes dans un cadre de règles de marché. Avec leurs racines locales, dépendant surtout de la propre base de ressources, elles contiendront des incitations à faveur de l’adaptation aux microenvironnements locaux. En présence de pouvoirs propriétaires  pour faire des décisions distribuées parmi les membres de la communauté dans leurs rôles multiples de producteurs, consommateurs et citoyens,  y aura-t-il une incitation naturelle à faveur de l’internalisation des frais et à la gestion responsable. » (Korten D., The New Economy : Design for Life. Can we design a self-correcting society?, YES! Magazine, Bainbridge Island,  02 Mai, 2011 – traduction Stichting Bakens Verzet (ONG Une Autre Voie))

Le projet ci-joint a été rédigé suivant un Modèle innovateur pour projets locaux de développement intégré autofinancés, écologiques et durables. Il couvre un ensemble complet de structures sociales, financières, productives et de service nécessaires au développement durable continu des communautés bénéficiaires. Tous les objectifs du Millénaire y sont dépassés sauf ceux relatifs aux vaccinations et à la médecine curative et l’objectif  8 qui n’a rien à quoi faire avec le développement local. Ils on été exclus à cause du fait qu’ils causent des fuites financières de la zone du projet. Le projet à été élaboré avec la participation des populations intéressées qui en font le planning, l’exécution et la gestion des structures établies dont elles sont les propriétaires. Elles en remboursent tous les frais. Toutes les structures sont organisées pour réserver et assurer aux femmes un rôle dominant dans toutes les activités du projet. Le financement, les technologies adoptées et le développement des capacités humaines sont harmonisés pour offrir des solutions praticables et durables au développement de la zone du projet.

Toutes les structures sociales, financières, productives et de service s’appliquent de manière automatique à tous les habitants de la zone du projet, sans exclusion. Le concept prépondérant est celui de l’achèvement d’une bonne qualité de vie pour tous. Le projet porte à la mobilisation générale de la population locale.

 

Le modèle pour les projets de développement intégré lui-même à la forme d’une table matières pour la rédaction de la documentation relative à un projet individuel.

 

Cliquer sur les voix individuelles pour avoir des informations détaillées.

 

Des solutions aux suivants problèmes de base (présentés en ordre alphabétique) relatifs au développement sont proposées :

 

 

PRÉSENTATION DU PROJET.

 

Une présentation Powerpoint à 32 diapositives.

 

 

ZONE DU PROJET.

 

[ Un paragraphe sur la location du projet, ses dimensions, sa population]

[Cartographie]

 

 

QUELQUES PROBLÈMES DE  BASE.

 

Le projet fournit des solutions innovatrices et complètes à beaucoup des problèmes les plus urgents dans la zone du projet, y compris ceux suivants, présentés en ordre alphabétique.

 

Le développement libre de la corruption.                

Les droits de la femme.

L'eau et l'assainissement.

L'écologie la conservation et l’adaptation aux changements climatiques.

L'éducation.

L’indépendance des crises du crédit.

Les objectifs du Millénaire 

La santé des habitants.

La sécurité alimentaire.

 

 

JUSTIFICATION ANTHROPOLOGIQUE DES STRUCTURES DU PROJET.

 

Ce projet de développement intégré est justifié anthropologiquement. Il est structuré pour une communautés de +/- (10000) ménages, soit +/- (50000) usagers, qui puissent fournir soit une gamme large de biens et de services soit un marché local qui puisse les consommer. Les membres individuels de la communauté peuvent s’associer personnellement avec toutes les structures du projet et  sont encouragés à y participer librement. Ce type de structure politique a pris forme il y a 3.500 ans, avec la cité-état grecque. Voir par exemple l’état idéal d’Aristote. Chaque zone de projet comprend  +/- (45) structures administratives intermédiaires, chacune desquelles avec 1500-2000 habitants, offrant déjà une certaine division des tâches. On les appelle les «commissions forage ». Ce type de structure s’est constitué il y a 7.500 ans. Au troisième niveau, on a +/-( 200) unités administratives locales, chacune avec +/- 150-250 personnes. On les appelle les «commissions réservoir ». Elles constituent le cœur battant des projets. Cette structure a pris forme en Mésopotamie il y a +/- 13.000 ans. Elle est basée sur un clan de famille ou tribu. Beaucoup des structures typiques des pays industrialisés réfléchissent toujours les trois niveaux administratifs ici prévus, car ils se réfèrent soit au développement des rapports sociaux humains soit au développement des capacités humaines et, peut être, même aux dimensions du cerveau humain.

 

Le principe de subsidiarité avec sa chaine de responsabilités est appliqué à toutes les structures. Les structures devraient fonctionner au niveau le plus bas possible. Les tâches et les responsabilités sont divisées logiquement parmi les trois niveaux administratifs. Ce concept est illustré sur la fiche avec quelques exemples typiques de la «spécialisation »verticale.

 

Pour plus de détails voir la présentation  Powerpoint : architecture de base des structures.

 

LES STRUCTURES DE BASE DU PROJET.

Toutes les structures créées dans chaque zone de projet fonctionnent donc aux trois niveaux anthropologiques cités. Elles sont créées dans un ordre de séquence critique.

Les premières structures créées sont les clubs de santé, qui permettent aux femmes de s’organiser  et de voter en bloc aux réunions ;  puis les commissions réservoir, puis les commissions forage, et enfin la commission centrale, ou parlement, du projet. Suivent les structures financières, à commencer avec la formation du système de monnaie locale (système SEL), suivi du système coopératif de micro -crédits sans intérêts et sans frais en monnaie formelle. Finalement, les groupes coopératifs d’achat de biens d’investissement à faveur de la productivité.  Une fois établies les premières deux structures financières, peut-on commencer à créer des structures productives nécessaires aux services prévus, y compris ceux pour l’eau potable et l’assainissement.

Pour un sommaire des structures voir la présentation Powerpoint sur les structures de base du projet.

 

Pour informations complètes sur les structures voir le les structures à créer.

 

 

LES OBJECTIFS À LONG TERME.

 

Les objectifs à long terme de ce projet de développement intégré comprennent : 

 

01. Faciliter une amélioration continue de la qualité de vie et de la santé de la population entière de la zone du projet, sans exclusions.
02. Établir une économie locale dans le zone du projet qui soit autonome, coopérative, sans intérêts financiers et sans inflation.

03. Éliminer les  fuites financières de la zone du projet..

04. Dédier les ressources humaines de la zone du projet à la production et au développement locaux.
05. Réduire l’incidence
des maladies d’origine hydraulique, de la malaria et d’autres maladies infectieuses.

06. Réduire la mortalité infantile et la promotion du planning familial dans la zone du projet.
07. Améliorer le
niveau de scolarité de tous les habitants, surtout celui des jeunes filles et des femmes.

08. Éliminer la dépendance des habitants sur les combustibles et les aliments importés dans la zone du projet.
09. Contribuer activement à la
réduction de la déforestation et à a lutte contre l’augmentation de la température globale mondiale et pour réaliser l’adaptation de la zone du projet aux changements climatiques.
10. Créer de la
valeur ajoutée à travers de la récolte et le recyclage des ordures organiques et des ordures solides non- organiques.
11. Créer une culture d'entretien et de conservation des investissements réalisés.
12. Avancer les droits des femmes et leur participation majoritaire à toutes les structures du projet.

13. Assurer à tous les habitants de la zone du projet une activité coopérative productive à plein temps.  (“Travail à pleines journées”)

14. Contribuer à arrêter l’émigration des zones rurales vers les grandes villes.

15. Dépasser  tous les objectifs du Millénaire dans la zone du projet à l’exclusion des vaccinations et de la médecine curative et de l’objectif 8, lequel n’a rien à faire avec le développement local.

 

 

LES RÉSULTATS ATTENDUS À COURT TERME.

 

Une fois créées les structures de base prévues, la population locale peut suivre ses propres idées et initiatives. Là où on se sert de la main d’œuvre et des matériaux locaux, peut-on agir dans le cadre du système d’échanges local sans avoir besoin d’un budget en monnaie formelle (Euros). Cela explique comment on peut construire tellement d’écoles locales sans influencer le budget en monnaie formelle du projet. Puisque les commissions de développement au niveau de réservoir agissent de façon tout à fait indépendante l’une de l’autre, une école peut être construite dans une zone de commission de manière contemporaine avec les écoles dans d’autres zones de commission réservoir. Le même concept s’applique aux résidences des infermières, aux structures pour la conservation des aliments, les pépinières etc. Le même concept est valable aussi au niveau des commissions pour le développement intermédiaire en ce qui concerne la construction des écoles secondaires, des cliniques pour médecins, des banques à semences etc. La plupart de telles activités importantes ne pèse qu’à peine sur le bilan du projet. 

 

Les résultats minimums directs attendus qui sont automatiquement couverts de ce projet comprennent :

 

Structures sociales démocratiques de préférence avec une participation majoritaires des femmes.

 

01. (200) Clubs de santé communautaires créés et en fonction dans la zone du projet; cours permanents d’éducation à l’hygiène auprès de (35) écoles.

02. (200) Commissions de développement local à 5-7 membres établies et en fonction, chacune à service de 50 familles (250 personnes).

03. (45) Commissions de développement intermédiaire à 5-7 membres établies et en fonction chacune à service de 350 familles (1500 personnes).

04. Une commission centrale à (45) membres créé et en fonction à service de la zone entière du projet (10.000 ménages; 50.000 personnes).

 

Structures financiers pour combattre la crise financière et les épargnes y relatives.

 

05. Un système local d’échanges créé et en fonction à service de (200) zones de développement local, (45) zones de développement intermédiaire, et la zone entière du projet.

06.  Un système coopératif de microcrédits sans intérêts et sans frais en monnaie formelle créé et en fonction à service de (200) zones de développement local, (45) zones de développement intermédiaire, et la zone entière du projet.

07.  Divers groupes d’achat coopératifs créés et en fonction à service de (200) zones de développement local, (45) zones de développement intermédiaire, et la zone entière du projet. (Groupes volontaires d’achat, médicaments, éducation, systèmes PV domestiques etc.).

08. Le fonds local de développement coopératif épargne €  520.000 d’intérêts par an.

 

Structures de sécurité sociale.

 

09.  Un système de sécurité sociale à trois niveaux  est créé et en fonction à service de (200) zones de développement local, (45) zones de développement intermédiaire, et la zone entière du projet.

 

 

Eau et assainissement et épargnes y relatives.

 

10. Un système individuel d’assainissement installé dans chacune des (10.000) et dans les lieux publics et les écoles.

11. 104 forages à plusieurs pompes forés et équipés d’une installation à trois unités de pompage manuel et d’une aire de lavage. Bénéfice des aires de lavage   4 heures/femme par semaine = +/- €  936.000 par an.  

12. 288 système de pompage solaires PV à haute pression, chacun à service de +/- 40 familles (266 personnes) fournissant de l’eau potable saine sur toute la zone du projet dans tous les circonstances prévisibles.

13. 288

 réservoirs à eau chacun installé dans un radius de 150-200 m. des habitations des usagers. Bénéfice moyen de corvée 1 femme/heure par jour, soit €  1.095.000 par an.

14. 10.000 systèmes domestiques de récolte de l’eau pluviale un système produit localement et installé pour chacun des habitations individuelles dans la zone du projet.

15. Un système efficient de drainage des eaux pluviales installé et en fonction des [nombre] centres habités.

16. [Quantité] de réservoirs à 5m3  pour la récolte de l’eau pluviale installés sur les terrains agricoles pour la micro-irrigation.

 

Recyclage des déchets organiques et non-organiques et les épargnes y relatives.

 

17. (200) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets établis et en fonction au niveau des commissions de développement local.

18. (45) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets établis et en fonction au niveau des commissions intermédiaires de développement.

19. Un système pour la récolte et recyclage des ordures établi et en fonction au niveau du projet.

20. Épargne des coûts des engrais. Un moyen de 550 kg d’urine et 51 kg de fèces par personne par an, avec une production totale de 4550 gr, d’azote et 548 gr of phosphore. Équivalent de 275 tonnes d’urée et 275 tonnes d’engrais  NPK 15 :15 :15 par an pour une valeur de € 217.000. La production locale des engrais à partir du recyclage des urines et des fèces suffit à couvre la production de tous les aliments sont les habitants ont besoin, en leur assurant une nourriture variée. Il n’y a aucun travail supplémentaire à l charge des femmes.

 

Facilités à faveur de la santé et les épargnes y relatives.

 

21. (200) Infermières locales fournies d’habitation, en fonction (et éventuellement payées) au niveau du développement local.

22. ( 45) Centres médication pour médecins construits au niveau intermédiaire, et en fonction selon la disponibilité de personnel qualifié.

23. Plan rédigé pour la construction et mise en œuvre d’un hôpital de base au niveau du projet. Construction, entretien, et quelques services dans le cadre du système de monnaie locale établi.

24. Réduction des frais de traitement médical traitement pour maladies portées de l’eau, 50% de la population (25.000 partie de 50.000) au moins une fois par an  par le coût moyen pour les médicaments et pour le médecin €  20 = 25000  x    20 = €   500.000

25. Augmentation de productivité due à la réduction de l’incidence des maladies portées de l’eau :  50% de la population adulte (50% de 30.000)  x  dix jours par an  x revenus € 3 par jour = 15000 x 10 x 3 = €  450.000.

26. Réduction du 50% de l’incidence de la malaria, (soit 40% de la population a moins une fois par an) à travers le drainage des eaux de superficie, l’utilisation des moustiquaires, les cours d’éducation à l’’hygiene etc.  Réduction du 50% des frais pour 40% de la population au moins une fois par an, soit  50% des frais moyen d’un traitement anti-malarique pour (€  10 per case)  pour  20.000 ou €  200.000, dont le 50%  = €  100.000

27.  Augmentation de la productivité due à la réduction de l’incidence de la malaria : 10% ode la population adulte (soit 10% of 30.000 ou  3.000 adultes)  x 10 jours x revenu de €  3 par jour = 3000 x 10 x 3 = €  90.000.

28. Réduction des frais de la transportation urgente de malades à l’hôpital de [lieu]  (louage d’une voiture  € 38 par fois,  payé par  collecte parmi tous les membre de la famille du patient) ; 10% de la population 50.000 au moins une fois par an,  soit €  38 x 5.000 = €  190.000.

29. 45 ambulances à vélo construites localement  avec personnel, une pour chaque commission intermédiaire de développement.

30. 3 voitures à ambulance qui fonctionnent sur le bio-fuels produits localement au niveau du projet.

 

Éducation : structures.

 

31. (200) Écoles élémentaires construites au niveau de commission de développement local et fournies d’enseignants.

32. (45) Écoles secondaires construites ai niveau de commission intermédiaire et fournies d’enseignants.

33. Une école métiers construite au niveau du projet et fournie d’enseignants.

34. Un cours universitaire préparatoire au niveau du projet et fournie d’enseignants

35. (200) écoles élémentaires, (45) écoles secondaires, (1) école métier et (1) facilité de cours préliminaire équipées de structures d’éclairage photovoltaïque.

36. (200) salles d’études construites au niveau des commissions réservoir.

37. (200) salles d’études équipées d’éclairage photovoltaïque.

38. (200) cours permanents du soir à faveur des adultes (surtout des femmes) fournis d’enseignants et en fonction.

 

Fourneaux de cuisine et les épargnes y relatives.

 

39. Au moins 10.000 fourneaux de cuisine améliorés produits localement, distribués, et en fonction.

40. Élimination de la corvée de bois : 60% des familles (soit 60% de 10.000 familles ou 6.000 familles)  x  4 heures par semaine (soit 40% d’une journée à dix heures de travail) x revenu €  3 par jour, soit €  1,20 par semaine par famille. €  1,20 par semaine x 6.000 femmes = €  7200 par semaine, soit €  374.400 par an.   

41. Réduction des frais  d’achat de bois à chauffe pour la cuisine(ou une source alternative) :  40% des familles (soit 40% de  10.000 familles ou 4.000 familles). En ville (ou centre plus important) une famille à 5 personnes utilise bois de chauffe ou équivalent pour une valeur de +/- € 0,75 par jour..Une réduction  du 65% par moyen de l’utilisation des fourneaux amélioré signifie une épargne    0,50 par famille par jour. 4000 familles x Euro 0,50 x  365 =  730.000.

42.. Reforestation “automatique” 6.5 kg (partie de l’utilisation de 10 kg de biomasse par famille par jour porte à une épargne en bois de : 10.000 familles x 365 = 23.725 tonnes par an @  valeur moyen di bois sur pied pour pâté à papier €  7.5 per ton = €  178.000 par an.

 

Agriculture et sécurité alimentaire et les épargnes y relatives.

 

43. (200) pépinières établies au niveau des commissions réservoir et en fonction.

44. (45) pépinières établies au niveau des commissions intermédiaire et en fonction.

45. Réduction des frais du traitement de personnes souffrant la faim, ou du à l’hygiène inadéquate, ou causés par la fumée à l’intérieur et à l’extérieur des habitations : 25% de la population au moins une fois par an x  un coût moyens pour médicaments et médecins     20 = 25000 x    20 = €   250.000.

46. Réduction du 80% des frais d’importation des aliments dans la zone du projet. Les frais moyens par famille sont +/- €  2,20 par jour, dont  80% monte à    1,75.    1,75  x 10.000 familles x 365 =    6.387.500 par an.

47. (200) Facilités pour le stockage des aliments construites au niveau de chaque commission réservoir avec personnel et en fonction.

48. (45) Facilités pour le stockage des aliments construites au niveau intermédiaire avec personnel et en fonction.

49. Bénéfices de la plantation de 600.000 arbres à fruit  ou à noix, 400.000 plantes de bambou (pousses de bambou),  1.440.000 arbres de Moringa (feuilles « à épinards » comestibles).

50. (45) Banques de semences créées et en fonction a niveau des commission intermédiaires.

51. Une banque de semences créée au niveau du projet et en fonction.

 

Meuneries et épargnes y relatives.

 

52. (200) meuneries manuelles établies et en fonction à niveau local de développement.

53. Épargne de temps des femmes et jeunes filles pour la préparation des aliments sur une base typique de 2 heures par ménage par jour. Épargne 1,5 heures par ménage par jour, soit 15% d’un revenu de € 3 par jour de travail à 10 heures, ou  € 0,45 par ménage par jour.  € 0,45 par jour x 10.000 ménages x 365 days =

€ 1.642.500.

 

Production de mini-briquettes pour les fourneaux améliorés.

 

54. (400) contrats pour la fourniture de biomasse pour la production de mini-briquettes signés et en cours d’exécution.

55.  Un projet démonstration pour la reforestation et parcs naturels utilisant des espèces natives établi et en cours d’exécution. 1.200.000 arbres (400 arbres par hectare sur 3.000 hectares) plantés et entretenus jusqu’au point naturel de leur survie autonome.

56. (200) initiatives au niveau de développement local de plantage distribué d’arbres à fruit et à noix et équivalent planifiées et en cours de mise en œuvre. Superficie moyenne de 15 hectares par initiative à  200 arbres par hectare (3000 arbres) , soit 600.000 arbres au niveau du projet entier.

57. (200) initiatives au niveau de développement local pour activités agro-forestières à petit échelle telles les plantations de bambou sur les prairies ou terres de récolte  planifiées et en cours de mise en œuvre. Superficie moyenne de 7 hectares par initiative à 2000 plantes par hectare, soit (1400) hectares et 400.000 plantes au niveau du projet entier.

58. (200)  activités agro-forestières à petite échelle – plantations à démonstration et à utilisation exclusivement locale, y comprises les plantations de Moringa sur les terres marginales. Superficie moyenne 12 hectares par initiative avec 600 arbres Moringa par hectare, soit 7200 arbres par initiative, soit (2400 hectares et 1,440.000 arbres plantés et entretenus au niveau du projet.

59. (200)  activités de démonstration d’afforestation et/ou reforestation utilisant Jatropha ou équivalent sur des terres ayant on lands un potentiel réduit pour supporter de la biomasse. Superficie moyenne par activité 7,5 hectares à 1750 arbres par hectare, soit 1500 hectares plantés et 350.000 arbres au niveau du projet.

 

Éclairage photovoltaïque à faveur des études ; éclairage et réfrigération dans les cliniques et épargnes y relatives.

 

60.  (200) Systèmes éclairage à 200 Wc un système installé dans chacun des 200 écoles élémentaires au niveau local de développement.

61. (200) Systèmes éclairage à 200 Wc un système installé dans chacun des 200 salles d’études au niveau local de développement.

62.  (45)  Systèmes éclairage à 200 Wc un système installé dans chacun des 45 écoles secondaires au niveau intermédiaire de développement.

63.  (45)  Systèmes éclairage à 400 Wc un système installé dans chacun des 45 cliniques au niveau intermédiaire de développement.

64.  (45)  Systèmes de réfrigération à 400 Wc pour vaccines et médicaments un système installé au niveau intermédiaire de développement.

65.  600.000 litres par an d’huile de Jatropha oil produits à partir  de la sixième année suite à la semaison. Épargnes €  550.000 par an.

 

Transport et communications.

 

66. (500) km de sentiers à piétons et à vélos bordés d’arbres posés et en utilisation.

67. (200) unités de radiotéléphone ou équivalent établies et en fonction au niveau de commission réservoir.

68.  Une station  radio locale établie, avec personnel, et en fonction.

 

Unités de production.

 

69. 4 unités coopératives pour la production de produits à base de composites de gypse construites et opératives.

70. (45) unités coopératives pour la production de mini-briquettes pour les for fourneaux améliorés construites et opératives au niveau de développement intermédiaire.

71. Une coopérative pour l’installation et l’entretien des structures de fourniture en eau potable établie et opérative.

 

It should be noted that the structures created enable the local population to do what they want according to their own capabilities and initiatives in addition to the results set out above.

 

 

CONFORMITÉ  AVEC LES CONDITIONS DE LA CHARTE DE LA TERRE.

 

Ce projet de développement intégré  se conforme à toutes les conditions de La Charte de la Terre. Il dépasse tous les objectifs du Millénaire de Développement dans la zone du projet, sauf ceux relatifs aux vaccinations et la médecine curative, et ceux de l’objectif  8 qui n’a rien à quoi faire avec le développement local.

     

 

LES FRAIS DU PROJET.

 

Chaque projet dans zones non pastorales coût +/- € 5.000.000, dont le 25% est fourni par les habitants eux-mêmes à travers des travaux effectués aux termes du système de monnaie locale établi au cours de l’une des premières phases de l’exécution du projet. Cela laisse une exigence financière en forme de capital initial d’investissement montant à +/-  € 3.750.000 par projet.

 

Les projets dans les zones pastorales coûtent +/- € 7.000.000, dont le 20% est fourni des habitants. Cela laisse une exigence financière dans les zones pastorales de +/-  5.600.000 par projet. La différence entre les zones pastorales et celles non pastorales est due aux exigences supplémentaires en eau et fourrage des troupeaux.

 

Aux buts budgétaires, la participation des populations locales (exprimée en heures de travail aux termes du système de monnaie locale) est convertie en Euros à un taux d’échange agréé pour chaque journée de huit heures de travail. Ce taux de conversion monte d’habitude à Euro 3 par jour. Au cas où le capital initial (respectivement  € 3.750.000 ou  € 5.600.000 par projet) ne soit pas mis à disposition en forme de don, les projets aux termes du Modèle s’entendent autofinancés, sujet à un financement sans intérêts remboursable selon le cas à distance de dix ans.

 

 

REMBOURSEMENT  (LE CAS ÉCHANT)) DES INVESTISSEMENTS INITIAUX.

 

Les investissements initiaux en compte capital sont couverts et remboursés, le cas échéant, par les populations.

 

Le fonds local de microcrédit.

 

Le système de base pour le financement des projets de développement intégré est celui du Fonds Coopératif de Développement Local établi dans chaque zone de projet. Les populations bénéficiaires  paient une contribution mensuelle d’au moins  Euro 3 par famille dans ce fonds. Une structure à trois niveaux de sécurité sociale est créée à défense des intérêts des pauvres, des malades et des handicapés. Les monnaies versées dans le fonds sont recyclés de manière systématique en forme de micro –crédits sans intérêts aux populations locales à couverture des investissements productifs. Les financements autofinancés mis à disposition de cette manière montent à au moins € 16.000.000 ( soit € 1.500 par famille) sur la première période de dix ans.

 

Le fonds est organisé à ce que le montant y disponible soit suffisant à distance de dix ans à couvrir le remboursement dans un seul coup du capital initial d’investissement. Au cas d’un tel remboursement, le montant dans les Fonds Coopératif de Développement Local tournera vers le zéro. Puisque les familles continueront à faire leurs contributions mensuelles dans le fonds, le montant y disponible s’augmentera de nouveau au cours du deuxième cycle décennal comme il l’a fait au cours du premier cycle. Tels fonds sont de nouveau recyclés pour le financement de micro -crédits sans intérêts à bénéfice du développement productif local jusqu’au moment où ils ne soient nécessaires pour le remplacement de biens en compte capital et/ou des extensions aux services À ce point, le fonds tournera de nouveau à zéro, pour se reconstituer de nouveau au cours du troisième cycle décennal, et ainsi de suite de manière durable et permanente.

 

Pour des informations complètes sur le Fonds Coopératif de développement local, lisez les parties 5. Les systèmes des micro -crédits sans intérêts : introduction et 6. Les systèmes des micro -crédits sans intérêts - approfondissement de la section 3 du bloc 4 du diplôme de développement intégré. Une analyse détaillée des coûts et des bénéfices se trouve à l’analyse des coûts  et des bénéfices.

 

Le protocole de Kyoto.

 

Un menu innovateur de 13 méthodologies pour financement CDM aux termes du Protocole de Kyoto aurait fourni le financement du projet à distance de six ou huit ans. Malheureusement le marché CDM du carbone s’est écroulé au point où la valeur des certificats CER est inférieure aux coûts de gestion, malgré les procédures simplifiées introduites pour la forme au bénéfice des pays les plus pauvres.

 

Pour des informations détaillées sur tels financements, référez-vous SVP au document financement des projets de développement intégré à travers le mécanisme CDM.

 

En théorie, les revenus nets indicatifs pour le projet auraient monté à +/- € 24.000.000. Cela aurait permis le remboursement du projet vers la fin de la sixième année de gestion, basé sur les revenus CDM des premiers cinq ans d’activités. [Au cas des projets dans les zones pastorales à capital initial de €  5.600.000, le remboursement pourrait être complété vers la fin de l’huitième année d’exercice sur la base des revenus CDM applicables aux premiers sept ans.] 

 

Fonds Vert pour le Climat : Pour l’Adaptation aux Changements Climatiques.

 

Ce projet couvre automatiquement Presque toutes les actions recommandées pour l’adaptation aux changements du climat dans les pays et les communautés pauvres. À ce but un Fonds Vert pour l’Adaptation aux Changements Climatiques  se trouve en cours de formation dans le cadre de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Les donations au fonds montaient au total impressionnant de US$ 9 million au 17 Septembre, 2013. Puisque le pays hôte de ce projet se qualifie à l’assistance pour l’adaptation au changements climatiques, le gouvernement national  pourrait le faire rentrer dans la cadre de son plan national d’adaptation aux changements climatiques.

 

Pour informations sur comment le projet fait face aux problèmes poses du changement climatiques voir  les applications à faveur de l’adaptation au changements climatiques incorporées dans le projet. 

 

 

LE BILAN DU PROJET.

 

Informations complètes sur le bilan du projet se trouvent à la frais du projet qui contient les 17 fichiers suivants :

 

01.  Introduction générale.

02. Schéma général des structures financières.

03. Une analyse brève du bilan.

04. L’organisation du bilan.

05. Description des contributions locales.

06. La manière de calcul  des contributions locales.

07. Le rapport entre les monnaies locales et les monnaies formelles.

08. Le bilan.

09. Le bilan en forme indiquée des bailleurs de fonds.

10. Les dépenses annuelles (bilans par an).

11. Les dépenses par trimestre.

12. Les tableurs in Excel pour la préparation du bilan.

13. La durabilité du système.

14. La passation des marchés.

15. Le système bancaire et les limitations à l’autonomie du coordonnateur.

16. Les structures d’audit.

17. La protection des intérêts des bailleurs de fonds.

 

Les fonds au bilan destinés aux “structures productives” se trouvent au bilan pour en couvrir les frais initiaux de leur établissement. Ces financements sans intérêts en monnaie formelle sont remboursés dans le Fonds Coopératif de Développement Local sur une période, d’habitude 4-5 ans, retenue réaliste par les participants eux-mêmes. Iles remboursements effectués par les individus recevant des financements du Fonds sont effectués par moyen de la vente d’une partie de produits ou services en question HORS DE LA ZONE DU PROJET jusqu’au moment où le remboursement ne soit terminé.

 

ASPECTS INNOVATEURS DU PROJET.

 

Observations de nature générale sur les aspects innovateurs du projet:

 

01. Le concept de la création de structures  sociales, financières, productives et de service comme base du développement intégral dans des zones de projet à +/- 50.000 personnes est à retenir extrêmement innovateur. La révolution qu’il porte aux possibilités de développement se réfère à l’organisation des structures proposées. Une fois qui les structures soient en place, les populations locales disposeront de tous les instruments leur nécessaires pour la mise en œuvre de leurs initiatives préférées.

 

02. L’ordre critique de séquence pour la création des structures du projet est d’importance vitale. On se sert en effet des structures sociales pour créer celles financières, puis des structures financières pour créer celles de la production locale, et par la suite des unités de production locale à couverture des exigences (par exemple réservoirs à eau, toilettes, foyers) nécessaires aux structures de service.

 

03. On met en marche une mobilisation générale puissante des populations locales à travers des structures créées.

 

04. Les populations locales sont responsables de la planification, de la mise en œuvre, de la gestion, et des frais de toutes les structures. EIles reçoivent de l’assistance, au cours de l’exécution initiale du projet d’une équipe (très réduite) d’experts sous la direction d’un coordonnateur local du projet.

 

Les aspects innovateurs relatifs à l’agriculture et à la sécurité alimentaire comprennent :

 

01. On se sert d’un menu innovateur de méthodologies CDM  pour achever soit la sécurité alimentaire, soit le stockage de CO2, soit la génération de certificats CER à couverture du remboursement (le cas échéant) du financement initial en compte capital.

 

02. La production d’engrais à travers du recyclage des urines et des fèces au niveau des ménages et/ou au niveau local est suffisante à permettre  la culture de tous les aliments de base nécessaires.

 

03. Le recyclage des déchets de cuisine et des jardins au niveau des commission réservoir fournit des aliments pour poules, chèvres, et en présence de conditions religieuses appropriées, porcs, favorisant une variété de diètes.

 

04. L’institution de pépinières opérant dans le cadre du système de monnaie locale optimise soit la culture locale que l’utilisation des semences locales.

 

05. L’utilisation de plantations à arbres de fruit et de noix,  de bambou, de Moringa (raifort) et de Jatropha constitue une garantie de sécurité alimentaire et fournit des matières premières pour de nombreuses applications productives locales.  Le cas échéant, les plantations garantissent des moyens financiers à couverture du remboursement du capital initial d’investissement.

 

Les aspects innovateurs relatifs à l’écologie, à la conservation et à l’énergie comprennent:

 

01. On se sert d’un menu innovateur de méthodologies CDM couvrant des types divers d’utilisation des terrains pour rembourser (le cas échéant) le capital initial d’investissement, pour réaliser le stockage de CO2, et pour améliorer la gestion des eaux pluviales et les infrastructures écologiques dans la zone du projet.

 

02. Une combinaison unique de méthodes et technologies facilite la formation d’un système économique local qui soit énergie-neutre et écologiquement durable et responsable.

 

03. La combinaison de méthodes et technologies proposée se conforme aux principes de la Terre Mère introduits récemment par législation en Bolivie.

 

04. On se sert exclusivement et de manière systématique des technologies d’énergie renouvelables, telle l’application généralisée des installations à énergie photovoltaïque.

 

05. En principe, toute l’énergie utilisée est renouvelable et produite et consommée dans la zone du projet même. 

 

Les aspects innovateurs relatifs à l’éducation comprennent:

 

01 On peut construire selon les exigences un nombre quelconque d’écoles et d’accommodations pour les enseignants en utilisant de la main d’œuvre et des matériaux locaux dans le cadre du système de monnaie locale établi. Cela signifie que soit les écoles que les accommodations soient construites de façon coopérative par les populations locales. En même temps, les constructeurs et fournisseurs sont toujours payés pour leur travail et leurs livraisons.

 

02. On peut payer les enseignants, ou bien subventionner leurs salaires en monnaie formelle, aux termes du système de monnaie locale.

 

Les aspects innovateurs relatifs aux structures financières comprennent:

 

01. La fusion (mélange) d’un système innovateur de monnaie locale avec un système, également innovateur, de microcrédits sans intérêts et sans frais en monnaie formelle opérant dans le cadre du système  de monnaie locale. Il s’agit peut-être de l’aspect individuel le plus innovateur du projet proposé.

 

02. On se sert du système de monnaie locale pour mobiliser les populations locales. Tous les membres adultes de la population deviennent automatiquement membres du système. Toutefois, les usagers sont toujours libres de choisir s’ils préfèrent d’effectuer une transaction dans le cadre du système de monnaie locale ou dans le cadre de celle formelle. La monnaie locale établie supplémente celle formelle sans la remplacer.

 

03. Le système innovateur proposé des microcrédits sans intérêts et sans frais en monnaie formelle est géré par les populations elles-mêmes. Les fonds utilisés les appartiennent. Le contrôle social local féroce devrait assurer le remboursement de tous les financements effectués. Sur base conservatrice, supposant une période moyenne de rembours de deux ans, le système générera des microcrédits sans intérêts pour au moins € 2.500 par famille à faveur de l’augmentation de la productivité au cours de chaque période de dix ans de gestion.

 

Les aspects innovateurs relatifs aux structures de la santé comprennent:

 

01. Les actions relatives à la santé sont basées sur la prévention et la santé sociale plutôt que sur la médecine curative.

 

02. [Avec le passer du temps, à main que l’on puisse disposer de médecins], l’on se sert du système de monnaie locale pour établir jusqu’à [40] centres médicaux locaux y comprises des accommodations appropriées avec cabinet médical et, le cas échéant, des subventions aux salaires des docteurs. Cela signifie que soit les centres de santé que les accommodations soient construites de façon coopérative par les populations locales. En même temps, les constructeurs et fournisseurs sont toujours payés pour leur travail et leurs livraisons.

 

03. Les médecins peuvent être payés, ou bien leurs salaires de l’état subventionnés, par les populations locales aux termes du système de monnaie locale établi.

 

04 Jusqu’à [200] points d’infirmier y comprises les accommodations des infirmières seront construites aux termes du système de monnaie locale établi en utilisant des matériaux et main d’œuvre locaux. Cela signifie que les points infirmiers restent la propriété coopérative des populations, tandis que les constructeurs et fournisseurs sont toujours payés pour leurs contributions.

 

05. Les infirmiers/infirmières peuvent être payés, ou bien leurs salaires de l’état subventionnés, par les populations locales  aux termes du système de monnaie locale établi.

 

06. L’achat en vrac des médicaments est effectué par le projet en fonction des prescriptions médiques. À ce but, l’on établit un fonds coopératif d’assurance maladies. Les infirmiers/infirmières locaux assurent l’administration des médicaments selon leurs prescriptions.

 

07. [Avec le passer du temps] un hôpital de base local avec jusqu’à  [200] lits (au moins 0,5 lit par commission réservoir) devra être construit à [lieu]. Beaucoup des frais de construction et des frais des services non-professionnels seront couverts aux termes du système de monnaie locale mis en place. L’achat des équipements médicaux et des fournitures médiques pour l’hôpital n’est pas couvert du projet, car il porte à des fuites financières de la zone du projet. Les fonds pour l’achat des équipements médicaux et des fournitures médiques devront être mis à disposition séparément par l’état aux termes d’un accord conventionnel d’assistance bilatérale et/ou par des ONG internationales spécialisées du secteur.  

 

Les aspects innovateurs relatifs à l’eau potable et à l’assainissement:

 

01. Pour les fournitures en eau potable un concept de moyeu et rayon sera adopté. Supposant toujours que les débits des forages le permettent, installera-t-on plusieurs pompes solaires à pression élevée en série dans chaque forage à grand diamètre servant 5-8 points d’eau distribuée. Les pompes seront capables de forcer l’eau, le cas échéant, sur une distance de plusieurs kilomètres. Cela signifie que l’on ne doit creuser que [40] forages à débit élevé, au lieu de [200] forages comme serait le cas pour les projets conventionnels. Cela portera à des réductions importantes des frais des systèmes de fourniture en eau potable.

 

02. L’on se sert de technologies utilisant des composites de gypse pour la fabrication  locale de réservoirs d’eau, systèmes de toilettes, foyers de cuisine améliorés, structures de support pour les bâtiments et pour le mobilier scolaire etc. En principe, tels produits peuvent-ils être fabriqués, installés, et maintenus dans le cadre du système de monnaie locale établi sans avoir besoin d’aucun capital en monnaie formelle.

 

03. L’on se sert de systèmes de toilettes à compostage à sec, avec la diversion des urines des fèces. Les urines et les fèces sont recyclés sans risque au niveau des commissions réservoir pour des utilisations productives. 

 

Les aspects innovateurs relatifs aux droits de femmes:

 

01. On applique un système électif qui assure un rôle dominant des femmes dans toutes les structures du projet à tous les niveaux.

 

02. Les femmes sont les bénéficiaires principaux du menu de structures pour le gain du temps et le développement des capacités mises en œuvre au cours de l’exécution du projet.

 

03. On améliore l’autonomie des femmes dans la zone du projet à travers des microcrédits sans intérêts et sans frais en monnaie formelle mis à leur disposition pour l’augmentation de leur productivité.

 

04. Les droits des femmes comme définis dans les divers traités sur les droits de l’homme sont toujours respectés.

 

LE POTENTIEL DE REPLICATION DU PROJET.

 

La documentation du projet à été rédigée aux termes d’un Modèle innovateur pour les projets de développement local autofinancés, écologiques, et durables. Il

est basé sur une population de 75.000 personnes environ. Toutes les structures sociales, financières, productives et de service y prévues sont organisées sur trois niveaux qui sont justifiés anthropologiquement

 

On a besoin par conséquent de 20 projets individuels pour chaque 1.000.000 d’habitants.

 

À titre d’exemple, un plan subrégional pour le développement intégré de l’Afrique de Ouest avec la supervision de l’Organisation des États de l’Afrique de l’Ouest (ECOWAS, en Français UEMOA) exclus le Nigéria et la Ghana comporterait la rédaction et mis en œuvre successive de 2.500 projets environ. La mise en œuvre de plans de développement intégré pour le Nigéria et le Ghana comportait les mise en exécution d’autres 2.500 projets.

 

Selon la densité des populations et l’accessibilité des zones des projets, peut-on rédiger les documentations complètes et détaillées des plans de développement intégré au niveau de district , au niveau régional et au niveau national à un coût de quelques centimes d’Euro habitant. Les étudiants et les membres des ONG responsables de la rédaction des projets se qualifient automatiquement comme coordonnateurs des projets individuels dont les documentations ils auront rédigé.

 

Chaque projet de développement intégré établit un système coopératif économique local autonome, sans intérêts, et sans inflation. Sujet toujours à la disponibilité de capital d’investissement initial (éventuellement remboursable), n’y a-t-il aucun limite au nombre de projets qui puissent être mis en exécution de façon contemporaine.

 

On offre par conséquence une perspective pour l’achèvement rapide des Objectifs du Millénaire. 

 

 

COMPTABILITÉ ENVIRONNEMENTAL.

 

Ce projet de développement intégré est neutre vis-à-vis les émissions de CO2. Ils se base sur le concept que toute énergie utilisée soit durable et produite localement.

 

Au cas où ils existent des gisements de gypse dans la zone de projet, les familles éventuellement habitant directement dessus des gisements devront être déplacées. Il s’agit d’activités sur toute petite échelle exclusivement pour la consommation locale. Il est par conséquent extrêmement improbable qu’une telle situation se présente.

 

Le gypse est pour 100% inerte. Les produits à base de gypse écartés suite à leur utilisation seront toujours restitués aux centres de production pour être pour 100% recyclés en nouveaux produits.  Ils ne comporteraient toutefois aucun risque aux personnes ni à l’environnement au cas de leur abandonnement dans la nature.  

 

L’on devrait mieux porter des masques au cours de quelques phases de la production d’articles à base de composites de gypse, à cause de la poudre fine dans l’air. La poudre de gypse se dissout en contact avec les poumons et n’est pas cancéreuse. 

 

Tous les déchets organiques et non-organiques produits dans la zone du projet sont récoltés systématiquement dans le cadre du système de monnaie locale établi. Là où possible, ils sont tous recyclés localement pour créer de la valeur ajoutée  locale. Les matériaux et substances qui ne peuvent pas être recyclés localement (en particulier les produits chimiques et les médicaments) sont récoltés et, le cas échéant, triés localement dans le cadre du système de monnaie locale et exportés en vrac de la zone du projet.

 

 

UN COURS COMPLET AU NIVEAU POST-MASTER.

 

Un  cours complet d’une année au niveau  post-masters se trouve au site web www.integrateddevelopment.org . Il est mis gratuitement on-line à l’utilisation de la part de tous

 

La seule lecture des textes du cours donne des informations complètes sur les concepts et méthodes sur lesquelles ce projet se base.  Il contient des références détaillées à bénéfice de ceux qui voudront approfondir ultérieurement leurs connaissances sur sujets qui les intéressent. Il contient aussi une liste des mots-clefs lies aux sections du cours où ils sont traités. 

 


Fichier suivant: liste des dessins et graphiques.

Back: General information.


Table matières complète d Modèle.


 

"Money is not the key that opens the gates of the market but the bolt that bars them."

Gesell, Silvio, The Natural Economic Order, revised English edition, Peter Owen, London 1958, page 228.


Creative Commons License

 

This work is licensed under a Creative Commons Attribution-Non-commercial Share-Alike 3.0 Licence.