ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
MODÈLE
POUR PROJETS DE DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ,
ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ À FAVEUR DES PLUS
PAUVRES AU MONDE.
« Comme la biosphère, les économies vivantes que
nous cherchons s’organiseront elles-mêmes dans un cadre de
règles de marché. Avec leurs racines locales, dépendant
surtout de la propre base de ressources, elles contiendront des incitations
à faveur de l’adaptation aux microenvironnements locaux. En
présence de pouvoirs propriétaires pour faire des décisions
distribuées parmi les membres de la communauté dans leurs
rôles multiples de producteurs, consommateurs et citoyens, y aura-t-il une incitation naturelle
à faveur de l’internalisation des frais et à la gestion
responsable. » (Korten D., The New Economy : Design for
Life. Can we design a self-correcting society?, YES! Magazine, Bainbridge
Island, 02 Mai, 2011 –
traduction Stichting Bakens Verzet (ONG Une Autre Voie))
Le projet ci-joint a été rédigé suivant un
Modèle innovateur pour projets locaux de développement
intégré autofinancés, écologiques et durables. Il
couvre un ensemble complet de structures sociales, financières, productives
et de service nécessaires au développement durable continu des
communautés bénéficiaires. Tous les objectifs du
Millénaire y sont dépassés sauf ceux relatifs aux
vaccinations et à la médecine curative et l’objectif 8 qui n’a rien à
quoi faire avec le développement local. Ils on été exclus à cause du
fait qu’ils causent des fuites financières de la zone du projet.
Le projet à été élaboré avec la
participation des populations intéressées qui en font le
planning, l’exécution et la gestion des structures établies
dont elles sont les propriétaires. Elles en remboursent tous les frais.
Toutes les structures sont organisées pour réserver et assurer aux
femmes un rôle dominant dans toutes les activités du projet. Le
financement, les technologies adoptées et le développement des
capacités humaines sont harmonisés pour offrir des solutions
praticables et durables au développement de la zone du projet.
Toutes les structures sociales, financières, productives et de
service s’appliquent de manière automatique à tous les
habitants de la zone du projet, sans exclusion. Le concept
prépondérant est celui de l’achèvement d’une
bonne qualité de vie pour tous. Le projet porte à la mobilisation
générale de la population locale.
Le modèle pour les projets de développement
intégré lui-même à la forme d’une table matières
pour la rédaction de la documentation relative à un projet
individuel.
Cliquer sur les voix individuelles pour avoir des informations
détaillées.
Des solutions aux suivants problèmes de base
(présentés en ordre alphabétique) relatifs au
développement sont proposées :
PRÉSENTATION
DU PROJET.
Une
présentation Powerpoint à 32 diapositives.
ZONE DU PROJET.
[ Un
paragraphe sur la location du projet, ses dimensions, sa population]
[Cartographie]
QUELQUES
PROBLÈMES DE BASE.
Le projet fournit des solutions innovatrices et complètes à beaucoup
des problèmes les plus urgents dans la zone du projet, y compris ceux
suivants, présentés en ordre alphabétique.
Le développement libre de
la corruption.
L'écologie la conservation et l’adaptation
aux changements climatiques.
L’indépendance des crises du crédit.
JUSTIFICATION ANTHROPOLOGIQUE DES
STRUCTURES DU PROJET.
Ce
projet de développement intégré est justifié
anthropologiquement. Il est structuré pour
une communautés de +/- (10000) ménages, soit +/- (50000) usagers,
qui puissent fournir soit une gamme large de biens et de services soit un marché
local qui puisse les consommer. Les membres individuels de la communauté
peuvent s’associer personnellement avec toutes les structures du projet
et sont encouragés à
y participer librement. Ce type de structure politique a pris forme il y a
3.500 ans, avec la cité-état grecque. Voir par exemple
l’état idéal d’Aristote. Chaque zone de projet
comprend +/- (45) structures
administratives intermédiaires, chacune desquelles avec 1500-2000
habitants, offrant déjà une certaine division des tâches.
On les appelle les «commissions forage ». Ce type de structure
s’est constitué il y a 7.500 ans. Au troisième niveau, on a
+/-( 200) unités administratives locales, chacune avec +/- 150-250
personnes. On les appelle les «commissions réservoir ».
Elles constituent le cœur battant des projets. Cette structure a pris
forme en Mésopotamie il y a +/- 13.000 ans. Elle est basée sur un
clan de famille ou tribu. Beaucoup des structures typiques des pays
industrialisés réfléchissent toujours les trois niveaux
administratifs ici prévus, car ils se réfèrent soit au
développement des rapports sociaux humains soit au développement
des capacités humaines et, peut être, même aux dimensions du
cerveau humain.
Le principe de
subsidiarité avec sa chaine de
responsabilités est
appliqué à toutes les structures. Les structures devraient fonctionner
au niveau le plus bas possible. Les tâches et les responsabilités
sont divisées
logiquement parmi les trois niveaux administratifs. Ce concept est illustré sur la fiche avec quelques
exemples typiques de la «spécialisation »verticale.
Pour
plus de détails voir la présentation Powerpoint : architecture de base des
structures.
LES STRUCTURES DE BASE DU PROJET.
Toutes les structures créées dans
chaque zone de projet fonctionnent donc aux trois niveaux anthropologiques cités.
Elles sont créées dans un ordre de séquence critique.
Les premières structures
créées sont les clubs de santé, qui permettent aux femmes
de s’organiser et de voter en
bloc aux réunions ;
puis les commissions réservoir, puis les commissions forage, et
enfin la commission centrale, ou parlement, du projet. Suivent les structures
financières, à commencer avec la formation du système de
monnaie locale (système SEL), suivi du système coopératif
de micro -crédits sans intérêts et sans frais en monnaie
formelle. Finalement, les groupes coopératifs d’achat de biens
d’investissement à faveur de la productivité. Une fois établies les
premières deux structures financières, peut-on commencer à
créer des structures productives nécessaires aux services
prévus, y compris ceux pour l’eau potable et
l’assainissement.
Pour un sommaire des structures
voir la présentation Powerpoint sur
les structures de base du
projet.
Pour informations complètes
sur les structures voir le les structures
à créer.
LES
OBJECTIFS À LONG TERME.
Les objectifs à long terme de ce projet de développement
intégré comprennent :
01. Faciliter une amélioration
continue de la qualité de vie et de la santé de la population
entière de la zone du projet, sans exclusions.
02. Établir une économie locale dans le zone du projet qui soit
autonome, coopérative, sans intérêts financiers et sans
inflation.
03. Éliminer les fuites
financières de la zone du projet..
04. Dédier les ressources
humaines de la zone du projet à la production et au développement
locaux.
05. Réduire l’incidence des
maladies d’origine hydraulique, de la malaria et d’autres maladies
infectieuses.
06. Réduire la
mortalité infantile et la promotion du planning familial dans la zone du
projet.
07. Améliorer le niveau de scolarité de tous
les habitants, surtout celui des jeunes filles et des femmes.
08. Éliminer la
dépendance des habitants sur les combustibles et les aliments
importés dans la zone du projet.
09. Contribuer activement à la réduction
de la déforestation et à a lutte contre l’augmentation de
la température globale mondiale et pour réaliser l’adaptation de la zone du
projet aux changements climatiques.
10. Créer de la valeur ajoutée à
travers de la récolte et le recyclage des ordures organiques et des ordures
solides non- organiques.
11. Créer une culture d'entretien et de conservation des investissements
réalisés.
12. Avancer les droits des femmes et leur participation majoritaire à toutes les structures du
projet.
13. Assurer à tous les
habitants de la zone du projet une activité coopérative
productive à plein temps.
(“Travail à pleines journées”)
14. Contribuer à
arrêter l’émigration des zones rurales vers les grandes
villes.
15. Dépasser tous les
objectifs du Millénaire dans la
zone du projet à l’exclusion des vaccinations et de la
médecine curative et de
l’objectif 8, lequel
n’a rien à faire avec le développement local.
LES RÉSULTATS ATTENDUS À COURT TERME.
Une
fois créées les structures de base prévues, la population
locale peut suivre ses propres idées et initiatives. Là où
on se sert de la main d’œuvre et des matériaux locaux,
peut-on agir dans le cadre du système d’échanges local sans
avoir besoin d’un budget en monnaie formelle (Euros). Cela explique comment
on peut construire tellement d’écoles locales sans influencer le
budget en monnaie formelle du projet. Puisque les commissions de
développement au niveau de réservoir agissent de façon
tout à fait indépendante l’une de l’autre, une
école peut être construite dans une zone de commission de
manière contemporaine avec les écoles dans d’autres zones
de commission réservoir. Le même concept s’applique aux
résidences des infermières, aux structures pour la conservation
des aliments, les pépinières etc. Le même concept est
valable aussi au niveau des commissions pour le développement
intermédiaire en ce qui concerne la construction des écoles
secondaires, des cliniques pour médecins, des banques à semences
etc. La plupart de telles activités importantes ne pèse
qu’à peine sur le bilan du projet.
Les résultats minimums
directs attendus qui sont automatiquement couverts de ce projet comprennent :
Structures sociales démocratiques de
préférence avec une participation majoritaires des femmes.
01.
(200) Clubs de
santé communautaires
créés et en fonction dans la zone du projet; cours permanents
d’éducation à l’hygiène auprès de (35)
écoles.
02.
(200) Commissions
de développement local
à 5-7 membres établies et en fonction, chacune à service
de 50 familles (250 personnes).
03.
(45) Commissions de développement intermédiaire à 5-7 membres établies et en fonction
chacune à service de 350 familles (1500 personnes).
04. Une
commission
centrale à (45) membres créé et en fonction à service de
la zone entière du projet (10.000 ménages; 50.000 personnes).
Structures financiers pour
combattre la crise financière et les épargnes y
relatives.
05. Un
système local d’échanges créé et en fonction à service de (200) zones de développement local, (45) zones de développement
intermédiaire, et la zone entière du projet.
06. Un système
coopératif de microcrédits sans intérêts et sans
frais en monnaie formelle
créé et en fonction à service de (200) zones de développement
local, (45) zones de développement intermédiaire, et la zone
entière du projet.
07. Divers groupes d’achat
coopératifs
créés et en fonction à
service de (200) zones de développement local,
(45) zones de développement intermédiaire, et la zone
entière du projet. (Groupes volontaires d’achat,
médicaments, éducation, systèmes PV domestiques etc.).
08. Le fonds
local de développement coopératif épargne € 520.000 d’intérêts
par an.
Structures de sécurité sociale.
09. Un système
de sécurité sociale à trois niveaux est créé et en fonction à service de (200)
zones de développement local, (45) zones de développement
intermédiaire, et la zone entière du projet.
Eau et assainissement et
épargnes y relatives.
10. Un
système individuel d’assainissement installé dans chacune
des (10.000) et dans les lieux publics et les écoles.
11. 104 forages à plusieurs pompes forés et
équipés d’une installation à trois unités de
pompage manuel et d’une aire de lavage. Bénéfice
des aires de lavage 4
heures/femme par semaine = +/- €
936.000 par an.
13. 288
réservoirs à eau chacun
installé dans un radius de 150-
14.
10.000 systèmes domestiques de récolte de l’eau pluviale un
système produit localement et installé pour chacun des
habitations individuelles dans la zone du projet.
15. Un
système efficient de drainage des eaux pluviales installé et en
fonction des [nombre] centres habités.
16.
[Quantité] de réservoirs à 5m3 pour la récolte de l’eau
pluviale installés sur les terrains agricoles pour la micro-irrigation.
Recyclage des déchets organiques et non-organiques et les épargnes y
relatives.
17.
(200) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets
établis et en fonction au niveau des commissions de développement
local.
18.
(45) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets
établis et en fonction au niveau des commissions intermédiaires
de développement.
19. Un
système pour la récolte et recyclage des ordures établi et
en fonction au niveau du projet.
20. Épargne des coûts des engrais.
Facilités à faveur de la santé et les épargnes y relatives.
21.
(200) Infermières locales fournies d’habitation, en fonction (et
éventuellement payées) au niveau du développement local.
22. (
45) Centres médication pour médecins construits au niveau
intermédiaire, et en fonction selon la disponibilité de personnel
qualifié.
23.
Plan rédigé pour la construction et mise en œuvre d’un
hôpital de base au niveau du projet. Construction, entretien, et quelques
services dans le cadre du système de monnaie locale établi.
24. Réduction des frais de traitement médical
traitement pour maladies portées de l’eau, 50% de la population
(25.000 partie de 50.000) au moins une fois par an par le coût moyen pour les
médicaments et pour le médecin € 20 = 25000 x
€ 20 = € 500.000
29. 45
ambulances à vélo construites localement avec personnel, une pour chaque
commission intermédiaire de développement.
30. 3
voitures à ambulance qui fonctionnent sur le bio-fuels produits
localement au niveau du projet.
31.
(200) Écoles élémentaires construites au niveau de
commission de développement local et fournies d’enseignants.
32.
(45) Écoles secondaires construites ai niveau de commission intermédiaire
et fournies d’enseignants.
33. Une
école métiers construite au niveau du projet et fournie
d’enseignants.
34. Un
cours universitaire préparatoire au niveau du projet et fournie
d’enseignants
35.
(200) écoles élémentaires, (45) écoles secondaires,
(1) école métier et (1) facilité de cours
préliminaire équipées de structures
d’éclairage photovoltaïque.
36.
(200) salles d’études construites au niveau des commissions
réservoir.
37.
(200) salles d’études équipées
d’éclairage photovoltaïque.
38.
(200) cours permanents du soir à faveur des adultes (surtout des femmes)
fournis d’enseignants et en fonction.
Fourneaux de cuisine et les épargnes y relatives.
39. Au
moins 10.000 fourneaux de cuisine améliorés produits localement,
distribués, et en fonction.
40.
Élimination de la corvée de bois : 60% des familles (soit 60% de
10.000 familles ou 6.000 familles)
x 4 heures par semaine (soit
40% d’une journée à dix heures de travail) x revenu
€ 3 par jour, soit
€ 1,20 par semaine par
famille. € 1,20 par semaine x
6.000 femmes = € 7200 par
semaine, soit € 374.400 par
an.
42.. Reforestation
“automatique”
Agriculture et sécurité alimentaire et les
épargnes y relatives.
43.
(200) pépinières établies au niveau des commissions
réservoir et en fonction.
44. (45)
pépinières établies au niveau des commissions
intermédiaire et en fonction.
45.
Réduction des frais du traitement de personnes souffrant la faim, ou du
à l’hygiène inadéquate, ou causés par la
fumée à l’intérieur et à
l’extérieur des habitations : 25% de la population au moins
une fois par an x un coût
moyens pour médicaments et médecins € 20 = 25000 x € 20 = € 250.000.
47. (200)
Facilités pour le stockage des aliments construites au niveau de chaque
commission réservoir avec personnel et en fonction.
48. (45) Facilités
pour le stockage des aliments construites au niveau intermédiaire avec
personnel et en fonction.
49.
Bénéfices de la plantation de 600.000 arbres à fruit ou à noix, 400.000 plantes de
bambou (pousses de bambou),
1.440.000 arbres de Moringa (feuilles
« à épinards » comestibles).
50.
(45) Banques de semences créées et en fonction a niveau des
commission intermédiaires.
51. Une
banque de semences créée au niveau du projet et en fonction.
Meuneries et épargnes y relatives.
52.
(200) meuneries manuelles établies et en fonction à niveau local
de développement.
53.
Épargne de temps des femmes et jeunes filles pour la préparation
des aliments sur une base typique de
€ 1.642.500.
Production de mini-briquettes pour les fourneaux améliorés.
54.
(400) contrats pour la fourniture de biomasse
pour la production de mini-briquettes signés et en cours d’exécution.
55. Un projet
démonstration pour la reforestation et parcs naturels utilisant des
espèces natives établi et en cours d’exécution. 1.200.000 arbres
(400 arbres par hectare sur
57. (200) initiatives au niveau de
développement local pour activités agro-forestières à petit échelle
telles les plantations de bambou sur les prairies ou terres de récolte planifiées et en cours de mise en
œuvre.
Superficie moyenne de
58.
(200) activités agro-forestières à petite échelle
– plantations à démonstration et à utilisation
exclusivement locale, y comprises les plantations de Moringa sur les terres
marginales. Superficie moyenne
59.
(200) activités de démonstration d’afforestation et/ou reforestation utilisant Jatropha ou équivalent sur des terres ayant on lands un
potentiel réduit pour supporter de la biomasse. Superficie moyenne par activité
Éclairage photovoltaïque à faveur des études ;
éclairage et réfrigération dans les cliniques et épargnes y relatives.
60.
(200) Systèmes éclairage à 200 Wc un
système installé dans chacun des 200 écoles
élémentaires au niveau local de développement.
61.
(200) Systèmes éclairage à 200 Wc un système
installé dans chacun des 200 salles d’études au niveau
local de développement.
62. (45) Systèmes éclairage
à 200 Wc un système installé dans chacun des 45
écoles secondaires au niveau intermédiaire de
développement.
63. (45) Systèmes éclairage
à 400 Wc un système installé dans chacun des 45 cliniques
au niveau intermédiaire de développement.
64. (45) Systèmes de
réfrigération à 400 Wc pour vaccines et médicaments
un système installé au niveau intermédiaire de
développement.
65.
Transport et communications.
66. (500) km de sentiers
à piétons et à vélos bordés d’arbres
posés et en utilisation.
67. (200) unités de
radiotéléphone ou équivalent établies et en
fonction au niveau de commission réservoir.
68. Une station radio locale établie, avec personnel, et en fonction.
Unités de production.
69. 4 unités
coopératives pour la production de produits
à base de composites de gypse construites et opératives.
70. (45) unités
coopératives pour la production de
mini-briquettes pour les for fourneaux améliorés construites et opératives au niveau de développement
intermédiaire.
71. Une coopérative pour
l’installation et l’entretien des structures de fourniture en eau
potable établie et opérative.
It should be noted that the
structures created enable the local population to do what they want according to
their own capabilities and initiatives in addition to the results set out
above.
CONFORMITÉ
AVEC LES CONDITIONS DE LA CHARTE DE LA
TERRE.
Ce projet de développement
intégré se conforme
à toutes les conditions de La Charte de la Terre. Il
dépasse tous les objectifs du Millénaire de
Développement dans la zone du projet, sauf
ceux relatifs aux vaccinations et la médecine curative, et ceux de l’objectif 8 qui n’a rien à
quoi faire avec le développement local.
LES FRAIS DU PROJET.
Chaque projet dans zones
non pastorales coût +/- € 5.000.000, dont le 25% est fourni par les
habitants eux-mêmes à travers des travaux effectués aux
termes du système de monnaie locale établi au cours de l’une
des premières phases de l’exécution du projet. Cela laisse
une exigence financière en forme de capital initial
d’investissement montant à +/- € 3.750.000 par projet.
Les projets dans les
zones pastorales coûtent +/- € 7.000.000, dont le 20% est fourni
des habitants. Cela laisse une exigence financière dans les zones
pastorales de +/- 5.600.000 par
projet. La différence entre les zones pastorales et celles non
pastorales est due aux exigences supplémentaires en eau et fourrage des
troupeaux.
Aux buts budgétaires, la
participation des populations locales (exprimée en heures de travail aux
termes du système de monnaie locale) est convertie en Euros à un
taux d’échange agréé pour chaque journée de
huit heures de travail. Ce taux de conversion monte d’habitude à
Euro 3 par jour. Au cas où le capital initial (respectivement € 3.750.000 ou € 5.600.000 par projet) ne soit
pas mis à disposition en forme de don, les projets aux termes du
Modèle s’entendent autofinancés, sujet à un
financement sans intérêts remboursable selon le cas à distance
de dix ans.
REMBOURSEMENT (LE CAS
ÉCHANT)) DES INVESTISSEMENTS INITIAUX.
Les
investissements initiaux en compte capital sont couverts et remboursés,
le cas échéant, par les populations.
Le fonds local de microcrédit.
Le système de base pour le
financement des projets de développement intégré est celui
du Fonds Coopératif de Développement Local établi dans
chaque zone de projet. Les populations bénéficiaires paient une contribution mensuelle
d’au moins Euro 3 par famille
dans ce fonds. Une structure à trois niveaux de sécurité
sociale est créée à défense des
intérêts des pauvres, des malades et des handicapés. Les
monnaies versées dans le fonds sont recyclés de manière
systématique en forme de micro –crédits sans
intérêts aux populations locales à couverture des
investissements productifs. Les financements autofinancés mis à
disposition de cette manière montent à au moins €
16.000.000 ( soit € 1.500 par famille) sur la première
période de dix ans.
Le fonds est organisé
à ce que le montant y disponible soit suffisant à distance de dix
ans à couvrir le remboursement dans un seul coup du capital initial
d’investissement. Au cas d’un tel remboursement, le montant dans
les Fonds Coopératif de Développement Local tournera vers le
zéro. Puisque les familles continueront à faire leurs
contributions mensuelles dans le fonds, le montant y disponible
s’augmentera de nouveau au cours du deuxième cycle décennal
comme il l’a fait au cours du premier cycle. Tels fonds sont de nouveau
recyclés pour le financement de micro -crédits sans
intérêts à bénéfice du développement
productif local jusqu’au moment où ils ne soient
nécessaires pour le remplacement de biens en compte capital et/ou des
extensions aux services À ce point, le fonds tournera de nouveau
à zéro, pour se reconstituer de nouveau au cours du
troisième cycle décennal, et ainsi de suite de manière
durable et permanente.
Pour des informations
complètes sur le Fonds Coopératif de développement local,
lisez les parties 5.
Les systèmes des micro -crédits sans intérêts :
introduction et 6. Les systèmes des micro -crédits sans
intérêts - approfondissement de la
section 3 du bloc 4 du diplôme de développement
intégré. Une analyse détaillée des
coûts et des bénéfices se trouve à l’analyse des coûts et des bénéfices.
Le protocole de Kyoto.
Un menu
innovateur de 13 méthodologies pour financement CDM aux termes du
Protocole de Kyoto aurait fourni le financement du projet à distance de
six ou huit ans. Malheureusement le marché CDM du carbone s’est
écroulé au point où la valeur des certificats CER est
inférieure aux coûts de gestion, malgré les
procédures simplifiées introduites pour la forme au
bénéfice des pays les plus pauvres.
Pour
des informations détaillées sur tels financements,
référez-vous SVP au document financement des projets de
développement intégré à travers le mécanisme
CDM.
En théorie, les revenus nets indicatifs pour
le projet auraient monté à +/- € 24.000.000. Cela aurait
permis le remboursement du projet vers la fin de la sixième
année de gestion, basé sur les revenus CDM des premiers cinq ans
d’activités. [Au cas des projets dans les zones pastorales à capital
initial de € 5.600.000, le
remboursement pourrait être complété vers la fin de
l’huitième année d’exercice sur la base des revenus
CDM applicables aux premiers sept ans.]
Fonds Vert pour le Climat : Pour
l’Adaptation aux Changements Climatiques.
Ce projet couvre
automatiquement Presque toutes les actions recommandées pour l’adaptation
aux changements du climat dans les pays et les communautés pauvres.
À ce but un Fonds Vert pour l’Adaptation
aux Changements Climatiques se
trouve en cours de formation dans le cadre de
Pour informations sur
comment le projet fait face aux problèmes poses du changement
climatiques voir les
applications à faveur de l’adaptation au changements climatiques
incorporées dans le projet.
LE BILAN DU
PROJET.
Informations complètes sur le bilan du
projet se trouvent à la frais du projet qui contient les 17
fichiers suivants :
02. Schéma
général des structures financières.
03. Une analyse brève
du bilan.
05. Description des
contributions locales.
06. La manière de
calcul des contributions locales.
07. Le rapport entre les
monnaies locales et les monnaies formelles.
09. Le bilan en forme
indiquée des bailleurs de fonds.
10. Les dépenses
annuelles (bilans par an).
11. Les dépenses par
trimestre.
12. Les tableurs in Excel pour
la préparation du bilan.
15. Le système bancaire
et les limitations à l’autonomie du coordonnateur.
17. La protection des
intérêts des bailleurs de fonds.
Les fonds au bilan
destinés aux “structures productives” se trouvent au bilan
pour en couvrir les frais initiaux de leur établissement. Ces
financements sans intérêts en monnaie formelle sont
remboursés dans le Fonds Coopératif de Développement Local
sur une période, d’habitude 4-5 ans, retenue réaliste par
les participants eux-mêmes. Iles remboursements effectués par les
individus recevant des financements du Fonds sont effectués par moyen de
la vente d’une partie de produits ou services en question HORS DE
ASPECTS INNOVATEURS DU PROJET.
Observations
de nature générale sur les aspects innovateurs du projet:
01. Le concept de la création de structures sociales, financières,
productives et de service comme base du développement
intégral dans des zones de projet à +/- 50.000 personnes est
à retenir extrêmement innovateur. La révolution qu’il
porte aux possibilités de développement se réfère
à l’organisation des structures proposées. Une fois qui les structures soient en place, les
populations locales disposeront de tous les instruments leur nécessaires
pour la mise en œuvre de leurs initiatives préférées.
02. L’ordre critique de séquence pour la création des
structures du projet est d’importance vitale. On se sert en effet des
structures sociales pour créer celles financières, puis des
structures financières pour créer celles de la production locale,
et par la suite des unités de production locale à couverture des
exigences (par exemple réservoirs à eau, toilettes, foyers)
nécessaires aux structures de service.
03. On met en marche une mobilisation générale puissante des
populations locales à travers des structures créées.
04. Les populations locales sont responsables de la planification, de la
mise en œuvre, de la gestion, et des frais de toutes les structures. EIles reçoivent de l’assistance,
au cours de l’exécution initiale du projet d’une
équipe (très réduite) d’experts sous la direction
d’un coordonnateur local du projet.
Les
aspects innovateurs relatifs à l’agriculture et à la
sécurité alimentaire comprennent :
01. On se sert
d’un menu innovateur de méthodologies CDM pour achever
soit la sécurité alimentaire, soit le stockage de CO2, soit la génération de
certificats CER à
couverture du remboursement (le cas échéant) du financement
initial en compte capital.
02. La
production d’engrais à travers du recyclage des urines et des
fèces au niveau des ménages et/ou au niveau local est suffisante
à permettre la culture de
tous les aliments de base nécessaires.
03. Le recyclage
des déchets de cuisine et des jardins au niveau des commission
réservoir fournit des aliments pour poules, chèvres, et en
présence de conditions religieuses appropriées, porcs, favorisant
une variété de diètes.
04.
L’institution de pépinières opérant dans le cadre du
système de monnaie locale optimise soit la culture locale que
l’utilisation des semences locales.
05. L’utilisation
de plantations à arbres de fruit et de noix, de bambou, de Moringa (raifort) et de Jatropha
constitue une garantie de sécurité alimentaire et fournit des
matières premières pour de nombreuses applications productives
locales. Le cas
échéant, les plantations garantissent des moyens financiers
à couverture du remboursement du capital initial d’investissement.
Les
aspects innovateurs relatifs à l’écologie, à la
conservation et à l’énergie comprennent:
01. On se sert
d’un menu innovateur de méthodologies CDM couvrant des types divers d’utilisation des
terrains pour rembourser (le cas échéant) le capital initial
d’investissement, pour réaliser le stockage de CO2, et pour améliorer la gestion
des eaux pluviales et les infrastructures écologiques dans la zone du
projet.
02. Une
combinaison unique de méthodes et technologies facilite la formation
d’un système économique local qui soit
énergie-neutre et écologiquement durable et responsable.
03. La
combinaison de méthodes et technologies proposée se conforme aux
principes de
04. On se sert
exclusivement et de manière systématique des technologies
d’énergie renouvelables, telle l’application
généralisée des installations à énergie photovoltaïque.
05. En principe,
toute l’énergie utilisée est renouvelable et produite et
consommée dans la zone du projet même.
Les
aspects innovateurs relatifs à l’éducation comprennent:
01 On peut construire selon les exigences un nombre quelconque
d’écoles et d’accommodations pour les enseignants en
utilisant de la main d’œuvre et des matériaux locaux dans le
cadre du système de monnaie locale établi. Cela signifie que soit
les écoles que les accommodations soient construites de façon
coopérative par les populations locales. En même temps, les
constructeurs et fournisseurs sont toujours payés pour leur travail et
leurs livraisons.
02. On peut payer les enseignants, ou bien subventionner leurs salaires en
monnaie formelle, aux termes du système de monnaie locale.
Les aspects innovateurs relatifs aux structures financières
comprennent:
01. La fusion (mélange) d’un système innovateur de
monnaie locale avec un système, également innovateur, de
microcrédits sans intérêts et sans frais en monnaie formelle
opérant dans le cadre du système de monnaie locale. Il s’agit
peut-être de l’aspect individuel le plus innovateur du projet
proposé.
02. On se sert du système de monnaie locale pour mobiliser les
populations locales. Tous les membres adultes de la population deviennent
automatiquement membres du système. Toutefois, les usagers sont toujours
libres de choisir s’ils préfèrent d’effectuer une
transaction dans le cadre du système de monnaie locale ou dans le cadre
de celle formelle. La monnaie locale établie supplémente celle formelle sans la remplacer.
03. Le système innovateur proposé des microcrédits
sans intérêts et sans frais en monnaie formelle est
géré par les populations elles-mêmes. Les fonds
utilisés les appartiennent. Le contrôle social local
féroce devrait assurer le remboursement de tous les financements
effectués. Sur base conservatrice, supposant une période moyenne
de rembours de deux ans, le système générera des
microcrédits sans intérêts pour au moins € 2.500 par
famille à faveur de l’augmentation de la productivité au
cours de chaque période de dix ans de gestion.
Les
aspects innovateurs relatifs aux structures de la santé comprennent:
01. Les actions
relatives à la santé sont basées sur la prévention
et la santé sociale plutôt que sur la médecine curative.
02. [Avec le passer du temps, à main que l’on puisse disposer
de médecins], l’on se sert du système de monnaie locale
pour établir jusqu’à [40] centres médicaux locaux y
comprises des accommodations appropriées avec cabinet médical et,
le cas échéant, des subventions aux salaires des docteurs. Cela
signifie que soit les centres de santé que les accommodations soient
construites de façon coopérative par les populations locales. En même
temps, les constructeurs et fournisseurs sont toujours payés pour leur
travail et leurs livraisons.
03. Les médecins peuvent être payés, ou bien leurs
salaires de l’état subventionnés, par les populations
locales aux termes du système de monnaie locale établi.
04 Jusqu’à [200] points d’infirmier y comprises les
accommodations des infirmières seront construites aux termes du
système de monnaie locale établi en utilisant des
matériaux et main d’œuvre locaux. Cela signifie que les
points infirmiers restent la propriété coopérative des
populations, tandis que les constructeurs et fournisseurs sont toujours
payés pour leurs contributions.
05. Les infirmiers/infirmières peuvent être payés, ou
bien leurs salaires de l’état subventionnés, par les
populations locales aux termes du
système de monnaie locale établi.
06. L’achat en vrac des médicaments est effectué par le
projet en fonction des prescriptions médiques. À ce but,
l’on établit un fonds coopératif d’assurance
maladies. Les infirmiers/infirmières locaux assurent l’administration
des médicaments selon leurs prescriptions.
07. [Avec le passer du temps] un hôpital de base local avec
jusqu’à [200] lits (au
moins 0,5 lit par commission réservoir) devra être construit
à [lieu]. Beaucoup des frais de construction et des frais des services
non-professionnels seront couverts aux termes du système de monnaie
locale mis en place. L’achat des équipements médicaux et
des fournitures médiques pour l’hôpital n’est pas
couvert du projet, car il porte à des fuites financières de la
zone du projet. Les fonds pour l’achat des équipements
médicaux et des fournitures médiques devront être mis
à disposition séparément par l’état aux
termes d’un accord conventionnel d’assistance bilatérale
et/ou par des ONG internationales spécialisées du secteur.
Les
aspects innovateurs relatifs à l’eau potable et à
l’assainissement:
01. Pour les fournitures en eau potable un concept de moyeu et rayon sera
adopté. Supposant toujours que les débits des forages le
permettent, installera-t-on plusieurs pompes solaires à pression
élevée en série dans chaque forage à grand
diamètre servant 5-8 points d’eau distribuée. Les pompes
seront capables de forcer l’eau, le cas échéant, sur une
distance de plusieurs kilomètres. Cela signifie que l’on ne doit
creuser que [40] forages à débit élevé, au lieu de
[200] forages comme serait le cas pour les projets conventionnels. Cela portera
à des réductions importantes des frais des systèmes de
fourniture en eau potable.
02. L’on se sert de technologies utilisant des composites de gypse
pour la fabrication locale de
réservoirs d’eau, systèmes de toilettes, foyers de cuisine
améliorés, structures de support pour les bâtiments et pour
le mobilier scolaire etc. En principe, tels produits peuvent-ils être
fabriqués, installés, et maintenus dans le cadre du
système de monnaie locale établi sans avoir besoin d’aucun
capital en monnaie formelle.
03. L’on se sert de systèmes de toilettes à compostage
à sec, avec la diversion des urines des fèces. Les urines et les
fèces sont recyclés sans risque au niveau des commissions
réservoir pour des utilisations productives.
Les
aspects innovateurs relatifs aux droits de femmes:
01. On applique
un système électif qui assure un rôle dominant des femmes
dans toutes les structures du projet à tous les niveaux.
02. Les femmes
sont les bénéficiaires principaux du menu de structures pour le
gain du temps et le développement des capacités mises en
œuvre au cours de l’exécution du projet.
03. On
améliore l’autonomie des femmes dans la zone du projet à
travers des microcrédits sans intérêts et sans frais en
monnaie formelle mis à leur disposition pour l’augmentation de
leur productivité.
04. Les droits des femmes comme définis
dans les divers traités sur les droits de l’homme sont toujours
respectés.
LE POTENTIEL DE
REPLICATION DU PROJET.
La documentation du projet
à été rédigée aux termes d’un
Modèle innovateur pour les projets de développement local
autofinancés, écologiques, et durables.
On a besoin par conséquent
de 20 projets individuels pour chaque 1.000.000 d’habitants.
À
titre d’exemple, un plan subrégional pour le développement
intégré de l’Afrique de Ouest avec la supervision de
l’Organisation des États de l’Afrique de l’Ouest
(ECOWAS, en Français UEMOA) exclus le Nigéria et
Selon la
densité des populations et l’accessibilité des zones des
projets, peut-on rédiger les documentations complètes et
détaillées des plans de développement
intégré au niveau de district , au niveau
régional et au niveau
national à un coût de quelques centimes d’Euro habitant. Les
étudiants et les membres des ONG responsables de la rédaction des
projets se qualifient automatiquement comme coordonnateurs des projets
individuels dont les documentations ils auront rédigé.
Chaque
projet de développement intégré établit un
système coopératif économique local autonome, sans
intérêts, et sans inflation. Sujet toujours à la
disponibilité de capital d’investissement initial
(éventuellement remboursable), n’y a-t-il aucun limite au nombre
de projets qui puissent être mis en exécution de façon
contemporaine.
On offre par conséquence
une perspective pour l’achèvement rapide des Objectifs du
Millénaire.
COMPTABILITÉ
ENVIRONNEMENTAL.
Ce projet de
développement intégré est neutre vis-à-vis les
émissions de CO2. Ils se base sur le concept que toute énergie
utilisée soit durable et produite localement.
Au cas
où ils existent des gisements de gypse dans la zone de projet, les
familles éventuellement habitant directement dessus des gisements
devront être déplacées. Il s’agit
d’activités sur toute petite échelle exclusivement pour la
consommation locale. Il est par conséquent extrêmement improbable
qu’une telle situation se présente.
Le gypse est
pour 100% inerte. Les produits à base de gypse écartés
suite à leur utilisation seront toujours restitués aux centres de
production pour être pour 100% recyclés en nouveaux produits. Ils ne comporteraient toutefois aucun
risque aux personnes ni à l’environnement au cas de leur
abandonnement dans la nature.
L’on
devrait mieux porter des masques au cours de quelques phases de la production
d’articles à base de composites de gypse, à cause de la
poudre fine dans l’air.
Tous les
déchets organiques et non-organiques produits dans la zone du projet
sont récoltés systématiquement dans le cadre du
système de monnaie locale établi. Là où possible,
ils sont tous recyclés localement pour créer de la valeur
ajoutée locale. Les
matériaux et substances qui ne peuvent pas être recyclés
localement (en particulier les produits chimiques et les médicaments)
sont récoltés et, le cas échéant, triés
localement dans le cadre du système de monnaie locale et exportés
en vrac de la zone du projet.
UN COURS COMPLET AU NIVEAU POST-MASTER.
Un cours
complet d’une année au niveau
post-masters se trouve au site web
www.integrateddevelopment.org . Il est mis gratuitement on-line à
l’utilisation de la part de tous
La seule lecture des textes du cours donne des
informations complètes sur les concepts et méthodes sur
lesquelles ce projet se base. Il contient des références
détaillées à bénéfice de ceux qui voudront
approfondir ultérieurement leurs connaissances sur sujets qui les
intéressent. Il contient aussi une liste des mots-clefs lies aux
sections du cours où ils sont traités.
Fichier
suivant: liste des dessins et graphiques.
Table
matières complète d Modèle.
"Money is not the key that opens the gates of the market but the
bolt that bars them."
Gesell, Silvio, The Natural Economic Order, revised English edition,
Peter Owen,
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